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Monsieur LABORIE André Le 11 juin 2009
2 rue de la Forge
(Courrier transfert Poste
restante)
31650 Saint Orens
Tél : 06-14-29-21-74
Demandeur d’emploi au RMI
Monsieur le doyen des
juges.
D’instruction
T.G.I de Toulouse.
2 allée Jules Guesde
31000 Toulouse
PS :
« Actuellement
le courrier est transféré poste restante suite à la violation du domicile en
date du 27 mars 2008 » domicile actuellement occupé par un tiers (Monsieur
TEULE Laurent sans droit ni titre régulier).
LETTRE RECOMMANDEE AVEC AR : N° 1 A 029 621
5670 2.
Objet : Plainte contre X pour crime intellectuel avec
constitution de partie civile.
Monsieur le Doyen des juges,
Je
sollicite votre très haute bienveillance à prendre en considération ma plainte avec
constitution de partie civile pour préserver nos intérêts de la communauté, notre
propriété, notre domicile et faire cesser ce trouble à l’ordre public.
Que
Monsieur le Procureur Michel VALET a été
saisi de plusieurs plaintes classées sans suite dont dernière plainte complète concernant les faits
ci-dessous en date du 6 mars 2009.
Sur
un refus systématique de faire instruire
par un classement sans suite, Madame la Ministre de la Justice a été informée.
Qu’un
recours a été formé le 6 mai 2009 à Monsieur DAVOST Procureur général à la cour
d’appel de Toulouse sur le fondement de l’article 40-3 du code pénal et suite à
un courrier du Ministère de la justice
en date du 29 avril 2009 m’informant de la possibilité de former ce recours.
Que
par courrier du 2 juin 2009 Monsieur Pierre BERNARD avocat général prés la cour
d’appel de Toulouse et pour le Procureur général, se refuse de donner
instruction au procureur de la république de Toulouse d’engager des poursuites.
Sur le plan civil :
La
juridiction civile a été saisie par de nombreux procès pour obtenir des mesures
provisoires et à faire cesser ce trouble à l’ordre public existant.
Que
les différentes juridictions civiles toulousaines saisies se refusent de
statuer sur les faits ci-dessous soulevés par différents moyens
discriminatoires pour que les causes ne soient pas entendues portant encore
plus préjudices à Monsieur et Madame LABORIE.
Raison
de la saisine de ce jour auprès de Monsieur le doyen des juges d’instruction au
T.G.I de Toulouse.
Monsieur
LABORIE André reste à la disposition de la justice, de toutes autorités pour
tout interrogatoire et pièces à fournir.
PS :
Pour information cette plainte est envoyée à Madame RACHIDA DATI
Ministre de la justice.
Plainte pour crime
intellectuel.
·
Faux
et usage de faux pour obtenir des décisions juridictionnelles favorables. Fait réprimé par les articles 441-1 ;
441-2 ; 441-4 ; 441-5 ; 441-6 du code pénal
·
Escroquerie,
abus de confiance. Faits
réprimés par les articles 313-1 à 313-3 et 311-12 du code pénal
·
Appropriation
frauduleuse notre propriété. Fait
réprimé par les articles 314-1 à 314-4 et 311-12 du code pénal
·
Violation
de notre domicile par expulsion irrégulière. Fait réprimé par les articles 432-8 du code pénal.
·
Vol. Fait réprimé par les articles 311-1 à 311-11 du code
pénal
·
Détournement
de fond : faits réprimés
par les articles 314-1 à 314-4 et 311-12 du
·
code
pénal.
·
Recel
de faux et usage de faux. Fait
réprimé par les articles 321-1 à 321-5
du code pénal.
·
Atteinte
à l’action de la justice : Fait
réprimé par l’article 434-4 du code pénal.
Préambule.
Il
est fourni ci-dessous le déroulement de l’appropriation frauduleuse de notre
propriété dans un contexte bien particulier, avec préméditation pour avoir porté plainte
préalablement à l’encontre de Monsieur LABORIE André par dénonciations
calomnieuses dans le seul but de
l’incarcérer, le privant dans cette situation de tous ses moyens de
défense permettant aux parties poursuivantes d’agir avec toute impunité par faux
et usage de faux pour obtenir des décisions favorables de justice.
Ces
agissements délictueux invoqués ont été
effectués par les personnes physiques et morales ci-dessous.
·
La
SCP d’huissiers PRIAT ; COTIN ; LOPEZ. Agissant pour ses clientes CETELEM ;
PASS ; ATHENA.
·
Maître
MUSQUI Bernard Avocat agissant
pour ses clientes CETELEM ; PASS ; ATHENA.
·
Monsieur
CAVES Président de la Chambre
des criées.
·
Madame
PUISSEGUR Greffière de la
chambre des criées.
·
La
SCP d’avocats FRANCES ; MERCIE ; ESPENAN, agissant pour le Compte de la Banque Commerzbank.
·
La
SCP CATUGIER, DUSAN ; BOURRASSET, agissant pour le compte de ses clientes, Madame D’ARAUJO
épouse BABILE, de la SARL LTMDB représentée par son gérant Monsieur TEULE
Laurent
·
La
SCP D’huissiers GARRIGUES & BALLUTEAUD, agissant pour le compte de Madame D’ARAUJO épouse BABILE
SYNTHESE :
La SCP d’huissiers PRIAT ; COTIN ; LOPEZ.
Agissant pour ses
clientes CETELEM ; PASS ; ATHENA.
Dans
un temps non prescrit par la loi la propriété de Monsieur et Madame LABORIE a
fait l’objet d’un détournement et d’une violation de leur domicile en complot
des personnes ci-dessus cités et dont les délits ont été relevés.
La
SCP d’huissiers PRIAT ; COTIN ; LOPEZ. a fait délivrer un commandement de payer aux fins de
saisie immobilière en date du 24 septembre 2002 par faux et usage de faux pour
des sommes dont une société n’avait plus d’existence juridique depuis décembre
2000.
La
SCP d’huissiers PRIAT ; COTIN ; LOPEZ a fait publier ce
commandement du 24 octobre 2002 à la conservation des hypothèques de Toulouse
par un acte unique à trois sociétés dont une qui n’avait aucune existence
juridique depuis décembre 2000.
La
SCP d’huissiers PRIAT ; COTIN ; LOPEZ a agit auprès du
conservateur des hypothèques de Toulouse aux préjudices de Monsieur et Madame
LABORIE pour le compte d’une société qui n’existait plus juridiquement depuis
décembre 2000 et pour saisir la chambre des criées à fin d’obtenir la vente
forcée de leur propriété et de ce fait détourner illicitement le fruit de la vente.
Que
la SCP d’huissiers PRIAT ; COTIN ; LOPEZ a agit dans son commandement
du 24 septembre 2002 auprès du conservateur des hypothèques de Toulouse avec un
faux pouvoir en saisie immobilière délivré le 9 septembre 2002 pour le compte
de la société Athéna Banque alors que cette dernière n’avait plus d’existence
juridique depuis décembre 2000.
Que
ces agissements sont volontaires car la SCP d’huissiers avait le devoir de
vérification et de contrôle de ses actes.
Que
ces agissements de cette SCP d’huissiers PRIAT ; COTIN ; LOPEZ saisissant
la chambre des criées étaient dans le seul but de détourner la propriété de
Monsieur et Madame LABORIE, de sommes d’argent importantes au profit d’une
société qui n’existait plus.
Que
la chambre des criées par jugement du 19 décembre 2002 a annulé la saisie
immobilière sur le plan civil pour vice de procédure, interdisant la
délivrance d’un nouveau commandement pour une durée de trois ans pour le compte
de ces trois sociétés ayant agit par un acte unique.
Que
Monsieur LABORIE André après plaintes déposées auprès des autorités
Toulousaines, celles-ci restées
infructueuses a mis l’action publique en mouvement par voie d’action en faisant délivrer une
citation à comparaître devant le tribunal correctionnel de Toulouse à
l’encontre de la SCP d’huissiers PRIAT ; COTIN ; LOPEZ.
La
voie d’action ayant les mêmes conséquences qu’un réquisitoire de Monsieur le
Procureur de la République.
Procédure
devant le tribunal correctionnel en cours contre la SCP d’huissiers
PRIAT ; COTIN ; LOPEZ , les causes toujours non entendues depuis 2003 »
par différents obstacle mis à l’encontre de Monsieur André LABORIE agissant
pour les intérêts de Monsieur et Madame.
Qu’il
ne peut exister la prescription des poursuites à l’encontre de la SCP
d’huissiers PRIAT ; COTIN ; LOPEZ
·
Que
sur le civil ces faits de l’inexistence juridique de la société Athena banque depuis décembre 2000 ont été reconnus par un
arrêt de la cour d’appel de Toulouse rendu le 16 mai 2006 avec toutes ses
conséquence de droit sur la procédure.
Récidive des faits par la SCP d’huissiers PRIAT ; COTIN ;
LOPEZ
en date du 5 septembre 2003
La
SCP d’huissiers PRIAT ; COTIN ; LOPEZ. a délivrer un commandement de payer aux fins de
saisie immobilière en date du 5 septembre 2003 pour des sommes dont une société
n’avait plus d’existence juridique, procédure identique à celle du 24 septembre
2002 alors que le jugement rendu par la chambre des criées en date du 19
décembre 2002 avait autorité de chose jugée, que les parties déchues dans
l’instance n’avaient pas formé appel comme voie de recours en contestation,
interdisant le renouvellement pour ces trois banques d’un nouvel commandement
aux fins de saisie immobilière pour une durée de trois ans soit jusqu’au 19
décembre 2005.
La
SCP d’huissiers PRIAT ; COTIN ; LOPEZ. A fait délivrer un commandement de payer aux fins de
saisie immobilière en date du 5 septembre 2003 en faisant croire au tribunal
que celle-ci était régulière pour détourner encore une fois des sommes au
profit d’une société qui n’avait plus d’existence juridique depuis décembre
2000.
La
SCP d’huissiers PRIAT ; COTIN ; LOPEZ s’est servi une
nouvelle fois du même faux pouvoir en saisie immobilière, celui du 9 septembre
2002 devant le tribunal pour la société Athéna banque qui n’avait plus
d’existence juridique depuis décembre 2000.
·
Que
ces faits délictueux de l’inexistence juridique de la société Athena banque depuis décembre 2000 ont été reconnus sur le
civil par un arrêt de la cour d’appel de Toulouse rendu le 16 mai 2006 avec
toutes ses conséquences de droit.
Récidive des faits par la SCP d’huissiers PRIAT ; COTIN ;
LOPEZ
en date du 20 octobre 2003.
Alors
que ces trois sociétés étaient interdites de renouveler un commandement de
saisie immobilière au vu du jugement du 19 décembre 2002 soit jusqu’au 19
décembre 2005, la SCP d’huissiers PRIAT ; COTIN ; LOPEZ a toujours de
la même façon opéré par un faux pouvoir du 9 septembre 2002, fait délivrer un
commandement au fins de saisie immobilière le 20 octobre 2003 et publié à la
conservation des hypothèque de Toulouse le 31 octobre 2003 par ce même faux
pouvoir, prétextant une autre entité juridique en remplacement de la société
Athéna banque soit AGF, au RCS sur le commandement « société radiée
depuis le 13 février 2003 »
Que
ces faits sont réprimés pénalement par les articles : 441-1 ; 441-2 ; 441-4 ;
441-5 ; 441-6 du code pénal ; Faits réprimés par les articles 313-1 à
313-3 et 311-12 du code pénal ; Fait réprimé par l’article 314-1 à 314-4
et 311-12 du code pénal ; Fait réprimé par les articles 432-8 du
code pénal ; Fait réprimé par les
articles 321-1 à 321-5 du code pénal.
Maître MUSQUI
Bernard Avocat agissant pour ses clientes :
CETELEM ;
PASS ; ATHENA.
Dans
un temps non prescrit par la loi la propriété de Monsieur et Madame LABORIE a
fait l’objet d’un détournement et d’une violation de leur domicile en complot
des personnes ci-dessus cités et dont les délits ont été relevés.
Bien
que la SCP d’huissiers PRIAT ; COTIN ; LOPEZ a agit
pour les faits délictueux ci dessus dénoncés, l’instigateur de ces procédures
ont été diligentées par Maître MUSQUI Avocat.
Au
vu du jugement du 19 décembre 2002 ayant autorité de chose jugée, en l’absence
de voie de recours dont appel, Maître MUSQUI a en date du 11 mars 2003
introduit une requête devant le Président de la Chambre des criées par un acte
unique aux trois société soit CETELEM, PASS, Athéna banque alors que cette
dernière n’avait plus d’existence juridique depuis décembre 2000.
·
Que
sur le civil ces faits de l’inexistence juridique de la société Athena banque depuis décembre 2000 ont été reconnus par un
arrêt de la cour d’appel de Toulouse rendu le 16 mai 2006 avec toutes ses
conséquence de droit sur la procédure.
Que
les faits reprochés à Maître MUSQUI Bernard Avocat sont identiques que ceux de
la SCP d’huissiers PRIAT ; COTIN ; LOPEZ ayant agit en
complot.
Que
Monsieur LABORIE André après plaintes déposées auprès des autorités
Toulousaines, celles-ci restées
infructueuses a mis l’action publique en mouvement par voie d’action en faisant délivrer une
citation à comparaître devant le tribunal correctionnel de Toulouse à
l’encontre de Maître MUSQUI Bernard Avocat
La
voie d’action ayant les mêmes conséquences qu’un réquisitoire de Monsieur le
Procureur de la République « contre pouvoir »
Procédure
devant le tribunal correctionnel en cours contre Maître MUSQUI Bernard, les
causes toujours non entendues depuis 2003 » par différents obstacles mis à
l’encontre de Monsieur André LABORIE agissant pour les intérêts de Monsieur et
Madame.
Qu’il
ne peut exister la prescription des poursuites à l’encontre de Maître MUSQUI
Avocat.
Que
ces faits sont réprimés pénalement par les articles : 441-1 ; 441-2 ; 441-4 ;
441-5 ; 441-6 du code pénal ; Faits réprimés par les articles 313-1 à
313-3 et 311-12 du code pénal ; Fait réprimé par l’article 314-1 à 314-4
et 311-12 du code pénal ; Fait réprimé par les articles 432-8 du
code pénal ; Fait réprimé par les
articles 321-1 à 321-5 du code pénal.
Que sur le plan civil, de nombreuses voies de recours ont été engagées,
celles-ci gênantes pour ce qui ont participés directement ou indirectement à la
tentative du détournement de la propriété de Monsieur et Madame LABORIE.
Monsieur CAVES Président de la Chambre des criées.
Madame PUISSEGUR Greffière de la chambre des criées.
Dans
un temps non prescrit par la loi la propriété de Monsieur et Madame LABORIE a
fait l’objet d’un détournement et d’une violation de leur domicile en complot
des personnes ci-dessus cités et dont les délits ont été relevés.
Pour
se débarrasser une fois pour toute de Monsieur LABORIE André et de leur conseil
Maître SERRE DE ROCH agissant pour les intérêts de ces derniers au titre de
l’aide juridictionnelle, et dans le but de détourner par la force la résidence
de Monsieur et Madame LABORIE.
En
complot ; Monsieur CAVE Michel et Madame PUISSEGUR ont par dénonciation
calomnieuses portés à la connaissance de Monsieur le Procureur de la République
de Toulouse en date du 10 décembre 2005 plainte pour outrage de Madame
PUISSEGUR greffière de la Chambre des criées à la suite en son audience du 5
septembre 2005 d’avoir demandé la récusation de cette dernière verbalement en
invoquant qu’il existait un contentieux devant le tribunal correctionnel à son
encontre avec l’autorisation de Monsieur le Procureur de la République en sa
date d’audience délivrée et celle de Monsieur le Procureur Général en son
audience prochaine fixée.
Qu’à
cette audience du 5 septembre 2005 étaient présent Maître FRANCES, Maître
BOURRASSET, Maître MUSQUI, Monsieur LABORIE régulièrement convoqué par huissier
de justice.
·
L’organisation
était parfaite pour se débarrasser de Monsieur LABORIE.
Action
préméditée pour rejeter le conseil de Monsieur LABORIE André, Maître SERRE DE
ROCH, en poursuivant par plainte que Monsieur LABORIE au motif qu’il aurait
perçu indûment le RMI, que de ce chef, qu’il y aurait eu escroquerie à l’aide
juridictionnelle.
Qu’en
conséquence au vu de ces éléments Maître SERRE DE ROCH n’a pu continuer à
défendre les intérêts de Monsieur LABORIE André au titre de l’aide
juridictionnelle.
Précisant
alors que les faits reprochés à Monsieur LABORIE André sont inexacts et ne
peuvent exister, Monsieur LABORIE André a été mis arbitrairement en détention
pour une durée de deux ans soit du 14 février 2006 au 14 septembre 2007 sans
encore à ce jour que ses différentes voies de recours sur les poursuites
pénales soient entendues devant un tribunal. ( il a été jugé en violation de
toutes les règles de droit d’ordre public, article 6-1 de la CEDH).
Plainte
a été déposée pour dénonciation calomnieuses auprès de la Gendarmerie de Saint Orens à l’encontre de ses auteurs lors de mon audition en
janvier 2006, plainte encore à ce jour restée sans réponse.
Monsieur CAVES
Président de la Chambre des criées.
Dans
un temps non prescrit par la loi la propriété de Monsieur et Madame LABORIE a
fait l’objet d’un détournement et d’une violation de leur domicile en complot
des personnes ci-dessus cités et dont les délits ont été relevés.
Monsieur
CAVE Michel a participé directement à faire obstacle aux droits de défense de
Monsieur LABORIE André, a rendu au profit de Maître FRANCES Avocate agissant
pour le compte de sa cliente la Commerzbank, cette dernière profitant de
l’absence de défense pour introduire de faux éléments à la chambre des criées
et pour obtenir un jugement de subrogation aux fin de poursuites en saisie
immobilière en date du 29 juin 2006.
Que
le jugement de subrogation a été inscrit en faux en écriture intellectuelles,
enregistré au Greffe du T.G I de Toulouse, dénoncé
aux partie et à Monsieur le Procureur de la République, le tout enrôlé au
greffe du T.G.I DE Toulouse.
(
voir ci-dessous déroulement de toute la procédure de saisie immobilière)
Que par la complicité :
Ces faits sont réprimés pénalement par les articles : 441-1 ; 441-2 ; 441-4 ;
441-5 ; 441-6 du code pénal ; Faits réprimés par les articles 313-1 à
313-3 et 311-12 du code pénal ; Fait réprimé par l’article 314-1 à 314-4
et 311-12 du code pénal ; Fait réprimé par les articles 432-8 du
code pénal ; Fait réprimé par les
articles 321-1 à 321-5 du code pénal.
La SCP d’avocats
FRANCES ; MERCIE ; ESPENAN,
agissant pour le Compte
de la Banque Commerzbank.
Dans
un temps non prescrit par la loi la propriété de Monsieur et Madame LABORIE a
fait l’objet d’un détournement et d’une violation de leur domicile en complot
des personnes ci-dessus cités et dont les délits ont été relevés.
Maître
FRANCES agissant pour la SCP et pour le compte de sa cliente la Commerzbank en
juin 2006 a introduit une procédure de subrogation aux fins de continuer la
précédente procédure de saisie immobilière viciée sur le fond et la forme, sans
débat contradictoire, sans titre exécutoire, par faux et usage de faux comme
ci-dessous expliqué dans la procédure de saisie immobilière, profitant de
l’absence de Monsieur LABORIE André, de l’ignorance juridique de Madame LABORIE et de la non possibilité
d’être assisté par un avocat pour déposer un dire en contestation.
Maître
FRANCES agissant pour la SCP et pour le compte de sa cliente la Commerzbank a
produit de fausses créances.
Maître
FRANCES agissant pour la SCP et pour le compte de sa cliente la Commerzbank a
produit une affectation hypothécaire entachée de nullité non signée de Monsieur
et Madame LABORIE et inscrite en faux intellectuel, déposé au greffe du T.G.I de Toulouse, dénoncée aux parties et à Monsieur le
Procureur de la République de Toulouse.
Maître
FRANCES agissant pour la SCP et pour le compte de sa cliente la Commerzbank a
fait valoir un arrêt de la cour de cassation qui est inscrit en faux
intellectuels, enregistré au greffe du T.G.I de
Toulouse dénoncé aux parties et à Monsieur le Procureur de la République.
Maître
FRANCES agissant pour la SCP et pour le compte de sa cliente la Commerzbank a
établi un projet de distribution pour des tiers et pour le compte de la
Commerzbank alors que Monsieur et Madame LABORIE ne sont pas débiteurs, ils
sont plutôt créditeur au vu des pièces comptables apportée.
Que
la volonté de nuire aux intérêts de Monsieur et Madame LABORIE est caractérisée
par les écrits ci-dessous et pièces à valoir dans son bordereau, malgrés une contestation de ce projet de distribution
devant le juge de l’exécution, Maître FRANCES comme d’habitude s’est fait
homologuer ce projet de distribution alors qu’une procédure en contestation était
pendante devant le juge de l’exécution et dans le seul but de détourner la
somme de 260.000 euros à ses fins.
Que par la complicité :
Ces faits sont réprimés pénalement par les articles : 441-1 ; 441-2 ; 441-4 ; 441-5 ;
441-6 du code pénal ; Faits réprimés par les articles 313-1 à 313-3 et
311-12 du code pénal ; Fait réprimé par l’article 314-1 à 314-4 et 311-12
du code pénal ; Fait réprimé par les articles 432-8 du code pénal ;
Fait réprimé par les articles 321-1 à
321-5 du code pénal.
La SCP CATUGIER,
DUSAN ; BOURRASSET, agissant
pour le compte de ses clientes, Madame D’ARAUJO
épouse BABILE,
de la SARL LTMDB
représentée par son gérant Monsieur TEULE Laurent, Maître CHARRAS Notaire
Dans
un temps non prescrit par la loi la propriété de Monsieur et Madame LABORIE a
fait l’objet d’un détournement et d’une violation de leur domicile en complot
des personnes ci-dessus cités et dont les délits ont été relevés.
Alors
que Madame D’ARAUJO épouse BABILE devenue adjudicataire
en date du 21 décembre 2006, celle-ci ne s’étant pas conformée au obligations
et formalités postérieures à l’adjudication.
Qu’au
vu de l’action en résolution effectuée en date du 9 février 2007 pour fraude de
la procédure de saisie immobilière dont jugement d’adjudication, Madame D’ARAUJO épouse BABILE a perdu son droit de propriété.
Que
par l’intermédiaire de son conseil la SCP
CATUGIER, DUSAN ; BOURRASSET a diligenté de nombreux actes irréguliers sur
la forme et sur le fond, en complicité de la SARL LTMDB représenté par son
gérant Monsieur TEULE Laurent.
En
trompant par faux et usage de faux le conservateur des hypothèques.
En
trompant par faux et usage de faux Maître CHARRAS Notaire pour obtenir un
changement de propriété par une cession. (Voir inscription de faux
intellectuels régulièrement déposés au greffe, dénoncée aux parties et à
Monsieur le Procureur de la République).
En
trompant le tribunal d’instance de Toulouse pour obtenir une ordonnance
d’expulsion qui a été mise en exécution alors que Monsieur et Madame LABORIE
sont toujours propriétaire.
En
trompant le tribunal d’instance de Toulouse en faisant valoir que le jugement
d’adjudication avait été régulièrement signifié le 15 et 22 février 2007 alors
qu’ils ont obtenu du greffe la grosse du jugement d’adjudication seulement
le 27 février 2007.
En
trompant le tribunal d’instance en faisant valoir que la publication du
jugement d’adjudication était régulière en date du 20 mars 2007 alors que par
l’action en résolution en date du 9 février 2007, ce lui ci ne pouvait être
publier sur le fondement de l’article 750 de l’acpc.
(Voir
inscription de faux intellectuels régulièrement déposés au greffe, dénoncée aux
parties et à Monsieur le Procureur de la République).
Que
la SARL LTMDB après avoir obtenu par faux et usage de faux un titre de
propriété à ce jour inscrit en faux, a effectué un autre acte de complaisance
dont un faux, un bail de location à Monsieur TEULE pour occuper impunément
notre domicile.
Que
ces derniers, Madame D’ARAUJO épouse BABILE et ses
complices ont ordonné l’expulsion irrégulière en date du 27 mars 2008 avec
l’assistance et la complicité de la SCP d’huissiers GARRIGUES et BALLUTEAUD, en
trompant la préfecture et la gendarmerie de Saint Orens
en faisant valoir des décisions de justice obtenues par faux et usage de faux.
Ci-dessous
voir le déroulement de la procédure.
Que par la complicité :
Ces faits sont réprimés pénalement par les articles : 441-1 ; 441-2 ; 441-4 ;
441-5 ; 441-6 du code pénal ; Faits réprimés par les articles 313-1 à
313-3 et 311-12 du code pénal ; Fait réprimé par l’article 314-1 à 314-4
et 311-12 du code pénal ; Fait réprimé par les articles 432-8 du
code pénal ; Fait réprimé par les
articles 321-1 à 321-5 du code pénal.
La SCP D’huissiers
GARRIGUES & BALLUTEAUD, agissant
pour le compte de Madame D’ARAUJO épouse BABILE
Dans
un temps non prescrit par la loi la propriété de Monsieur et Madame LABORIE a
fait l’objet d’un détournement et d’une violation de leur domicile en complot
des personnes ci-dessus cités et dont les délits ont été relevés.
Cette
SCP d’huissiers a agit par faux intellectuels en recel de tous ses actes
irréguliers, repris dans l’inscription de faux intellectuel déposé au greffe du
T.G.I de Toulouse, dénoncé aux parties et à Monsieur
le Procureur de la République ( voir pièce inscription de faux).
Et pour nous avoir expulsé à la demande de Madame D’ARAUJO
épouse BABILE le 27 mars 2008 de notre
domicile avec au préalable : fourni de faux éléments à la Préfecture de la H.G pour obtenir l’assistance
de la force publique.
Que cette SCP d’huissiers GARRIGUES & BALLUTEAUD a enlevé tous les
meubles et objets de notre domicile, acte considéré de vol aggravé.
Que par la complicité :
Ces faits sont réprimés pénalement par les articles : 441-1 ; 441-2 ; 441-4 ;
441-5 ; 441-6 du code pénal ; Faits réprimés par les articles 313-1 à
313-3 et 311-12 du code pénal ; Fait réprimé par l’article 314-1 à 314-4
et 311-12 du code pénal ; Fait réprimé par les articles 432-8 du
code pénal ; Fait réprimé par les
articles 321-1 à 321-5 du code pénal.
Sur l’atteinte à
l’action de la justice : Fait réprimé par :
l’article 434-4 du
code pénal.
Dans
un temps non prescrit par la loi la propriété de Monsieur et Madame LABORIE a
fait l’objet d’un détournement et d’une violation de leur domicile en complot
des personnes ci-dessus cités et dont les délits ont été relevés.
Monsieur
LABORIE André a engagé de nombreuse procédures civiles pour contester la
procédure qui s’est faite contre les intérêts de Monsieur et Madame LABORIE.
Que
les obstacles sont permanant à l’accès à la justice par les personnes ci-dessus
poursuivies, agissant à ce jour toujours en complot pour faire obstacle aux
procédure et pour ne pas rechercher leurs responsabilité civile et obtenir des
mesures provisoires sur les graves faits soulevés et subis par les requérant à
l’action et contre les auteurs dont plainte.
Les principes généraux du droit communautaire
L'article 13 de la Convention pose le principe, pour les
personnes, du droit à un recours effectif devant une instance nationale
lorsqu'il y a violation des droits et libertés reconnus, même si cette
violation est le fait de "personnes agissant dans l'exercice de leurs
fonctions officielles".
L'article 14 interdit
toute forme de discrimination quant à la jouissance de ces droits et libertés,
discrimination "fondée notamment sur le sexe, la race, la couleur, la
langue, la religion, les opinions politiques ou toutes autres opinions,
l'origine nationale ou sociale, l'appartenance à une minorité nationale, la
fortune, la naissance ou toute autre situation".
SUR l’OBSTCLE A LA SAISINE
DU JUGE DES REFERE, ET DU JUGE DE L’EXECUTION
Alors
qu’il existe un trouble manifestement caractérisé à l’ordre public, Monsieur
LABORIE André agissant pour les intérêts de Monsieur et Madame et pour la
communauté légale, se trouvent à ce jour avec des obstacles dilatoires pour que
les causes ne soient pas entendues devant un tribunal.
Au prétexte que l’assignation
serait nulle au vu de l’article 648 du ncpc.
Or ce n’est pas le cas, cette
argumentation soulevée par les parties adverses et suivie de ses Présidents est dans le seul but que les causes
ne soient pas entendues pour rendre nulle l’assignation et protéger les faits
soulevés à l’encontre des coupables de ses malversations qui ne peuvent être
contestées au vu des écrits et pièces régulièrement déposées causant griefs à
Monsieur et Madame LABORIE
Le cas de figure pourrait
être retenu de déni de justice.
SUR LA RECEVABILITE DES
DIFFERENTES ASSIGNATIONS
Monsieur
et Madame LABORIE sont depuis le 27 mars 2008 sans domicile fixe ou ils ont été
expulsés de leur propriété par la violation de leur domicile, ce
qui ne peut leur être reproché à ce jour à ces derniers, conséquences des
agissements délictueux des auteurs ci-dessus poursuivis et ayant participés à
la procédure de saisie immobilière par faux et usage de faux et en violation
des articles 4 ;14-15-16 du ncpc et de l’article
6-1 de la CEDH dont ils en sont victimes encore à ce jour.
Que
les droits de défense sont d’ordre public.
Que
l’article 648 du ncpc doit permettre d’identifier les
parties à ce fin de pouvoir leur signifier tout actes.
Que l’assignation
identifie bien les parties.
Qu’il est possible de signifier tout
acte sur le fondement de l’article 659 du ncpc.
Rappelant :
Art.
659 (Décr.
no 89-511 du 20 juill. 1989)
Lorsque la personne à qui
l'acte doit être signifié n'a ni domicile, ni résidence, ni lieu de travail connus,
l'huissier de justice dresse un procès-verbal où il relate avec précision les
diligences qu'il a accomplies pour rechercher le destinataire de l'acte.
Le même jour ou, au plus tard le
premier jour ouvrable suivant, à peine de nullité, l'huissier de justice envoie
au destinataire, à la dernière adresse connue, par lettre recommandée avec
demande d'avis de réception, une copie du procès-verbal à laquelle est jointe
une copie de l'acte objet de la signification.
Le jour même, l'huissier de justice
avise le destinataire, par lettre simple, de l'accomplissement de cette
formalité.
Les dispositions du présent
article sont applicables à la signification d'un acte concernant une personne
morale qui n'a plus d'établissement connu au lieu indiqué comme siège social
par le registre du commerce et des sociétés.
— V. art. 693. — Article
modifié applicable à compter du 15 sept. 1989.
Que
toutes demandes contraires de la partie adverse sont encore une fois, que des
moyens dilatoires de rendre irrecevable Monsieur et Madame LABORIE à ce jour
ces derniers victimes à être entendus devant un tribunal
Que
toutes demandes contraires sont dans le seul but à la partie adverse de
continuer et de confirmer le détournement de la propriété de Monsieur et Madame
LABORIE et de fortes sommes d’argent sans un titre exécutoire et alors qu’ils
sont eux-mêmes coupables et auteurs « parties adverses »
de cette situation et des faits qui leurs sont reprochés.
Que toutes contestations contraires et mal fondées des conseils
des parties adverses pourrait faire
l’objet de recel.
Que
Monsieur et Madame LABORIE sont toujours propriétaire de leur résidence bien
qu’ils ont été expulsés par de nombreux actes de complaisances effectués par
les différents auteurs ci-dessus assignés devant Monsieur le Président statuant
en référé.
Très brièvement rappel de la procédure :
Au
cour d’une procédure de saisie immobilière faite par la fraude, en violation de
tous les droits de défense, par faux et usage de faux, un jugement d’adjudication
a été rendu le 21 décembre 2006 au profit de Madame D’ARAUJO
épouse BABILE.
Qu’une
action en résolution pour fraude de la procédure de saisie immobilière dont
jugement d’adjudication a été effectuée par assignation des parties devant la
cour d’appel de Toulouse en date du 9 février 2007.
Que
par l’action en résolution pour fraude, les effets sont les mêmes que dans la
procédure de folle enchère, l’adjudicataire perd son droit de propriété et la
propriété revient aux saisis. « Soit Monsieur et Madame
LABORIE »
Que de par cette action en résolution le jugement d’adjudication ne
peut être publier article 750 du acpc.
Que Madame D’ARAUJO épouse BABILE sur le fondement de
l’article 1599 du code civil ne peut vendre un bien dont elle n’a pas
encore obtenu la pleine propriété, la vente est nulle et peut donner à des
dommages et intérêts lorsque l’acheteur à ignoré que la chose fût à autrui.
Qu’au vu de l’article 2212 du code civil, la vente est nulle
de plein droit, Madame D’ARAUJO épouse BABILE n’a pas payé dans le délai de
deux mois le prix de l’adjudication.
Qu’au vu de l’article 2211, Madame D’ARAUJO épouse BABILE ne
peut vendre le bien.
Madame D’ARAUJO épouse BABILE ne peut prétendre à un cahier
des charges qui n’a jamais été porté à la connaissance des parties saisie et
qui n’a pu faire l’objet d’un débat contradictoire, privés de tous les moyen de
défense, Monsieur LABORIE incarcéré et qu’aucun avocat n’est intervenu pour
déposer un dire pour soulever des contestation sur le fond et la forme de la
procédure de saisie immobilière ( raison de l’action résolution).
Qu’au surplus, Madame D’ARAUJO épouse BABILE ne pouvait
saisir le tribunal d’instance pour obtenir une ordonnance d’expulsion par faux
et usage de faux, elle fait valoir que la publication en date du 20 mars 2007
est régulière alors que sur le fondement de l’article 750 de l’acpc « d’ordre public » que la
publication ne pouvait se faire.
Qu’au surplus, Madame D’ARAUJO épouse BABILE ne pouvait
saisir le tribunal d’instance pour obtenir une ordonnance d’expulsion par faux
et usage de faux, elle fait valoir quelle aurait régulièrement signifié la
grosse du jugement d’adjudication le 15 février et le 22 février 2007 alors
quelle s’est pertinamant qu’elle a reçu l’assignation en action en résolution
le 9 février 2007 et quelle a obtenu par l’intermédiaire de son conseil la
grosse du jugement d’adjudication seulement le 27 février 2007.
Que la fraude de Madame D’ARAUJO épouse BABILE est bien
carractérisée et incontestable des parties adverses soit dans le seul but et
pour recel de ses agissements.
Ces actes dilictueux doivent être sanctionnés et c’est la
raison de la saisine de Monsieur le Président statuant en matière de référé ,
juge de l’évidence d’ordonner des mesures provisoire pour en parraliser ses
effefs.
Qu’il ne peut être donc reproché à Monsieur et Madame LABORIE
délogés de leur domicile impunément à la loi en date du 27 mars 2008 et à la
demnade de Madame D’ARAUJO épouse BABILE, violation de leur domicile, d’avoir
été contraint pour préserver leurs corrspondance d’avoir effectué le transfert
du courrier à la poste restante de saint orens et dans l’attente que des
mesures provisoires soient prise par le tribunal saisi en matière de référé et
en attente que la justice ordonne leur réintégration.
Qu’à ce jour Monsieur et Madame LABORIE ont bien respecté les
dilligences de l’application de l’article 648 du ncpc, dans la mesure qu’aucun
grief ne peut être causé à tous et toutes qui souhaiteraient envoyer un
courrier simple, ou en recommandé, ou une quelconque signification d’acte par
huissier de justice, la loi prévoyant dans un tel cas l’application de
l’article 659 du ncpc et comme ci-dessus repris.
Les parties adverses ne
peuvent se prévaloir d’une situation juridique dont ils sont les seuls
responsables de l’avoir délictueusement commise.
Qu’il
est rappelé que le non respect d’une règle d’ordre public empêche la naissance
d’un droit et par suite ne permet pas l’acquisition de ce droit par
l’écoulement du temps, « forclusion »
Les parties à l’instance sont irrecevables en leurs demandes en la
nullité des assignations régulières.
Que
par ces différents obstacles à l’accès à un tribunal sur le fondement juridique
de l’article 648 du ncpc est inopérant et dilatoire «
faux », contraire en son application de l’article 6 et 6-1 de la
CEDH
Que par la complicité contre X : Ces faits sont réprimés pénalement par les
articles : 441-1 ;
441-2 ; 441-4 ; 441-5 ; 441-6 du code pénal ; Faits
réprimés par les articles 313-1 à 313-3 et 311-12 du code pénal ; Fait
réprimé par l’article 314-1 à 314-4 et 311-12 du code pénal ; Fait
réprimé par les articles 432-8 du code pénal ; Fait réprimé par les articles 321-1 à 321-5 du code pénal et
en son article 434-4 du code pénal.
DEROULEMENT
DE LA PROCEDURE DE SAISIE IMMOBILIERE FAITE
PAR LA FRAUDE
DONT
JUGEMENT D’ADJUDICATION DU 21 DECEMBRE 2006.
Les explications ci-dessous reprennent les conclusions
régulièrement déposées devant la cour d’appel dans une procédure de révision et
pour l’audience du 5 mai 2009 ou Monsieur le Procureur Général a été informé.
INTRODUCTION
Sera analysé devant la cour
d’appel comment la fraude a été poursuivie par Maître FRANCES agissant pour le
compte de la Commerzbank à l’encontre de Monsieur et Madame LABORIE dans une
procédure de saisie immobilière faite pendant son incarcération du 6 février
2006 au 14 septembre 2007, privé de tout moyen de défense à déposer un dire par
avocat pour soulever les contestations dans la procédure.
I / Rappelant aux susnommés
II / Raisons du recours en
révision
III / Sur la recevabilité du
recours en révision
IV / Sur la violation des
droits de défense, refus de Monsieur le Bâtonnier, des autorités à obtenir un
avocat pour déposer un dire.
V / Sur la nullité du
commandement du 20 octobre 2003, péremption d’instance, fin de non recevoir.
VI / Sur la fin de non
recevoir, péremption d’instance de la Commerzbank en sa procédure de
subrogation, Monsieur et Madame LABORIE sont créditeur de cette dernière.
VII / Sur la procédure postérieure
du jugement d’adjudication, obtention d’une ordonnance d’expulsion, retour de
la propriété à Monsieur et Madame LABORIE.
VIII / Sur la procédure
postérieure à l’ordonnance d’expulsion irrégulière dont appel
IX/ Sur l’expulsion
irrégulière en date du 27 mars 2008 et l’absence de voies de recours devant le
juge de l’exécution.
X / Sur les préjudices subis.
XI
Sur l’indemnisation des préjudices subis et les mesures conservatoires à
prendre pour garantir l’indemnisation de Monsieur et Madame LABORIE.
XII / Sur les demandes à la
cour d’appel. « par ces motifs »
I / RAPPELANT AUX SUSNOMMES :
Le recours en révision tend à
faire rétracter l’arrêt passé en force de chose jugée pour qu’il soit a nouveau
statué en fait et en droit au vu de l’article 593 du NCPC et des pièces
annexées obtenues postérieurement à la procédure faites par le conseil de la
Commerzbank.
La cour d’appel est compétente
pour annuler un jugement d’adjudication pour violation des droits de la défense
article 16 du ncpc et de l’article 6-1 de la CEDH « d’ordre
public ».
Monsieur LABORIE agissant pour
les intérêts de la communauté a été privé d’avocat pour déposer un dire en
contestation de la procédure de saisie immobilière diligentée par Maître
FRANCES agissant pour le compte de sa cliente la Commerzbank
II / Raisons
du recours en révision
Monsieur et Madame LABORIE forment un recours en
révision au vu de l’article 595 du code
de procédure civile, sachant que l’arrêt du 21 mai 2007 N° :
RG 07/00984, a été rendu par de faux éléments produits par
la partie adverse la « Commerzbank »,
Les requérants
n’ayant pas pu faire valoir les causes de ces faux éléments juridiques devant
la Cours d’appel, Monsieur LABORIE André détenu à la Maison d’arrêt de Seysses du 14 février 2006 au 20 mars 2007 et ensuite
transféré à la maison d’arrêt de Montauban 82000 jusqu’au 14 septembre 2007.
Monsieur
LABORIE André était le seul à pouvoir apporter des éléments à la cour, privé de
pièces de procédure et du dossier de saisie immobilière se trouvant à son
domicile au N° de rue de la Forge 31650 Saint Orens,
privé de tout droit de défense.
Madame
LABORIE Suzette ne pouvant apporter aucun élément ne connaissant pas de la
procédure de saisie immobilière et des différentes démarches en cours devant la
chambre des criées.
C’est dans
ce contexte qu’une procédure de saisie immobilière s’est déroulée en violation
d’un quelconque principe de contradiction, sans pouvoir agir devant la chambre
des criées en son audience du 21 décembre 2006 pour déposer un dire, absence du
cahier des charges et sans avoir pu obtenir un avocat dans la procédure par le
refus de l’ordre des avocats de me représenter et pour les intérêts de Monsieur
et Madame LABORIE.
·
Que l’avocat en cette matière est obligatoire. « d’ordre public »
Rappel préliminaire :
Saisine de
la Cour d’appel de Toulouse par assignation des parties en date du 9 février
2007 et pour soulever la fraude dans l’obtention du jugement d’adjudication
rendu le 21 décembre 2006. « action
en résolution de la vente »
·
Fraude
en amont du jugement d’adjudication et fraude à la procédure de saisie
immobilière faite par le conseil de la Commerzbank.
Décision de la cour d’appel de
Toulouse en son arrêt du 21 mai 2007 aux motifs suivants :
Rejette la
demande d’annulation du jugement d’adjudication aux motifs que le jugement
d’adjudication a une nature spécifique en tant qu’il ne constitue pas une
décision judiciaire tranchant un litige mais se borne à la constatation
judiciaire d’une vente sur les conditions du cahier des charges et sur le prix
déterminé par la voies de enchères et au vu que Monsieur et Madame LABORIE
n’ont relevé aucun dire devant la chambre de criées avant l’adjudication.
Madame
LABORIE Suzette ayant donné pouvoir à Monsieur LABORIE André seul en connaître
de la procédure, ce dernier dans l’incapacité de se défendre étant incarcéré et
pieds et mains liés, refus de l’ordre des avocats à intervenir après saisine de
Monsieur le Bâtonnier de l’ordre des avocats en date du et ci-joint demandes.
Dans ces
conditions la cour d’appel se devait d’intervenir pour faire cesser « ce trouble à l’ordre public » l’usage
de faux intellectuels
dont la cour avait été déjà saisi antérieurement sur une difficultés liée à un
commandement du 20 octobre 2003 irrégulièrement délivré et irrégulièrement
publié « contentieux jamais
tranché » et contraire
au contenu de la décision du 21 mai 2007 sans en vouloir en vérifier
l’exactitude et seulement sur les dires de la partie adverse sans entendre
Monsieur et Madame LABORIE.
La requérante
à la saisie immobilière « la
Commerzbank » par
collusion et par fraude pour avoir obtenu un jugement de subrogation alors que
cette dernière ne peut détenir aucune créance à l’encontre de Monsieur et
Madame LABORIE.
Il sera
analysé et démontré que toute la procédure de saisie immobilière, reprise par
la Commerzbank par un jugement de subrogation obtenu le 29 juin 2006 est
entachée de nullité sur le fondement de l’article 715 ANCPC.
Que la
procédure de saisie immobilière dont a fait l’objet Monsieur et Madame LABORIE
concerne l’ancienne procédure et fondée à la continuation des poursuite par la
Commerzbank sur le fondement d’un commandement du 20 octobre 2003.
Que ce
commandement du 20 octobre 2003 est entaché de nullité sur le fondement de
l’article 715 de l’ACPC et pour les raisons qui
seront démontrées ci-dessous.
Qu’en
conséquence au vu de l’article 2215 du code civil, l’adjudication pouvant que
se faire qu’après un jugement définitif en dernier ressort ou passé en force de
chose jugée.
La cour
d’appel est compétente concernant la fraude de la procédure en saisie
immobilière pour obstacle aux droits de la défense « d’ordre public » et pour annuler la procédure
jusqu’à la vente par jugement d’adjudication du 21 décembre 2006, Monsieur et
Madame LABORIE sont créditeurs de la Commerzbank.
III / Sur la recevabilité du recours en révision :
LA FRAUDE article 595 du
NCPC
Art. 595 Le recours en révision n'est ouvert que
pour l'une des causes suivantes:
1. S'il se révèle, après le
jugement, que la décision a été surprise par la fraude de la partie au profit
de laquelle elle a été rendue;
2. Si, depuis le jugement, il a
été recouvré des pièces décisives qui avaient été retenues par le fait d'une
autre partie;
3. S'il a été jugé sur des pièces
reconnues ou judiciairement déclarées fausses depuis le jugement;
4. S'il a été jugé sur des
attestations, témoignages ou serments judiciairement déclarés faux depuis le
jugement.
Dans tous ces cas, le recours
n'est recevable que si son auteur n'a pu, sans faute de sa part, faire valoir
la cause qu'il invoque avant que la décision ne soit passée en force de chose
jugée.
Jurisprudences.
_ 1. L'énumération faite par le texte
des causes est exhaustive. Paris ,
13 janv. 1978: D. 1978. IR. 412, obs.
Julien.
_ 2. Le demandeur, sans faute de sa
part, doit avoir été dans l'impossibilité de faire valoir la cause, avant que
la décision ait acquis force de chose jugée. Civ. 2e, 21 mars 1979: D. 1979. IR.
482, obs. Julien; RTD civ. 1979. 674, obs. Perrot 17 mars 1983: Gaz. Pal. 1983. 2.
Pan. 227, obs. Guinchard Paris , 14 sept. 2000: D. 2000. IR. 269. Comp.:
Civ. 2e, 9 juill. 1986:
Gaz. Pal. 1986. 2. Pan. 255 Versailles , 20 déc. 1988: D. 1989. Somm. 183, obs. Julien. ... Et c'est au demandeur qu'il
appartient de faire la preuve de cette impossibilité. Civ. 2e, 10 mars 1988: Bull. civ. II, no
63.
_ A. FRAUDE.
_ 3. La cause prévue par l'art. 595 est
la fraude et non le dol personnel. Civ. 2e, 21 juill.
1980: Bull. civ.
II, no 190; Gaz. Pal. 1981. 1. 154, note Viatte; RTD civ. 1981. 456, obs. Perrot.
_ 4. Tromper le juge constitue une
fraude. Il en est ainsi des mensonges. Douai , 23 juin 1976: Gaz. Pal. 1977. 1. 90. ... De la réticence. Soc. 29 avr. 1969: Bull.
civ. V, no 282 (requête
civile) Paris , 11 juin 1982: Gaz.
Pal. 1982. 2. 562. ... Des
manoeuvres. Civ. 2e, 16
juill. 1976: Bull. civ. II, no 245. ... De l'omission de toute mention
relative à un enfant naturel dans une procédure de changement de régime
matrimonial. Paris , 31 oct.
1996: D. 1997. 251, note Paire, et sur pourvoi, Civ. 1re, 5
janv. 1999: préc. note 1 ss.
art. 594. Mais le silence
observé par le mari sur sa vie sentimentale ne constitue pas une fraude
susceptible d'entraîner la révision du jugement de divorce prononcé aux torts
de son épouse. Civ. 2e,
24 janv. 1996: Procédures
1996. comm. 73, obs. Perrot.
_ 4 bis. Seul peut constituer un acte
frauduleux le silence gardé par une partie sur des faits contestés par l'autre
partie ou dont il lui est demandé de rendre compte (à l'exclusion du silence
d'une partie sur des faits qui ne lui sont pas reprochés et sur lesquels aucune
explication ne lui est demandée). Toulouse , 1er
juill. 2003: Cah. jurispr.
Aquitaine 2003, no 3, p. 628.
_ 5. L'utilisation de fausses pièces,
bien que cause distincte, peut aussi être un élément de la fraude. Civ. 2e, 22 oct. 1981: Gaz. Pal. 1982. 1. Pan. 107.
Ainsi, s'agissant d'un
jugement d'adoption intervenu alors qu'au jour de la présentation de la requête
le demandeur était décédé, si l'absence de dénonciation au Parquet par l'adopté
du décès de l'adoptant et de l'acte le constatant ne suffit pas à caractériser
la fraude de l'adopté, la révélation de cet acte correspond en tout cas au
recouvrement d'une pièce décisive qui avait été retenue par le fait de l'adopté
et constitue un cas d'ouverture du recours en révision, prévu à l'art. 595.
Versailles , 22 nov. 2001: BICC
2002, no 778.
_ 6. La fraude suppose l'intention de
tromper. Dijon , 6 avr. 1976: JCP 1977. II.
18648, note J. A.; RTD civ. 1977. 590, obs. Normand.
_ 7. La fraude doit avoir été décisive.
Civ. 2e, 17 mars 1983: Gaz.
Pal. 1983. 2. Pan. 227.
_ 8. Les juges du fond apprécient
souverainement la fraude. Civ. 2e, 21 juill.
1980: Bull. civ.
II, no 190; Gaz. Pal. 1981. 1. 154, note Viatte Civ. 2e,
12 févr. 2004: Bull. civ. II,
no 64; D. 2004. IR. 736; Rev. arb. 2004. 359, note Rivier; JCP 2004. I. 179, no 5,
obs. Béguin; Gaz. Pal. 13-15 mars 2005, p. 23, obs. du Rusquec.
Pour un exemple de fraude d'un époux
demandeur en divorce, ayant caché, tout à la fois, à son épouse l'existence de
la procédure diligentée à son encontre et au tribunal l'adresse à laquelle
celle-ci pouvait être jointe pour les besoins de l'instance, V. TGI
Paris , 23 mars 2004: AJ fam. 2004.
456, obs. David.
_ B. RÉTENTION DE PIÈCES.
_ 9. La pièce doit avoir été
volontairement retenue par la partie gagnante. Civ. 2e, 28 avr. 1980: Bull.
civ. II, no 93 3 juill.
1985: Bull. civ.
II, no 135; D. 1986. IR.
228, obs. Julien; Gaz. Pal. 1986. 1. Somm. 91, obs. Guinchard et Moussa. ... Ou par un tiers à
condition que la partie gagnante ait été complice. Civ. 2e, 3 févr. 1982: Gaz. Pal. 1982. 2. 620, note
Viatte. Sur le caractère volontaire de la
rétention, V. Paris , 11 juin
1982: Gaz. Pal. 1982. 2. 562. Un testament recouvré postérieurement à
la décision dont la révision est poursuivie ne peut être considéré comme ayant
fait l'objet d'une rétention au sens de l'art. 595, dès lors qu'il n'est pas
allégué que cette pièce ait été volontairement retenue. Civ. 1re, 12
juill. 1994: Bull. civ. I, no
254.
_ 10. La pièce doit être décisive, en ce
sens qu'il doit y avoir une forte probabilité que sa connaissance par le juge
aurait amené celui-ci à prendre une décision différente. Amiens , 2 juill. 1979: D. 1979. IR. 540; JCP 1980. IV. 232 Civ. 2e, 2 oct. 1985: JCP 1985. IV.
354.
_ C. FAUSSES PIÈCES.
_ 11. La fausse pièce doit avoir été
décisive. Soc. 10 déc. 1980: Gaz.
Pal. 1981. 1. Pan. 134.
_ 12. La reconnaissance de la fausseté
s'entend par l'aveu de la partie qui en a fait usage. Civ. 3e, 13 déc. 1989: D. 1990. IR.
19.
_ 13. L'anéantissement à l'étranger d'un
jugement ne peut être assimilé à une déclaration judiciaire de faux. Civ. 1re, 12 nov. 1986: JCP
1987. IV. 29; Rev. crit. DIP 1987. 750, note Kessedjian.
_ 14. Le faux doit avoir été établi
préalablement au recours en révision et ne peut faire l'objet d'un incident de
faux devant le juge de la révision. Civ. 1re, 28 mai 1980: Bull.
civ. I, no 161 Civ. 2e, 17 févr. 1983: Bull.
civ. II, no 41.
IV / Sur la violation des droits de défense, refus
des autorités à obtenir un avocat pour déposer un dire.
Pièces produites justifiant les
l’obstacles aux droits de défense de toute la procédure de saisie immobilière
devant la chambre des criées et devant le tribunal d’instance de Toulouse
concernant la demande d’expulsion de la partie
adverse.
I / Le 27 août 2006 saisine de Monsieur le Président à la
chambre des criée pour reporter l’audience à fin que soit nommé un avocat pour
déposer un dire.
II / Le 27 août 2006 saisine de la SCP FRANCES et autres pour
faire cesser la procédure de saisie immobilière pour absence de droit de
défense.
III / Le 27 août 2006 plainte à Monsieur la Doyen des juges
d’instruction pour saisie iirégulière et obstacle aux droits de la défense.
IV / Le 4 septembre 2006 saisine de Monsieur Gilbert COUSTEAU
Président du T.G.I de Toulouse pour soulever les difficulté de l’obtention d’un
avocat et demande d’aide juridictionnelle, resté sans réponse.
V / Demande le 13 septembre 2006 de l’assistance pour déposer un
dire à Maître SERRE DE ROCH avocat à Toulouse.
VI / Refus de Maître SERRE de ROCH par courrier du 22 septembre
2006 à déposer un dire.
VII / Le 24 septembre 2006 saisine de Monsieur PASCAL Clément
Ministre de la justice pour difficulté dans la procédure de saisie immobilière
et obsatcles aux droits de la défense.
VIII / Le 24 septembre 2006 saisine de Monsieur DAVOST Procureur
Général pour difficulté dans la procédure de saisie immobilière et pour
obsatcles aux droits de la défense.
IX / Premier octobre 2006 saisine de Monsieur le Bâtonnier à
l’ordre des avocats de Toulouse pour la nomination d’un avocat pour déposer un
dire.
X / Information de Monsieur le Président de la Chambre des
criées des difficultés d’obtenir un avocat pour déposer un dire et le 11
octobre 2006.
XI / Refus de Monsieur le Bâtonnier de nommer un avocat pour
déposer un dire en son courrier du 25 octobre 2006.
XII / Saisine de Monsieur PAUL Michel en date du 17 mars 2007 pour
faire cesser la procédure devant le tribunal d’instance de Toulouse par manque
de moyen à la défense de nos intérêts.
XIII / Le 28 avril 2007 saisine de Monsieur le Bâtonnier pour être
assisté d’un avocat dans la, procédure d’expulsion et pour l’audience du 21 mai
2007 devant le tribunal d’instance.
XIV / Le 28 avril 2007 saisine de Madame Aude CARASSOU pour l’informer que je souhaitai être présent
et assisté d’un avocat et que dans la configuration ou je me trouvais, sans
défense et moyens qu’elle saisisse ce que de droit pour que le procés soit
équitable.
XV / Fax de la Maison d’arrêt de MONTAUBAN en date du 11 mai 2007
demandant la présence devant le tribunal en son audience du 21 mai 2007.
XVI / Refus de l’ordre des avocats de Toulouse par courrier du 21
mai 2007 à prendre la défense de mes intérrêts devant le tribunal d’instance de
Toulouse.
XII / Saisine le 24 mai 2007 de Maître LAÎC Avocate à Toulouse
pour prendre ma défense.
XVIII / Refus de Maître LAÎC
Avocate à intervenir pour la défense de nos intérêts par courrier du 31 mai.
V / Sur la nullité du commandement du 20 octobre
2003, péremption d’instance, fin de non recevoir.
V/1/
RAPPEL DES FAITS ET DE LA PROCEDURE.
Les sociétés PAIEMENTS PASS,
CETELEM, ATHENA BANQUE, ont poursuivi la saisie immobilière d'un immeuble
appartenant à Monsieur André LABORIE et Madame Suzette PAGES son épouse, situé
à Saint-Orens de Gameville
(31.650), 2 rue de la Forge, suivant commandement à cette fin délivré à
Monsieur André LABORIE, le 22 octobre 1999 et publié à la Conservation des
Hypothèques de Toulouse, volume 99 S n°27, le 21 décembre 1999.
Qu’il a été délivré le 24 septembre 2002, un commandement
aux fins de saisie immobilière à Suzette PAGES et en l’absence de Monsieur
LABORIE André, en violation de toutes les règles de droit.
Suivant dire déposé le 4
novembre 2002, les créanciers sollicitent la prorogation du commandement du 22
octobre 1999 en raison des procédures en cours quant au fond de la créance.
Les époux LABORIE ont soutenu
devant la chambre des criées la nullité de la procédure de saisie immobilière ;
ils ont contesté également l'existence des créances notamment en raison des
procédures de contestation en cours ainsi que des plaintes pénales déposées
contre les créanciers.
Par jugement avant dire droit du 28 novembre 2002, le
Tribunal a invité les parties à s'expliquer contradictoirement sur
l'application des articles 674-688-715 du Code de procédure civile ancien.
Le Tribunal avait constaté en
effet, d'une part que le cahier des charges n'avait pas été déposé dans les 40
jours de la publication du commandement délivré à Monsieur André LABORTE le 22
octobre 1999 effectuée le 21 décembre 1999 et ce en infraction à l'article 688
du Code de procédure civile ancien.
En outre, le Tribunal a
constaté qu'il n'était pas justifié de la publication du commandement délivré
le 24 septembre 2002 à Madame Suzette PAGES.
Après réouverture des débats,
il a été constaté la déchéance de la poursuite sur saisie immobilière engagée à
rencontre de Monsieur André LABORIE et que celle engagée contre Madame Suzette
PAGES ne vaut pas saisie.
Le 19 décembre 2002, le
Tribunal, statuant publiquement, en matière d'incident de saisie immobilière et
en dernier ressort, a constaté la déchéance de la poursuite sur saisie
immobilière engagée par les Sociétés PAIEMENT PASS, CETELEM, ATHENA BANQUE à
l'encontre de Monsieur André LABORIE suivant commandement du 22 octobre 1999
publié le 21 décembre 1999 à la conservation des hypothèques de Toulouse volume
1999 S numéro 27.
Le Tribunal a également
ordonné la radiation de la procédure de saisie immobilière, ordonné la mainlevée
du commandement de saisie publié à la conservation des hypothèques de Toulouse
le 21 décembre 1999 et dit qu'à défaut de publication du commandement délivré à Madame LABORIE le 24 septembre 2002, la
Chambre des Criées n'est pas valablement saisie.
Par requête déposée au greffe
le 11 mars 2003, les sociétés CETELEM, ATHENA BANQUE, PAIEMENT PAS S ont
demandé par l'intermédiaire de leur conseil, la réouverture des débats aux
motifs que le second original du 24 septembre 2002 avec mention de la publicité
a été retourné à l'avocat poursuivant le 23 janvier 2003 comme en fait foi le
cachet postal et que pour la reprise de la saisie, et pour éviter un refus de
publier qui sera nécessairement opposé pendant les trois ans de la publication
du commandement susvisé, il y a lieu au Juge de la Chambre des Criées de
constater la déchéance de la procédure engagée à l'encontre et d'ordonner la
radiation de cette publication faite à TOULOUSE (3eme bureau) en
date du 2 octobre 2002, volume 202 S n°14, faute de quoi aucune autre
poursuite ne pourra être utilement reprise pendant une nouvelle période de 3
ans.
Que cette requête du 11
mars 2003 est nulle et non avenue a été rédigée pour le compte de ces trois
sociétés dont une la société Athéna banque qui n’avait plus d’existence
juridique depuis décembre 2000, radiée
au registre du commerce et des sociétés.
Qu’au vu de l’arrêt rendu par la cour d’appel de Toulouse en date du 16
mai 2006, celle-ci confirme l’inexistence juridique de la société Athéna banque
depuis décembre 2000 impliquant la nullité de tous les actes de procédure.
(pièce jointe) dont le pouvoir en saisie immobilière du 9 septembre 2002.
Que
le jugement obtenu sur cette requête du 11 mars 2003 est non avenue.
Que
ces trois sociétés CETELEM, PASS, ATHENA banque succombent en leur action pour déchéance et sont privés de
délivrer un nouveau commandement pour une durée de trois ans soit jusqu’au 19
décembre 2005.
Or, en dépit de cette
déchéance, le 5 septembre 2003, un nouveau commandement aux fins de saisie
immobilière a été délivré à la requête des sociétés CETELEM, ATHENA BANQUE et
la SA PAIEMENTS PASS ayant élu domicile dans le cabinet de Maître MUS QUI.
Monsieur André LABORIE et Madame Suzette PAGES ont assigné devant le
Juge de l'Exécution pour soulever la fin de non recevoir et la nullité du
commandement aux fins de saisie immobilière en se basant sur la non existence
de la société Athéna Banque et sur le fond des demandes.
Monsieur et Madame LABORIE se sont vu rejeté leurs demandes en
contestation, ils ont formé appel de la décision.
Que la cour d’appel a fait droit à la nullité du commandement du 5
septembre 2003 par l’arrêt du 16 mai 2006
pour la non existence de la société Athéna Banque et de tous les actes y
attenant à la procédure.
Que par l’arrêt de la cour d’appel de Toulouse en date du 16 mai 2006,
le jugement du 19 décembre 2002 rendu par la chambre des criées à force
exécutoire ordonnant la déchéance de la procédure de saisie immobilière en
conséquence la déchéance de délivrer un nouveau commandement pour une durée de
trois ans.
Si les poursuites devaient être reprises, celles-ci ne pouvaient être
reprise pas avant le 19 décembre 2005.
Qu’en conséquence le commandement du 20 octobre 2003 ne peut être avenu
de la part des sociétés CETELEM, PASS, AGF, d’autant plus que la société AGF au
RCS indiqué sur le commandement, cette société n’a plus d’existence juridique
depuis le 13 février 2003 radiée au registre du commerce et des sociétés de
PARIS.
Que le commandement du 20 octobre 2003 est nul, et ne peut être publié
à la conservation des hypothèques.
Qu’en conséquence la chambre
des criées a été irrégulièrement saisie et que tous les actes postérieurs au
jugement du 19 décembre 2002 sont nuls de plein droit jusqu’au 19 décembre
2005.
Que Monsieur et Madame LABORIE
ont contesté le commandement du 20 octobre 2003 par assignation des parties
devant le juge de l’exécution, ou ils se sont vu rejeté leurs demandes fondées.
Que Monsieur et Madame LABORIE
par leur conseil Maître SERRE DE ROCH Avocat ont déposé un dire en contestation
de la forme de la procédure et sur le fond des demandes irrégulières fondées
sur des créances dont les jugement prétendus n’ont jamais été signifiés sur le
fondement de l’article 503 du ncpc et dans le délai
de l’article 478 du ncpc.
Ce dire régulièrement déposé a
été rejeté et différentes décisions incidentes ont étaient rendues, elles ont
toutes fait l’objet d’un appel.
Qu’au vu de ces contestations
par recours formés de Monsieur et Madame LABORIE devant la cour d’appel, la
chambre des criées représenté par son président en son audience du 27 mai 2004,
a suspendu les poursuites en saisie immobilière. ( ci-joint jugement du
27 mai 2004)
Que depuis le 19 décembre
2002, et au vu de la requête du 11 mars 2003 entaché de nullité, par la fin de
non recevoir de la société Athéna banque dans son acte unique au trois sociétés,
de la nullité du commandement du 5 septembre 2003 et de ces actes attenants, impliquant
en conséquence la nullité du commandement du 20 octobre 2003 et de ses actes
irréguliers attenants, le conseil de ces trois sociétés n’ont fait aucun acte
postérieur au 19 décembre 2005 pour faire délivrer un nouveau commandement aux
fins de saisie immobilière et dans un délai de deux ans sur le fondement de
l’article 386 du ncpc, il y a péremption
d’instance.
Qu’au vu de tous ces éléments,
le commandement du 20 octobre 2003 ne peut exister juridiquement, de ce fait il
ne peut être publié, il ne peut être procédé aux formalités requises ces
irrégularités sont sanctionnées par l’article 715 de l’acpc.
Que la fraude est
caractérisée dans la procédure de saisie immobilière diligentée par Maître
MUSQUI pour le compte de ses trois clientes.
·
Qu’il y a en plus péremption d’instance sur le
fondement de l’article 386 du ncpc.
Que Maître FRANCES Agissant
pour le compte de la Commerzbank ne peut se prévaloir du commandement
irrégulier du 20 octobre 2003 pour en demander la subrogation aux poursuites aux
fins de saisie immobilière et pour se soustraire à toutes les obligations de la
procédure, à un nouveau cahier des charges et autres qu’il l’oblige.
Que celle-ci agissant pour le
compte de la Commerzbank, se devait de faire délivrer un commandement aux fins
de saisie immobilière et justifier d’une créance liquide certaine et exigible,
ce qu’elle n’a pas fait !! et de respecter le dépôt d’un cahier des
charges, de la sommation d’en prendre connaissance et autres.
Que toutes ces formalités sont
absentes.
VI / Sur la fin de non recevoir, péremption
d’instance de la Commerzbank en sa procédure de subrogation.
INCOMPETANCE DE LA JURIDICTION TOULOUSAINE par l’arrêt
de la cour de cassation rendu le 4 octobre 2000
EN SA SAISINE DE LA CHAMBRE DES CRIEES.
CASSATION- effet- Dessaisissement de la juridiction
ayant statué.
LEGIFRANCE 22 novembre 2005 N° ( ci-joint)
Le juge dont la décision est cassée est, par l’effet
de l’arrêt de cassation, dessaisi de plein droit de l’affaire. Cette règle est
d’ordre public et son inobservation doit être relevé d’office par le juge.
La Commerzbank n’est pas
créancière de Monsieur et Madame LABORIE, ces derniers ne sont pas
débiteurs : ( ci-joint état comptable ):
SUR LA PRETENDUE CREANCE DE LA COMMERZBANK
La
Commerzbank ne peut être créancière de Monsieur et Madame LABORIE au vu des
écrits ci-dessous et pièces jointes.
FIN DE NON RECEVOIR DE LA COMMERZBANK
Péremption d’instance aux fins de saisie immobilière
article 386 du ncpc.
Phase N° I
Monsieur
et Madame LABORIE ont été poursuivi devant la chambre des criées en 1996 par la
Commerzbank.
La
Commerzbank ne pouvait être créancière de Monsieur et Madame LABORIE voir
bordereau d’état hypothécaire à la conservation des hypothèques, le capital
devant être remboursé en 2012 par une assurance LOYD.
Que la Commerzbank n’est pas créancière de Monsieur et Madame LABORIE,
ci-joint de l’état comptable sur les relevés de compte fournis après l’arrêt de
la cour d’appel de Toulouse le 16 mars 1998.
Monsieur
et Madame LABORIE n’étaient même pas au courrant qu’il existait un acte notarié
d’affectation hypothécaire non signé.
Monsieur
LABORIE André en a pris seulement connaissance de cet acte notarié dans une
procédure d’appel en annulation du jugement d’adjudication du 21 décembre 2006,
pendant qu’il était incarcéré, acte notarié non signée des parties étant en
conséquence entaché de nullité. « faux en écriture publique déposé
au greffe du T.G.I de Toulouse et dénoncé aux
parties »
Rappel de la précédente procédure faite par la
Commerzbank :
La
Commerzbank a fait poursuivre en saisie immobilière en 1996 Monsieur et Madame
LABORIE devant la chambre des criées
Qu’en
1996 Monsieur et Madame LABORIE était représenté par un avocat qui n’y
connaissait rien en matière de saisie immobilière, et encore moins Monsieur et
Madame LABORIE.
Que
deux jugements ont été rendus condamnant Monsieur et Madame LABORIE alors que
l’affectation hypothécaire était nulle et que le capital devait être remboursé
par une assurance la LOYD en 2012 et non pas par Monsieur et
Madame LABORIE.
Que
ces deux jugements n’ont jamais été signifiés pour les mettre en exécution sur
le fondement de l’article 503 du ncpc et dans le
délai de l’article 478 du ncpc, ces jugements sont
non avenus.
Phase N° II
Par
déclaration du 15 mai 1997 Monsieur et Madame LABORIE ont relevé appel de ces deux
jugements.
En
conséquence ces deux jugements ne sont pas exécutoires, ils n’ont jamais été
signifiés.
Jugement
du 5 septembre 1996.
Jugement
du 13 mars 1997.
Pour
contestations non tranchées, « un nouvel avocat est intervenu dans
la procédure d’appel ».
La
cour d’appel le 16 mars 1998 a annulé le prêt à l’encontre de la Banque
Commerzbank, arrêt de la cour d’appel exécutoire et ayant autorité de la
chose jugée. Pour violation des règles d’ordre public conformément à la loi
applicable au moment du contrat.
Phase III La Commerzbank a formé un pourvoi en cassation.
Qu’un
arrêt de la cour de cassation a été rendu le 4 octobre 2000 contradictoirement
au demandeur du pouvoir « la Commerzbank » et par
défaut à l’encontre de Monsieur et Madame LABORIE, cassant l’arrêt du 16
mars 1998 et renvoyant la procédure sur la juridiction de Bordeaux.
·
PS : Que cet arrêt fait l’observation suivante, aucune
procédure contradictoire, absence d’avocat et refus de l’aide juridictionnelle.
Que
cet arrêt fait l’objet à ce jour de « faux en écriture publique déposé
au greffe du T.G.I de Toulouse et dénoncé aux
parties »
La décision est contraire à l’application de la loi au moment du
contrat, la nouvelle loi appliquée à partir de 1996 en sa décision n’est pas rétroactive au contrat effectué en
1992.
Bien
que l’arrêt de la cour de cassation est inscrit en faux intellectuels,
enregistré au T.G.I de Toulouse et dénoncé aux
parties à l’instance, Monsieur le Procureur général et Monsieur le Premier
Président prés la cour de cassation.( ci-joint pièce au dossier)
Observations sur la Juridiction de renvoi. Point de
départ du délai de saisine
Le délai de quatre mois fixé par l'article 1034 du
Code de procédure civile est d'ordre public. Il commence à courir
dès la notification par le greffe de la décision de cassation entre parties
sans pouvoir être prolongé par l'effet d'une seconde notification, à
l'initiative de l'appelante, même si cette notification est intervenue dans le
délai ouvert par la précédente (Cass. 2e civ., 3 avr.
2003 : Juris-Data n° 2003-018470 ; Bull. civ. 2003,
II, n° 91).
Que
l’arrêt était contradictoire pour le
demandeur : soit la Commerzbank
et que le délai pour agir devant la cour d’appel de renvoi sur le fondement de
l’article 1034 était de 4 mois sous peine de forclusion.
Que
l’arrêt a été rendu par défaut à
l’encontre de Monsieur et Madame LABORIE, que cet arrêt pour le mettre en
exécution devait sur le fondement de l’article 503 du NCPC être notifié par
signification d’huissier de justice sur le fondement de l’article 658 du NCPC à
la demande de la Commerzbank à Monsieur et Madame LABORIE et dans le délai
prescrit à l’article 478 du ncpc.
Délais pour agir de la Commerzbank :
Les parties sont tenues de saisir la cour de renvoi dans le
délai de quatre mois prévu à l'article 1034 du nouveau code de procédure civile
et dans celui de deux ans prévu à l'article 386 du même code sous peine de
péremption de l’instance.
L’arrêt rendu contradictoirement à l’encontre de la
commerzbank, cette dernière se devait de saisir la cour de renvoi des son
prononé, ce quelle n’a pas fait.
Qu’après cassation d’un arrêt l’instance d’appel se poursuit
devant la juridiction de renvoi que dans le cas d’un arrêt de cassation
prononcé contradictoirement, le délai de péremption court à compter de l’arrêt
et non de sa signification.
Que
cet arrêt du 4 octobre 2000 rendu par défaut à l’encontre de Monsieur et Madame
LABORIE devait être signifié par la Banque Commerzbank dans le délai de 4 mois
et au plus tard dans le délai prescrit en son article 478 du ncpc et sur le fondement de l’article 503 du ncpc pour le mettre en exécution pour permettre à Monsieur
et Madame LABORIE la saisine de la cour d’appel de renvoi..
Que
l’article 478 n’est pas applicable à un arrêt de la cour de cassation rendu
contradictoirement mais applicable à un arrêt rendu par défaut, ce qui en est
le cas en l’espèce à l’encontre de Monsieur et Madame LABORIE.
Par
sa carence, au vu de l’article 478 du ncpc, la
Commerzbank est non avenue en son exécution de l’arrêt du 4 octobre rendu par
la cour de cassation.
Que
cet arrêt du 4 octobre 2000 était contradictoire au demandeur du pourvoi « la
Commerzbank », et se devait de saisir aussi la cour de renvoi.
Délai de l'article 1034 du nouveau
code de procédure civile :
La cour de renvoi doit être saisie avant l'expiration d'un
délai de quatre mois à compter de la notification de l'arrêt de cassation rendu
contradictoirement faite à la partie.
Dans les procédures avec représentation obligatoire, la
notification à l'avocat de la partie, si elle ne fait pas courir le délai, est
du moins un préalable nécessaire, à peine de nullité de la notification à
la partie, et mention de l'accomplissement de cette formalité doit être
portée dans l'acte de notification destiné à la partie (article 678 du nouveau
code de procédure civile).
Monsieur et Madame LABORIE ont eu un obstacle à obtenir un
avocat au titre de l’aide juridictionnelle devant la cour de cassation.
Qu’il n’y a pas eu en conséquence une notification à
l’avocat.
La notification est faite à la requête de la partie la plus
diligente et, dans ce cas, le délai court également contre elle-même.
Il a toutefois été jugé, dans l'hypothèse où l'arrêt de la
Cour de cassation avait été notifié à certaines parties mais pas à d'autres,
que le délai de quatre mois n'avait pas commencé à courir à rencontre de la
partie qui avait notifié l'arrêt (Corn., 17 décembre 2003, pourvoi n°
00-22.414).
Monsieur et Madame LABORIE ont été privé de prendre
connaissance de l’arrêt de cassation du 4 octobre 2000 rendu par défaut dans le
délai de 4 mois de celui ci par l’absence de signification à la demande de la
Commerzbank article 1034 du ncpc, de ce fait ne pouvant saisir la cour de
renvoi.
Monsieur et Madame LABORIE ont été privé de prendre
connaissance de l’arrêt du 4 octobre 2000 dans le délai de 6 mois applicable à
la commerzbank article 478 du ncpc pour faire valoir la mise en exécution sur
le fondement de l’article 503 du ncpc, de ce rechef, ne pouvant saisir la cour
de renvoi.
Sur la signification irrégulière du 5 juin 2001.
Quand
bien même elle soit hors délai de l’article 478 du ncpc,
cette signification est contraire à l’article 1034 du ncpc.
Que
cette signification irrégulière n’a jamais été porté à la connaissance de
Monsieur et Madame LABORIE et pour les motifs ci après :
Aucune
lettre ou avis de passage n’a été laissé pour informer du passage de
l’huissier : article 658 du NCPC.
Article 658 du ncpc : 2.
Lorsque l'huissier remet copie d'un acte en mairie, le dépôt d'un avis de
passage et l'envoi d'une lettre simple sont exigés à peine de nullité,
ainsi que la mention de ces formalités dans l'original de l'acte. Civ. 2e,
10 déc. 1975: Bull. civ.
II, no 265 26 nov. 1986: JCP 1987. IV. 43. Même solution dans le cas d'une signification non à personne, mais à
domicile. Com. 14 avr. 1992: Bull.
civ. IV, no 162.
La Commerzbank ne peut faire valoir dans son exécution
un arrêt de la cour de cassation du 4 octobre 2000 remettant en cause l’arrêt
du 16 mars 1998, la signification de cet arrêt étant irrégulière sur la
forme, n’a pas été signifiée en la personne de Monsieur et Madame LABORIE et
comme le précise l’acte d’huissier du 5 juin 2001 ou l’acte a été seulement
déposée en mairie et en violation des textes, articles 653 à 658 du NCPC.
La
seule obligation qui pèse sur l’huissier de justice est de faire une tentative
de signification à personne en se rendant à son domicile du destinataire :
de se représenter au domicile ou de se présenter au lieu de travail ( CA Toulouse,
29 juin 1994 : Juris-Data N° 046293 ).
–
L’huissier de justice ne peut se contenter d’une simple mention pré
imprimée constatant que la signification à personne s’était avérée impossible,
sans mener toutes les opérations de vérifications, afin de démontrer
concrètement cette impossibilité qui doit résulter de l’acte lui-même ( CA Aix-en Provence,19 sept 1990 : Juris-data N°051896.- Cass.2ème civ, 16 juin
1993 :Bull. civ.ll, N°213.- Ca Toulouse, 3
avril.1995 : Juris-Data N° 042629).
Le procès-verbal doit mentionner
précisément les diligences accomplies par l’huissier de justice pour rechercher
le destinataire de l’acte (Civ. 2ème, 3 novembre 1993, Bull. civ. II. N°312, JCP, 1994, IV. 24).
Monsieur et Madame LABORIE ont été privés de saisir la
cour d’appel de bordeaux pour que soit débattu les contestations soulevées
devant la cour d’appel de Toulouse, sur le fond et la forme de la procédure et
la créance même de la Commerzbank, de l’affectation hypothécaire, et de la
caution par l’assurance vie la DEUTSCHE
LLYOD.
Sur la signification en mairie, les obligations de
l’huissier, sous peine de nulité des actes.
La jurisprudence se montre rigoureuse en ce qui concerne les diligences
auxquelles l’huissier de justice est tenu pour réaliser une signification à
personne.
Une signification ne peut être faite en mairie que si aucune des
personnes visées à l’article 655 du nouveua code de
procédure civile n’a pu ou voulu recevoir l’acte ( Cass, 2ème civ, 19 nov, 1998 : Juris- Data N° 1998-004426 ).
Si
personne ne peut ou ne veut recevoir la copie de l’acte et s’il résulte des
vérifications faites par l’huissier de justice que le destinataire demeure bien
à l’adresse indiquée, la copie doit être remise en mairie ( NCPP, art. 656 ).
Les
mentions que l’huissier de justice indique sur l’acte relatives aux
vérifications qu’il effectue, font foi jusqu’à inscription de faux ( CA Aix-en
Provence, 17 juin 1996 : Juris-Data N° 045132 )
La première condition de validité de la signification faite « en mairie ».est
donc le refus ou l’impossibilité, pour les personnes énumérées par l’article
655 du Nouveau Code de procédure civile, de recevoir la copie de l’acte ( CA
paris, 7 nov 1986 : GAZ. Pal 1987,1, p.209, note
M.Renard ).
La seconde condition est
la certitude que le destinataire de l’acte demeure bien à l’adresse indiquée
dans cet acte. L’huissier de justice doit effectuer toutes les recherches
utiles ( Cass. 2ème civ, 26 juin 1974 et
autres….).
Les
services de la mairie n’assument pas l’obligation d’envoyer l’acte au destinataire :
ils doivent seulement conserver la copie pendant un délai de trois mois, et
sont ensuite déchargés ( NCPC, art.656,al.4 )
La
signification à personne permet d'acquérir la certitude que l'intéressé a eu
connaissance effective de l'acte, l'huissier de justice lui remettant la copie
en mains propres. Elle constitue donc le mode de signification de principe, que
l'article 654, alinéa 1, du Nouveau Code de procédure civile rend
obligatoire : « la signification
doit être faite à personne ». Ce n'est que si elle s'avère impossible que
l'huissier de justice peut tenter de recourir à d'autres modalités (NCPC, art. 655, al. 1).
La
seule obligation qui pèse sur l’huissier de justice est de faire une tentative
de signification à personne en se rendant à son domicile du destinataire :
de se représenter au domicile ou de se présenter au lieu de travail ( CA
Toulouse, 29 juin 1994 : Juris-Data N° 046293
).
Le procès-verbal doit mentionner
précisément les diligences accomplies par l’huissier de justice pour rechercher
le destinataire de l’acte (Civ. 2ème, 3 novembre 1993, Bull. civ. II. N°312, JCP, 1994, IV. 24).
La
signification doit être de toute évidence régulière en la forme ; si l'acte
est annulé pour quelque cause que ce soit le délai ne court pas (V. CA
Paris, 3 juill. 1980 : Gaz. Pal. 1980, 2, p. 698. – CA Bordeaux, 1er juill. 1982 : D. 1984, inf.
rap. p. 238, obs. P. Julien. – V. aussi Cass. 2e civ., 17 févr. 1983 : Gaz.
Pal. 1983, 1, pan. jurispr. p. 170, obs. S. Guinchard. – Cass. 1re civ., 16 janv. 1985 : Bull. civ. I, n° 24
; JCP 1985GIV, 118).
La notification :
Lorsque
la notification est faite par lettre recommandée avec demande d’avis de
réception,
comme c’est le cas le plus fréquent, la Cour
de Cassation estime que la notification n’est valablement faite à personne que si
l’avis de réception est signé par le destinataire ( Cass.2ème
civ.27 mai 1988 :Bull.civ.ll, N°125 ;RTD
civ.1988, p. 573).
Si
la lettre recommandée n’a pas été remise en main propre au destinataire, et à
défaut d’avis de réception revêtu de la signature du destinataire, la
notification est nulle ( Cass. So., 4 mai
1993 : Bull.civ. lV,
N° 124 ;D. 1993, inf.rap.p.133 ; JCP 1993, éd.G,
IV, 1680 ; Gaz.Pal.1993, 2, pan.jurispr.p.284 ) : elle ne saurait en
aucun cas valoir signification « à domicile » ( Cass.3ème
civ, 14 déc.1994 : Bull. 1996.1,
pan.jurispr.p.115 ).
L’article 670 du
Nouveau code de procédure civile précise que la notification est réputé faite à
personne lorsque le destinataire signe l’avis de réception.
La
jurisprudence se montre très rigoureuse sur l’application de ce principe, et elle
n’hésite pas à annuler tout jugement rendu à la suite d’une convocation
notifiée par la voie postale qui aurait été retournée avec la mention «
non réclamée ».
CONSEQUENCE DE LA NOTIFICATION
Art. 478. du NCPC - Le
jugement rendu par défaut ou le jugement réputé contradictoire au seul motif
qu'il est susceptible d'appel est non avenu s'il n'a pas été notifié dans les
six mois de sa date.
À
défaut de notification, toute mesure d'exécution est nulle, qu'il s'agisse
d'une saisie attribution…… (CA Paris, 8e ch., 5 juill. 1995 : Juris-Data n° 022189) ou d'une procédure de paiement
direct (CA Rouen, 1re ch., 5 févr. 1992 : Juris-Data n° 041309).
En
vertu de l'article 478 du Nouveau Code de procédure civile, le jugement rendu
par défaut ou le jugement réputé contradictoire au seul motif qu'il est
susceptible d'appel (Cass. 2e civ., 1er
juin 1988 : Bull. civ. I, n° 133 ; D. 1989, somm. p.
180, obs. P. Julien) soit déclaré non avenu s'il n'a pas été notifié dans
les six mois de sa date (M. Sevestre-Régnier,
Quelques décisions sur les jugements non avenus : Bull. ch. Avoués, 1991, n°
118, p. 46).
Ainsi, le défaut de notification de la décision dans ce délai prive le
gagnant de la possibilité de la mettre à exécution (N. Fricero,
La caducité en droit judiciaire privé, thèse Nice 1979, p. 449 s., n° 343 s.).
Que
cette signification irrégulière a bien causé grief aux droits de la défense de
Monsieur et Madame LABORIE, n’a pas permis à ces derniers de prendre
connaissance de l’acte du 4 octobre 2000
rendu par la cour de cassation et sur le fondement de l’article 1034 privés de
saisir la cour d’appel de renvoi et pour faire faire valoir :
·
De
l’irrégularité du jugement sur la forme et sur le fond des créances
demandées par la Commerzbank.
·
Pour
soulever la fraude par une affectation hypothécaire entachée de nullité.
·
Pour
soulever que le capital devant être remboursé en 2012 par une assurance dont il
n’y a jamais eu déchéance de celle-ci
soit la LOYD.
·
Pour
violation de la loi 79 protégent le consommateur.
Qu’au
vu de la violation de l’article 658 du NCPC il y a nullité de la
signification.
Que
l’arrêt du 4 octobre 2000 en l’absence de son application de l’article 503 du
NCPC, celui-ci ne peut être mis en exécution hors délai de l’article 478 du ncpc, il est non avenu.
Que
de ce fait l’arrêt de la cour d’appel a toujours autorité de force de chose
jugée par l’absence d’avoir mis en exécution l’arrêt du 4 octobre 2000 par la
violation de l’article 503 du ncpc mis en exécution
non conforme en son article 658 du ncpc « d’ordre
public ».
Par
le fait de la carence volontaire de la Commerzbank de saisir dans les 4 mois la
cour de renvoi et par la violation de l’article 503 du NCPC ne peut se
prétendre des deux jugements « dont appel » devant la
chambre des criées dont le fond et la forme n’est toujours pas tranché devant
la cour d’appel.
Monsieur
et Madame LABORIE ne sont pas responsable de la carence de la Commerzbank de
n’avoir accompli aucune diligence dans les deux ans ; de ce simple fait il y a péremption
d’instance sur le fondement de l’article 386 du NCPC aux poursuites de saisie
immobilière.
Que
la Commerzbank avait la possibilité de saisir la cour d’appel de renvoi, que
par sa carence elle est responsable de la prescription de la procédure, péremption
d’instance sur le fondement de l’article 386 du ncpc.
La
Commerzbank n’a diligente aucun acte pendant deux années de l’arrêt rendu en
date du 4 octobre 2000.
La
Commerzbank a fait obstacle à Monsieur et Madame LABORIE par l’absence de
signification régulière dans le délai de quatre mois pour que ces derniers
saisissent la cour de renvoi.
·
La
péremption d’instance est établie faute de la Commerzbank.
Que
l’arrêt de cassation rendu par défaut, non signifié par la Commerzbank dans les
délais légaux à Monsieur et Madame LABORIE, renvoyant sur la juridiction de
renvoi, prive cette dernière de statuer, ce qui cause un grief important à
Monsieur et Madame LABORIE dans leur droits de défense.
·
Qu’en
conséquence l’arrêt de la cour d’appel du 16 mars 1998 doit prendre son entière
exécution d’autant plus qu’il est inscrit en faux en écriture publique, faux
intellectuel.
D’autant
plus que depuis les deux jugements dont appel en 1997, la Commerzbank n’a
effectué aucun acte de poursuite pour faire valoir une quelconque créance
liquide certaine et exigible, l’affection hypothécaire étant entaché de
nullité.
Les
deux jugements dont appel n’ont toujours été signifiés à Monsieur et Madame
LABORIE, reconnu dans l’arrêt de la cour d’appel de Toulouse en date du 16 mars
1998, donc non exécutoire et non avenus sur le fondement des articles
478 ; 503 du ncpc.
·
Il
y péremption d’instance sur le fondement de l’article 386 du NCPC et pour
n’avoir accompli aucune diligence pour rendre exécutoire ces deux jugements.
Qu’en
conséquence la Commerzbank qui succombe par sa carence juridique ne peut se
prévaloir d’un quelconque titre de créance valide, certaine et exigible.
Sur
le fondement de l’article 388 du ncpc, Monsieur et
Madame LABORIE sont fondés de demander la péremption de poursuites au fin de
saisie immobilière dans la procédure dont ils ont fait l’objet au cours de la
détention de Monsieur LABORIE privé de tous les moyens de défense, violation de
l’article 4 ; 16 du ncpc et de l’article 6-1 de
la CEDH.
Que
par cette procédure viciée sur le fond et la forme de la procédure, la
fraude de celle-ci doit être retenue et la Commerzbank doit être
débouté en toutes ses demandes infondées et basées sur aucun titre exécutoire
valide et sur aucune créance liquide certaine et exigible.
La
Commerzbank ne pouvait obtenir un quelconque jugement de subrogation en date du
29 juin 2006, rendu et obtenu en
violation de toutes les règles de droit, par faux et usage de faux profitant de
la détention arbitraire de Monsieur LABORIE André pour obtenir du tribunal des
décisions favorables, Monsieur LABORIE André privé d’avocat, de l’aide
juridictionnelle, de revenu et de ses moyens de défense et Madame LABORIE dans
son désespoir seule, violation des article 4 ; 16 du ncpc
et de l’article 6-1 de la CEDH.
TITRE EXECUTOIRE : jurisprudence ACTE
NOTARIE.
De même, un acte notarié mentionnant un prêt avec hypothèque
conventionnelle ne constate pas une créance liquide et exigible ; le
saisissant ne justifie donc pas d’un titre exécutoire ( CA Douai, 9
nov.1995 : Juris- Data N° 051309. Jugé également
que la simple photocopie de l’acte de prête notarié ne peut représenter le
titre exécutoire exigé ( CA Versaille, 1er
ch, 13 septembre 1996 : Juris-
Data N° 043643). ( pièce jointe)
I / a) Sur l’absence d’un acte authentique de la
COMMERZBANK
La Commerzbank se prévaut d’une affectation
hypothécaire du 2 mars 1992 pour faire valoir d’une créance à l’encontre de
Monsieur et Madame LABORIE, cet acte est a ce jour inscrit en faux en
écritures publiques de notre
part, acte porté en notre connaissance seulement en 2007 et dans une procédure
devant la cour d’appel de Toulouse. ( Pièce ci jointe ).
Que cet acte authentique est non signé de Monsieur et
Madame LABORIE et quand bien même il est fait mention qu’une procuration a été
donnée à un mandataire, celle-ci n’est pas produite à l’acte lui-même pour en
vérifier son contenu et d’autant plus qu’il n’a jamais été produit de projet
d’affectation hypothécaire signé de Monsieur et Madame LABORIE.
En conséquence : sur la nullité de l’acte notarié, a pour effet de lui retirer le caractère authentique et
exécutoire.
I / a) 1 / Sur l’absence d’une créance liquide
certaine est exigible de la COMMERZBANK
Par arrêt du 16 mars 1998 la cour d’appel de Toulouse
a annulé le prêt contracté entre les époux LABORIE et la Commerzbank suivant
offre en date du 16 janvier 1992 et pour violation des règles d’ordres
publiques, annulant la procédure de vente sur saisie immobilière. ( pièce ci
jointe N° 2 )
I/ a) 2 Sur le remboursement du capital emprunté à la
commerzbank.
Bien que l’acte hypothécaire soit entaché de nullité ,
celui-ci indique bien que le capital doit être remboursé en une seule fois, au
moyen des fonds provenant de la capitalisation d’une assurance vies souscrite
auprès de la DEUTSCHE LLYOD, durée du prêt 20 ans, soit en l’année 2012.
Le capital emprunté était de la somme de 647.357
francs soit 98 688 euros ( pièce jointe).
La somme versée aux époux LABORIE par la
Commerzbank était de la somme de 590.000
francs, soit 89944 euros. ( pièce ci jointe ).
Il n’y a jamais eu de déchéance de paiement de prime
produite par la Commerzbank gérante de notre compte bancaire et au profit de la
DEUTSCHE LLYOD, le montant de la prime d’assurance étant de 549 DM ( précisant
que le DM était à 3.40 franc) soit en franc la somme de 1866 francs,
soit à ce jour 284.47 euros.
La Commerzbank était en possession de la somme environ
de 405.824 francs soit la somme de 61867.47 euros à la date de l’arrêt rendu par la cour d’appel de
Toulouse le 16 mpars 1998 pour assurer le paiement
des primes à la DEUTSCHE LLYOD sommes versées par Monsieur et Madame LABORIE. (
pièces ci jointes N° 4 relevés de
compte ).
La Commerzbank assurant la gestion de notre compte
bancaire ouvert dans ses livres avait suffisamment et jusqu’à ce jour la somme
nécessaire pour assurer la prime à verser à l’a assurance vie DEUTSCHE LLYOD et
pour 217 échéances mensuelles dont la première était le 31 mars 1992., soit
pour une durée de 18 ans.
Calcul du nombre d’échéances : 61867, 47 euros / 284,47 euros = 217,17
échéances.
Soit :
du 31 mars 1992 + 18 ans = jusqu’en l’an 2010.
La Commerzbank est forclose dans son action à
l’encontre de Monsieur et Madame LABORIE qui ne sont pas débiteur de la
Commerzbank à ce jour et jusqu’en 2012 ou le capital doit être remboursé en sa
totalité par l’assurance vie DEUTSCHE LLYOD.
ETAT
COMPTABLE PRESENTE PAR :
Monsieur
et Madame LABORIE qui sont plutôt créditeur de
LA
COMMERZBANK
DEBLOCAGE PRÊT :
590.000 fr |
|
|
BON++++ |
|||||
|
|
|
|
|
|
|||
ETAT COMPTABLE DES
SOMMES DUES PAR LA COMMERZBANK à Monsieur et Madame LABORIE suite à
l’annulation du prêt par la cour d’appel de Toulouse en date du 16 mars 1998
pour violation de la loi du 13 juillet 1979 « D’ordre public » |
||||||||
ZONNE A : Sommes
versées sur le compte de Monsieur et Madame LABORIE à la Commerzbank :
Soit par virement bancaire Soit par prélèvement
sur un compte français Soit par chèque
bancaire |
||||||||
|
|
|
|
|
|
|||
A |
B |
C |
D |
E |
F |
|||
Sommes versées en
franc sur le compte |
Date |
Montant créditeur |
Intérêt 8.4% an Soit : 0.70%
mensuel |
Montant total |
Retour impayé |
|||
6933.41 |
31/03/92 |
6.933,41 |
|
|
|
|||
|
30/04/92 |
|
48.53 |
6.981,94 |
|
|||
6903.03 |
30/04/92 |
13.884,97 |
|
|
|
|||
|
30/05/92 |
|
97.19 |
13.982,16 |
|
|||
6863.7 |
29/05/92 |
20.845,86 |
|
|
|
|||
|
30/06/92 |
|
145.92 |
20.991,78 |
|
|||
6875.22 |
30/06/92 |
27.867,00 |
|
|
|
|||
|
30/07/92 |
|
195.06 |
28.062,06 |
|
|||
6875.22 |
30/07/92 |
34.937,28 |
|
|
|
|||
|
30/08/92 |
|
244.56 |
35.181,84 |
|
|||
6891.41 |
03/08/92 |
42.073,25 |
|
|
|
|||
|
30/09/92 |
|
294.51 |
42.367,76 |
|
|||
6936.94 |
30/08/92 |
49.304,47 |
|
|
|
|||
|
30/10/92 |
|
345.36 |
49.649,83 |
|
|||
6964.07 |
30/09/92 |
56.613,9 |
|
|
|
|||
|
30/11/92 |
|
396.29 |
57.010,19 |
|
|||
6949.88 |
30/10/92 |
63.960,07 |
|
|
|
|||
|
30/12/92 |
|
447.72 |
64.407,79 |
|
|||
6893.73 |
02/12/92 |
71.301,52 |
|
|
|
|||
|
30/01/93 |
|
499.11 |
71.800,63 |
|
|||
6994.99 |
28/12/92 |
78.795,62 |
|
|
|
|||
|
30/02/93 |
|
551.56 |
79.347,18 |
|
|||
6933.41 |
30/01/93 |
86.280,59 |
|
|
|
|||
|
30/03/93 |
|
603.96 |
86.884,55 |
|
|||
6942.82 |
26/02/93 |
93.827,37 |
|
|
|
|||
|
30/04/93 |
|
656.79 |
94.484,16 |
|
|||
6933.41 |
29/03/93 |
101.417,57 |
|
|
|
|||
|
30/05/93 |
|
709.92 |
102.127,49 |
|
|||
6917.02 |
04/05/93 |
109.044,51 |
|
|
|
|||
|
30/06/93 |
|
763.31 |
109.807,82 |
|
|||
6900.7 |
02/06/93 |
116.708,52 |
|
|
|
|||
|
30/07/93 |
|
816.95 |
117.525,47 |
|
|||
6898.38 |
06/07/93 |
124.423,85 |
|
|
|
|||
|
30/08/93 |
|
870.96 |
125.294,81 |
|
|||
6945.17 |
04/08/93 |
132.239,98 |
|
|
|
|||
|
30/09/93 |
|
925.67 |
133.165,65 |
|
|||
7128.94 |
01/09/93 |
140.294,59 |
|
|
|
|||
|
30/10/93 |
|
982.06 |
141.276,65 |
|
|||
6945.17 |
08/09/93 |
148.221,17 |
|
|
|
|||
|
30/11/93 |
|
1037.54 |
149.258,71 |
|
|||
7146.36 |
30/09/93 |
156.405,07 |
|
|
|
|||
|
30/12/93 |
|
1094.83 |
157.499,90 |
|
|||
4737.73 |
28/09/93 |
162.237,63 |
|
|
|
|||
|
30/01/94 |
|
1135.66 |
163.373,29 |
|
|||
7146.36 |
18/10/93 |
170.519,65 |
|
|
|
|||
|
30/02/94 |
|
1193.63 |
171.713,28 |
|
|||
6644.65 |
02/11/93 |
178.357,93 |
|
|
|
|||
|
30/03/94 |
|
1248.5 |
179.606,43 |
|
|||
7146.36 |
23/11/93 |
186.752,79 |
|
|
|
|||
|
30/04/94 |
|
1307.26 |
188.060,05 |
|
|||
7146.36 |
23/11/93 |
195.206,41 |
|
|
|
|||
|
30/05/94 |
|
1366.44 |
196.572,85 |
|
|||
6701.94 |
23/11/93 |
203.274,79 |
|
|
|
|||
|
30/06/94 |
|
1422.92 |
204.697,71 |
|
|||
7104.2 |
30/11/93 |
211.801,91 |
|
|
|
|||
|
30/07/94 |
|
1482.61 |
213.284,52 |
|
|||
6736.9 |
03/12/93 |
220.021,42 |
|
|
|
|||
|
30/08/94 |
|
1540.14 |
221.561,56 |
|
|||
7104.2 |
16/12/93 |
228.665,76 |
|
|
|
|||
|
30/09/94 |
|
1600.66 |
230.266,42 |
|
|||
6830.6 |
03/01/94 |
237.097,02 |
|
|
|
|||
|
30/10/94 |
|
1659.67 |
238.756,69 |
|
|||
7004.67 |
02/02/94 |
245.761,36 |
|
|
|
|||
|
30/11/94 |
|
1720.32 |
247.481,68 |
|
|||
6844.64 |
22/02/94 |
254.326,32 |
|
|
|
|||
|
30/12/94 |
|
1780.28 |
256.106,60 |
|
|||
7004.67 |
01/03/94 |
263.111,27 |
|
|
|
|||
|
30/01/95 |
|
1841.77 |
264.953,04 |
|
|||
7045.36 |
25/03/94 |
271.998,4 |
|
|
|
|||
|
30/02/95 |
|
1903.98 |
273.902,38 |
|
|||
7045.36 |
08/04/94 |
280.947,74 |
|
|
|
|||
|
30/03/95 |
|
1966.63 |
282.914,37 |
|
|||
7069.52 |
27/04/94 |
289.983,89 |
|
|
|
|||
|
30/04/95 |
|
2029.88 |
292.013,77 |
|
|||
7069.52 |
19/05/94 |
299.083,29 |
|
|
|
|||
|
30/06/95 |
|
2093.58 |
301.176,87 |
|
|||
7064.07 |
30/05/94 |
308.240,94 |
|
|
|
|||
7059.84 |
30/06/94 |
315.300,78 |
|
|
|
|||
|
12/07/94 |
308.240,94 |
|
|
-7064.67 |
|||
|
14/07/94 |
301.176,87 |
|
|
-7059.84 |
|||
|
30/07/95 |
|
2108.23 |
303.285,10 |
|
|||
7052.59 |
30/07/94 |
310.337,69 |
|
|
|
|||
|
30/08/95 |
|
2172.36 |
312.510,05 |
|
|||
29544.64 |
08/08/94 |
342.054,69 |
|
|
|
|||
|
30/09/95 |
|
2394.38 |
344.449,07 |
|
|||
|
09/08/94 |
337.396,48 |
|
337.396,48 |
-7052.59 |
|||
7064.67 |
30/08/94 |
344.461,15 |
|
344.461,15 |
|
|||
|
19/09/94 |
337.396,48 |
|
337.396,48 |
-7064.67 |
|||
|
16/09/94 |
330.391,81 |
|
330.391,81 |
-7004.67 |
|||
7042.95 |
30/09/94 |
337.434,76 |
|
337.434,76 |
|
|||
|
14/10/94 |
330.391,81 |
|
330.391,81 |
-7042.95 |
|||
7067.1 |
26/10/94 |
337.458,91 |
|
337.458,91 |
|
|||
7084.09 |
02/12/94 |
344.543,00 |
|
344.543,00 |
|
|||
|
20/12/94 |
337.458,91 |
|
337.458,91 |
-7084.09 |
|||
7084.09 |
30/12/94 |
344.543,00 |
|
344.543,00 |
|
|||
|
17/01/95 |
337.458,91 |
|
337.458,91 |
-7084.09 |
|||
7106.07 |
31/01/95 |
344.564,98 |
|
344.564,98 |
|
|||
|
22/02/95 |
337.458,91 |
|
337.458,91 |
-7106.07 |
|||
7150.43 |
06/03/95 |
344.609,34 |
|
344.609,34 |
|
|||
7261.26 |
28/03/95 |
351.870,60 |
|
351.870,60 |
|
|||
|
31/03/95 |
344.720,17 |
|
344.720,17 |
-7150.43 |
|||
|
13/04/95 |
337.458,91 |
|
337.458,91 |
-7261.26 |
|||
7268.17 |
28/04/95 |
344.727,08 |
|
344.727,08 |
|
|||
|
12/05/95 |
337.458,91 |
|
337.458,91 |
-7268.17 |
|||
7367.67 |
31/05/95 |
344.826,58 |
|
344.826,58 |
|
|||
|
19/06/95 |
337.458,91 |
|
337.458,91 |
-7367.67 |
|||
7223.09 |
29/06/95 |
344.682,00 |
|
344.682,00 |
|
|||
|
21/07/95 |
337.458,91 |
|
337.458,91 |
-7223.09 |
|||
7162.86 |
31/07/95 |
344.621,77 |
|
344.621,77 |
|
|||
|
11/08/95 |
337.458,91 |
|
337.458,91 |
-7162.86 |
|||
7064.67 |
30/08/95 |
344.523,58 |
|
344.523,58 |
|
|||
|
19/09/95 |
337.458,91 |
|
337.458,91 |
-7064.67 |
|||
|
22/11/95 |
330.391.81 |
|
330.391.81 |
-7067.10 |
|||
|
|
|
|
|
|
|||
Somme Totale
remboursée soit la somme de 330.391,81 francs en date du 22
novembre 1995 |
||||||||
Le 16 mars 1998 la
cour d’appel a annulé la procédure de saisie immobilière en vertu de
l’annulation du prêt et pour violation de la loi du 13 juillet 1979, (arrêt
ayant force de force de chose jugée), « exécutoire » |
||||||||
Capital à la
disposition de la Commerzbank et à la propriété de Monsieur et Madame LABORIE
en date du 22 novembre 1995. soit la somme de 330.391,81 à majorer d’un taux annuel de 8.50 %
l’an, La Commerzbank étant
perdante par l’annulation du prêt. |
||||||||
|
||||||||
DATE :
années : Au : |
CAPITAL |
Intérêts à 8,50% l’an |
Solde créditeur |
|||||
22/12/1996 |
330.391,81 |
28.083,3 |
358.475,11 |
|||||
22/12/1997 |
358.475,11 |
30.470,38 |
388.945,49 |
|||||
22/12/1998 |
388.945,49 |
33.060,36 |
422.005,85 |
|||||
22/12/1999 |
422.005,85 |
35.870,49 |
457.876,34 |
|||||
22/12/2000 |
457.876,34 |
38.919,48 |
496.795,82 |
|||||
22/12/2001 |
496.795,82 |
42.227,64 |
539.023,46 |
|||||
22/12/2002 |
539.023,46 |
45.816,99 |
584.840,45 |
|||||
22/12/2003 |
584.840,45 |
49.711,43 |
634.551,88 |
|||||
22/12/2004 |
634.551,88 |
53.936,90 |
688.488,78 |
|||||
22/12/2005 |
688.488,78 |
58.521,54 |
747.010,32 |
|||||
22/12/2006 |
747.010,32 |
63.495,87 |
810.506,19 |
|||||
22/12/2007 |
810.506,19 |
68.893,02 |
879.399,21 |
|||||
22/12/2008 |
879.399,21 |
74.748,93 |
954.148,14 |
|||||
|
|
|
|
|||||
|
|
|
|
|||||
Qu’au jour de
l adjudication du 21 décembre 2006, Monsieur et Madame LABORIE étaient
créditeur à la Commerzbank de la somme de : 810.506,19 francs et pour
une somme due de 590.000 franc, Montant du prêt débloqué. |
||||||||
|
|
|
|
|||||
La Commerzbank doit
en date du 22 /12/2008 à Monsieur et Madame LABORIE La somme de : 954.148.14 francs –
590.000 francs = 364.148 francs, soit la somme de 50.364,61 euros |
||||||||
La
Banque COMMERZBANK ne peut être créancière de Monsieur et Madame LABORIE pour
engager une procédure de saisie immobilière à leur encontre et faire vendre
leur propriété en son audience d’adjudication du 21 décembre 2006.
L’arrêt
de la cour d’appel ayant force de chose jugée était exécutoire, la Commerzbank
étant en possession à la date de l’arrêt de la somme de 330.391,81 francs soit
la somme de 50.364,61 euros au profit de Monsieur et Madame LABORIE, se
devait d’établir les comptes entre les parties.
La
Commerzbank n’a accompli aucun acte à régulariser la remise en place des
parties.
La
Commerzbank n’a accompli aucun acte pour continuer à conserver l’assurance vie
LLOYD remboursant le capital en une seule fois soit en 2012 portant préjudices
à Monsieur et Madame
LABORIE
et sous la seule responsabilité de la Commerzbank.
Que
la Commerzbank a profité jusqu’à ce jour des sommes versées soit « voir
fiche comptable la somme de 400.000 franc » à la date de l’arrêt
de la cour d’appel et tout en sachant que le capital doit être remboursé par la
LLOYD en une seule fois en 2012.
Que
l’assurance LLOYD gérée par la Commerzbank est deux éléments indépendants.
Que
les intérêts sur le capital sont annulés par la nullité du prêt.
Que
par l’arrêt de la Cour d’appel du 16 mars 1996, les intérêts versés à tord son
au crédit de Monsieur et Madame LABORIE.
Que
ces sommes sont génératrices d’intérêts comme ci-dessus « dans son
tableau récapitulatif ».
L’affectation
hypothécaire du 2 mars 1992 de la Commerzbank par l’arrêt de la cour d’appel du
16 mars 1998 est non avenue et devait être radiée par la Commerzbank.
L’affectation
hypothécaire du 2 mars 1992 de la Commerzbank ( inscription de faux
intellectuel déposé au greffe du T.G.I de Toulouse et
dénoncé aux parties)
La
Commerzbank n’a accompli aucun acte juridique pour faire suspendre l’exécution
de l’arrêt de la cour d’appel du 16 mars 1998 devant Monsieur le Premier
Président de la cour d’appel.
Le
pourvoi en cassation à la demande de la Commerzbank n’est pas suspensif de
l’arrêt de la cour d’appel de Toulouse du 16 mars 1998.
La
Commerzbank n’a accompli aucune diligence dans les deux ans pour produire une
quelconque créance déduites les sommes déjà versées par Monsieur et Madame
LABORIE « Forclusion », péremption d’instance article 386 du ncpc.
La
Commerzbank n’a jamais fait signifier
les deux jugements de premières instance dont elle a été débouté devant la cour
d’appel en sa procédure de saisie immobilière et ordonnant la nullité du prêt
et la remise en l’état initiale des parties, absence de signification de
ces deux jugements dans les six mois article 478 du ncpc
reconnu dans l’arrêt de la cour du 16 mars 1998 et sans que soit porté aucune
contestation par la Commerzbank devant une juridiction compétente.
En l’absence de signification sur le fondement de l’article 478 du ncpc dans le délai de six mois, les deux jugements sont non
avenus dans leur exécution.
Que
de tous ces faits la Commerzbank n’a aucun fondement juridique pour demander un
quelconque droit à l’encontre de Monsieur et Madame LABORIE, encore moins d’engager
une procédure de saisie immobilière sans un titre de créance liquide certaine
et exigible.
Que la Commerzbank ne peut faire valoir un arrêt de la cour de
cassation du 4 octobre 2000.
I
/ En son contenu : faux intellectuel
·
Ci-joint
le faux intellectuel déposé au T.G.I de Toulouse et
dénonces
II
/ En ses diligences de la Commerzbank
·
Phase : I- II-III
Que la Commerzbank ne peut faire valoir une affectation authentique du
2 mars 1992.
I
/ En son contenu : faux intellectuel.
·
Ci-joint
le faux intellectuel déposé au T.G.I de Toulouse et
dénonces
II
/ En sa forme :
·
Non
signé entre les parties (Monsieur
et Madame LABORIE)
SUR L’ACTION MENEE PAR LA COMMERZBANK
La
Commerzbank, n’ayant aucun acte d’affectation hypothécaire valide.
Celui
prétendu à son action est entaché de nullité pour faux en écriture publique.
La
Commerzbank n’ayant aucune créance liquide certaine et exigible, devait être
déchu de ses demandes devant la chambre des criées et à ce jour doit être
déchue devant le juge aux ordres.
La
cour d’appel de Toulouse a annulé le prêt La Commerzbank par arrêt du 16 mars
1998 et pour violation flagrante de la loi du 13 juillet 1979. « d’ordre
public »
La
Commerzbank n’avait aucune habilitation pour faire des prêts sur le territoire
français. ( d’ordre public)
L’arrêt de la cour de cassation est sans objet car ce
dernier n’a jamais été signifié à la
personne de Monsieur et Madame LABORIE et comme l’atteste le procès verbal de
l’huissier, péremption d’instance
sur le fondement de l’article 386 du ncpc
Un
doute existe sur cet arrêt de la cour de cassation car au vu des violations flagrantes de la loi du 13 juillet
1979, doivent également entraîner la nullité du contrat de prêt,
raison de l’inscription de faux intellectuel.
Ci-joint, arrêt de la cour de cassation du 20 juillet
1994.
La
cour d’appel, dont l’arrêt a été cassé, avait :
Refusé d’appliquer une quelconque sanction relative à
la déchéance du droit aux intérêts en indiquant que les offres de prêt
comportaient un tableau défaillant le montant des échéances convenues pour
chacune des années de remboursement ainsi que le montant total des prêts, le
taux d’intérêt annuel, le nombre total des échéances et le coût total réel du
crédit offert avec la précision que le tableau d’amortissement avait été fourni
avec la réalisation du prêt ;
également, pour une raison de principe, écarté la
demande de nullité du prêt indiquant que la loi du 13 juillet 1979 prévoyait
une sanction spécifique et exclusive qui est la déchéance facultative totale ou
partielle du droit aux intérêts.
Sur
ces deux points, la cassation est intervenue.
En premier lieu, la cour de cassation juge que
l’échéancier des amortissements doit être joint à l’offre préalable et doit
préciser pour chaque échéance la part de l’amortissement du capital par rapport
à celle couvrant les intérêts.
Du chef de la violation de cette seule disposition, la
Cour de Cassation a prononcé la nullité du contrat de prêt indiquant que le nom
respect des dispositions d’ordre public de la loi du 13 juillet 1979 doit être
sanctionné non seulement par la déchéance du droit aux intérêts mais encore
par la nullité du contrat de prêt.
Par cet arrêt, la Cour de Cassation pose explicitement
le principe de la coexistence des deux sanctions.
Ainsi, la Cour de Cassation semble s’être attaché à la
lettre du texte qui dispose que le prêteur « pourra » être déchu du
droit aux intérêts.
Cette disposition était interprétée jusqu’à présent
comme la reconnaissance du pouvoir du juge d’appliquer ou non la sanction selon
la gravité du manquement constaté mais devient maintenant, selon
l’interprétation qui en a donné par la Cour de Cassation, une option offerte
en faveur de la nullité..
·
Qu’en
conséquence la cour d’appel de Toulouse en son arrêt du 16 mars 1998 a appliqué
la loi conformément à l’arrêt du 20 juillet 1994 rendu par la cour de
cassation.
·
(
l’inscription en faux intellectuel sur l’arrêt de la cour de cassation rendu le
4 octobre 2000 est réel)
Qu’en conséquence par les preuves ci-dessus apportées et les
différents relevés de comptes joints à la procédure de révision, pièces à la
connaissance de la commerzbank et de Maître Frances, celle-ci ne peut les nier.
Qu’en conséquence celle-ci agit délictueusement au vu de ses
demandes infondées et dont le montant emprunté est à rembourser seulement en
2012 par une assurance la LLOYD dont cette dernière n’a jamais formé la
déchéance du contrat dans la mesure que les sommes attribuées à la commerzbank
permettaient d’appurer les échéances.
La commerzbank au vu de l’acte notarié n’est pas créditrice
d’une qulconque créance envers Monsieur et Madame LABORIE.
SUR LE JUGEMENT DE SUBROGATION DU 29 JUIN 2006
INSCRIPTION
DE FAUX INTELECTUEL
La
Commerzbank devant la cour d’appel a fait valoir qu’elle avait obtenu un jugement
de subrogation régulier et quelle était créancière de Monsieur et Madame
LABORIE pour poursuivre la saisie immobilière alors ce qui n’est pas le cas.
Or après de
nombreuses recherches, il sera démontré que ce jugement est entaché de nullité
autant sur le fond que sur le forme.
Une
inscription de faux a été déposé le 8 juillet 2008 au Greffe du tribunal de
Grande instance de Toulouse, dénoncé aux parties et dénoncée à Monsieur le
Procureur de la République VALET Michel par acte d’huissier de justice et
dénonce enrôlée au greffe du Tribunal de Grande Instance de Toulouse le 5 août
2008.
Et pour les motifs
suivants :
MOYENS INVOQUES POUR ETABLIR LE FAUX
Caractérisant la fraude de la saisie immobilière.
Rappel :
Le
faux intellectuel ne comporte aucune
falsification matérielle a posteriori de l'acte, aucune intervention sur l'instrumentum. Il consiste pour le rédacteur de l'acte
authentique, qui est nécessairement un officier public, à
énoncer des faits ou à rapporter des déclarations inexactes.
Les actes authentiques :
Actes de notaire, d'huissier de justice, d'officier de l'état civil, du juge,
du greffier.
Art. 457.du NCPC - Le jugement a la force probante d'un acte
authentique.
Les mentions portées par
le juge dans sa décision au sujet des déclarations des parties qu'il a
lui-même recueillies et dont il a donné acte font foi jusqu'à inscription de
faux ( Cass. soc., 20 avr. 1950 : D. 1951, somm. p. 64 ; S. 1951, 1, 93 ; RTD civ. 1951, p. 429, obs.
P. Raynaud. – Pour le donné acte d'un aveu judiciaire, CA Amiens, 1er juill. 1991 : Juris-Data n° 043760).
Sur la gravité du faux
intellectuel :
Art.441-4. du code pénal
- Le faux commis dans une écriture publique ou authentique ou dans un
enregistrement ordonné par l'autorité publique est puni de dix ans
d'emprisonnement et de 150 000 € d'amende.
L'usage
du faux mentionné à l'alinéa qui précède est puni des mêmes peines.
Les
peines sont portées à quinze ans de réclusion criminelle et à 225 000 €
d'amende lorsque le faux ou l'usage de faux est commis par une personne
dépositaire de l'autorité publique ou chargée d'une mission de service public
agissant dans l'exercice de ses fonctions ou de sa mission.
Recevabilité :
Si
le fait peut être incriminé pénalement, mais n'a pas encore donné lieu à des
poursuites, le juge civil peut recevoir la demande en inscription de faux et
peut statuer sur cette demande ( Cass. req., 5 mars
1867 : DP 1868, 1, p. 70).
MOYENS EN DROIT ET EN FAIT
Monsieur
CAVE a rendu un jugement de subrogation le 29 juin 2006 en audience publique au
profit de la Commerzbank ne pouvant pas être créancière et concernant une
subrogation en saisie immobilière, jugement rendu en violation des articles
14 ; 15 ; 16 du NCPC, Monsieur et Madame LABORIE non avisés de la
procédure faite à leur encontre contraire à un procès équitable au sens de
l’article 6 de la CEDH, ne pouvant de ce fait respecter un quelconque débat
contradictoire, recelant par l’absence de défense, des actes faux.
·
Que
la continuation des poursuites en saisie immobilière dans ce jugement de
subrogation est fondée sur un commandement du 20 octobre 2003.
Monsieur
CAVE savait et était conscient que la chambre des criées ne pouvait être saisie
régulièrement par le commandement du 20 octobre 2003, il était en
possession de toutes les pièces de la procédure par le cahier des charges
déposé au greffe de la chambre des criées, précisant qu’il n’a jamais été
communiqué à Monsieur et Madame LABORIE comme la loi l’impose.
·
Au
vu du jugement du 19 décembre 2002. (pièce jointe)
·
Au
vu de l’arrêt du 16 mai 2006, inexistence juridique de la société Athéna banque
impliquant la nullité de tous les actes de procédure. (pièce jointe)
·
Au
vu du faux et usage du faux pouvoir du 9
septembre 2002 (pièce jointe)
·
Au
vu de l’inexistence juridique de AGF, radié le 13 février 2003 au RCS sous la
dénomination inscrite sur le commandement du 20 octobre 2003 (pièce
jointe)
·
Au
vu de l’absence d’un pouvoir valide en
saisie immobilière.
·
Au
vu du commandement du 20 octobre 2003 irrégulier sur la forme et sur le fond.
(pièce jointe)
·
Au
vu de sa publication irrégulière le 31 octobre 2003 (pièce jointe).
·
Au
vu de l’irrégularité en conséquence du cahier des charges.
La rédaction du jugement est un faux intellectuel dans
toute sa rédaction.
Monsieur
Cave savait qu’il ne pouvait être délivré par la Commerzbank une sommation à
continuer les poursuites aux sociétés CETELEM, ATHENA et PASS par un acte
unique.
·
Monsieur
CAVE indique dans son jugement qu’au vu de la sommation délivrée, la prenant
régulière alors que la société ATHENA
n’a plus d’existence juridique depuis le 19 décembre 1999, ce qui est en
conséquence un faux.
Monsieur
CAVE savait qu’il ne pouvait être effectué une dénonce régulière de ces trois
banques à la Commerzbank par un acte unique sachant que la société ATHENA
n’avait plus d’existence juridique depuis décembre 1999.
·
Monsieur
CAVE indique dans son jugement qu’au vu de la dénonce délivrée, la prenant
régulière alors que la société ATHENA
n’a plus d’existence juridique depuis le 19 décembre 1999, ce qui est en
conséquence un faux.
Monsieur
CAVE avait bien pris connaissance de l’arrêt du 16 mai 2006 rendu par la cour
d’appel de Toulouse annulant le commandement du 5 septembre 2003 et de ses
effets. » « pouvoir en saisie immobilière du 9 septembre
2002 »
·
Monsieur
CAVE a eu une intention bien établie et prémédité pour rédiger en faux
intellectuel le jugement du 29 juin 2006.
Monsieur
CAVE reconnaît que la continuation des poursuites en saisie immobilière est
bien sur le fondement du commandement du 20 octobre 2003, pour Monsieur
CAVE régulièrement publié le 31 octobre 2003 et encore pour Monsieur CAVE qui
n’a jamais été contesté par Monsieur et Madame LABORIE.
·
L’argumentation
de Monsieur CAVE dans son jugement et dans sa rédaction est fausse, le
commandement du 20 octobre ne peut exister et être valide, au vu de la
péremption d’instance suite au jugement
du 19 décembre 2002. ( pièce ci jointe )
·
L’argumentation
de Monsieur CAVE dans son jugement et dans sa rédaction est fausse, le
commandement du 20 octobre ne peut exister et être valide, au vu de l’absence
d’un pouvoir en saisie immobilière.
·
L’argumentation
de Monsieur CAVE dans son jugement et dans sa rédaction est fausse, le
commandement du 20 octobre 2003 ne peut exister et être valide, au vu de
l’inexistence de la Société AGF sous le N° RCS au tribunal de commerce B
572 199 461 radié depuis le 13 février 2003 ( pièce ci
jointe )
·
L’argumentation
de Monsieur CAVE dans son jugement et dans sa rédaction est fausse, le
commandement du 20 octobre ne peut être régulièrement publié en date du 31
octobre 2003, cette publicité en plus que le commandement irrégulier sur la
forme et sur le fond, n’a pas été publié en respectant un délai minimum de 20
jours à la délivrance du commandement. ( arrêt de la cour de cassation N°
703 en pièce jointe ).
·
L’argumentation
de Monsieur CAVE dans son jugement et dans sa rédaction est fausse, le
commandement du 20 octobre 2003 a été critiqué en opposition devant le juge de
l’exécution le 31 octobre 2003 par assignation, les causes n’ont jamais pu être
entendues ( pièce ci jointe ).
·
L’argumentation
de Monsieur CAVE dans son jugement et dans sa rédaction est fausse, le cahier
des charges comprends de faux documents qui n’ont pas été débattus
contradictoirement et ne peux être valable au vu de l’absence d’un pouvoir en
saisie immobilière, au vu de la péremption d’instance du jugement du 19
décembre 2003, au vu d’une publication irrégulière.
·
L’argumentation
de Monsieur CAVE dans son jugement et dans sa rédaction est fausse, le cahier
des charges ou les différentes décisions rendues sont frappées de plaintes pour
faux en écritures privées et devant s’y trouver dans le cahier des charges.
·
L’argumentation
de Monsieur CAVE dans son jugement et dans sa rédaction est fausse, Monsieur
CAVE se devait de vérifier les pièces de procédure et faire respecter la
contradiction avant de rendre un jugement sur de faux documents produits par la
partie adverse dans le seul but de nuire aux intérêts de Monsieur et Madame
LABORIE.
Le faux intellectuel est bien établi dans le jugement qu’à rendu
Monsieur CAVE le 29 juin 2003
·
L’argumentation
de Monsieur CAVE dans son jugement et dans sa rédaction est fausse, la
Commerzbank ne peux se prévaloir en conséquence d’un jugement de subrogation
sur le fondement des poursuites du commandement du 20 octobre 2003.
·
L’argumentation
de Monsieur CAVE dans son jugement et dans sa rédaction est fausse, la
Commerzbank ne peut faire valoir d’une quelconque créance à l’encontre de
Monsieur LABORIE et Madame LABORIE pour saisir la chambre des criée, l’acte
hypothécaire n’étant pas signé de Monsieur et Madame LABORIE mais en plus que
le contenu de cet acte hypothécaire est entaché de faux en écriture publique,
les termes sont contestés et ne sont pas approuvé par Monsieur et Madame LABORIE.
·
L’argumentation
de Monsieur CAVE dans son jugement et dans sa rédaction est fausse, la
Commerzbank ne peut faire valoir une quelconque créance à l’encontre de
Monsieur et Madame LABORIE, le capital se devant être remboursé seulement en
2012 comme le précise l’acte hypothécaire et par une caution la banque LLOYDD.
·
Le
jugement a été rendu publiquement en l’absence de la partie en défense et
statuant en matière d’incident, les partie devant être convoquées.
Les
préjudice sont très important, Monsieur et Madame LABORIE se sont retrouvé
dépouillé de leur propriété, expulsé de leur résidence principale et sans
domicile fixe à partir du 27 mars 2008 ; conséquences du jugement du
29 juin 2006 argumenté par Monsieur CAVE Michel ce dernier en usant de faux et
usage de faux et en recelant des acte faux pour faire droit à la Commerzbank
qui ne peut avoir aucun droit pour nous faire vendre notre résidence
principale.
A
ce jour et suite aux conséquences de Monsieur CAVES Michel juge de l’exécution
au Tribunal de Grande Instance de Toulouse, usant de faux et usage de faux et
les recelant par ces écrits dans le jugement du 29 juin 2006, son
argumentation contraire à la réalité des actes existant constituent par ses
termes un faux intellectuel, faux en écriture publique.
Que
tous les actes postérieurs découlant du jugement du 29 juin 2006 sont en
conséquence nuls de plein droit.
POUR PLUS D’EXPLICATION DE
LA FRAUDE.
LE COMMANDEMENT DU 20 OCTOBRE 2003
En matière de saisie
immobilière concernant la base fondamentale des poursuites le commandement du
20 octobre 2003.
Au Préalable
d’une saisie immobilière il est d’ordre public que soit respecté les règles de
procédures sous peine de nullité de l’article 715 du ANCPC.
Sous le
régime ancien avant l’ordonnance du 21 avril 2006.
Art. 715 (Abrogé par
Ord. no 2006-461 du 21 avr. 2006; Décr. no
59-89 du 7 janv. 1959) «Les délais prévus aux articles 673, 674, 688,
689, 690, 692, 694, paragraphes 2 et 3, (Abrogé par Décr.
no 2002-77 du 11 janv. 2002,
art. 11) «696, 699,» 702, 703, paragraphes 4 et 5, 704, paragraphes
1er et 2, 705, 706, 708 à 711 sont
prescrits à peine de déchéance.
Or en l’espèce celles-ci
n’ont pas été respectées en ses articles 673 ; 674 ; 688 ;
689 ; 690 ; 692 ; 694.
SUR L’ABSENCE DE TITRE EXECUTOIRE.
Il faut qu’il existe une créance liquide
certaine et exigible, que le jugement ou les jugements aient acquis la force de
l’autorité jugée.
Que
sur les demandes du commandement du 20 octobre 2003, les titres ne peuvent
avoir acquis l’autorité de chose jugée, par l’impossibilité de saisir les voies
de recours.
Les
décisions n’ont jamais sur le fondement de l’article 503 du NCPC étaient
signifiées à leur personne et comme il est reconnu dans les actes de
signification seulement en mairie par procès verbaux repris par seulement des
croix, interdit et entaché de nullité par une jurisprudence constante.
Art.
503 Les jugements ne
peuvent être exécutés contre ceux auxquels ils sont opposés qu'après leur avoir
été notifiés, à moins que l'exécution n'en soit volontaire.
. Principe. Les jugements, même passés
en force de chose jugée, ne peuvent être exécutés contre ceux auxquels ils sont
opposés qu'après leur avoir été régulièrement notifiés, à moins que l'exécution
ne soit volontaire. Civ. 2e,
29 janv. 2004: Bull. civ. II,
no 33; JCP 2004. IV. 1562; Gaz. Pal. 13-15
mars 2005, p. 21, obs. du Rusquec. - V. aussi Civ. 2e, 18 déc. 2003: D. 2004. Somm.
1496, obs. Taormina. Les décisions de la CIVI n'échappent pas à ce
principe. Civ. 2e, 16
juin 2005: Bull. civ. II, no
155; JCP 2005. IV. 2757.
Les mentions portées sur
l'original d'un acte de signification quant à sa date et aux diligences
accomplies par l'huissier de justice font foi jusqu'à inscription de faux (2e
Civ., 2 avril 1990, Bull.
1990, II, n° 72, pourvoi n° 89-10.933 ; 20 novembre 1991, Bull. 1991, II, n° 314, pourvoi
n° 90-15.591 ; 2e Civ., 30 juin 1993, Bull. 1993, II, n° 237, pourvoi
n° 91-19.189 ; chambre mixte, 6 octobre 2006, Bull. 2006, Ch. mixte, n° 8, pourvoi
n° 04-17.070), même s'il s'agit de mentions pré-imprimées
(2e Civ., 23 novembre 2000, inédit, pourvoi n° 99-15.233 ; 2e
Civ., 31 janvier 2002, inédit, pourvoi n° 00-18.183 ; 2e Civ.,
21 septembre 2005, inédit, pourvoi n° 04-16.112 ; 2e Civ.,
29 mars 2006, inédit, pourvoi n° 04-17.946).
Si le juge peut estimer que les
croix apposées dans les cases des rubriques des mentions pré-imprimées
ne révèlent pas de diligences précises et concrètes suffisantes, il ne peut, en
revanche, remettre en cause la réalité des investigations que l'huissier
instrumentaire a affirmé avoir effectuées.
Par
l’absence signification sur le fondement de l’article 503 du NCPC les jugements
prétendus de créances dans le commandement ne sont pas exécutoires.
« Juris-classeur »
La
signification doit être déclarée nulle en raison de l'atteinte portée aux
droits de la défense (TGI Paris, 20 déc. 1972 : D. 1973, p. 204 ; JCP
1973GII, 6263, obs. J.A. ; RTD civ. 1973, p. 168,
note P. Raynaud).
·
Violation
de l’article 673 de l’ANCPC
SUR L’ABSENCE POUVOIR
Au Préalable
d’une saisie immobilière il est d’ordre public que soit respecté les règles de
procédures sous peine de nullité de l’article 715 du ANCPC.
Le pouvoir
par un acte commun produit en saisie immobilière pour le commandement du 20
octobre est celui du 9 septembre 2002 au profit de CETELEM, PASS, ATHENA
Banque.
Cette
dernière n’ayant plus d’existence juridique depuis décembre 1999 et confirmé
par l’arrêt de la cour d’appel de Toulouse rendu le 16 mai 2006 annulant son
précédent commandement du 5 septembre 2003 ( arrêt du 16 mai 2006).
·
Violation
de l’article 673 de l’ANCPC.
Cette irrégularité entraîne la nullité du commandement
délivré le 20 octobre 2003 dans son entier, dés lors que les créanciers poursuivants
représentés par la même personne morale et ayant donné un seul pouvoir spécial
ont délivré un seul commandement et qu’un tel acte unique destiné à la
publication est indivisible par sa nature.
SUR LA NULITE DU COMMANDEMENT du 20 octobre 203 ARTCLE
648 NCPC.
Art. 648 Tout acte d’huissier de justice indique,
indépendamment des mentions prescrites par ailleurs :
CI.
Sa
date ;
2. a) Si le requérant est une personne physique :
ses nom, prénoms, profession, domicile, nationalité, date et lieu de naissance ;
CI.
Si
le requérant est une personne morale : sa forme, sa dénomination, son
siège social et l’organe qui la représente légalement.
3. Les nom, prénoms, demeure et
signature de l’huissier de justice ;
4. Si l’acte doit être signifié,
les nom et domicile du destinataire, ou, s’il s’agit d’une personne morale, sa
dénomination et son siège social.
Ces mentions sont
prescrites à peine de nullité.
En l’espèce :
Sur
le commandement du 20 octobre 2003 est mentionné la Société AGF Banque sous la
dénomination au RCS : N° B 572 199 461 dont le siège social est
à Saint Denis 164, rue Ambroise Croisat.
(Ci-joint KBIS).
Sous
cette immatriculation AGF est radiée depuis le 13 février 2003.
A
cette adresse ne correspond pas cette société au N° immatriculation ci-dessus.
La
société aux références ci-dessus n’est pas identifiable et porte préjudice à
Monsieur et Madame LABORIE.
Cette
irrégularité fait nécessairement grief au défendeur qui est privé de la
possibilité de faire signifier régulièrement au requérant les actes de procédures
qu’il accomplit ainsi que les décisions rendues.
Art. 117 Constituent des irrégularités de fond
affectant la validité de l’acte :
Le défaut de capacité d’ester en
justice ;
Le défaut de pouvoir d’une partie
ou d’une personne figurant au procès comme représentant soit d’une personne
morale, soit d’une personne atteinte d’une incapacité d’exercice ;
Le défaut de capacité ou de
pouvoir d’une personne assurant la représentation d’une partie en justice.
**
Le commandement de saisie
immobilière du 20 octobre 2003 est un exploit d’huissier qui est soumis aux
dispositions des articles 648 et suivants du nouveau code de procédure civile.
Est donc entaché d’une régularité de fond pour défaut de
capacité au sens de l’article 117 du nouveau code de procédure civile, l’acte
délivré au nom d’une société A.G.F aux références
ci-dessus radiée depuis le 13 février 2003.
Cette irrégularité entraîne la nullité du commandement
délivré le 20 octobre 2003 dans son entier.
SUR LE DEFAUT
DE PUBLICATION
Commandement du 20 octobre 2003
Au Préalable
de la saisine de la chambre des criées : il est d’ordre public que soit
respecté les règles de procédures sous peine de nullité de l’article 715 du ANCPC.
Art. 674 (Abrogé par Ord. no 2006-461 du 21 avr. 2006) (Décr.
no 59-89 du 7 janv. 1959)
Le commandement vaut saisie
des biens qui ont été désignés à partir de sa publication au bureau des
hypothèques de la situation des biens.
Les états sur cette formalité ne
pourront être requis du conservateur des hypothèques avant vingt jours écoulés
depuis la date du commandement.
_ 2. Délai de publication du commandement.
La déchéance est encourue en l'absence de préjudice. Civ. 2e, 28 mai 1984: Gaz. Pal. 1984. 2. Pan. 317,
obs. Véron. Sur la nécessité de réitérer le
commandement, V. Com. 15 juill.
1987: Gaz. Pal. 1988. 1. Somm. 155, obs. Véron. Comp.: Com. 25
nov. 1997: Procédures 1998. comm.
43, obs. Croze.
_ 2 bis. La preuve, à la charge du
créancier, du respect du délai de publication, ne peut résulter que du document
établi par la conservation des hypothèques. Civ. 2e, 16 oct. 2003: Bull. civ. II,
no 314; JCP 2004. IV. 2914; Gaz. Pal.
21-22 juill. 2004, p. 33, obs. Brenner.
·
(
arrêt de la cour de cassation N° 703 en pièce jointe ).
Qui
reprend : Les états de publication du commandement aux fins de saisie
immobilière ne peuvent à peine de déchéance être requis du conservateur des
hypothèques avant 20 jours écoulés depuis la date de ce commandement.
Civ.2- 12 mars 1997 CASSATION
SANS RENVOI.
CONSEQUENCES :
Sous
l’ancienne procédure de saisie immobilière dont, fait l’objet Monsieur et
Madame LABORIE, la chambre des criées ne peut donc pas être saisie par le
commandement du 20 octobre 2003.
Seule
la chambre des criées peut être saisie par un acte authentique «
hypothèque conventionnelle ».valide, ce qui n’est pas le cas, l’acte du 2
mars 1992 est inscrit en faux intellectuel. ( ci-joint pièce)
Seule
la chambre des criées peut être saisie que par un commandement aux fin de saisie
immobilière régulier sur la forme et sur le fond et régulièrement publié.
En
l’espèce, la chambre des criées ne peut être saisie par le commandement du 20
octobre 2003
Que la procédure de subrogation en son jugement du 29 juin 2006, fondée
sur le commandement du 20 octobre 2003 est entaché de plein droit de vice de
fond et de forme.
La fraude est caractérisée.
Fraude encore plus grave sur la délivrance du
commandement du 20 octobre 2003 par faux et usage de faux de l’acte introduit
le 11 mars 2003.
Ce nouveau commandement du 20 octobre 2003 ne pouvait
être renouvelé au vu des éléments que je reprends et pour le compte de
CETELEM ; PASS ; ATHENA.
Absence pouvoir valide en saisie immobilière « d’ordre
public ». Article 673 ancpc
Absence de créances liquides certaines et exigibles par
l’absence de significations régulière des différents jugements, privant des
voies de recours de Monsieur et Madame LABORIE. Article 673 du ancpc
Absence de signification régulière des titres de créances
prétendues par dans un délai de deux ans, « péremption
d’instance », violation de l’article 503 du NCPC.
Déchéance de la procédure de saisie immobilière à l’encontre de
CETELEM, PASS, ATHENA par jugement du 19 décembre 2002.
Interdiction de délivrer un nouveau commandement par le
jugement annulant la procédure de saisie immobilière rendu le 19 décembre 2002.
( ci-joint)
( Fraude) Nullité de la requête par un acte commun du 11
mars 2003 pour le compte de la CETELEM, PASS, ATHENA et pour obtenir le droit
de délivrer un nouveau commandement, faute de quoi, aucune autre poursuite ne
pourra être utilement reprise pendant une nouvelle période de 3 ans. (
requête ci jointe ).
Athéna Banque
n’ayant aucune existence juridique depuis décembre 1999.
·
Confirmation par l’arrêt de la cour d’appel de Toulouse
en date du 16 mai 2006.
Qu’en conséquence : Nullité de la décision du 15
avril 2003 ordonnant la prorogation de la publication pour une durée de trois
ans suite à la requête introductive du 11 mars 2003 entachée de nullité par un
acte commun, la société Athéna banque n’avait plus d’existence juridique depuis
décembre 1999 et confirmé par l’arrêt de la cour d’appel rendu le 16 mai 2006.
Nullité des actes pour irrégularité de fond
Art. 117 Constituent des irrégularités de fond
affectant la validité de l'acte:
Le défaut de capacité d'ester en
justice;
Le défaut de pouvoir d'une partie
ou d'une personne figurant au procès comme représentant soit d'une personne
morale, soit d'une personne atteinte d'une incapacité d'exercice;
Le défaut de capacité ou de
pouvoir d'une personne assurant la représentation d'une partie en justice.
Est donc entaché d’une régularité de fond dans son
entier acte et pour défaut de capacité au sens de l’article 117 du
nouveau code de procédure civile, la requête du 6 mars 2003 « enregistrée
le 11 mars 2003 » pour le compte CETELEM, PASS, ATHENA.
Qu’en conséquence le jugement incident du 15 mai 2003
pour le compte de CETELEM, PASS, ATHENA est entaché de nullité.
Que le dernier acte valide est celui du 19 décembre 2002
donnant déchéance de saisie immobilière et non contesté par la voie d’appel qui
était ouverte aux parties adverses.
Bien qu’une publication irrégulière ait été faite le 24
septembre 2002 pour une durée de 3 ans soit jusqu’au 24 septembre 2005, par la
déchéance de la saisie immobilière faite et confirmée par le jugement du 19
décembre 2002 et par la nullité de la requête du 11 mars 2003 entraînant de
droit la nullité du jugement incident du 15 mai 2003, qu’aucune prorogation de publication
de pouvant exister à la conservation des hypothèque saisissant la chambre des
criées pour le compte de CETELEM , PASS, ATHENA.
Qu’en conséquence la chambre des criées ne pouvant être
saisie par le commandement du 20 octobre 2003 et par sa publication
irrégulière, ce commandement du 20 octobre 2003 ne peut juridiquement servir de
base aux poursuites pour ordonner un jugement de subrogation à la Commerzbank
en date du 29 juin 2006.
SUR L’IREGULARITE
DE DROIT ET DE FOND DE LA DEMANDE DE
SUBROGATION PAR LA COMMERZBANK.
La
Commerzbank ne pouvait faire délivrer une demande de subrogation de procédure
de saisie immobilière sur le fondement du commandement du 20 octobre 2003, ce
dernier étant nul et ne pouvant saisir la chambre des criées.
Que
cette demande a été faite par une sommation aux société CETELEM , PASS, ATHENA
et une dénonce par ces dernières comme confirmé par le jugement de subrogation
du 29 juin 2006.
A
) Sur la
sommation :
Celle-ci a été faite par un acte unique à la société CETELEM,
PASS et ATHENA banque comme il est confirmé dans le jugement de subrogation
rendu le 29 juin 2006.
Que cette sommation est entachée de nullité, la société
Athéna banque n’existe plus depuis décembre 1999 ( arrêt du 16 mai 2006).
B ) Sur la dénonce :
Cette dénonce a été effectuée par un acte unique à la société CETELEM, PASS
et ATHENA banque comme il est confirmé dans le jugement de subrogation rendu le
29 juin 2006.
Que cette dénonce est entachée de nullité, la société
Athéna banque n’existe plus depuis décembre 1999 ( arrêt du 16 mai 2006).
Ces deux actes sont donc entaché d’une régularité de fond
dans son entier acte et pour défaut de capacité au sens de
l’article 117 du nouveau code de procédure civile de la société ATHENA.
Qu’en conséquence la subrogation est impossible sur le
fondement des poursuites du commandement du 20 octobre 2003.
La
Commerzbank se devait pour poursuivre Monsieur et Madame LABORIE faire
signifier un commandement au fin de saisie immobilière en respectant les
articles : 673, 674, 688, 689, 690, 692, 694 de ancien code de procédure
civile sous peine de déchéance de l’article 715 de l’ANCPC.
Or en l’espèce les formalité « d’ordre
public » n’ont pas été
respectées en ses articles 673 ; 674 ; 688 ; 689 ;
690 ; 692 ; 694 de l’ancpc.
Art. 715 (Abrogé par
Ord. no 2006-461 du 21 avr. 2006; Décr. no
59-89 du 7 janv. 1959) «Les délais prévus aux articles 673, 674, 688,
689, 690, 692, 694, paragraphes 2 et 3, (Abrogé par Décr.
no 2002-77 du 11 janv. 2002,
art. 11) «696, 699,» 702, 703, paragraphes 4 et 5, 704, paragraphes
1er et 2, 705, 706, 708 à 711 sont
prescrits à peine de déchéance.
·
Absence
de créance de la Commerzbank, certaines, liquides et exigibles.
·
Absence
d’un commandement aux fins de continuation de poursuite aux fins de saisie
immobilière.
·
Absence
de publication à la conservation des hypothèques.
·
Absence
de dépôt d’un cahier des charges à la chambre des criées.
·
Absence de notification aux saisis du dépôt du cahier des
charges.
-
La Commerzbank doit être déchue de la
procédure de saisie immobilière saisissant la chambre des criées par le
jugement de subrogation.
SUR LE NULLITE DES ACTES
DE SIGNIFICATIONS
·
I /
Sur le jugement de subrogation du 29 juin 2006 par la Commerzbank.
·
II
/ Sur le jugement du 26 octobre 2006 par la Commerzbank.
I / Sur le jugement de subrogation du 29 juin 2006 par
la Commerzbank.
Monsieur
LABORIE André était détenu provisoirement du 14 février 2006 jusqu’au 14
septembre 2007, Maison d’arrêt de SEYSSES et Montauban.
Que
la signification à la maison d’arrêt de Seysses est
nulle portant préjudice aux droits de défense de Monsieur LABORIE André et pour
le compte de Monsieur et Madame LABORIE.
« Juris-classeur »
La
signification doit être déclarée nulle en raison de l'atteinte portée aux
droits de la défense (TGI Paris, 20 déc. 1972 : D. 1973, p. 204 ; JCP
1973GII, 6263, obs. J.A. ; RTD civ. 1973, p. 168,
note P. Raynaud).
Le
décret n° 2005-1678 du 28 décembre 2005, entré en vigueur le
1er mars 2006,
De même, est nulle la signification d'un acte dès lors
que le requérant a volontairement laissé l'huissier de justice dans l'ignorance
de la véritable adresse du destinataire et a, de manière malicieuse, fait
signifier cet acte en un lieu dont il sait que le destinataire est propriétaire
mais où il ne réside pas (2e Civ., 21 décembre 2000, Bull. 2000,
II, n° 178, pourvoi n° 99-13.218).
Article
648 du NCPC jurisprudence : d’ordre public »
12. Le
domicile s'entend du lieu du principal établissement de l'intéressé et
non d'un simple lieu d'incarcération provisoire dans une maison d'arrêt.
TGI Paris , 12 mai 1993: Rev. huiss. 1993. 1185.
Qu’en conséquence l’acte n’a pas été porté à la
connaissance de Monsieur LABORIE André régulièrement par huissier de justice
par une signification régulière conformément
à la loi, figure un faux en écriture mentionnant que Monsieur LABORIE André
s’est refusé de recevoir l’acte.
L’acte a été seulement communiqué par courrier simple.
La cour de cassation
a du précisé que cette
communication faisait pas courrier le délais de recours ouvert au destinataire.
La communication ne vaut pas notification, de sorte que l’ordonnance peut
toujours être frappé d’un recours. (cassation. Com, 4 juillet 1997 ( N°
97-21.324, N° 1517 D) .
Qu’au vu de l’article 503 du NCPC : la mise en
exécution du jugement de subrogation est nulle de plein droit.
Art.
503 Les jugements ne
peuvent être exécutés contre ceux auxquels ils sont opposés qu'après leur avoir
été notifiés.
. Principe. Les jugements, même passés en
force de chose jugée, ne peuvent être exécutés contre ceux auxquels ils sont
opposés qu'après leur avoir été régulièrement notifiés, à moins que l'exécution
ne soit volontaire. Civ. 2e,
29 janv. 2004: Bull. civ. II,
no 33; JCP 2004. IV. 1562; Gaz. Pal. 13-15
mars 2005, p. 21, obs. du Rusquec. - V. aussi Civ. 2e, 18 déc. 2003: D. 2004. Somm.
1496, obs. Taormina. Les décisions de la CIVI n'échappent pas à ce
principe. Civ. 2e, 16
juin 2005: Bull. civ. II, no
155; JCP 2005. IV. 2757.
En
l’espèce la procédure est viciée sur la forme, le jugement de subrogation n’a
pas été notifié conformément à l’article 503 du NCPC, il ne peut servir de
fondement aux poursuites de saisies immobilières.
Conséquence
le renvoi à l’audience du 26 octobre 2006 est nul, la chambre des criées ne
peut encore une fois être valablement saisie.
En
son audience par jugement du 26 octobre 2006, ce dernier découlant du jugement
du 29 juin 2006 est en conséquence nul de plein droit, ne pouvant renvoyer la
vente devant la chambre des criées pour le 21 décembre 2006.
Que
le jugement du 26 octobre 2006 bien qu’il soit déjà nul, ne peut être mis en
exécution sans une signification régulière sur le fondement de l’article 503 du
NCPC.
Que
la signification faite de ce jugement du 26 octobre 2006 est nulle, intervenue
par huissier de justice le 16 novembre 2006, précisant que je pouvais former un
pouvoir en cassation dans les deux mois.
Encore
une fois la chambre des criées alors quelle été préalablement saisie
irrégulièrement se devait de respecter le délai des voies de recours et ne
pouvant fixer la date d’audience de la vente aux enchère le 21 décembre 2006.
Aucune
communication du cahier des charges aux parties saisies.
·
Violation
des articles 673, 674, 688, 689, 690, 692, 694 de l’ancien code de procédure
civile.
Sur
le fondement de l’article 715 de l’ancpc « d’ordre public » est
encourue la déchéance de toute la procédure de saisie immobilière à l’encontre
de Monsieur et madame LABORIE.
Art.
715 (Abrogé par Ord. no
2006-461 du 21 avr. 2006; Décr. no
59-89 du 7 janv. 1959) «Les délais prévus aux articles 673, 674, 688,
689, 690, 692, 694, paragraphes 2 et 3, (Abrogé par Décr.
no 2002-77 du 11 janv. 2002,
art. 11) «696, 699,» 702, 703, paragraphes 4 et 5, 704, paragraphes
1er et 2, 705, 706, 708 à 711 sont
prescrits à peine de déchéance. Les formalités prescrites par les mêmes
articles ne seront sanctionnées par la nullité que si l'irrégularité a eu pour
effet de causer un préjudice aux intérêts des parties en cause.»
DÉCHÉANCES.
_ 1. La déchéance que prévoit l'art. 715,
pour l'inobservation des délais qu'il énumère, est encourue même en l'absence
de préjudice. Civ. 2e, 28 nov. 1979: Bull. civ. II,
no 279; D. 1980. IR. 152, obs. Julien; Gaz. Pal. 1980. 2. 192, note J. V.; JCP 1980. II. 19471, note R. Martin 12 mars
1980: D. 1980. IR. 328 2
oct. 1980: D. 1981. IR. 152, obs.
Julien 25 nov. 1981:
D. 1982. IR. 228; Bull. civ. II, no 202
24 nov.
1982: D. 1983. IR. 422, obs. Julien
28 mai
1984: D. 1985. IR. 54 29 oct. 1986: Bull.
civ. II, no 153 16 mai
1990: Bull. civ.
II, no 94; D. 1990. Somm.
349, obs. Julien; Gaz. Pal. 1990. 2. Somm. 628, obs. Véron.
Que
l’adjudication a bien été obtenu par une fraude en date du 21 décembre 2006
caractérisée depuis le début par l’obtention du jugement de subrogation fondé
sur de fausses information juridiques données et profitant que Monsieur LABORIE
André ne pouvant agir dans les droits de défense de Monsieur et Madame LABORIE,
privé de l’assistance d’un avocat après saisine de Monsieur le Bâtonnier et
pour déposer un dire.
Que
cette situation faite par les conseils des parties a bien été préméditée avec
une collusion certaine des partie et de la chambre des criées, au préalable
pour écarter Monsieur LABORIE de tout débat juridique devant la chambre des
criée de Toulouse s’est vu poursuivi le 5 décembre 2005 d’un outrage par
calomnie dans le seul but et en toute
tranquillité de spolier par faux et usage de faux intellectuels la résidence de
Monsieur et Madame LABORIE.
L’intention de cette fraude est caractérisée par les différents courriers envoyés à Monsieur le
Président de la Chambre des criées lui portant à sa connaissance par lettre
recommandée les difficultés de ce dossier et les différentes voies de recours
formées entre autre contre le jugement de subrogation dont un pourvoi en
cassation a été formé le 17 août 2006
avant la date d’audience du 26 octobre, demande restée sans réponse.
L’intention de cette fraude est caractérisée par le non respect des délai de recours contre la
décision du 26 octobre « le pourvoi » ou le juge des criées se
devait de vérifier si la signification avait été régulièrement opérer pour
faire droit à la défense de la partie adverse pour déposer un dire.
Précisant
en plus que les significations étant déjà irrégulière sur le lieux de détention
portant griefs aux droits de défense mais encore plus par les délais de voies
de recours non respectés.
Cette
procédure de saisie immobilière a bien été prémédité dans un contexte bien
particulier par faux et usage de faux intellectuels et portant grief aux droits
de défense de Monsieur et Madame LABORIE .
Elle
a été initiée en collusion « Fraude » de la SCP
d’avocats Frances et autres.. , ayant assisté par calomnie à la dénonciation de
l’outrage par Monsieur CAVES Michel Président de la Chambre des criées et de
ces avocats « MUSQUI, FRANCES » en sa plainte du 5 décembre 2005 à
Monsieur le Procureur de la République pour des faits qui se seraient déroulés
le 6 octobre 2005 ou j’étais présent et régulièrement convoqué. « qu’une
plainte a été déposé à la Gendarmerie de
saint Orens le 18 janvier 2006 contre Monsieur CAVES
Michel pour dénonciation calomnieuse en son courrier du 5 décembre 2005.
L’intention
de nuire de Monsieur CAVES Michel est
réelle par le refus de respecter les différentes voies de recours exercées, par
le non respect des règles de procédures civiles et à vérifier les différents
actes.
L’intention
de nuire de Monsieur CAVES Michel est
réelle, celui-ci se devait de se déporter dans l’affaire au vu de la plainte
qu’il a déposée par calomnie à l’encontre de Monsieur LABORIE André en date du
18 janvier 2006.
L’impartialité
de Monsieur CAVES est établie.
Violation
de l’article 6 de la CEDH, le procès n’a pas été équitable entre les parties.
La
fraude est établie par les preuves apportées.
CONCLUSION, LA FRAUDE EST PARFAITE.
La
fraude est caractérisée par la violation des règles de droit et par les écrits
et preuves apportées dans l’instance devant la Cour d’appel de Toulouse.
En
son arrêt du 21 mai 2007 dont révision est demandée pour des éléments nouveaux
obtenus postérieurement à la décision rendue et prouvant que le jugement
d’adjudication du 21 décembre 2006 a bien été obtenu par une procédure de saisie
immobilière effectuée par la fraude.
La fraude est caractérisée par une enquête que j’ai fait diligenter
auprès de l’adjudicataire, avant le 15 décembre 2006.
Madame
D’ARAUJO épouse BABILE a été choisi à l’avance de
l’audience de l’adjudication privant de ce fait d’autre personne se portant
adjudicataire.
Madame
D’ARAUJO épouse BABILE qui est une personne d’environ
de 80 ans, ayant par son passé et par
son activité professionnelle une relation très rapprochée avec le cabinet
d’avocat Frances et autres.., a été sollicité et choisi d’avance comme
adjudicataire.
Explication : (après
sa conversation) de Madame BABILE
Son avocat l’aurait mis en confidence :
C’est
une affaire !!!, Madame LABORIE est prête à partir, Monsieur est en
prison, le fils n’habite plus là !!, il n’y a aucun problème !!!
Ils
sont rentrés en force le 19 novembre 2006 à notre domicile avec 30 personnes
pour la visiter, elle a été choisie et elle a payé cette maison pour son petit
fils.
Le
petit fils maintient le souhait de la garder cette maison « Monsieur
TEULE Laurent »
Ce
dernier dit avant l’adjudication que rien n’est suspensif et qu’il a déjà
convoqué les entreprises pour les travaux du haut, pour les devis.
Violation
du domicile de Monsieur et Madame LABORIE en date du 19 novembre 2006.
Pour
pénétrer dans le domicile et dans le cadre d’une procédure de saisie
immobilière avec vente aux enchères, doit au préalable être ordonné une
ordonnance sur requête autorisant la visite du domicile et opposable aux
parties par signification d’acte à personne de Monsieur et Madame LABORIE.
Or Monsieur LABORIE André
encore une fois n’a pas eu connaissance de cette ordonnance Nouveau vice de
procédure !!
Causant grief à Monsieur et Madame LABORIE ne
pouvant faire rétracter l’ordonnance rendue dans les délais requis et sur la
seule demande de la partie adverse.
Dans
ce contexte la Cour d’appel « dans le procès en révision ouvert
» doit réformer l’arrêt du 21 mai 2007 et statuer en droit au vu de
la fraude caractérisée « moyens de défense non respectés » d’ordre
public et non pas seulement au vu du seul titre d’adjudication et en
reprenant le fond de l’assignation du recours en révision dont Monsieur et
Madame LABORIE expliquent le déroulement
avec preuve à l’appuis et juridique de la Fraude établie au cours de la
procédure de saisie immobilière pour obtenir la vente aux enchères de notre
résidence principale reconnue par le jugement d’adjudication rendu le 21
décembre 2006 et ^par ces conclusions complétives.
Que
les préjudices sont très importants.
VII / Sur la procédure postérieure du jugement
d’adjudication, obtention d’une ordonnance irrégulière d’expulsion.
DANS CES CONDITIONS CI-DESSUS DE
FRAUDE:
Madame D’ARAUJO épouse BABILE est devenue adjudicataire en
son audience du 21 décembre 2006 et qu’un jugement a été rendu, des obligations
d’ordre public s’imposent.
(Formalités
postérieures requises pour l’exécution du jugement .
·
Le signification du jugement d’adjudication après obtention
après paiement.
·
La publication du jugement hors les voies de recours.
·
La mention du jugement en marge de la publication du
commandement.
Cette étape au vu de l’obtention du jugement d’adjudication
en date du 21 décembre 2006, est applicable le décrêt du 27 juillet 2006
N° 2006-936 du 27 juillet 2006 au 1er janvier 2007 et de
l’ordonnance du 21 avril 2006
Sur l’application du décrêt du 27
juillet 2006 N° 2006-936 du 27 juillet 2006 et de l’ordonnance du 21 avril 2006
au 1er janvier 2007 dont application immédiate.
Art. 2 du code civil :
-
La
loi ne dispose que pour l'avenir; elle n'a point d'effet rétroactif.
_ A. PRINCIPE GÉNÉRAL DE NON-RÉTROACTIVITÉ
DES LOIS.
_ 1. Caractère d'ordre public. La règle de non-rétroactivité
des lois est d'ordre public et peut être soulevée d'office par le juge.
Civ. 3e, 21 janv. 1971:
JCP 1971. II. 16776, note Level.
_ 11. Applications: actes de procédure. Si
une loi nouvelle est d'application immédiate, elle ne peut, sans rétroactivité,
atteindre les effets de la situation juridique définitivement réalisée
antérieurement. Com. 9 oct. 1984: Bull.
civ. IV, no 258. - Même
sens: Crim.
18 juin 1975: Gaz. Pal. 1975. 2. 661. L'application immédiate d'une loi
nouvelle est sans effet sur la validité des actes de procédure accomplis selon la loi alors en vigueur.
Com. 27 janv. 1998: Bull. civ.
IV, no 46.
Source Juris-Classeur 2008 :
Le
jugement d'adjudication ne statue pas sur un litige. Il se borne à constater
soit que les enchères ont été reçues et que la plus forte et dernière enchère
ayant été portée par telle partie, celle-ci a été déclarée adjudicataire, soit
qu'aucune enchère n'ayant été portée, le poursuivant a été déclaré adjudicataire
pour la mise à prix. Ce jugement est ainsi, par sa nature, une sorte de «
procès-verbal » d'acte judiciaire. Telle était la formule employée, jadis, par
la Cour de cassation (Cass. req., 18 févr. 1846 : DP
1846, 1, p. 134).Elle le qualifie aujourd'hui, de « contrat judiciaire » (Cass.
2e civ., 6 janv. 1966 : Bull. civ. II, n° 1. - 5 mars 1970 : Bull. civ. II, n°
81. - 20 oct. 1970 ; Bull. civ. II, n° 287. - 4 févr. 1976 : Bull. civ. II, n°
35. - 19 janv. 1977 : Gaz. Pal. 1977, 2, 455 note Viatte.
- 9 juin 1982 : Rev. huissiers 1984, 341 note D.
Talon. - 16 juill. 1987 : Rev. huissiers 1988, 1619,
note D. Talon. - 20 oct. 1993 : JCP G 1993, IV, n° 2685).
La qualification de contrat entraîne cette
conséquence que, comme tout contrat, il peut être annulé, notamment pour vice
de consentement. Ainsi, il a été jugé que l'adjudicataire, dont le consentement
a été vicié du fait d'une erreur sur une qualité substantielle de la chose par
suite de mentions inexactes dans le cahier des charges, était fondé à demander
en justice la nullité de l'adjudication (TGI Charleville, 8 févr. 1980 : D.
1980, inf. rap. p. 488).
Le jugement d’adjudication obtenu le 21 décembre 2006
n’est pas une situation juridique définitivement réalisée « parfaite »
sachant que celui-ci est soumis à des formalités d’ordre public, par différents
actes juridiques postérieurs pour mettre en exécution le jugement.
Légifrance guide Légistique ( ci-joint en pièce)
Une situation est qualifiée comme constituée dans la
mesure oû elle est juridiquement « parfaite », c'est-à-dire
définitivement fixée avant l’intervention de la règle nouvelle.
En l’absence de situation constituée, il est jugé, en
revenche, que les nouvelles régles de procédure s’appliquent à l’enseble des
procédures préparatoires à des actes qui n’ont pas été pris à la date à
laquelle elles entrent en vigueur.
Qu’en conséquence le décrêt du 27 juillet 2006 N°
2006-936 du 27 juillet 2006 est applicable au 1er janvier 2007 aux
formalités postérieuses requises pour l’exécution du jugement d’adjudication.(
ci-joint sources jurisclasseur)
Sur l’obtention de la Grosse
exécutoire
Pour que soit signifier le jugement d’adjudication, il faut obtenir la grosse
exécutoire,
Que
la grosse exécutoire du jugement est obtenue que sur justificatif de paiement
de l’adjudication, des frais ordinaires et des frais extraordinaires, ces
derniers dans un délai de 20 jours selon le fondement de l’article 713 de l’acpc.
·
L'adjudicataire
qui ne fera pas ces justifications dans les vingt jours de l'adjudication,
pourra être poursuivi par la voie de folle enchère, sans préjudice des autres
voies de droit. — Sur l'entrée en
vigueur de l'Ord. no 2006-461 du 21 avr.
2006, V. note ss. art. 673.
Article 101 Décret
n°2006-936 du 27 juillet 2006
Toute personne qui
poursuit la réitération des enchères se fait délivrer par le greffe un
certificat constatant que l'adjudicataire n'a pas justifié de la
consignation du prix ou du paiement des frais taxés dans le délai de 20 jours.
La personne qui
poursuit la réitération des enchères fait signifier le certificat au saisi, à
l'adjudicataire et, le cas échéant, au créancier ayant sollicité la vente.
Outre les mentions
prescrites pour les actes d'huissier de justice, la signification faite à
l'acquéreur comporte, à peine de nullité :
1° La sommation
d'avoir à payer le prix et les frais de la vente dans un délai de huit jours ;
2° Le rappel des dispositions du second
alinéa de l'article 2212 du code civil et des articles 7, 83, 86, 102, 103 et
106 du présent décret.
Cite:
Décret
2006-936 2006-07-27 art. 7, art. 83, art. 86, art. 102, art. 103, art. 106
Code
civil - art. 2212 (M)
Qu’en conséquence la consignation du prix ou
du paiement des frais taxés et d’ordre public dans le délai de 20 jours.
Sur le paiement de l’adjudication.
Que
le jugement d’adjudication doit être payé dans le délai de deux mois à la date
que celui-ci a été rendu article 83 du décrêt
du 27 juillet 2006 N° 2006-936 du 27 juillet 2006 applicable au 1er
janvier 2007.
Article 83 : la consignation du prix à laquelle
est tenu l’adjudicataire en application de l’article 2212 du code civil
doit être opérée dans un délai de deux mois à compter de la date d’adjudication
définitive, à peine de réitération des enchères.Passé ce délai, le prix de
vente est augmenté de plein droit des intérêts au taux légal jusqu’à la consignation
complète du prix.
Article 2212 du code civil
A défaut de
consignation du prix et de paiement des frais, la vente est résolue de
plein droit.
L'adjudicataire
défaillant est tenu au paiement de la différence entre son enchère et le prix
de la revente, si celui-ci est moindre. Il ne peut prétendre à la répétition
des sommes qu'il a acquittées.
NOTA:
Ordonnance 2006-461 2006-04-21 art. 23 : La présente ordonnance entrera en
vigueur à la date de l'entrée en vigueur du décret en Conseil d'Etat prévu à
l'article 23 et, au plus tard, le 1er janvier 2007.
Cité par:
Décret
n°2006-936 du 27 juillet 2006 - art. 101 (V)
Décret
n°2006-936 du 27 juillet 2006 - art. 83 (V)
Sur la publication du jugement d’adjudication.
Que le jugement
d’adjudication doit être publié à
la conservation des hypothèques :
·
Art.
750 (Abrogé par Ord. no 2006-461 du 21 avr. 2006) (Décr.
no 59-89 du 7 janv. 1959)
«L'adjudicataire est tenu de
faire publier au bureau des hypothèques le jugement d'adjudication dans les deux
mois de sa date, et, en cas d'appel, dans les deux mois de
l'arrêt confirmatif, sous peine de revente sur folle enchère.
·
«Le
saisissant, dans la huitaine après la publication, et, à son défaut, après ce
délai», le créancier le plus diligent, la partie saisie ou l'adjudicataire,
dépose au greffe l'état des inscriptions, requiert l'ouverture du procès-verbal
d'ordre, et, s'il y a lieu, la nomination d'un juge-commissaire.
·
Cette
nomination est faite par le président, à la suite de la réquisition inscrite par
le poursuivant sur le registre des adjudications tenu à cet effet au greffe du
tribunal. — Pr.
657 , 658 , 733 s. ;
Civ. 2481. — Sur l'entrée en vigueur de l'Ord. no
2006-461 du 21 avr. 2006, V. note ss. art. 749.
Source juris-classeur 2008 idem que
précédent.
·
Si
le jugement d'adjudication a été frappé d'appel le délai de publication court
du jour de l'arrêt qui confirme le jugement ou qui déclare l'appel non
recevable (Cézar-Bru, op. cit., n° 195-196, texte et
note 2). Si la nullité de l'adjudication a été demandée, le
délai court du jour du jugement, ou de l'arrêt en cas d'appel, qui déclare
l'adjudication valable (Cézar-Bru, op. et loc.
cit.).
Que
Monsieur et Madame LABORIE ont relevé appel du jugement d’adjudication
« pour fraude en la procédure de saisie immobilière par assignation en
date du 9 février 2007, acte signifié aux parties et dénoncé à Monsieur,
Madame le greffier en chef au T.G.I de Toulouse.
Configuration ou se trouve Madame
D’ARAUJO épouse BABILE devenue adjudicataire le 21 décembre 2006, cette
dernière ne pouvant être propriétaire,
Que tous les actes postérieurs au
jugement d’adjudications sont nuls pour les moyens de droit invoqués ci-dessous
et ci dessus.
Sur la non propriété de Madame
D’ARAUJO épouse BABILE,
impliquant de ce fait la propriété de
Monsieur et Madame LABORIE
Monsieur et Madame LABORIE ont relevé appel de l’obtention du
jugement d’adjudication en date du 21 décembre 2006 et pour en demander la
résolution pour fraude devant la cour d’appel de Toulouse par assignation du 9
février 2007 signifiée par huissier de justice et dénoncée au greffe du
Tribunal de grande instance de toulouse.
Que le greffier en chef, ne pouvait faire délivrer la grosse
exécutoire et faire publier le jugement d’adjudication article 750 de l’acpc.
·
Action en appel en résolution pour fraude de toute la
procédure de saisie immobilière.
Qu’était pendant une action en justice régulière partir du 9 février 2007.
Rappel : une vente sur folle enchère produit les même effets
qu’une action en résolution de vente et a donc pour conséquence de faire
revenir le bien vendu dans le patrimoine du débiteur.
Que la cour de cassation en son arrêt du 19 juillet
1982 N° 81-13625 publié au bulletin, indique que la revente sur folle enchère a
les mêmes effets qu’une action en résolution de la vente. .( ci-joint texte
légifrance)
Que l’action en folle enchère suprime tout droit de propriété
de l’adjudicataire fol enchérisseur, de l’adjudicataire principal.
Que la cour de cassation en son arrêt du 14 janvier
2004 N° 01-11716, indique : attendu que les droits de l’adjudicataire
surenchérisseur se sont trouvés résolus par la décision de revente sur folle
enchère et qu’ente la remise en vente sur folle enchère et l’adjudication
définitive, l’immeuble était la propriété du saisi. .( ci-joint texte
légifrance)
Que cet arrêt du 14 janvier 2004 N° 01-11716 est
repris dans le juris- classeur en ces termes :
·
Qu’entre l’action de la remise en vente sur folle enchère et
l’adjudication définitive, l’immeuble est la propriété du saisi.( ci-joint
texte légifrance)
Qu’il ne peut être contesté qu’au vu de l’action par
assignation du 9 février 2007, Madame D’ARAUJO épouse BABILE n’a aucun droit de
propriété tant que la cour d’appel n’a pas statué sur cette action juridique.
Qu’en bien même que la cour d’appel ait statué enn date du 21
mai 2007, les formalités de publication devant se faire dans le délai de deux
mois n’ont pas été faites.
Que Monsieur et Madame LABORIE sont toujours bien
propriétaire de leur bien constituant leur domicile, et que Madame D’ARAUJO
épouse BABILE était privé de tout acte auprés de :
·
La conservation des hypothèques en sa publication irrégulière
du jugement en date du 20 mars 2007,
·
En sa cession de notre propriété à la société LTMDB le 5 avril
2007 et le 6 juin 2007 article 2211 du code civil.
·
En la saisine du tribunal d’instance le 22 mars 2007 pour
obtenir une ordonnance d’expulsion.
·
En sa demande d’expulsion en date du 27 mars 2008 de leur
propriété.
Raison pour
lesquelles l’adjudicataire, Madame D’ARAUJO épouse BABILE ne pouvait publier le
jugement d’adjudication article 750 de l’acpc en date du 20 mars 2007:
·
Art. 750 (Abrogé par
Ord. no 2006-461 du 21 avr. 2006) (Décr.
no 59-89 du 7 janv. 1959)
«L'adjudicataire est tenu de
faire publier au bureau des hypothèques le jugement d'adjudication dans les
deux mois de sa date, et, en cas d'appel, dans les deux mois de
l'arrêt confirmatif, sous peine de revente sur folle enchère.
Sur les obligations de
l’adjudicataire qui auraient du être accomplies en l’absence de
l’assignation en appel pour fraude de l’obtention du jugement d’adjudication:
Que pour faire valoir un droit,
« la mise en exécution du jugement d’adjudication »,
Madame BABILE se devait de respecter des formalités postérieures au jugement
d’adjudication pour obtenir le transfert de propriété.
Bien que Madame D’ARAUJO épouse
BABILE a perdu sa propriété par l’action en résolution, elle a non exécuté de l'obligation de faire
publier le jugement d'adjudication dans les deux mois de sa date (et en
cas d'appel dans les deux mois de l'arrêt confirmatif), a non
exécuté le paiement dans les vingt jours des frais ordinaires de
poursuite ou des frais extraordinaires, a non exécuté le paiement du
prix ou des intérêts du prix à leur exigibilité soit deux mois après le
jugement d’adjudication.
Qu’au vu de l’article 2212 du code civil, la vente est
résolue de plein droit.
Ces formalités sont au nommbre de trois et seront
annalysées une par une:
·
I / La signification du jugement d’adjudication.
·
II / La publication du jugement d’adjudication
·
III / Mention en marge de la publication
I / Sur la signification du jugement
d’adjudication
Sur le fondement de l’article 503 du NCPC, les jugements ne peuvent être exécutés contre ceux
auxquels ils sont opposés qu'après leur avoir été notifiés et dans un délai de
6 mois sous peine d’être non avenus sur le fondement de l’article 478 du ncpc
Que
Madame D’ARAUJO épouse BABILE devenue adjudicataire
se devait d’obtenir le jugement avec sa grosse exécutoire pour le faire
signifier après paiement.
Que
cette formalité ne pouvait être faite par l’action en résolution engagée en
date du 9 février 2007.
Que
la grosse exécutoire du jugement est obtenue que sur justificatif de paiement
de l’adjudication, des frais ordinaires et des frais extraordinaires dans un
délai de 20 jours selon le fondement de l’article 713 de l’acpc.
·
L'adjudicataire
qui ne fera pas ces justifications dans les vingt jours de l'adjudication,
pourra être poursuivi par la voie de folle enchère, sans préjudice des autres
voies de droit. — Sur l'entrée en
vigueur de l'Ord. no 2006-461 du 21 avr.
2006, V. note ss. art. 673.
Qu’il est porté au débat
une sommation interpellative par Maître FERRAN
huissier de justice, à l’ordre des avocats, au représentant de la CARPA de dire
à quelle date a été consignée la somme de 260.000 euros montant de
l’adjudication, et les frais ordinaires et extraordinaires.
Qu’il a été répondu à l’huissier et ci-joint sommation, que la
consignation de la somme de 260.000 euros a été versée le 12 avril 2007 et que
les frais ne sont pas consignés à l’ordre des avocats.
Madame D’ARAUJO épouse BABILE avait deux mois
pour régler le montant de l’adjudication à la date du 21 décembre 2006 soit au
22 février 2007 et 20 jours à justifier la consignation des frais pour obtenir
la grosse exécutoire du jugement d’adjudication soit jusqu’au 12 janvier 2007.
Que Madame D’ARAUJO épouse BABILE n’a pas
accompli ses obligations d’ordre public.
Qu’au
vu de l’article 2212 du code civil, le défaut de paiement de la consignation du
prix et du paiement des frais ordinaires et extraordinaire : la
vente est résolue de plein droit.
Qu’au
vu de l’article 2212 du code civil Madame D’ARAUJO
épouse BABILE ne peut prétendre à être propriétaire, la vente est résolue
de plein droit, notre propriété aurait du ; bien qu’il existe
une contestation sur le fond et la forme de la procédure être revendue aux
enchères permettant de déposer un dire en contestation.
Que
Madame D’ARAUJO épouse BABILE ne pouvait en
conséquence signifier le jugement d’adjudication au vu de la non possibilité
d’obtenir la grosse exécutoire du jugement d’adjudication par le manque de
paiement dans le délai de 20 jours des frais et du montant de l’adjudication et
par la perte de son droit de propriété revenu au saisi par l’action en
résolution engagé le 9 février 2007 par assignation faite aux parties devant la
cour d’appel.
Que
Madame D’ARAUJO épouse BABILE n’a toujours pas
signifié pour le mettre en exécution, cette signification étant impossible dans
ce contexte est impossible encore à ce jour sur le fondement de l’article 478
du ncpc et au vu de l’article 2212 du code civil,
la vente est résolue de plein droit
Sur
le fondement de l’article 478 du ncpc,
le jugement d’adjudication du 21 décembre 2006 est non avenu, non signifié dans
le délai de six mois.
Qu’il
est rappelé que le non respect d’une règle d’ordre public empêche la naissance
d’un droit et par suite ne permet pas l’acquisition de ce droit par
l’écoulement du temps, « forclusion »
Malgré le non respect d’une règle d’ordre public, Madame BABILE a fait
établir par Maître FRANCES Avocate de la Commerzbank poursuivante un certificat
de complaisance en date du 13 février 2007 pour obtenir la grosse du jugement
d’adjudication en le portant à la connaissance du greffe de la chambre des
criées quelle aurait reçue la somme de 7910,10 euros concernant le montant des
frais de la vente, y compris le droit proportionnel, en sus du prix
d’adjudication.
Elle en donne quittance Maître FRANCES que cette dernière a perçu la
somme de 7910,10 euros.
Que le délai de dépôt est dépassé sur le fondement de l’article 713 de
l’acpc.
II / Sur la publication du jugement d’adjudication
Monsieur LABORIE par l’absence de signification du jugement
d’adjudication du 21 décembre
Que la communication par le greffe ne vaut pas notification
ni signification par Madame D’ARAUJO épouse BABILE.
Dés la prise de connaissance par Monsieur LABORIE André de ce
jugement et pour le compte de Monsieur et Madame LABORIE, Maître MALET franck
Avoué à la Cour d’appel de Toulouse a formé un appel par assignation à la
demande de Monsieur LABORIE, signifiée à Madame D’ARAUJO épouse
BABILE, à la Banque Commerzbank, à Monsieur Madame le Greffier en chef au T.G.I
de Toulouse le 9 février 2007 et pour soulever la fraude
dans toute la procédure de saisie immobilière.
Qu’au vu des textes de lois et des souces Juris-Classeur, article
750 de l’acpc, Madame D’ARAUJO épouse BABILE ne pouvait plus publier le
jugement d’adjudication tant que la cour d’appel n’avait pas rendu son arrêt
sur l’appel en annulation de celui-ci.
Que le conseil de Madame D’ARAUJO épouse BABILE, son
avocat ne peut se substituer à une décision restant à rendre par la cour
d’appel, ce dernier devant respecter les régles de procédure.
Source juris-classeur.
·
Si
le jugement d'adjudication a été frappé d'appel le délai de publication court
du jour de l'arrêt qui confirme le jugement ou qui déclare l'appel non
recevable (Cézar-Bru, op. cit., n° 195-196, texte et
note 2). Si la nullité de l'adjudication a été demandée, le
délai court du jour du jugement, ou de l'arrêt en cas d'appel, qui déclare
l'adjudication valable (Cézar-Bru, op. et loc.
cit.).
Que
par la, fraude, Madame D’ARAUJO épouse BABILE a fait
publier irrégulièrement le jugement d’adjudication, alors que la propriété
était revenue aux saisis suite à l’action en résolution engagée devant la cour
d’appel et par assignation des parties.
Qu’en conséquence aucune publication ne pouvait être faite de
la part de Madame D’ARAUJO épouse BABILE ainsi que du greffe du T.G.I de
Toulouse en date du 20 mars 2007.
·
L’arrêt de la cour d’appel a été rendu le 21 mai 2007.
Art. 750 (Abrogé par
Ord. no 2006-461 du 21 avr. 2006) (Décr.
no 59-89 du 7 janv. 1959)
«L'adjudicataire est tenu de
faire publier au bureau des hypothèques le jugement d'adjudication dans les
deux mois de sa date, et, en cas d'appel, dans les deux mois de
l'arrêt confirmatif, sous peine de revente sur folle enchère.
«Le saisissant, dans la huitaine
après la publication, et, à son défaut, après ce délai», le créancier le plus
diligent, la partie saisie ou l'adjudicataire, dépose au greffe l'état des
inscriptions, requiert l'ouverture du procès-verbal d'ordre, et, s'il y a lieu,
la nomination d'un juge-commissaire.
Cette nomination est faite par le
président, à la suite de la réquisition inscrite par le poursuivant sur le
registre des adjudications tenu à cet effet au greffe du tribunal. —
Pr. 657 , 658
, 733 s. ; Civ. 2481.
— Sur l'entrée en vigueur de l'Ord. no 2006-461 du 21 avr. 2006, V. note
ss. art. 749.
Conséquence :
En l’absence de paiement et de publication ; le transfert de propriété ne peut être
établi.
Par l’action en résolution en date du 9 février 2007,
le transfert de propriété ne peut être établi, la propriété est revenue aux
saisis. « à Monsieur et Madame LABORIE »
Source Juris-
Classeur :
·
Le jugement d'adjudication n'a pas pour objet de déclarer un
droit préexistant, mais d'opérer un transfert de propriété (Carré et Chauveau,
op. cit., quest. 2397. – Garsonnet et Cézar-Bru, op. cit., n° 432. – Cézar-Bru,
op. cit., n° 207, p. 192). Il est donc nécessaire de le publier au bureau de
la conservation des hypothèques.
III / Sur la mention en marge de la
publication
Qu’en conséquence cette mention ne peut exister, au vu de l’article
2212 du code civil et en l’absence de publication sur le fondement de
l’article 750 du ncpc « la vente est nulle de plein droit » et au vu
de l’action en résolution.
Sur le transfert de propriété
Que le transfert de propriété ne pouvant être établie de
Monsieur et Madame LABORIE à Madame D’ARAUJO épouse BABILE au vu du non
paiement de l’adjudication et les frais dans les délais prévu par la loi, qu’en
conséquence au vu de l’article 2212 du code civil, la vente est nulle de
plein droit, et au vu de l’action en résolution en cours.
La vente étant nulle de plein droit, Monsieur et Madame
LABORIE sont toujours propriétaire bien que la parties adverse, l’adjudicataire
a mandaté leur conseil a établir des actes juridiques nul et nul d’effets.
Sur le droit d’agir de Monsieur
LABORIE et pour le compte de Monsieur et Madame.
Monsieur LABORIE est fondé de saisir la cour d’appel pour
qu’il soit ordonné la nullité de la procédure de saisie immobilière dont son
jugement d’adjudication et pour qu’il soit ordonné à faire cesser un trouble à
l’ordre public, en parraliser ses effets des manipulations frauduleuses
faites par Madame D’ARAUJO épouse BABILE, cette dernière ayant cedé notre
résidence principale, notre propriété à une société préconstituée avec son
petit fils, Monsieur TEULE Laurent gérant cette dite société LTMDB enregistrée
au RC de Toulouse.
L’article 2211 du code civil précise qu’en l’absence de paiement
dans le délai de 2 mois, restreint provisoirement le droit de propriété de
l’adjudicataire pour tenir du report du paiement ; avant ce paiement
l’adjudicataire ne peut disposer du bien , c'est-à-dire le céder.
La fraude qui ne peut être contestée
par les parties adverses qui est la suivante :
Alors que Madame D’ARAUJO épouse BABILE ne pouvant être
propriétaire pour les faits invoqués ci-dessus et repris:
·
Absence dans les 20 jours de justifier des paiements pour
obtenir la grosse exécutoire.
·
Absence de signification du jugement d’adjudication.
·
Impossibilité de publier ce jugement d’adjudication suite à l’appel
formé le 9 février 2007.
Madame D’ARAUJO épouse BABILE a fait valoir une situation
juridique innexacte à son notaire :
Madame D’ARAUJO épouse BABILE a en date du 5 avril 2007
devant notaire Maître CHARRAS passé un acte de vente du bien obtenu par
adjudication du 21 décembre 2006 sous la clause suspensive et dans l’attente de
l’arrêt de la cour d’appel de Toulouse statuant sur l’appel en annulation du
jugement d’adjudication alors quelle ne pouvait être propriétaire.
Que dans cet acte elle fait valoir par faux que
le jugement d’adjudication a été publié le 20 mars 2007 alors au vu du texte
ci-dessus, la publication ne peut exister par l’appel du jugement
d’adjudication en date du 9 février 2007.
Que la fraude est bien carractérisée de Madame D’ARAUJO épouse BABILE,
elle avait l’intention délibéré de porter préjudice à Monsieur et Madame
LABORIE car il a été reconnu par l’acte qu’il existait une procédure en
annulation par une assignation en appel et pour l’annulation du jugement
d’adjudication pour fraude.
Que la propriété était redevenu aux saisis.
La fraude est encore plus carractérisée car au vu de
l’article 2212 du code civil, la vente est nulle de plein droit est que de ce fait Madame D’ARAUJO
ne pouvant être propriétaire ne peut revendre ou dilligenter un quelconque acte
article 2211 du code civil, sur le bien dont est toujours propriétaire Monsieur
et Madame LABORIE sauf dans le seul cas délictueux de leur détouner leur
propriété ; ce qui en est le cas.
La fraude est encore plus carractérisée car nul ne peut
ignorer la loi, la publication ne pouvant intervenir tant que la cour d’appel
n’a pas rendu son arrêt.
L’intention est encotre plus carractérisée ainsi que le délit
établi de détournement de bien, de l’abus de confiance et de l’escroquerie de
s’emparer de la propriété de Monsieur et Madame LABORIE car le sous seing privé
irrégulier à fait l’objet d’une vente définitive par devant Maître CHARRAS
notaire le 6 juin 2007 alors que cet arrêt a été mis en exécution sans
signification sur le fondement de l’article 503 du ncpc, signification
faites postérieurement à l’arrêt rendu le 21 mai 2007 autant de Madame D’ARAUJO
épouse BABILE que de la Banque Commerzbank.
Que cet arrêt du 21 mai 2007 fait l’objet d’un recours en
révision devant la cour d’appel de Toulouse pour l’annulation du jugement
d’adjudication ainsi qu’une procédure devant le juge du fond saisi par deux
jugement rendus par le juge de l’exécution.
Qu’au vu de la fraude carractérisée dans la procédure de
saisie immobilière, privé de droit de défense pour déposer un dire, obligatoirement
l’acte d’adjudication sera réformé et les parties seront mises au même état
qu’au paravant, la restitution de la propriété et la réparation de tous les
préjudices.
Madame D’ARAUJO épouse BABILE sur le fondement de l’article 1599
du code civil ne peut vendre un bien dont elle n’a pas encore obtenu la
pleine propriété, la vente est nulle et peut donner à des dommages et intérêts
lorsque l’acheteur à ignoré que la chose fût à autrui.
Que Madame D’ARAUJO épouse BABILE & Monsieur TEULE
Laurent petit fils de cette dernière et gérant de la SARL LTMDB ont
délibérément porté à la connaissance de leur notaire Maître CHARRAS de fausses
informations induisant ce dernier dans les actes qu’il a rédigé et à ce jour
constitutif de faux intellectuels.( inscription de faux déposés au T.G.I
de Toulouse et dénoncé aux partie et à Monsieur Paul Michel Procureur de la
République).
Acte délibéré en date du 5 avril 2007, publié à la
conservation des hypothèque de Toulouse le 22 mai 2007 alors que le jugement
d’adjudication ne pouvait pas encore être publié par l’appel en cours et par la
nullité de la vente sur le fondement de l’article 2212 du code civil.
Acte délibéré de Madame D’ARAUJO épouse BABILE & Monsieur
TEULE Laurent en date du 6 juin 2007 réalisant la clause suspensive alors que
le premier acte du 5 avril 2007 est nul de plein droit pour les motifs invoqués
ci-dessus et repris dans l’inscription de faux intellectuels de l’acte de
Maître CHARRAS notaire à Toulouse régulièrement introduit devant le T.G.I de
Toulouse le 8 juillet 2008.
Acte délibéré de Madame D’ARAUJO épouse BABILE & Monsieur
TEULE Laurent, ce dernier ayant rédigé pour son compte et sous couvert de sa
société LTMDB un acte juridique ; un bail de location en date du 1er
mai 2008 pour occuper impunément le domicile de Monsieur et Madame LABORIE
après les avoir fait expulser irrégulièrement en date du 27 mars 2008.
Acte délibéré pour avoir concunément et en complicité pendant
que Monsieur LABORIE privé de ses moyens de défense, incarcéré sans qu’un avocat
intervienne et après que Monsieur le Bâtonnier en soit appelé ainsi que les
autorités ci-dessus saisis fournis au tribunal d’instance de Toulouse de faux
éléments pour obtenir une ordonnance d’expulsion en date du 1er juin
2007 alors que la requêrante Madame d’ARAUJO épouse BABILE ne pouvait être
propriétaire et ne pouvait cèder notre propriété. .( inscription de faux
déposés au T.G.I de Toulouse et dénoncé aux parties et à Monsieur Paul Michel
Procureur de la République).
Sur la nullité des actes notariés.
Qu’une inscription de faux intellectuels a été déposé au
greffe du T.G.I de Toulouse, dénoncés à Madame D’ARAUJO épouse BABILE, à
Monsieur TEULE Laurent gérant de la SARL LTMDB, à Monsieur & Madame le
Greffier en chef ainsi qu’à Monsieur le Procureur de la République. ( à
ce jour resté sans réponse)
·
LA FRAUDE EST ENCORE UNE FOIS CARRACTERISEE
LES CONSEQUENCES DE LA VENTE PAR LA FRAUDE
DE NOTRE RESIDENCE PRINCIPALE
(ordonnance
d’expulsion en date du 1er juin 2007).
Bien
que Madame D’ARAUJO épouse BABILE a obtenu un
jugement d’adjudication le 21 décembre 2006 pour la somme de 260.000 euros
alors que le jugement de subrogation était frappé d’une voie de recours «
pourvoi en cassation » et qui est resté sans une réponse encore à
ce jour.
Alors
que la vente est nulle de plein droit au vu des éléments ci-dessus et au vu de
l’article 2212 du code civil et conséquence de l’article 2211 du code civil.
Alors
que Madame, D’ARAUJO épouse BABILE a perdu sa
propriété par l’action en résolution de la vente faite par assignation des
parties en date du 9 février 2007 et comme expliqué ci-dessus, violation de
l’article 750 du ncpc
Madame
D’ARAUJO a
pris l’initiative de saisir le tribunal d’instance de Toulouse pour obtenir une
ordonnance d’expulsion en portant de faux éléments au tribunal.
Madame
D’ARAUJO épouse BABILE a pris en plus l’initiative et
sous sa seule responsabilité la mise en exécution de l’ordonnance d’expulsion
obtenue par la fraude le 1er juin 2007 « dont
appel » soit le 27 mars 2008.
Que
Madame D’ARAUJO épouse BABILE a causé de nombreux
préjudices par la procédure d’expulsion irrégulière faite le 27 mars 2008.
Que
Monsieur et Madame LABORIE sont fondés de demander à la Cour que soit infirmé
l’ordonnance d’expulsion du 1er juin 2007 « dont
appel ».
Que
Monsieur et Madame LABORIE sont fondés de demander réparation des différents
préjudices subis.
Que
monsieur et Madame LABORIE sont fondés de demander la réintégration à leur
domicile ainsi que de tous leurs meubles et objets.
Seront analysés les différents points :
I/ Premièrement : La
fin de non recevoir de la demande de Madame BABILE devant le juge du tribunal
d’instance
II/ Deuxièmement : Comment a été obtenu l’ordonnance d’expulsion le 1er
juin 2007.
III / Troisièmement :
Comment s’est déroulé la procédure postérieurement à l’ordonnance d’expulsion.
IV/ Quatrièmement : Comment s’est déroulé la procédure d’expulsion en
date du 27 mars 2008.
V / Cinquièmement : Sur
les différents préjudices subis.
VI / Sixièmement: Sur la
demande de réintégration au domicile de Monsieur et madame LABORIE ainsi que
les meubles et objets.
VII / Septièmement :
Sur l’indemnisation des préjudices subis et les mesures conservatoires à
prendre pour garantir l’indemnisation de Monsieur et Madame LABORIE.
I / Sur la fin de non recevoir de la
demande d’expulsion devant le T.I
Le juge en première instance aurait du soulever la fin
de non recevoir de la demande d’expulsion de Monsieur et Madame LABORIE « ordre
public » le Ministère public ayant été averti avant l’audience de la
demande de comparution de Monsieur LABORIE André représentant Madame LABORIE
Suzette.
Aucune contradiction devant le tribunal d’instance,
Violation des articles 14 ; 15 ; 16 du NCP
& 6-1 de la CEDH :
Art. 14. - Nulle
partie ne peut être jugée sans avoir été entendue ou appelée.
Art. 15. - Les
parties doivent se faire connaître mutuellement en temps utile les moyens de
fait sur lesquels elles fondent leurs prétentions, les éléments de preuve
qu'elles produisent et les moyens de droit qu'elles invoquent, afin que
chacune soit à même d'organiser sa défense.$
·
Détenu,
je n’ai pu assurer ma défense et la défense de Madame LABORIE.
Art. 16 (CE ass., 12 oct. 1979, Rassemblement des nouveaux avocats de
France et a. : Rec. CE, p. 371 ; D. n° 76-714, 29 juill. 1976, art. 1er ; D.
n° 81-500, 12 mai 1981, art. 6 ) . - Le juge doit, en toutes circonstances,
faire observer et observer lui-même le principe de la contradiction. Il ne peut
retenir, dans sa décision, les moyens, les explications et les documents
invoqués ou produits par les parties que si celles-ci ont été à même d'en
débattre contradictoirement.
Monsieur
LABORIE André incarcéré et représentant par un pourvoi Madame LABORIE Suzette à
son audience du 11 mai 2007, Monsieur LABORIE n’a pu comparaître, non extrait
devant le tribunal malgré sa demande au procureur de la république et à la
présidente du tribunal « tous deux par lettre recommandées »
, n’a pu s’expliquer contradictoirement sur la procédure d’expulsion, « violation
de l’article 6 de la CEDH , violation des articles 14 ;15 ; 16
du code de procédure civile d’ordre public » et en contestation de la
procédure de base « jugement d’adjudication du 21 /12/2006
obtenu » autant sur le forme que sur le fond, ce dernier obtenu par la fraude.
Conseil d’ETAT rendu le 29 octobre
2007 :
·
Une
décision d’adjudication ne permet pas l’expulsion ( décision au profit du
ministère de l’intérieur et des libertés locale). ( ci-joint pièce)
Article 1351 du code civil : . Jugement d'adjudication.
La décision qui n'a statué sur aucun incident contentieux et s'est bornée à
relater le déroulement des enchères et à
déclarer adjudicataire le dernier
enchérisseur n'est pas susceptible d'acquérir l'autorité de la chose
jugée .
Civ. 2e, 13 févr. 1985: Bull. civ. II, no 35.
·
Art.
501. - Le jugement est
exécutoire, sous les conditions qui suivent, à partir du moment où il
passe en force de chose jugée à moins que le débiteur ne bénéficie d'un
délai de grâce ou le créancier de l'exécution provisoire.
Monsieur
LABORIE André, avant l’audience du 21 décembre 2006 avait soulevé des
contestations « Incident contentieux » à Monsieur le
Président de la chambre des criées en lettre recommandée, l’informant des voies
de recours pendantes dans toute la procédure en cours et comme expliqué dans
l’assignation pour le 10 octobre 2007.( ci jointe).
·
Que
Madame Suzette D’ARAUJO épouse BABILE ne peut se
prévaloir de ce jugement pour demander l’expulsion, n’ayant aucune autorité de
chose jugée pour le mettre en exécution d‘ordre public « Pièce jointe
).
Non
seulement le jugement d’adjudication du 21 décembre 2006 n'est pas
susceptible d'acquérir l'autorité de la chose jugée , mais ne peut être mis en exécution sans
respecter les formalités postérieures au jugement.
·
Encore
moins si une action en résolution est engagée.
Mais encore moins le jugement du 1 juin 2007 basé sur
une procédure irrégulière sur le fond et la forme et doit être infirmé par la
cour d’appel de Toulouse obtenu sur faux et usage de faux.
Madame
D’ARAUJO épouse BABILE n’avait pas le droit d’agir
devant le tribunal d’instance en date du 9 mars 2007 sans avoir payé
l’adjudication, sans avoir publié le jugement d’adjudication régulièrement
opposable aux tiers, sans avoir signifié la grosse du jugement d’adjudication après l’avoir payé.
En
l’espèce, en date du 9 mars 2007, le transfert de propriété n’était pas établi
par l’absence de publication.
En
l’espèce, en date du 9 mars 2007, le paiement de l’adjudication n’était pas
réalisé pour obtenir la grosse exécutoire.
Madame
D’ARAUJO épouse BABILE avait perdu le droit de
propriété par l’action en résolution en date du 9 février 2007.
Monsieur
et Madame LABORIE étaient en conséquence le 9 mars 2007 toujours propriétaire
de leur résidence principale situé au N° 2 rue de la Forge et encore à ce jour
par la carence de Madame D’ARAUJO épouse BABILE ne
pas avoir accompli les formalités postérieures au jugement d’adjudication.
Au
vu des éléments ci-dessus en son article 2212 du ncpc,
la vente est nulle de plein droit.
Par
l’action en résolution en date du 9 février 2007, Madame D’ARAUJO
a perdu la propriété.
Madame
D’ARAUJO épouse BABILE ne peut apporter de faux
élément au tribunal en l’absence d’un quelconque débat contradictoire pour
obtenir une décision favorable.
Au
vu des articles 122 à 125 du NCPC, dans sa demande d’expulsion introduite
devant le TI par Madame Suzette D’ARAUJO épouse
BABILE, la fin de recevoir
« d’ordre public » doit être accueillie par la
cour.
Vu les articles 122 à 125 du
NCPC, la fin de non recevoir de
la demande d’expulsion au profit de Madame BABILE doit être ordonnée
par la cour pour violation des règles fondamentales de droit.
Art.
122. - Constitue une fin de
non-recevoir tout moyen qui tend à faire déclarer l'adversaire irrecevable en
sa demande, sans examen au fond, pour défaut de droit d'agir, tel le défaut de
qualité, le défaut d'intérêt, la prescription, le délai préfix, la chose jugée.
Art.
123. - Les fins de non-recevoir
peuvent être proposées en tout état de cause, sauf la possibilité pour le juge
de condamner à des dommages intérêts ceux qui se seraient abstenus, dans une
intention dilatoire, de les soulever plus tôt.
Art.
124. - Les fins de non-recevoir
doivent être accueillies sans que celui qui les invoque ait à justifier d'un
grief et alors même que l'irrecevabilité ne résulterait d'aucune disposition
expresse.
Art.
125 (D. n° 79-941, 7 nov. 1979, art.
5 et 16 ) . - Les fins de non-recevoir doivent être relevées d'office
lorsqu'elles ont un caractère d'ordre public, notamment
lorsqu'elles résultent de l'inobservation des délais dans lesquels doivent être
exercées les voies de recours ou de l'absence d'ouverture d'une voie de
recours.
La cour se doit d’infirmer
l’ordonnance d’expulsion du 1er juin au vu des règles de droits ci
dessous non respectées et condamner la requérante à des dommages et intérêts au préjudice de Monsieur et
Madame LABORIE.
Comment a été obtenu l’ordonnance d’expulsion le 1er
juin 2007.
Que
cette procédure a été faite alors que Monsieur LABORIE André se trouvait en
prison sans aucun moyen de se défendre en violation des articles 14 ;
15 ; 16 du NCPC et comme dans la procédure de saisie immobilière, le tout
en violation de l’article 6-1 de la convention européenne des droit de l’homme,
procès non équitable.
Madame
D’ARAUJO Suzette épouse BABILE a été l’adjudicataire
de notre résidence principale par jugement de la chambre des criées de Toulouse
rendu le 21 décembre 2006.
Madame
D’ARAUJO Suzette épouse BABILE bien quelle soit
adjudicataire et malgré les contestations soulevées par assignation en justice
le 9 février 2007 devant la cour d’appel de Toulouse pour demander l’annulation
du jugement d’adjudication obtenu par la fraude, avait des formalités requises postérieures à
l’acte d’adjudication pour en faire valoir la pleine propriété et pour mettre
en exécution le jugement d’adjudication.
Comme
ci-dessus relaté, Monsieur et Madame LABORIE Sont toujours propriétaire par
l’action en résolution engagée devant la cour d’appel de Toulouse par assignation
du 9 février 2007
Les obligations et les formalités requises postérieures à l’acte
d’adjudication sont au nombre de trois :
- La signification du
jugement d'adjudication,
- La publication du jugement,
- La mention du jugement en
marge de la publication du commandement.
Madame
D’ARAUJO Suzette épouse BABILE n’a pas respecté
aucune de ces formalités.
·
Qu’en
l’absence de signification de jugement d’adjudication.
·
Qu’en
l’absence d’une publication régulière.
·
Qu’en
l’absence du jugement en marge de la publication du commandement soit en
l’espèce celui du 20 octobre 2003 étant nul de droit par sa publication
irrégulière ne respectant pas le délai de 20 jours ( arrêt 703 de la cour
de cassation du 12 mars 1997, nullité de la procédure de publication) et de la
chambre des criées.
Qu’en
conséquence Madame D’AUROJO Suzette épouse BABILE ne
peut prétendre être propriétaire de notre domicile pour demander par
assignation du 9 mars 2007 l’expulsion de Monsieur et Madame LABORIE devant le
tribunal d’instance statuant en matière de référé, les formalités préalables
n’étant pas accomplies et ne pouvant être accomplies au vu des explications
ci-dessous.
Au préalable de la saisine du tribunal d’instance.
a) La signification du jugement d’adjudication article 503 du NCPC.
L’adjudicataire
se doit de faire signifier la grosse du jugement d’adjudication du 21 décembre
dans un délai de 20 jours.
Que
la Grosse du jugement d’adjudication ne peut être obtenu du greffier qu’après
le prix de l’adjudication soit payé par l’adjudicataire.
Or
l’adjudication a été payée seulement par Madame D’ARAUJO
épouse BABILE le 11 avril 2007 comme l’atteste des conclusions de son conseil
la SCP d’avocats CATUGIER- DUSAN- BOURRASSET. Et
confirmé par la requête interpellative de la SCP d’huissier
FERRAN à ,Toulouse auprés de la CARPA.
Qu’en
conséquence en date du 9 mars 2007 elle ne pouvait saisir le tribunal
d’instance pour obtenir une ordonnance d’expulsion.
Précisant
qu’aux termes des articles 678 et 693 du Nouveau Code de Procédure civile
lorsque la représentation des parties est obligatoire « en l’èspèce devant la chambre des criées », la décision
doit être préalablement notifiée au représentant, faute de quoi
la notification est nulle.
·
Qu’une
quelconque signification ultérieure à monsieur et Madame LABORIE est nulle en
l’absence du préalable ci-dessus.
(arrêt de la cour de cassation du 6 décembre 1978 N° 77-12-650
président CAZAL demandeur DELVOLVE ; défendeur CONSOLO.
Que
ce jugement d’adjudication n’a pas été signifié régulièrement dans les délais
de 20 jours et encore toujours non signifié autant à Monsieur LABORIE André
qu’à Madame LABORIE Suzette.
·
Monsieur
LABORIE André étant incarcéré et ayant demandé à l’ordre des avocats d’être
représenté, ce dernier s’est refusé dans la situation ou se trouvait Monsieur
André LABORIE.
Article 503 du NCPC :
Les jugements ne peuvent être exécutés contre ceux auxquels ils sont opposés
qu'après leur avoir été notifiés, à moins que l'exécution n'en soit volontaire.
En cas d'exécution au seul vu de
la minute, la présentation de celle-ci vaut notification.
·
La
notification doit se faire par signification d’acte d’huissier de justice.
_ 4. Expulsion. La notification d'un
jugement d'adjudication doit être préalable à son exécution par ordonnance de
référé. Civ. 2e, 1er mars 1995:
Bull. civ. II, no 62. ... Dès lors, la régularisation de la
procédure par signification postérieure du jugement n'est plus possible. Civ. 2e, 11 avr. 1986: Bull.
civ. II, no 50; Gaz.
Pal. 1986. 2. Somm. 424, obs.
Véron. Peut faire l'objet d'une expulsion le
sous-locataire tenant son droit d'occupation du locataire, dont l'expulsion a
été ordonnée et auquel l'ordonnance de référé a été signifiée. Civ. 3e, 30 nov. 2005: D. 2006. IR.
99; JCP 2005. IV. 3797; Procédures 2006. comm. 28,
obs. Perrot; Dr. et proc. 2006. 152, obs. Salati.
Madame
D’ARAUJO Suzette épouse BABILE a saisi le tribunal
d’instance pour obtenir notre expulsion en violation des trois règles
ci-dessus, un jugement dont appel a été formé sur la décision du 1er
juin 2007.
·
Une
inscription en faux intellectuel a été enregistré le 16 juillet 2008 au Greffe
du T.G.I de Toulouse contre l’ordonnance du 1er
juin 2007.
L’annulation du jugement de subrogation aura
nécessairement pour conséquence la nullité de la procédure ultérieure qui n'en
est que la suite, et ce jusqu'au jugement d'adjudication inclusivement (Cass. 2e civ., 21 déc. 1966 : Bull. civ. II,
n° 982).
b) Sur la publication du jugement d’adjudication:
Rappelant
que le transfert de propriété doit se faire par une publication régulière
opposable aux tiers.
Madame
D’ARAUJO épouse BABILE ne pouvait mettre en exécution le jugement
d’adjudication sans au préalable publier le jugement pour qu’il soit opposable
au tiers.
Violation de l’article 750 du ncpc
·
La
publication devant être dans un délai de 2 mois à la date d’adjudication « si
un appel n’a pas été formé sur ce dit jugement ».
La
publication a été faite le 20 mars 2007 hors délai, délai de 2 mois maximal
soit le 21 février 2007.
Madame
D’ARAUJO épouse BABILE a porté de faux éléments pour
faire publier le jugement d’adjudication le 20 mars 2007 hors délai, le délai
étant de deux mois à la date du jugement d’adjudication pour qu’il soit
opposable aux tiers, ouvrant la procédure de folle enchère sur le fondement de
l’article 716 du ANCPC.
Qu’en
conséquence D’ARAUJO épouse BABILE ne pouvait saisir
le tribunal d’instance le 9 mars 2007 pour obtenir une ordonnance d’expulsion.
Encore
plus grave, Madame D’ARAUJO épouse BABILE n’a
pas fait valoir qu’un appel sur le jugement d’adjudication était pendant devant
la cour d’appel de Toulouse par assignation du 9 février
2007.
Qu’au
vu de l’appel, la publication ne pouvait se faire tant que la cour d’appel n’a
pas rendu l’arrêt, ce dernier est intervenu le 21 mai 2007 et ce n’est qu’au vu
d’une publication régulière que le jugement d’adjudication est opposable aux
tiers.
Source juris-classeur. Article 750 du ncpc.
·
Si
le jugement d'adjudication a été frappé d'appel le délai de publication court
du jour de l'arrêt qui confirme le jugement ou qui déclare l'appel non
recevable (Cézar-Bru, op. cit., n° 195-196, texte et
note 2). Si la nullité de l'adjudication a été demandée, le
délai court du jour du jugement, ou de l'arrêt en cas d'appel, qui déclare
l'adjudication valable (Cézar-Bru, op. et loc.
cit.).
Qu’en
conséquence, le jugement d’adjudication ne pouvait être opposable aux tiers
avant que la cour se prononce.
Rappelant
que Madame D’ARAUJO épouse BABILE a été assignée le 9
février 2007 en appel sur le jugement d’adjudication rendu le 21 décembre 2007.
( attestation d’appel de Maître MALET Avoué).
Madame
D’ARAUJO épouse BABILE a fait valoir une situation
juridique inexacte « constitutive de faux et usage de faux
intellectuels » n’ayant pas
satisfait aux trois formalités requises postérieures à l’adjudication en date
du 21 décembre 2006.
Madame
D’ARAUJO épouse BABILE ne pouvait se prétendre être
propriétaire tant que les formalités requises n’étaient pas accomplies et que
le jugement d’adjudication n’a pu être opposable aux tiers.
Madame
D’ARAUJO épouse BABILE ne pouvait donc saisir le
tribunal d’instance en date du 9 mars 2007 pour obtenir une ordonnance
d’expulsion.
Qu’en
conséquence l’ordonnance rendue en violation d’un quelconque débat
contradictoire violation de l’article 14 ; 15 ; 16 du NCPC, 6-1 de la
CEDH et par de fausses informations portés devant le tribunal statuant en
matière de référé dans le seul but d’obtenir une décision favorable sera
purement infirmée par la cour d’appel de Toulousedont
appel ordonnance du 1er juin 2007.
Encore plus grave sur les agissements délictueux de Madame D’ARAUJO épouse BABILE au cours de la saisine irrégulière du
tribunal d’instance.
Alors
que Monsieur et Madame LABORIE étaient étaient toujours
propriétaire comme ci-dessus repris
Madame
D’ARAUJO épouse BABILE a céder le bien obtenu par
adjudication en date du 5 avril 2007 à la SARL LTMDB représenté par son gérant
Monsieur TEULE Laurent, ce dernier n’étant que le petit fils de Madame D’ARAUJO Suzette épouse BABILE.
Cette
cession ne pouvait se faire car cette dernière ne pouvait avoir obtenu la
grosse du jugement en date du 5 avril 2007 Madame D’ARAUJO
Suzette épouse BABILE n’avait toujours pas payé le montant d’adjudication qui
est seulement intervenu le 11 avril 2007.
C’est
seulement après paiement de l’adjudication que la grosse peut être délivrée.
Madame
D’ARAUJO épouse BABILE ne pouvait avoir effectué le
transfert de propriété par une publication régulière en date du 5 avril 2007,
était en cours une procédure d’appel en annulation sur le jugement
d’adjudication.
C’est
seulement après une publication régulière opposable aux tiers que Madame D’ARAUJO pouvait être propriétaire et bien sûr après s’être
acquitté du prix de l’adjudication.
En l’espèce en date du 9 mars 2007 aucune formalité n’était accomplie.
Que
la publication pouvait être faite seulement postérieurement à l’arrêt de la
cour d’appel rendu le 21 mai 2007 et après signification sur le fondement de
l’article 503 du NCPC.
Madame
D’ARAUJO épouse BABILE et la COMMERZBANK ont été
assigné devant la cour d’appel le 9 février 2007 et pour obtenir l’annulation
du jugement d’adjudication.
D’autres
malversations devant notaire ont été seulement faites pour détourner purement
et simplement par faux et usage de faux intellectuel la résidence de Monsieur
et Madame LABORIE et pour créer une autre difficulté juridique pour restituer
la résidence principale à Monsieur et Madame LABORIE lors de l’annulation du
jugement d’adjudication qui est de droit par l’acte de base aux poursuites,
« jugement de subrogation du 29 juin 2006, ce dernier inscrit en faux
intellectuel le 8 juillet 2008 »
Qu’en
conséquence Madame D’ARAUJO épouse BABILE a fait
usage de faux intellectuels en apportant une situation juridique fausse pour
obtenir un droit devant notaire et pour faire établir un acte notarié en date
du 5 avril 2007 et le 6 juin 2007 entre elle et la SARL LTMDB.
Que
la vente entre les parties constitue un faux intellectuel de la part du notaire
et entre Madame D’ARAUJO Suzette épouse BABILE et la
SARL : LTMDB.
·
Une
inscription de faux a été enregistrée au greffe du T.G.I
de Toulouse sur l’acte notarié du 5 avril et du 6 juin 2007.
VIII / Sur le
déroulement de la procédure postérieurement à l’ordonnance
d’expulsion du 1er
juin 2007.
Dans quelle configuration la SCP d’huissiers GARRIGUES
& BALLUTEAUD a mis en exécution à la demande de Madame D’ARAUJO épouse BABILE cette dite ordonnance du 1er
juin 2007 dont appel le 11 juin 2007.
FAUX & USAGE DE FAUX PORTES A LA CONNAISSANCE DE
LA PREFECTURE DE LA H.G.
La
SCP d’huissiers ne pouvait ignorer d’un appel effectué le 11 juin 2007 et pour
soulever l’irrégularité en la forme et au fond de cette ordonnance, seule la
cour d’appel est saisie du bien fondé de la procédure. Et pour faire rétracter
l’ordonnance du 1 juin 2007.
La
SCP d’huissiers était averti par courrier recommandé de cette difficulté de
forme et de fond de la procédure d’expulsion.
La
SCP d’huissiers était averti par courrier recommandé de la difficulté de la
procédure de saisie immobilière sur la forme et sur le fond ayant aboutie à un
jugement d’adjudication ainsi qu’à la saisine du Tribunal d’instance pour
demander notre expulsion.
LA
SCP d’huissiers GARRIGUES & BALLUTEAUD ne pouvait se prévaloir de
l’ordonnance du 1er juin 2007 pour ordonner l’expulsion de Monsieur
et Madame LABORIE en date du 27 mars 2008 et au vu de la carence de sa cliente
Madame D’ARAUJO Suzette épouse BABILE ci-dessus
reprises explications de droit.
La
SCP d’huissiers GARRIGUES & BALLUTEAUD ne pouvait suppléer notre résidence
par une expulsion irrégulière, cette dernière a fait usage de faux
intellectuels.
Sur la Signification d’ordonnance de référé du 1er
juin 2007 soit en date du 13 juin 2007 à Monsieur LABORIE.
En conséquence : faux intellectuels.
Cette
signification par la SCP d’huissiers DELHOM ; RIAUCOUX ; PEYRAUD à
Montauban est irrégulière et nulle, n’ayant pas permis par assignation de
demander l’annulation de l’exécution provisoire privé de moyen de défense détenu
à la maison d’arrêt de Montauban, signification ayant porté atteinte aux droits
de défense de Monsieur LABORIE André.
« Juris-classeur »
La
signification doit être déclarée nulle en raison de l'atteinte portée aux
droits de la défense (TGI Paris, 20 déc. 1972 : D. 1973, p. 204 ; JCP
1973GII, 6263, obs. J.A. ; RTD civ. 1973, p. 168,
note P. Raynaud).
L’acte relatant la signification régulière par la SCP
d’huissiers DELHOM ; RIAUCOUX ; PEYRAUD à Montauban est un faux
intellectuel.
La SCP GARRIGUES & BALLUTEAUD à fait usage de
faux de l’acte de signification délivré par la SCP d’huissiers
DELHOM ; RIAUCOUX ; PEYRAUD à Montauban.
La SCP GARRIGUES & BALLUTEAUD indique dans ses
conclusions que la signification à Monsieur LABORIE André est irrégulière, ce
qui constitue un faux intellectuel dans le seul but d’obtenir une décision
de justice favorable et préjudiciable à Monsieur et Madame LABORIE.
Au vu de l’article 503 du NCPC : Les jugements ne peuvent être exécutés contre ceux
auxquels ils sont opposés qu'après leur avoir été notifiés.
La signification se devant être régulière sans pouvoir
porter atteinte au intérêt de la défense, la SCP GARRIGUES & BALLUTEAUD ne
pouvait se prévaloir d’une signification irrégulière.
Qu’en conséquence l’ordonnance du 1er juin
2008 ordonnant l’expulsion par l’absence d’une signification régulière ne
pouvait être mise en exécution par la SCP d’huissier Garrigues & Balluteaud.
Sur la Signification d’ordonnance de référé en date du
14 juin 2007 à Madame LABORIE.
En conséquence : faux intellectuels.
La
SCP GARRIGUES & BALLUTEAUD fait valoir dans ses conclusions un faux
intellectuel en arguant qu’elle aurait porté à la connaissance le 14 juin
2007 de Madame LABORIE Suzette et par signification l’ordonnance rendue en date
du 1er juin.
Or
à la lecture de l’acte, le procès verbal de signification relate
l’impossibilité de trouver Madame LABORIE Suzette à son domicile.
La
SCP GARRIGUES & BALLUTEAUD mentionne qu’elle aurait laissé un avis de
passage sans en apporter la moindre preuve.
La
SCP GARRIGUES & BALLUTEAUD mentionne quelle aurait envoyé la lettre prévue
par l’article 658 du NCPC, sans en apporter la moindre preuve.
Qu’il
faut considéré que la signification est irrégulière, l’acte n’a pas été porté à
la connaissance de Madame LABORIE Suzette.
La
SCP GARRIGUES & BALLUTEAUD aurait pu déposer l’acte en mairie, cette
dernière n’apporte aucune preuve de dépôt.
La
SCP GARRIGUES & BALLUTEAUD aurait pu envoyer l’acte par lettre recommandée,
cette dernière n’apporte aucune preuve d’un quelconque envoi et d’aucune preuve
de retrait signé de Madame LABORIE Suzette.
Au
terme de l’article 654 du NCPC la signification doit être faite à personne,
l’acte de la SCP GARRIGUES & BALUTEAUD ne précise pas les diligences faites
par l’huissier de justice afin de signifier l’acte à Madame LABORIE
Suzette. « La SCP GARRIGUES & BALUTEAUD ne pouvait ignorer et
rechercher son lieu de travail ». et de refaire une nouvelle tentative de
rencontrer Madame LABORIE à son domicile.
Madame
LABORIE Suzette a été privée de prendre connaissance de l’ordonnance
d’expulsion rendue le 1er juin 2007 et d’en saisir un conseil pour
en demander la suspension provisoire à Monsieur le Premier Président de la Cour
d’appel de Toulouse par assignation.
La
SCP GARRIGUES & BALUTEAUD a porté préjudice certain aux droits de la
défense de Madame LABORIE Suzette.
« Juris-classeur »
La
signification doit être déclarée nulle en raison de l'atteinte portée aux
droits de la défense (TGI Paris, 20 déc. 1972 : D. 1973, p. 204 ; JCP
1973GII, 6263, obs. J.A. ; RTD civ. 1973, p. 168,
note P. Raynaud).
Au vu de l’article 503 du NCPC : Les jugements ne peuvent être exécutés contre ceux
auxquels ils sont opposés qu'après leur avoir été notifiés.
La signification se devant être régulière sans pouvoir
porter atteinte au intérêt de la défense, la SCP GARRIGUES & BALLUTEAUD ne
pouvait se prévaloir d’une signification irrégulière.
Qu’en conséquence l’ordonnance du 1er juin
2008 ordonnant l’expulsion par l’absence d’une signification régulière ne
pouvait être mise en exécution par la SCP d’huissiers Garrigues & Balluteaud.
Sur le commandement de quitter les lieux signifié le
29 juin 2007 à Monsieur LABORIE.
En conséquence : faux intellectuels.
Cette
signification par la SCP d’huissiers DELHOM ; RIAUCOUX ; PEYRAUD à
Montauban est irrégulière et nulle, n’ayant pas permis par assignation de faire
opposition par assignation devant le juge de l’exécution et pour soulever la
fin de non recevoir et la nullité de ce commandement « signification irrégulière
de l’ordonnance d’expulsion et fond de la procédure» Monsieur LABORIE
André privé de moyen de défense détenu à la maison d’arrêt de Montauban,
signification ayant porté atteinte aux droits de défense de Monsieur LABORIE
André.
« Juris-classeur »
La
signification doit être déclarée nulle en raison de l'atteinte portée aux
droits de la défense (TGI Paris, 20 déc. 1972 : D. 1973, p. 204 ; JCP
1973GII, 6263, obs. J.A. ; RTD civ. 1973, p. 168,
note P. Raynaud).
L’acte relatant la signification régulière par la SCP
d’huissiers DELHOM ; RIAUCOUX ; PEYRAUD à Montauban est un faux
intellectuel.
La SCP GARRIGUES & BALLUTEAUD à fait usage de
faux de l’acte de signification délivré par la SCP d’huissiers
DELHOM ; RIAUCOUX ; PEYRAUD à Montauban.
La SCP GARRIGUES & BALLUTEAUD indique dans ses
conclusions que la signification à Monsieur LABORIE André est régulière, ce
qui constitue un faux intellectuel dans le seul but d’obtenir une décision
de justice favorable et préjudiciable à Monsieur et Madame LABORIE.
Au vu de l’article 503 du NCPC : Les jugements ne peuvent être exécutés contre ceux
auxquels ils sont opposés qu'après leur avoir été notifiés.
La signification se devant être régulière sans pouvoir
porter atteinte au intérêt de la défense, la SCP GARRIGUES & BALLUTEAUD ne
pouvait se prévaloir d’une signification irrégulière.
Qu’en conséquence le commandement de quitter les lieux
par l’absence d’une signification régulière ne pouvait être mise en exécution
par la SCP d’huissier Garrigues & Balluteaud.
Commandement de quitter les lieux signifié à madame
LABORIE Suzette
le 3 juillet 2007.
En conséquence : faux intellectuels.
La
SCP GARRIGUES & BALLUTEAUD fait valoir dans ses conclusions un faux
intellectuel en arguant qu’elle aurait porté à la connaissance le 3 juillet
2007 de Madame LABORIE Suzette et par signification d’un commandement de
quitter les lieux.
Or
à la lecture de l’acte, le procès verbal de signification relate
l’impossibilité de trouver Madame LABORIE Suzette à son domicile.
La
SCP GARRIGUES & BALLUTEAUD mentionne qu’elle aurait laissé un avis de
passage sans en apporter la moindre preuve.
La
SCP GARRIGUES & BALLUTEAUD mentionne quelle aurait envoyé la lettre prévue
par l’article 658 du NCPC, sans en apporter la moindre preuve.
Qu’il
faut considéré que la signification est irrégulière, l’acte n’a pas été porté à
la connaissance de Madame LABORIE Suzette.
La
SCP GARRIGUES & BALLUTEAUD aurait pu déposer l’acte en mairie, cette
dernière n’apporte aucune preuve de dépôt.
La
SCP GARRIGUES & BALLUTEAUD aurait pu envoyer l’acte par lettre recommandée,
cette dernière n’apporte aucune preuve d’un quelconque envoi et d’aucune preuve
de retrait signé de Madame LABORIE Suzette.
Au
terme de l’article 654 du NCPC la signification doit être faite à personne,
l’acte de la SCP GARRIGUES & BALUTEAUD ne précise pas les diligences faites
par l’huissier de justice afin de signifier l’acte à Madame LABORIE
Suzette. « La SCP GARRIGUES & BALUTEAUD ne pouvait ignorer et
rechercher son lieu de travail » et de refaire une nouvelle tentative de
rencontrer Madame LABORIE à son domicile.
Madame
LABORIE Suzette a été privée de prendre connaissance du commandement de quitter
les lieux et d’en saisir un conseil pour en demander la procédure à suivre «
n’ayant pas permis de faire opposition par assignation devant le juge de
l’exécution et pour soulever la fin de non recevoir et la nullité de ce
commandement « signification irrégulière de l’ordonnance
d’expulsion et fond de la procédure»
La
SCP GARRIGUES & BALUTEAUD a porté préjudice certain aux droits de la
défense de Madame LABORIE Suzette.
« Juris-classeur »
La
signification doit être déclarée nulle en raison de l'atteinte portée aux
droits de la défense (TGI Paris, 20 déc. 1972 : D. 1973, p. 204 ; JCP
1973GII, 6263, obs. J.A. ; RTD civ. 1973, p. 168,
note P. Raynaud).
Au vu de l’article 503 du NCPC : Les jugements ne peuvent être exécutés contre ceux
auxquels ils sont opposés qu'après leur avoir été notifiés.
La signification se devant être régulière sans pouvoir
porter atteinte au intérêt de la défense, la SCP GARRIGUES & BALLUTEAUD ne
pouvait se prévaloir d’une signification irrégulière.
Qu’en conséquence le commandement de quitter les lieux
du 3 juillet 2007 par l’absence d’une signification régulière ne pouvait être
mise en exécution par la SCP d’huissier Garrigues & Balluteaud.
Lettre recommandée adressée le 5 juillet 2007 par la
SCP GARRIGUES & BALLUTEAUD au Préfet de la Haute Garonne.
En conséquence : faux intellectuels.
La
SCP GARRIGUES & BALLUTEAUD a saisi Monsieur le Préfet de la Haute Garonne
par faux intellectuels dans son courrier du 5 septembre 2007 et en
faisant usage de faux intellectuels concernant les actes de
significations inexacts et pour faire valoir qu’elle a délivré régulièrement
des actes à Monsieur et Madame LABORIE alors comme ci-dessus expliqué ces
significations sont nulles.
La
SCP GARRIGUES & BALLUTEAUD a saisi Monsieur le Préfet de la Haute Garonne
par faux intellectuels dans son courrier du 5 septembre 2007 en faisant
croire à Monsieur le Préfet que toute la procédure en amont était régulière et
non contestée alors qu’il existait un appel sur l’ordonnance d’expulsion et que
la SCP d’huissiers GARRIGUES &
BALLUTEAUD était informé par lettre recommandée de Monsieur LABORIE André des
difficultés de procédure autant sur le fond que sur la forme.
La
SCP GARRIGUES & BALLUTEAUD se devait d’opposer aux parties à l’instance la
communication des différents actes de procédure, cette dernière a porté une
nouvelle fois préjudice à Monsieur et Madame LABORIE.
Ces
faux intellectuels étaient de nuire aux intérêts de Monsieur et Madame LABORIE.
Sur la lettre de la SCP GARRIGUES & BALLUTEAUD à
Monsieur le directeur de la DASS.
En conséquence : faux intellectuels.
La
SCP GARRIGUES & BALLUTEAUD a informé Monsieur le Directeur Départemental de
l’action sanitaire et sociale en usant de faux intellectuel, et en
indiquant quelle a fait délivrer des commandements réguliers à Monsieur et
Madame LABORIE alors comme ci-dessus expliqué, ces commandements comme les
différents actes en amont sont entachés tous de nullité.
La
SCP GARRIGUES & BALLUTEAUD se devait d’opposer aux parties à l’instance la
communication des différents actes de procédure, cette dernière a porté une
nouvelle fois préjudice à Monsieur et Madame LABORIE
Sur le procès verbal de tentative d’expulsion en date
du 17 septembre 2007 signifié à Monsieur et Madame LABORIE.
En conséquence : faux intellectuels.
La
SCP GARRIGUES & BALLUTEAUD a effectué un procès verbal du 17 septembre 2007
de tentative
d’expulsion alors qu’au préalable il ne pouvait exister un quelconque
commandement valide de quitter les lieux, non signifiés à Madame LABORIE
Suzette comme expliqué ci-dessus et signifié irrégulièrement par faux
intellectuel à Monsieur LABORIE privé de ses droits de défense.
Dans
une procédure d’expulsion doit être au préalable être signifié régulièrement un
commandement de quitter les lieux et comme ci dessus expliqué, aucun
commandement n’a été régulièrement signifié et encore moins sur l’usage
de faux intellectuels repris par des actes entachés de faux
intellectuels et comme repris ci-dessus.
La
SCP GARRIGUES & BALLUTEAUD fait en permanence usage de faux
intellectuels pour en créer par la suite un autre pour obtenir des
décisions judiciaires portant préjudices à Monsieur et Madame LABORIE et dans
le seul but d’expulser irrégulièrement Monsieur et Madame LABORIE de leur
domicile.
Le
procès verbal rédigé le 17 septembre par La SCP GARRIGUES & BALLUTEAUD est
un nouveau faux intellectuel, jamais communiqué à Monsieur LABORIE André et à
Madame LABORIE Suzette en date du 17 septembre 2007 et jours suivants.
·
Ce
procès verbal d’incident d’exécution en date du 17 septembre si il était réel
et régulier aurait du être adressé par la SCP d’huissiers à Monsieur le juge de
l’exécution au T.G.I de Toulouse pour faire trancher
cette difficulté.
·
Monsieur
et Madame LABORIE aurait du être entendu ou appelé devant le juge de
l’exécution.
·
Encore
une fois la carence est caractérisée de la SCP d’huissier GARRIGUES &
BALLUTEAUD de la non saisine du juge de l’exécution postérieurement au procès
verbal d’incident du 17 septembre 2007 prétendu.
Ce
faux intellectuel du 17 septembre 2007 de la SCP GARRIGUES & BALLUTEAUD est
caractérisé par leur propre document. « Comment Monsieur LABORIE
André peut t’il recevoir le procès
verbal de signification en date du 17 septembre 2007 en copie alors qu’à cette
date là du 17 il aurait été présent à son domicile pour une tentative
d’expulsion » que ce procès verbal ne pouvait être rédigé.
D’autant
plus qu’il est mentionné sur le procès verbal du 17 septembre 2007 d’une
tentative d’expulsion et que Monsieur LABORIE est actuellement à la maison
d’arrêt de Montauban.
Que
cet acte concerne bien Madame LABORIE Suzette et non Monsieur LABORIE en cette
date du 17 septembre 2007 et que de ce fait, cet acte était bien prémédité en
mon absence de vouloir nous expulser de notre domicile alors que j’étais pour
eux incarcéré à Montauban comme le relate le procès verbal, l’acte prétendu
devait être opposable à Monsieur LABORIE andré.
Le faux intellectuel est caractérisé, il ne m’a jamais été remis un quelconque acte pour
le compte de Madame LABORIE Suzette et aucun acte pour Monsieur LABORIE André
en date du 17 septembre 2007.
La
SCP d’huissiers ne pouvait remettre le procès verbal rédigé le 17 septembre
2007 sur informatique à monsieur
LABORIE, ne sachant pas que Monsieur
LABORIE était à son domicile et comme il est confirmé par le procès verbal de
tentative d’expulsion en date du 17 septembre 2007.
Encore
une fois la SCP d’huissier de justice GARRIGUES & BALLUTEAUD agit
délibérément et comme justifié par un courrier ci-dessous de Maître BOURRASSET,
il faut l’harceler sans relâche Monsieur et Madame LABORIE.
Ps : Monsieur
et Madame LABORIE se réservent le droit de donner suite de ces écritures auprès
des instances compétentes.
Procès verbal de réquisition de la force publique en
date du 11 octobre 2007.
En conséquence : faux intellectuels.
Encore
une fois, la SCP d’huissiers GARRIGUES & BALLUTEAUD poursuit son
acharnement sur Monsieur et Madame LABORIE par faux intellectuels et
usage de faux intellectuels comme ci-dessus repris et porté à la
connaissance de Monsieur le Préfet de la Haute Garonne pour se voir attribué
une décision pour être assisté de la force publique pour nous expulser de notre
domicile et en violation de toute la procédure, le juge de l’exécution
n’a pas été saisi par la SCP d’huissiers de justice sur le prétendu incident du
17 septembre 2007.
La
SCP GARRIGUES & BALLUTEAUD porte seulement à la connaissance du Préfet par
usage de faux intellectuels l’ordonnance de référé rendue le premier juin 2007 sans
faire valoir qu’il existe une voie de recours l’appel et des contestations
sérieuses sur la procédure d’adjudication et la procédure d’expulsion.
La
SCP d’huissiers GARRIGUES & BALLUTEAUD porte à la connaissance du Préfet
par usage de faux intellectuels que les significations de cette
ordonnance ont été régulièrement signifiées alors qu’elle sait
pertinemment que celles-ci ne pouvaient être régulièrement signifiées comme
ci-dessus expliqué.
« Juris-classeur »
·
La
signification doit être déclarée nulle en raison de l'atteinte portée aux
droits de la défense (TGI Paris, 20 déc. 1972 : D. 1973, p. 204 ; JCP
1973GII, 6263, obs. J.A. ; RTD civ. 1973, p. 168,
note P. Raynaud).
La
SCP d’huissiers GARRIGUES & BALLUTEAUD porte à la connaissance du Préfet
par usage de faux intellectuels que les significations du commandement de
quitter les lieux ont été effectuées alors qu’elle sait que ces commandements
sont irréguliers en la forme et sur le fond.
La
SCP d’huissiers GARRIGUES & BALLUTEAUD porte à la connaissance du Préfet
par usage de faux intellectuels qu’elle a dressé un procès verbal d’expulsion
alors que ce dernier ne peut exister régulièrement au vu des éléments
ci-dessus.
Que
les demandes formulées dans son procès verbal adressé à la préfecture par usage
de faux intellectuel est dans le seul but de nuire aux intérêts de Monsieur et
Madame LABORIE pour obtenir une décision de Monsieur le Préfet.
Que
ce procès verbal doit être opposable aux parties à l’instance, la SCP
d’huissier s’est bien gardé de le signifier à Monsieur et Madame LABORIE.
Que
ce procès verbal signifié à Monsieur le Préfet, ne peut en plus être recevable
par Monsieur Bruno PAGNAC « agent administratif » ce
dernier ne pouvant se substituer à Monsieur le Préfet, responsable de la
décision qui doit être prise.
La
SCP d’huissiers GARRIGUES & BALLUTEAUD use et abuse de tous ses pouvoirs
par faux intellectuels et usage de faux intellectuels pour poursuivre
cet acharnement sans relâche à l’encontre de Monsieur et Madame LABORIE et
induire en erreur et mettre en porte à faux toute une administration et
institution judiciaire.
Sur la lettre du Préfet de la Haute Garonne en date du
8 janvier 2008.
En conséquence : faux intellectuels.
Cette
décision devait être opposable aux parties, la SCP d’huissiers GARRIGUES &
BALLUTEAUD se devait de la porter à notre connaissance pour faire valoir nos
droits, celle-ci faisant que l’usage de faux intellectuels produits par
cette dite SCP d’huissiers, celle-ci doit être prise pour faux intellectuels
par l’usage de faux intellectuels.
·
L’autorité
de la chose jugée ne peut être acquise par les voies de recours pendantes.
Encore
une fois la SCP d’huissiers a porté préjudices certains et incontestables à
Monsieur et Madame LABORIE GARRIGUES & BALLUTEAUD ainsi qu’à Monsieur le
Préfet de la Haute Garonne.
Sur la lettre de la SCP d’avocats
CATUGIER ; DUSAN ; BOURRASSET en date du 20
juin 2007
En conséquence : faux intellectuels.
Ce
courrier adressé à la SCP d’huissiers GARRIGUES BALLUTEAUD, n’engage que la
responsabilité civile et pénale de cette dernière pour faire usage de
l’ordonnance d’expulsion que Monsieur LABORIE inscrit en faux intellectuels
et pour le compte de Monsieur et Madame LABORIE et de l’usage de faux
intellectuels de cette société d’avocats « pour appel éminemment
dilatoire ; en faisant valoir la
régularité des significations » alors que celles ci sont
irrégulières comme expliqué ci-dessus ainsi de l’existence d’une
irrégularité certaine de vice de procédure de saisie immobilière comme
ci-dessous relaté dans l’assignation introductive et termes repris dans les
présentes conclusions responsives.
Sur le fax de Maître BOURRASSET à la SCP GARRIGUES
BALLUTEAUD
En date du 11 mars 2008.
En conséquence : faux intellectuels.
Les
agissements délictueux et considérés de criminels par l’expulsion irrégulière
faite par la SCP d’huissiers GARRIGUES BALLUTEAUD, ne peuvent être niés de cette
dernière, reconnaissant qu’une requête pour excès de pouvoir a été déposée
contre la décision de la préfecture, termes produit à la SCP d’avocat CATUGIER
– DUSAN - BOURRASSET.
LA
SCP d’huissiers GARRIGUES BALLUTEAUD ne pouvait encore une fois agir pour
saisir la force publique dans la mesure que la décision de la préfecture était
attaquée devant le tribunal administratif de Toulouse.
Il
ne peut être reproché à Monsieur LABORIE André d’agir en justice sur le
fondement des articles 30 et 31 du code de procédure civile pour défendre leurs
intérêts communs.
·
Art.
30 L'action est le droit, pour l'auteur d'une prétention, d'être
entendu sur le fond de celle-ci afin que le juge la dise bien ou mal fondée.
Pour
l'adversaire, l'action est le droit de discuter le bien-fondé de cette
prétention.
·
Art.
31 L'action est ouverte à tous ceux qui ont un intérêt légitime au
succès ou au rejet d'une prétention, sous réserve des cas dans lesquels la loi
attribue le droit d'agir aux seules personnes qu'elle qualifie pour élever ou
combattre une prétention, ou pour défendre un intérêt déterminé.
La
responsabilité civile et pénale est engagée par SCP d’huissiers GARRIGUES
BALLUTEAUD ayant agi à la demande de Madame D’ARAUJO
épouse BABILE « faux intellectuel réprimé par l’article 441-4 du code
pénal.
Sur le procès verbal de réquisition de la force
publique en date du 14 mars 2008.
En conséquence : faux intellectuels.
La
SCP d’huissiers GARRIGUES BALLUTEAUD a
fait usage de faux intellectuels en dressant un procès verbal pour
obtenir la présence de la gendarmerie de Saint Orens
de Gameville et en produisant trois pièces qui ne
peuvent avoir aucune autorité de chose jugée par les différentes voies de
recours saisies.
La
SCP d’huissiers GARRIGUES BALLUTEAUD
s’est bien gardé d’informer la gendarmerie qu’il existait des voies de
recours pendantes et dans le seul but de porter préjudice à Monsieur et Madame
LABORIE.
Les seules pièces prises pour former ses demandes à la Préfecture:
·
Ordonnance
de référé du 1er juin 2007 : « appel en cours »
·
Décision
de la préfecture du 8 janvier 2008 était opposable aux parties et non
communiquée, cette dernière ne pouvant être mise en exécution.
La SCP d’huissier GARRIGUES & BALLUTEAUD a privé
encore une fois Monsieur et Madame LABORIE d’en prendre connaissance.
« Recours devant le tribunal
administratif de Toulouse » en
date du 18 janvier 2008 sur la décision du 27 décembre 2007 de la préfecture
adressée à Monsieur et Madame LABORIE ordonnant l’expulsion mais pas celle du 8
janvier 2008.
Sur le procès verbal d’expulsion en date du 27, 28, et
31 mars 2008
à la requête de Madame BABILE.
En conséquence : faux intellectuels.
La
SCP GARRIGUES & BALUTEAUD huissiers
de justice ne pouvait agir par les actes précédents constitutifs de faux
intellectuels et de ses usages, Madame BABILE ne pouvait se prétendre
propriétaire en l’absence d’une publication régulière du jugement
d’adjudication du 21 décembre 2006 et encore moins la SARL LTMDB par
cession de notre domicile en date du 5 avril 2007 par acte notarié, cet acte
constitue un faux intellectuel
Ce
procès verbal constitue un faux intellectuel dans son contenu,
Monsieur et Madame LABORIE n’ont jamais donner l’ordre et l’autorisation
d’enlever les meubles et objets, de les déposer dans l’entrepôts mentionné dans
l’acte, Monsieur et Madame LABORIE ont contesté la régularité de cette
expulsion en date du 27 mars et suivant et comme il est confirmé par la plainte
déposée ce même jour à la gendarmerie de Saint Orens.
Ce
procès verbal constitue un faux intellectuel dans son contenu,
tous les meubles et objet n’ont pas été inscrit dans le procès verbal, ces
meubles et objets ont été détournés par la SCP d’huissier GARRIGUES &
BALLUTEAUD sous le prétexte d’une procédure d’expulsion régulière.
Ce
procès verbal est illisible, ne permet pas à Monsieur et Madame LABORIE
d’inventorier précisément les meubles et objet enlevés sans notre autorisation
et sous les ordres de la SCP GARRIGUES & BALLUTEAUD.
Si
la procédure d’expulsion était régulière, la SCP d’huissiers GARIGUES &
BALLUTEAUD aurait du saisir en référé au vu de cette difficulté par requête
Monsieur le Président pour qu’il soit ordonné l’enlèvement et le stockage des
meubles et objet dans un entrepôt et non de prendre par la SCP d’huissier un
entrepôt à sa convenance et bien sûr si l’expulsion était régulière.
Tous
les actes engagés par la SCP d’huissiers GARRIGUES & BALLUTEAUD au motif de
son mandant Madame D’ARAUJO Suzette épouse BABILE
sont entachés de faux intellectuels du premier au dernier acte.
Sur le procès verbal, article 659 du NCPC en date du 2
avril 2008.
En conséquence : faux intellectuels.
Conséquence, ce procès verbal
est un faux intellectuel, reprend que des termes inexacts et
l’usage de faux intellectuels pour faire valoir une procédure régulière
d’expulsion.
Sur le procès verbal de constat établi le 9 avril 2008
par la SCP GARRIGUES & BALLUTEAUD.
Ce procès verbal fait bien constater par ces photos
que le domicile de Monsieur et Madame LABORIE a bien été pillé par la SCP
d’huissiers GARRIGUES & BALLUTEAUD vidé de tous ses meubles et objets
appartenant à Monsieur et Madame LABORIE en date du 27, 28, 31 mars 2007.
CONSEQUENCES
DES AGISSEMENTS DE LA PREFECTURE DE LA H.G ET POUR
AVOIR FAIT USAGE DE FAUX INTELLECTUELS
L’EXPULSION EST IRREGULIERE
Par l’absence
d’une publication régulière du jugement d’adjudication tous les actes
postérieurs à la diligence de Madame D’ARAUJO Suzette
épouse BABILE sont nuls d’effet, cette dernière ne peut prétendre d’aucun droit
de propriété pour avoir demandé l’expulsion de Monsieur et Madame LABORIE de
leur domicile autant devant le tribunal dont ordonnance rendue le 1er
juin 2007 et de tous les actes subséquents effectués par la SCP GARRIGUES &
BALLUTEAUD huissiers de justice.
LE TROUBLE A L’ORDRE PUBLIC
EST CARRACTERISE.
La Préfecture est responsable des agissement pris sur
une base que Madame D’ARAUJO épouse BABILE a fait
usage de faux pour obtenir une ordonnance d’expulsion rendue le 1er
juin 2007, cette dernière saisissant son mandataire la SCP GARRIGUES &
BALLUTEAUD qui cette dernière a aussi fait différents faux et usages de faux
intellectuels.
La
Préfecture de la H.G est responsable de ses
agissements et pour avoir donné l’ordre à la SCP d’huissiers GARRIGUES &
BALUTEUAUD assisté de la force publique l’expulsion de Monsieur et Madame
LABORIE de leur résidence principale le 27 mars 2008 et sur la demande
initiale de Madame D’ARAUJO épouse BABILE, cette
dernière ayant abusé par faux et usage de faux toute une administration par le
biais de son mandataire la SCP d’huissiers GARRIGUES & BALLUTEAUD.
La responsabilité de Madame D’ARAUJO Suzette
épouse BABILE est pleinement engagée et causant préjudices certains à Monsieur
et Madame LABORIE.
IX/ Sur l’expulsion irrégulière en date du 27 mars
2008 et l’absence de voies de recours devant le juge de l’exécution.
Son déroulement :
Sur quel
fondement juridique Monsieur et Madame LABORIE ont été expulsés le 27 mars
2008:
Par une décision de la préfecture de la Haute Garonne
en date du 8 janvier 2008 obtenue par faux et usages de faux, produits par la
SCP GARRIGUES & BALLUTEAUD huissiers de justice à Toulouse et pour sa
requérante Madame D’ ARAUJO Suzette épouse BABILE qui a perdu tout droit de
propriété comme ci-dessus relaté.
SUR LA DECISION du 8 JANVIER 2008.
La
préfecture de la Haute Garonne a rendue une décision concernant Monsieur et
Madame LABORIE « au prétexte que celle-ci aurait autorité de la
chose jugée » sans que celle-ci soit portée à leur connaissance,
courrier du 8 janvier 2008 portée seulement à la connaissance de la SCP
GARRIGUES & BALLUTEAUD huissiers de justice.
L’autorité
de la chose jugée ne peut être acquise dans l’ordonnance obtenue le 1er
juin 2007 sur faux et usage de faux de madame D’ARAUJO
épouse BABILE car celle-ci dépend d’un jugement d’adjudication qui ne peut
avoir l’autorité de la chose jugé.
·
Article 1351 du code civil : 5. Jugement d'adjudication. La décision qui
n'a statué sur aucun incident contentieux et s'est bornée à relater le
déroulement des enchères et à déclarer
adjudicataire le dernier enchérisseur n'est
pas susceptible d'acquérir l'autorité de la chose jugée .
·
Civ. 2e, 13 févr. 1985: Bull. civ. II, no 35.
Que
cette décision de la préfecture est très grave et préjudiciable à Monsieur et
Madame LABORIE expulsés de leur domicile en date du 27 mars 2008, la décision
devait leur être opposable.
La
préfecture a voulu rendre exécutoire une ordonnance de référé rendue par le
tribunal d’instance de Toulouse en date du 1er juin 2007 ordonnant
l’expulsion de Monsieur et Madame LABORIE de leur résidence principale et au
prétexte que celle-ci ayant acquis l’autorité de la chose jugée.
La préfecture représentée
par « Madame Anne Gaëlle BAUDOUIN-CLERC »
a fait usage de faux intellectuels dans sa décision du 8 janvier 2008 et
du 27 décembre 2007.
Rappel :
Qu’au
préalable était pendante devant le tribunal administratif de Toulouse une
requête sur le fond pour excès de pouvoir de la Préfecture et en annulation
d’une expulsion locative, sur une décision de la Préfecture rendue le 27
décembre 2007 REF : TA N° 0800266-2 enregistrée le 18 janvier 2008.
·
Que
cette requête a été communiquée à la Préfecture par le tribunal administratif
de Toulouse le 12 février 2008, la Préfecture avait 60 jours pour y répondre.
Carence
de la Préfecture dans le seul but de porter encore préjudice à Monsieur et
Madame LABORIE au vu des voies de faits qui en ont suivies le 27 mars 2008.
Comment a été prise la décision du 8 janvier 2008 par la préfecture de
la H.G.
Des faux intellectuels ont été portés à la connaissance de la Préfecture par la SCP
GARRIGUES & BALLUTEAUD, cette dernière ayant porté une situation
juridique inexacte dans le seul but de faire expulser Monsieur et
Madame LABORIE de leur résidence principale.
Monsieur
LABORIE André pour le compte de Monsieur et Madame LABORIE avait averti la
Préfecture en date du 27 décembre 2007 et en date du 8 janvier 2008 des
différentes difficultés du dossier par lettre recommandée et par fax :
·
Saisine
de Monsieur VIAU Préfet de la H.G le 5 juillet 2007.
·
Saisine
de Monsieur CARENCO Préfet de la H.G le 25 octobre
2007.
Son déroulement :
Le
27 mars 2008 à 9 heures du matin la
sonnerie du portail retentit, j’ouvre la porte et je reconnais l’huissier qui
est déjà venu m’harceler pour nous expulser de notre résidence principale alors
qu’il ne détenait aucun titre définitif valide.
Mis au courant des difficultés dans ce dossier et des différentes voies
de recours en cours devant la juridiction Toulousaine, il ne pouvait ignorer
les différents documents reçus quelques jours
auparavant sur la difficulté d’exécution.
J’étais
en peignoir de bain, je lui ai dis : « je vais
m’habiller ». Je ressors, je vais lui ouvrir le portail et bien sûr je constate qu’il était accompagné d’environ 10 gendarmes. Je les ai fait tous
entrer ; ils ont pris position dans la salle à manger. Immédiatement je
les ai informé qu’il existait des voies de recours ; ils n’ont rien voulu
savoir, tant l’huissier que les gendarmes, agressifs et presque prêts à m’embarquer, de plus ayant connaissance de la situation et de
l’illégalité de la procédure d’expulsion.
La
complicité de la gendarmerie est réelle à la demande de base de
Madame BABILE Suzette; elle couvre les agissements délictueux de Maître
GARRIGUES huissiers de justice agissant à la demande de Madame BABILE
Suzette alors que cette dernière ne pouvait être propriétaire à la
saisine du tribunal d’instance de Toulouse pour obtenir une ordonnance
d’expulsion et par l’absence de transfert de propriété en date du 9 mars 2007,
transfert de propriété pouvant seulement être effectuée par une publication
régulière à la conservation des hypothèques après que la cour ait rendu sa
décision sur l’appel du jugement d’adjudication doit après le 21 mai 2007.
Pas
plus n’est plus propriétaire par la vente de notre résidence principale à la
société LTMDB, SARL à responsabilité limitée au capital de 2000 euros dont son
siège social est au 4 impasse Bitet à Toulouse Bat 2
appart 56 31400 TOULOUSE et que son
gérant est Monsieur TEULE Laurent, l’acte notarié étant inscrit en faux
en écritures intellectuelles.
La
décision préfectorale est entachée de
nullité pour avoir pris une décision pour le compte de Madame BABILE Suzette
alors que cette dernière n’était plus propriétaire, décision attaquée devant le
tribunal administratif en date du 18 janvier 2008 sur le fond et la forme pour
excès de pouvoir ainsi que la décision du 8 janvier 2008 non communiquée à
Monsieur et Madame LABORIE et dont est saisi aussi le tribunal administratif de
Toulouse e date du 5 août 2008.
L’huissier
de justice de la SCP GARRIGUES & BALLUTEAUD en l’espèce Maître GARRIGUES
aurait du vérifier la propriété réelle de la résidence de Monsieur et Madame
LABORIE demeurant au N° 2 rue de la Forge 31650 Saint Orens.
L’huissier
de justice de la SCP GARRIGUES & BALLUTEAUD en l’espèce Maître GARRIGUES a
agi sur ordre de la préfecture et par décision du 27 décembre 2007, et après
que ce dernier ait apporté de faux éléments à la préfecture sur la propriété
réelle de notre résidence principale.
Qu’en
plus cette décision préfectorale, sont auteur n’avait aucune délégation valide
de signature en date du 27 décembre 2007.
Que
l’expulsion est irrégulière en l’absence d’un quelconque commandement régulier
d’expulsion préalable signifié aux parties.
Que
de nombreuses voies de recours étaient en cours et que le tribunal et la cour
étaient saisis sur l’irrégularité de l’acte d’adjudication rendu le 21 décembre
2006.
Pendant
que je parlementais avec les gendarmes et qu’il avaient été précédemment
informés par courrier recommandé avec accusé de réception que des voies de recours avaient été
engagées, « l’huissier donnait l’ordre d’enlever tous les meubles et objets
aux déménageurs».
J’ai
essayé de téléphoner à des avocats, Préfecture, Ministre de la Justice, avec
une pression permanente autour de moi et avec la crainte d’être emmené,
« voyant un des gendarmes en train de se mettre les gants pour
éventuellement procéder à mon arrestation ».
J’ai
pu les calmer très difficilement en me pliant aux pressions et ne pouvant rien
faire pour empêcher l’expulsion.
En
premier, et, pour que je ne puisse pas agir par des justificatifs que j’aurai
pu fournir devant un tribunal dans de nombreuses affaires, j’ai eu tous les
dossiers du bureau enlevés, une centaine et de nombreux papiers et livres
juridiques, codes juridiques, logiciels informatiques, tout ce que l’on peut
trouver dans un bureau de personnel et d’intime d’où le préjudice certain.
Se
trouvait dans la maison Madame LABORIE Suzette mon épouse bien que nous vivons
séparés depuis de nombreuses années avec
chacun notre vie privée.
Nous
sommes restés solidaires devant ce qui se passait sans pouvoir rien faire et
les gendarmes rigolaient attendaient que je fasse un faux pas pour m’embarquer.
Nous
sommes partis, elle avec une petite valise, aucun temps accordé pour prendre
des affaires et ou les mettre nous étions dans la rue sans domicile !!!
Mes
différents appels sont restés vains, sans résultat, aucun secours des avocats
appelés, tout le monde était irresponsable même la préfecture avec laquelle
j’ai pu être mis en relation directe avec Monsieur André le sous préfet qui n’a
pas voulu arrêter la procédure d’expulsion irrégulière.
J’ai
baissé les bras ne pouvant rien faire et laissais notre domicile aux mains de l’huissier GARRIGUES.
Ils
ont mis trois jours pour enlever tout ce que contenait notre résidence
principale, sans même être au courant de ce qu’ils enlevaient.
Nous
sommes partis sans rien, pillage de tout ; destination un soit disant
dépôt à BRUGUIERE au nord de Toulouse.
Monsieur
et Madame LABORIE sont démunis de tous leurs dossiers juridiques pour faire
valoir leurs droits devant un tribunal, obstacles à toutes les procédures en
cours, ne pouvant répondre aux conclusions et autres.
Monsieur
et Madame LABORIE sont privés de leurs effets personnels nécessaires pour leur
vie quotidienne.
Madame
LABORIE agent hospitalier ne pouvant assurer son service public auprès des
hôpitaux de Toulouse en maladie et sans domicile faute de moyens financiers
d’où le préjudice certain.
Nous
sommes à la rue, sans qu’aucune autorité n’intervienne pour faire cesser ce
pillage diligenté par la SCP d’huissiers GARRIGUES et BALLUTEAUD.
L’huissier
GARRIGUES a même enlevé sur notre boîte
aux lettres notre nom, détournant de ce fait notre correspondance alors que
Madame BABILE Suzette ne peut être propriétaire par son acte d’adjudication
obtenu par une procédure de saisie immobilière irrégulière pendant que j’étais
en prison.
Procédure
de saisie faite sans débat contradictoire et seulement par faux et usage de
faux de la partie adverse en accord avec les autorités Toulousaines trompées
par certains avocats et huissiers aucun moyen de défense Monsieur André LABORIE
seul à pouvoir défendre la procédure, était en prison sans pouvoir agir.
Une
plainte a été déposée à la gendarmerie de Saint Orens
le jour même soit le 27 mars 2008 contre la SCP d’huissiers GARRIGUES &
BALLUTEAUD, soit disant communiquée au parquet de Toulouse et à la préfecture
de Toulouse, encore à ce jour restée sans réponse.
Monsieur
et Madame LABORIE sont dans la rue, sans domicile fixe alors qu’ils sont
propriétaire de leur résidence située à Saint Orens
de Gameville, toutes les serrures ont été changées
par l’huissier GARRIGUES.
Madame
D’ARAUJO Suzette épouse BABILE responsable à la
source de ses carences juridiques et pour ne pas avoir postérieurement au
jugement d’adjudication « ce dernier attaqué en annulation »
effectuée régulièrement les 3 formalités requises pour le transfert de
propriété, doit succomber en ses demandes et se doit de réparer les différents
préjudices causés à Monsieur et Madame LABORIE sur le fondement des article
1382 et 1383 du code civil.
X / Sur les différents préjudices subis.
Les préjudices sont très important :
Violation
de notre domicile en date du 27 mars 2008 et par faux et usage de faux.
Il a été causé un préjudice moral à Monsieur et Madame
LABORIE de se voir mis dans la rue à la demande de Madame D’ARAUJO
épouse BABILE alors que cette dernière n’avait pas accomplie les formalités
légales de transfert de propriété.
Il a été causé un préjudice matériel à Monsieur et
Madame LABORIE de leur avoir détourné à la demande de Madame D’ARAUJO épouse BABILE tous les meubles et objet meublant
leur résidence, enlevés et stockés dans un entrepôt sans le consentement de
Monsieur et Madame LABORIE.
Le préjudice par rapport au voisinage et la famille et
tous les gens qui nous connaissent ne peut être contesté.
Notre domicile a été dépouillé de tous ses meubles et
objet à la demande de Madame D’ARAUJO épouse BABILE.
Monsieur et Madame LABORIE sont sans leur affaire
depuis le 27 mars 2008.
Que les photos faites par la SCP d’huissier FERRAN à
Toulouse par procès verbal est signifiant de l’état des meubles stockés dans un
entrepôt, ils ont été démontés et en partie cassés, rayés et autres…
Qu’il est impossible de vérifier tous les meubles et
objets enlevés dans la résidence de Monsieur et Madame LABORIE au Dépôt, le
procès verbal de la SCP d’huissiers GARRIGUES & BALLUTEAUD illisible et
incomplet sur tous les meubles et objets meublant notre résidence, 110 m3 ont
été enlevés et ne pouvant que partiellement être identifiés.
Dégradation de notre cuisine intégrée restée sur place
et autre…
Dégradation de l’intérieur du domicile de Monsieur et
Madame LABORIE.
Madame LABORIE Suzette agent Hospitalier a été obligé
de se mettre en maladie, ne pouvant assurer depuis le 27 mars 2008 sont travail
d’agent public de l’état.
Monsieur et Madame LABORIE ont été contraint de saisir
la justice pour faire valoir leur droit, cela a un coût.
Monsieur et Madame LABORIE ont été en difficulté pour
faire valoir leur droit en justice dans de nombreux dossiers détournés et
encore non retrouvés
Il existe un préjudice financier et matériel pour
réintégrer nous-mêmes et tous les meubles et objets dans le domicile de
Monsieur et Madame LABORIE au N° 2 rue de la Forge 31650 Saint Orens.
Que le préjudice total est inestimable en sa réalité,
il est minimum évalué à la somme de 150 .000 euros. « cent
cinquante mille euros ».
En cas de contestation de Madame D’ARAUJO épouse
BABILE, l’expertise restant à sa charge.
Madame D’ARAUJO Suzette
épouse BABILE est responsable directement de ses agissements auprès de son
conseil, auprès de son mandataire la SCP d’huissier GARRIGUES & BALLUTEAUD,
auprès de la Préfecture, auprès de la gendarmerie de Saint Orens.
Que Madame D’ARAUJO épouse
BABILE, alors qu’elle n’avait pas le droit de saisir le juge des référés en
date du 9 mars 2007 pour demander notre expulsion, quelle n’avait pas le droit
de vendre notre Propriété tant quelle n’était pas entièrement propriétaire par
une publication régulière du jugement d’adjudication postérieure à l’arrêt de
la cour d’appel rendu le 21 mai 2007 ainsi que par le paiement de son prix.
Que Madame D’ARAUJO épouse
BABILE a perdu son droit de propriété par l’action en résolution en date du 9
février 2007, procédure toujours en cours.
Que Madame D’ARAUJO épouse
BABILE, n’avait pas le droit de nous faire expulser de notre domicile le 27
mars 2008 et mettre à la place son petit fils Monsieur TEULE Laurent, gérant de
la SARL LTMDB par faux et usage de faux par des actes de complaisance.
Sur la réintégration au domicile de Monsieur et Madame
LABORIE ainsi que de leurs meubles et objets et l’expulsion de tout occupant
n’ayant ni droit ni titre valide
Monsieur et Madame LABORIE sont propriétaire de leur
résidence depuis 1981 par acte notarié, ce n’est que par un jugement
d’adjudication « sans transfert de propriété » que l’on
prétend à ce jour occuper leur résidence à leur place par le petit fils de
madame D’ARAUJO épouse BABILE, Monsieur TEULE Laurent
et ce dernier ayant effectué différents montages juridiques pour ne pas permettre la réintégration de
Monsieur et Madame LABORIE en leur domicile.
Que l’acte notarié du 5 avril 2007 est inscrit en faux
en écriture intellectuel, Madame D’ARAUJO ne pouvait
vendre le bien obtenu par adjudication sans un transfert de propriété établi et
sans avoir encore payé le prix de l’adjudication.
Le transfert de propriété par une publication
régulière ne pouvant intervenir avant le 21 mai 2007 sans compter les voies de
recours et la signification de l’acte « décision de la Cour d’Appel de
Toulouse » suite à l’appel du jugement d’adjudication.
Paiement de l’adjudication le 11 avril 2007 par Madame
D’ARAUJO épouse BABILE, au vu de l’article 2212 du
code civil, la vente est résolue de plein droit.
Précisant que ce n’est qu’après paiement de
l’adjudication que la grosse du jugement peut être acquise, pas avant «
d’ordre public »
Précisant que le tribunal d’instance ne peut être
saisi qu’après avoir obtenu la grosse du jugement pour la faire signifier et
que la propriété soit certaine à Madame D’ARAUJO
épouse BABILE, ce qui en est pas le cas en l’espèce.
Qu’en conséquence le 9 mars 2007, Madame D’ARAUJO épouse BABILE ne pouvait introduire une instance
devant le tribunal en l’absence de tous ses éléments de pur droit.
Que la réintégration de Monsieur et Madame LABORIE
doit être ordonné par la cour d’appel suite à l’expulsion abusive faite à la
demande de Madame BABILE, cette expulsion abusive doit être sanctionnée et la
cour se doit de remettre les parties en l’état avant le 27 mars 2008 et que
tous les frais de cette remise en l’état soient pris en charge par madame D’ARAUJO Suzette épouse BABILE, indépendamment de la
réparation financière des différents préjudices subis.
Que l’expulsion de tout occupant du domicile de
Monsieur et Madame LABORIE soit ordonné par la cour d’appel, Monsieur TEULE
Laurent étant le petit fils de Madame D’ARAUJO épouse
BABILE et étant le gérant de ces deux sociétés ; la SARL OMNI CONSEIL et
la SARL LTMDB occupant sans droit ni titre par l’inscription en faux de l’acte
notarié du 5 avril 2007 et par l’usage de ses faux pour établir pour chacune
d’elle un bail lui aussi sans aucune valeur juridique conséquence de l’usage de
faux intellectuels.
Que la cour se doit d’ordonner l’expulsion de tout
occupant du domicile de Monsieur et Madame LABORIE au N° 2 rue de la Forge avec
l’assistance de la force publique sous astreinte de 150 euros par jours.
A ce jour, le domicile de Monsieur et Madame LABORIE
au N° 2 rue de la Forge est occupé sans droit ni titre et pour les motifs
suivants :
Sur la propriété de l’immeuble situé au N° 2 rue de la Forge
Que le transfert de propriété n’étant pas établi conformément aux
règles de droit, Monsieur et Madame LABORIE sont toujours propriétaire.
Qu’à
ce jour l’immeuble est occupé sans droit ni titre régulier par Monsieur TEULE
Laurent.
Qu’à
ce jour l’immeuble est occupé sans droit ni titre régulier par la société LTMDB.
Qu’à
ce jour l’immeuble est occupé sans droit ni titre régulier par la société OMNI
– CONSEIL.
Monsieur
TEULE Laurent gérant des deux sociétés ci-dessus reprises, la SARL : OMNI-
CONSEIL & LA SARL : LTMDB.
La
SARL LTMDB a fait usage de faux intellectuels, par son gérant
Monsieur TEULE Laurent qui n’est que le petit fils de Madame D’ARAUJO épouse BABILE pour accepter de faire établir un acte
notarié dans une fausse configuration juridique de la situation en date du 5
avril 2007 et finalisé le 6 juin 2007 irrégulièrement, l’arrêt de la cour
d’appel « clause suspensive » non encore signifié et ayant
connaissance de toute la procédure en amont.
Monsieur
TEULE Laurent au cours d’un procès qui lui est intenté devant le tribunal
d’instance pour occupant sans droit n’y titre le domicile de Monsieur et Madame
LABORIE au N° 2 rue de la Forge 31650 Saint Orens, « ces
dernier irrégulièrement expulsés le 27 mars 2008 » a fourni un bail
commercial de la SARL LTMDB.
Que
ce bail est un faux en écriture privé usant de faux intellectuels, « l’acte
notarié inscrit en faux intellectuels » pour les raison ci-dessus.
Que
ce bail a été rédigé par Monsieur TEULE Laurent dans le seul but de faire
valoir en justice d’un droit d’occupation.
Que
Monsieur TEULE Laurent use en permanence de faux et usage de faux pour occuper
la résidence de Monsieur et Madame LABORIE
Qu’au
jour de la signification de l’acte d’huissier de justice soit le 27 mai 2008
pour le procès qui lui est ouvert devant le tribunal d’instance de Toulouse à
son encontre, a pour le compte de ses deux sociétés dont il est gérant, soit en
date du 27 mai 2008 établi un procès verbal d’assemblée générale pour les dites
sociétés pour faire mettre le siège de chacune d’elle au domicile dont il
occupe sans droit n’y titre régulier et usant seulement de faux intellectuels
pour faire établir un droit et portant encore plus préjudices lors de
l’annulation du jugement d’adjudication pour que Monsieur et Madame LABORIE ne
puissent pas récupérer le plus rapidement leur résidence principale.
Que
la SARL LTMDB ne peut prétendre d’être propriétaire par l’acte notarié inscrit
en faux en écriture intellectuel en date du 8 juillet 2008 de notre domicile
situé au N° 2 rue de la Forge 31650 Saint Orens.
Que
la SARL LTMDB ne peut faire usage d’un faux intellectuel pour obtenir un droit
à rédiger un bail de location au profit de Monsieur TEULE Laurent.
Que
ce bail est en conséquence un faux en écriture privé pour avoir fait usage d’un
faux intellectuel « acte notarié » pour faire valoir un droit
d’occupation du domicile de Monsieur et Madame LABORIE.
Que
la SARL LTMDB ne peut faire établir son siège social au N° 2 rue de la Forge à
Saint Orens, cette dernière ne pouvant être
propriétaire de notre résidence principale par la nullité de l’acte notarié
effectué par de fausses déclarations des parties.
Que
la SARL OMNI CONSEIL ne peut faire établir son siège social au N° 2 rue de la
Forge à Saint Orens, par un quelconque bail donné par
la SARL LTMDB, cette dernière ne pouvant être propriétaire.
·
La
SARL LTMDB a fait usage de faux intellectuels pour se rendre propriétaire.
·
La
SARL LTMDB a fait un faux en écriture privée « bail » pour faire
valoir un droit.
Monsieur
TEULE Laurent étant l’instigateur des diverses procédures pour le compte de ses
deux sociétés, faisant des faux et usage pour faire valoir d’un droit pour son
compte et pour le compte des deux sociétés dont il est le seul gérant.
Monsieur
TEULE Laurent ayant fait apparaître dans un journal d’annonce légale, «
LA VOIE DU MIDI » en date du 5 juin 2008 postérieurement à
l’assignation délivrée le 27 mai 2008 deux annonces pour les deux sociétés dont
il est gérant et pour faire valoir d’une situation juridique régulière alors
qu’elle ne peut l’être et pour occuper notre résidence principale ou nous avons
été expulsés irrégulièrement et nous porter encore plus préjudices.
Que
ces faux et usages de faux intellectuels
ont été à la diligence de Monsieur TEULE Laurent pour occuper notre domicile au
N° 2 rue de la Forge 31650 Saint Orens, ce qui nous
porte préjudices.
Plainte
est donc déposée le 21 juillet 2008 contre Madame D’ARAUJO
Suzette épouse BABILE et contre Monsieur TEULE Laurent agissant pour son compte
et pour le compte de ces deux sociétés.
Qu’en conséquence :
Madame
D’ARAUJO épouse BABILE en l’absence d’avoir obtenu la
grosse du jugement d’adjudication du 21 décembre 2006 par le paiement de son
montant dans le délai de 20 jours au jour de la saisine du tribunal d’instance
soit le 9 mars 2007.
Madame
D’ARAUJO épouse BABILE en l’absence d’avoir signifié
le jugement d’adjudication au jour de la saisine du tribunal d’instance soit le
9 mars 2007.
Madame
D’ARAUJO épouse BABILE en l’absence d’avoir publié le
jugement d’adjudication au jour de la saisine du tribunal d’instance soit le 9
mars 2007, publication devant être postérieure à l’arrêt rendu par la cour
d’appel de Toulouse soit en date du 21 mai 2007.
Que
par l’absence de publication ouvrant l’opposabilité aux tiers du jugement
d’adjudication, au jour de la saisine du tribunal d’instance soit le 9 mars
2007.
Madame
D’ARAUJO épouse BABILE, ne pouvait saisir le 9 mars
2007 le tribunal d’instance pour obtenir une ordonnance d’expulsion et encore plus
sans un quelconque débat contradictoire.
·
Raison
de l’appel en date du 11 juin 2007 de l’ordonnance d’expulsion rendu le 1er
juin 2007.
LA cour d’appel après vérification des écritures de Monsieur et Madame
LABORIE, se doit d’infirmer l’ordonnance du 1er juin 2007 rendu par
le tribunal d’instance de Toulouse.
XI Sur
l’indemnisation des préjudices subis et les mesures conservatoires à prendre
pour garantir l’indemnisation de Monsieur et Madame LABORIE.
Monsieur et Madame LABORIE André en plus de la réintégration
à leur domicile ainsi que les meubles et objets meublant leur résidence à la
charge de Madame D’ARAUJO Suzette épouse BABILE,
demandent à la cour que soit ordonné à hauteur de cent cinquante mille euros « 150.000
euros » l’indemnisation des différents préjudices subis et pour
expulsion irrégulière et abusive avec de graves conséquences sur la vie sociale
de Monsieur et Madame LABORIE, expulsion faite à la demande de Madame D’ARAUJO épouse BABILE.
Madame D’ARAUJO épouse
BABILE savait que lors de l’annulation du jugement d’adjudication « dont
procédure était en cours le 9 février 2007 » Monsieur et Madame LABORIE
veulent récupérer leur résidence principale et qu’ils sont toujours
propriétaire dans la mesure que les formalités nécessaires postérieures au
jugement d’adjudications n’ont pas été régulièrement accomplies.
Même autorisé à titre provisoire, l’éxécution d’une décision de justice frappé d’appel « en
l’espèce l’ordonnance du 1er juin 2007 » est aux risque et
périls de celui qui la poursuit, à charge par lui de réparer, en cas
d’infirmation de la décision, le préjudice qui a pu être causé par cette
exécution, sans que celui qui réclame réparation ait à démontrer l’existence
d’une faute (3ème CIV ; 1er juillet 1998, pourvoi
N° 96-18930)
Au vu de la mauvaise foi de Madame D’ARAUJO épouse BABILE, suite aux différentes carences de
vouloir régulariser les formalités requises et dans le seul but d’obtenir des
décisions favorables par faux et usage de faux, de constituer deux SARL avec
son petit fils pour détourner la résidence de Monsieur et Madame LABORIE, il
existe un doute sur l’indemnisation par Madame D’ARAUJO
épouse BABILE et de ses ayants droits.
A fin de garantir cette indemnisation de pur droit sur
le fondement des article 1382 et 1383 du code civil, il est demandé à la cour,
au juge de l’exécution de la section d’appel que soit accordé à Monsieur et
Madame LABORIE une inscription hypothécaire sur les biens appartenant à Madame
D’ARAUJO épouse BABILE et de ses ayants droit et à la
charge financière de cette dernière.
REPARATION DES
DIFFERENTS PREJUDICES CAUSES.
Préjudice causés par la procédure de saisie immobilière diligentée par
la Commerzbank jusqu’à la vente aux enchéres du 21
décembre 2006.
Préjudices causés par la procédure irrégulière d’expulsion diligentée
par Madame D’ARAUJO épouse BABILE
Total des préjudices Commerzbank
Commerzbank : 500.000
euros valeur de notre bien à la date de l’adjudication.
Commerzbank : 150.000
euros, préjudices moral et psychologique important.
Qu’il serait inéquitable de laisser à la charge de Monsieur
et Madame LABORIE les différents frais engagés pour avoir conseil auprès
d’avocat et autres, la justice ayant un coût, Monsieur et Madame LABORIE
demandent aussi à la cour d’appel que la banque Commerzbank soit condamnée à la
somme de 20.000 euros sur le fondement de l’article 700 du NCPC à verser au
profit de la SCP MALET, Avoué à la cour, conformément aux dispositions de
l’article 699 NCPC.
Les
préjudices causés par Madame D’ARAUJO épouse BABILE
et la demande en indemnisation pour procédure d’expulsion irrégulière
font parti d’une autre procédure indépendante devant la cour d’appel de
Toulouse.
SUR LA RESTITUTION DE LA PROPRIETE
DE MONSIEUR ET MADAME LABORIE.
Monsieur
et Madame LABORIE sont fondé de demander à la cour la restitution de leur
propriété au N° 2 rue de la Forge et l’expulsion de tout occupant sans droit
n’y titre et assisté de la force publique suite à l’annulation du jugement d’adjudication
de droit.
Que
tous les frais de règlement de procédure pour que la propriété soit retrouvée
par Monsieur et Madame LABORIE soit prise en charge par la Banque Commerzbank
ainsi que toutes les formalités nécessaires.
Que la fraude est réellement caractérisée de Maître
FRANCES Agissant pour la Commerzbank.
Alors
que la Commerzbank n’est pas créancière de Monsieur et Madame LABORIE.
Alors
que Monsieur et Madame LABORIE sont créditeur
de celle-ci, Maître FRANCES a élaboré un projet de distribution alors que la
vente est nulle de plein droit.
Que
ce projet de distribution ne pouvait être effectué sans que la vente soit
parfaite et sans que la publication du jugement d’adjudication soit conforme à
l’article 750 de l’acpc.
Que
les montant demandés sont faux et ne peuvent exister envers de la Commerzbank
et tous autres organismes, par la fraude de la procédure de saisie immobilière.
Que
Maître FRANCES est l’instigatrice à
l’action, n’a toujours pas fourni un quelconque acte valide de créance liquide
certaine et exigible pour les organismes prétendus dans son projet.
Que
la fraude est caractérisée par les montants demandés pour le compte de la
Commerzbank et différents tiers.
Que
la fraude est encore plus caractérisée car des contestations ont été soulevées
par assignation devant le juge de l’exécution et malgré ces contestations
Maître FRANCES aurait obtenu homologation de son projet alors que des
contestations sont en cours devant le juge de l’exécution seul compétant dans
sa saisine régulière par Monsieur et Madame LABORIE.
Qu’il est fourni la preuve à ce jour qu’une ordonnance d’homologation
du projet de distribution a été rendue le 11 décembre 2009 en violation de
toutes les règles de droit par Monsieur CAVE Michel.
Que
je ne peux affirmer si la somme consignée à la CARPA d’environ de 270.000 euros
a été distribuée, ce qui serait encore plus grave.
Conclusions : on
comprend mieux pourquoi il était nécessaire de porter plainte à l’encontre de
Monsieur LABORIE pour l’écarter de tout débat et de le mettre en prison à fin
que Maître FRANCES agissant pour la Commerzbank puisse détourner impunément la
propriété de Monsieur et Madame LABORIE et en
faisant obstacle à l’obtention d’un avocat pour déposer un dire au vu
des différentes pièces produites.
Violation
des articles 4 ; 14 ; 15 ; 16 ; du ncpc
et de l’article 6 ; 6-1 de la CEDH « d’ordre public »
Dans
l’attente de votre saisine pour faire cesser ce trouble à l’ordre public et des
suites à donner contre les auteurs dont nous en sommes victimes, je vous prie
de croire Monsieur le doyen des juges à mes respectueuses salutations.
Monsieur LABORIE André
BORDEREAU DE PIECES
FRAUDE DANS LA PROCEDURE
DE SAISIE IMMOBILIERE
L’annulation d’une décision de justice ayant servi de base à des poursuites
de saisie immobilière a nécessairement pour conséquence la nullité de toute la
procédure de saisie, et notamment celle du jugement d’adjudication, alors même
qu’il aurait été publié
( Pourvoi N° 98-18162 du 3 mai 2001 : Président
M. BUFFET)
Pièces déjà fournies à la procédure Civile le 7
octobre 2008 :
Déchéance de la procédure de saisie immobilière
sur le fondement de l’article 715 du ANCPC ( d’ordre
public )
1)- Offre de prêt ATHENA
« Faux en écriture » fraude dans la signature 2)- Contestation de
Madame LABORIE sur la l’irrégularité du prêt ATHENA.
2)- Jugement ATHENA en
premier ressort le 9 février 1995
« Faux en écriture »
3)- Signification irrégulière
du jugement ATHENA le 2 mars 1995 « Faux en écriture »
4)- Jugement PASS N°4763/94
en premier ressort le 10 février 1995.
5)- Signification le 2 mars
1995 irrégulière du jugement N°4763/94 PASS « Faux en écriture »
6)- Jugement PASS N°4762/94
en premier ressort le 10 février 1995.
7)- Signification le 2 mars
1995 irrégulière du jugement N°4762/94 PASS « Faux en écriture »
8)- Offre de prêt CETELEM 120
KF« Faux en écriture » fraude dans la signature.
9)- Jugement CETELEM N°
4654/94 en premier ressort le 26 janvier 1995 « Faux en écriture »
10)- Signification
irrégulière du jugement CETELEM N° 4654/94 le 13 février 1995 « Faux en
écriture »
11)- Jugement CETELEM N°
4655/94 en premier ressort le 26 janvier 1995
12)- Signification
irrégulière du jugement CETELEM N° 4655/94 le 13 février 1995. « Faux en
écriture »
13)- Inexistence juridique
depuis décembre 1999 de ATHENA. Arrêt du 16 mai 2006.
14)- Inexistence juridique
d’AGF, radié au TC de paris le 13 février 2003 (KBIS) en date du 8 mai 2004
15)- Pouvoir unique en saisie
le 9/9/2002 « Faux en écriture », inexistence d’ATHENA.
16)- Jugement du 19 décembre
2002 annulation de la saisie CETELEM, PASS, ATHENA.
17)- Requête le 11 mars 2003
de CETELEM, PASS, ATHENA « après une interdiction de 3 ans » pour
réitérer un commandement : Faux en écriture, inexistence d’ATHENA.
18)- Jugement du 15 mai 2003
sur requête du 11 mars 2003 « Faux en écriture »
19)- Requête en annulation du
jugement du 15/5/2003, « déni de justice » pas de réponse.
20)- Nullité du commandement
du 20/10/2003 « « Faux en écriture »
21)- Assignation devant le
JEX en opposition du commandement du 20/10/2003
22)- Nullité de la
publication, « délai de 20 jours non respecté » et autres ….
23)- Affectation hypothécaire
du 2 mars 1992, non signée et aucun projet fourni signé de Monsieur et Madame
LABORIE ( faux en écritures publiques).
24)- Arrêt de la cour d’appel
de Toulouse en date du 16 mars 1998 ordonnant l’annulation du prêt et
l’annulation de la saisie immobilière par la Commerzbank. ( autorité de chose
jugée)
25)- Signification
irrégulière de l’arrêt de la cour de cassation du 4 octobre 2000 soit le 5 juin
2001, non signifié en la personne de Monsieur et Madame LABORIE et comme il est
reconnu dans le procès verbal.
26)- Sommes en possession de
la Commerzbank soit 405.824 francs soit 61867.47 euros et plainte à Monsieur le
Doyen des juges en date du 12 juin 2001.
27)- Montant initial emprunté
et débloqué avant l’annulation du prêt, le capital remboursable en 2012 par une
assurance vie deutsche Lodd.
28) Nullité de la sommation
par la Commerzbank reste à fournir par son auteur ?
29)- Nullité de la dénonce
par CETELEM, PASS, ATHENA « Faux en écriture » reste à fournir par
son auteur ?
30)- Signification
irrégulière du jugement de subrogation du 29 juin 2006 « Faux en écriture »,
voies de recours non notifié « Nullité »
31)- Pourvoir en cassation
formée sur le jugement de subrogation du 29 juin 2006.
32)- Signification
irrégulière du jugement de renvoi de vente du 26 octobre 2006 « Faux en
écriture », voies de recours
notifié
33) – Pourvoir en cassation
formée sur le jugement du 26 octobre 2006.
34)- Requête de la
Commerzbank du 16/11/2006 et ordonnance sur requête du 17/11/2006 non
signifiées à Monsieur et Madame LABORIE.( nullité dans son exécution).
35)- Jugement d’adjudication
du 21 décembre 2006 « Faux en écriture » . Jamais signifié par la
partie adverse à Monsieur LABORIE et à Madame LABORIE, la communication à ma
demande ne vaut pas notification.
36)- – Pourvoir en cassation
formée sur le jugement du 21 décembre 2006.
37)- Cahier des charges
effectué par Maître MUSQUI, fourni en février 2007 par la SCP SOREL «
Faux en écriture » en sa totalité, sur le fond et la forme.
38)- Dires déposés le 30
janvier 2003 et le 30 janvier 2004 et détourné par la chambre des criées pour
ne jamais y statuer sur ces nullités de formes et de fonds.
39)- Ordonnance d’expulsion
du 1er juin 2007 rendue en violation de toutes les règles droites, sans débats
contradictoires entre les parties. « Faux en écriture »
40)- Appel par Maître MALET de cette ordonnance
d’expulsion en date du 11 juin 2007. Inscription de faux du jugement de
subrogation du 29 juin 2006 et pièces.
41)- Jurisprudences cour de cassation déchéance
article 715 de l’ACPC, significations, et autres.
·
42)
Inscription de faux du jugement de subrogation du 29 juin 2006 et pièces +
dénonces et Enregistrement au Greffe du T.G.I de
Toulouse des différentes dénonces.
·
43)
Inscription de faux de l’ordonnance d’expulsion du 1er juin 2007 et
pièces + dénonces et Enregistrement au Greffe du T.G.I
de Toulouse des différentes dénonces.
·
44)
Inscription de faux de l’acte notarié du 5 avril et du 6 juin 2007 et pièces +
dénonces et Enregistrement au Greffe du T.G.I de
Toulouse des différentes dénonces.
·
45)
Inscription de faux de différents actes de la SCP d’huissiers GARRIGUES &
BALLUTEAUD par un acte unique et pièces + dénonces et Enregistrement au Greffe
du T.G.I de Toulouse des différentes dénonces.
·
46)
Formalités requises postérieures au jugement d’adjudication « sources juris-classeur »
·
47)
Arrêt de la Cour d’appel de Toulouse du 21 mai 2007 dont recours en révision
pour fraude.
N° 48 : Production des différents courriers envoyés au
autorités pendant l’incarcération de Monsieur LABORIE André demandant d’obtenir
un avocat pour déposer un dire dans la procédure de saisie immobilière faite
par Maître FRANCES et pour le compte de la Commerzbank. (demandes refusées)
N° 49 : Jugement du 19 décembre 2002 rendu par la
chambre des criées déchéance de la procédure de saisie immobilière avec
interdiction de renouveler un commandement pour une durée de trois ans.
N° 50 : Arrêt de la cour d’appel du 16 mai 2006
reconnaissant l’inexistante juridique de la société Athéna Banque.
N° 51: Requête déposée par Maître MUSQUI en date du 11 mars
2003 entachée de nullité.
N° 52 : Commandement du 20 octobre 2003 «
nullité » ainsi que sa publication irrégulière.
N° 53 : Jugement de la chambre des criées rendu le 27
mai 2004, suspendant la procédure de saisie immobilière suite aux différentes
voies de recours exercées.
N° 54 ( bis pièces N° 42) Inscription de faux du jugement de subrogation rendu
le 29 juin 2006 et actes attenants
N° 55 ( bis pièces
N° 43 ) Inscription de faux de l’ordonnance d’expulsion rendu le 1 er juin 2007 et actes attenants. (la grosse du
jugement d’adjudication a été délivrée à l’adjudicataire le 27 février 2007,
elle n’a pu être signifié le 15 et 22 février 2007)
N° 56 ( bis pièces N° 44 ) Inscription de faux des
actes notariés effectués par Maître CHARRAS et actes attenants.
N° 57 ( bis pièces N° 45 ) Inscription de faux des
actes effectués par la SCP d’huissier GARRIGUES & BALLUTEAUD et actes
attenants.
N° 58 : Inscription de faux de l’affectation
hypothécaire du 2 mars 1992 et actes attenants.
N° 59 : Inscription de faux de l’arrêt du 4 octobre
2000 rendu par la cour de cassation et actes attenants.
N° 60 : Etat comptable fourni par Monsieur LABORIE et
pour les intérêts de Monsieur et Madame créditeur de la Commerzbank et relevés
de compte « preuves certaines.
N° 61 : Action en résolution du jugement
d’adjudication en date du 9 février 2007 et pour fraude de la procédure de
saisie immobilière.
N° 62 : Requête interpellative
de la SCP d’huissier FERRAN auprès de la CARPA constatant la consignation du
prix de l’adjudication effectué le 12 avril 2007 et que les frais ordinaires et
extraordinaires n’ont pas été consignés.
N° 63 : Projet de distribution prouvant la fraude
caractérisée.
N° 64 : Assignation devant le juge de l’exécution en
contestation + conclusions complétives, saisine de Monsieur le Premier
Président Cour d’Appel et pour Déni de Justice.
N° 65 : Obstacle aux droits de la défense par Monsieur
le Bâtonnier réclamations.
N° 66 : Conception des textes
Monsieur LABORIE André