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LA MAFIA JUDICIAIRE TOULOUSAINE " Article 41 de la loi du 29 juillet 1881 - Déclaration universelle des droits de l'homme - Article 6 de la C.E.D.H " |
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BORDEREAU DE PIECES.
Citation correctionnelle CHARRAS Jean Luc.
Audience du 22 juin 2011 à 14 heures.
I / Jugement d’adjudication du 21 décembre 2006 jamais
signifié « violation de l’article
716 de l’acpc , violation de l’article 694 de l’acpc. »
II / Action en résolution « Appel du jugement
d’adjudication pour fraude », pour obstacle
au dépôt d’un dire à faire valoir la nullité de la procédure » (était
applicable de l’article 695 de l’acpc), surseoir à la procédure.
III / Texte et jurisprudences perte des droits de propriété
de l’adjudicataire « propriété
retour aux saisis ».
IV / Acte de sous
seing privé par devant maître CHARRAS Jean luc notaire, vente de notre
propriété par l’adjudicataire « Madame d’ARAUJO épouse BABILE le 5 avril
2007 « en violation de l’article 1599 du code civil » à une SARL
LTMDB Marchand de bien dont son gérant Monsieur TEULE Laurent, petit fils de
Madame D’ARAUJO épouse BABILE.
V / Arrêt du 21 mai 2007 rendu par la cour d’appel de
Toulouse se refusant de statuer sur la fraude en sa procédure de saisie
immobilière ayant abouti à l’adjudication.
VI / Acte notarié de vente définitive devant Maître
CHARRAS Jean Luc Notaire en date du 6 juin 2007, en violation de l’article 1599
du code civil.
·
En absence de
publication du jugement d’adjudication du 21 décembre 2006 sur le fondement de
l’article 750 de l’acpc.
·
En absence de
publication de l’arrêt du 21 mai 2007 sur le fondement de l’article 750 de
l’acpc
·
En l’absence de
signification du jugement d’adjudication sur le fondement de l’article 716 de
l’acpc.
·
En absence de
signification de l’arrêt rendu par la cour en date du 21 mai 2007 et ce sur le
fondement des articles 502 et 503 du ncpc.
VII / Etat hypothécaire de janvier 2011 justifiant de
l’absence de publication du jugement d’adjudication et de l’arrêt du 21 mai
2007, justifiant :
La nullité de la procédure de saisie immobilière sur
le fondement de l’article 694 de l’acpc « d’ordre public ».
·
La nullité des
actes notariés du 5 avril 2007.
·
La nullité des
actes notariés du 6 juin 2007.
·
La nullité des
actes notariés du 22 septembre 2009.
VIII / Inscription de faux en écritures publiques contre
les actes notariés effectués chez Maître CHARRAS Jean Luc notaire :
·
Acte du 5 avril
2007
·
Acte du 6 juin
2007
Enregistrés au greffe du T.G.I de Toulouse le 8
juillet 2008 par procés verbal.
Avec
dénonces aux parties par huissiers de justice le 21 ; 23 ; 30
juillet 2008 soit :
·
A Madame D’ARAUJO
épouse BABILE,
·
A la SARL LTMDB
représenté par son gérant Monsieur TEULE Laurent.
·
A Maître CHARRAS
Jean Luc notaire.
·
A Monsieur VALET
Michel Procureur de la République de Toulouse.
IX / Assignation
en référé devant le T.G I de Toulouse en date du 5 février 2009 pour obtenir
des mesures provisoires à l’encontre de :
« obstacle à la procédure par les
parties, refus de statuer de son président »
·
Madame D’ARAUJO
épouse BABILE,
·
La SARL LTMDB
représenté par son gérant Monsieur TEULE Laurent.
·
Maître CHARRAS
Jean Luc notaire.
·
Monsieur TEULE
Laurent.
·
Avec dénonce à
Monsieur VALET Michel Procureur de la République de Toulouse.
X / Courrier du 28 janvier 2009 adressé en lettre
recommandée avec AR, à Monsieur LABORIE André N°2 rue de la forge 31650 Saint
Orens, indiquant que le Cabinet LARRAT Avocat assurera la défense de Maître
CHARRAS Jean Luc.
XI / Ordonnance rendue le 26 mars 2009 « escroquerie au jugement » nullité
de l’assignation au motif qu’il ne peut être notifié et signifié un acte à
Monsieur et Madame LABORIE au N° 2 rue de la Forge 31650 Saint Orens « domicile
dont ils sont toujours propriétaires et dont violé en date du 7 mars 2008 par
les parties assignées »
XII / Signification de l’ordonnance du 26 mars 2009 en
date du 15 avril 2009 à Monsieur et Madame LABORIE au N°2 rue de la forge 31650
Saint Orens
XIII / Assignation
en référé devant le Premier Président de la cour d’appel de Toulouse en date du
13 mai 2009 au vu du refus de statuer en
référé devant le T.G.I et pour obtenir des mesures provisoires à
l’encontre de : « obstacle à la procédure par les parties,
refus de statuer de son président »
·
Madame D’ARAUJO
épouse BABILE,
·
La SARL LTMDB
représenté par son gérant Monsieur TEULE Laurent.
·
Monsieur TEULE
Laurent.
·
Maître CHARRAS
Jean Luc notaire.
·
Avec dénonce à
Monsieur VALET Michel Procureur de la République de Toulouse.
XIV / Conclusion de Maître CHARRAS Jean Luc, devant la
cour d’appel, représenté par son conseil réitérant une fausse situation
juridique et demandant encore une fois la nullité de l’acte introductif
d’instance dont assignation devant Monsieur le Premier Président «
procédure encore dilatoire et nouvelle tentative d’escroquerie au jugement
comme pour l’obtention de l’ordonnance du 26 mars 2009. ( Maître CHARRAS Jean Luc ayant
pris connaissance de l’inscription de faux des actes du 5 avril et 6 juin 2007)
XV / Appel de l’ordonnance du 26 mars 2009 par maître
MALET Franck Avoué le 20 avril 2009.
XVI / Demande d’aide juridictionnelle au BAJ de Toulouse le
10 juin 2009 dont refus décision le 30 juin 2009 envoyée en LAR le 3 juillet
2009, reportant le délai de dépôt de conclusions au 3 novembre 2009. Demande de
recours décision de refus AJ auprès du BAJ resté sans réponse.
XVII /
Ordonnance du 16 juin 2009 rendue par Monsieur STEINMANN Président du T.G.I (au
cours d’une autre procédure) ou il était toujours invoqué par les
parties adverses et dans un but dilatoire) une demande de nullité de
l’assignation, ce dernier a reconnu qui ne pouvait y avoir de nullité de
l’assignation au motif :
· Attendu qu’il est soutenu par les
défendeurs que l’indication erronée d’un domicile est sanctionné par la nullité
de l’acte ; mais que la matérialité de cette omission n’est pas
avéré ; qu’en effet, si les demandeurs mentionnent une adresse, 2 rue de
la forge à Saint Orens de Gameville en indiquant qu’ils sont sans domicile fixe
à raison d’une expulsion qu’ils qualifient d’irrégulière, ils prennent soin
d’élire domicile à la SCP d’huissiers FERRAN dont ils fournissent les
coordonnées.
XVIII / Arrêt de la
cour rendu en date du 16 novembre 2009 ( dont jonction des deux dossiers) soit :
(appel de l’ordonnance du 26 mars 2009 et référé premier président), « la cour s’est refusée de statuer aux
prétexte de conclusions non déposées dans les délais, alors qu’une demande
d’aide juridictionnelle était en cours, ce reportant les délais pour conclure,
niant la procédure introductive de référé devant Monsieur le Premier Président
servant de conclusions jonction des deux dossiers pour l’audience du 5 octobre
2009.
XIX / A la demande de Maître CHARRAS Jean Luc ; signification par huissier de justice
en date du 27 novembre 2009 ; de l’arrêt
rendu par la cour d’appel en date du 16 novembre 2009.
La signification a été faite
à Monsieur et Madame LABORIE au N° 2 rue de la forge 31650 Saint Orens alors
qu’au préalable comme indiqué dans l’ordonnance du 26 mars « dont nullité demandée » au motif
qu’il était causé un grief de ne pouvoir signifier des actes de procédure à
Monsieur et Madame LABORIE au N° 2 rue de la forge 31650 Saint Orens ( violation du domicile par ces derniers).
Soit l’escroquerie au jugement parfaite pour faire obstacles aux demandes
provisoires.
XX / Acte notarié devant Maître CHARRAS Jean Luc en date
du 22 septembre 2009 en violation de l’article 1599 du ncpc, recel de la
propriété de Monsieur et Madame LABORIE entre la SARL LTMDB et Monsieur TEULE
Laurent.
XXI / Inscription de Faux en écritures publiques contre
l’acte notarié du 22 septembre 2009 enregistré au greffe du T.G.I de Toulouse,
certificat de dépôt le 9 août 2010.
Avec dénonces aux parties par huissiers de
justice le 11 ; 12 ; 24 août 2010 soit :
·
A Monsieur TEULE
Laurent
·
A la SARL LTMDB
représenté par son gérant Monsieur TEULE Laurent.
·
A Maître CHARRAS
Jean Luc notaire.
·
A Monsieur VALET
Michel Procureur de la République de Toulouse.
XXII / Signification à la demande de Maître CHARRAS Jean
Luc et par la SCP d’huissiers Carsalade en date du 5 mai 2011 d’une ordonnance
en référé du T.G.I, rendue en date du 4 février 2011, à Monsieur LABORIE André
au N° 2 rue de la forge sans aucune difficulté. « Ce qui confirme encore une fois
l’escroquerie aux jugements autant devant le T.G.I en son ordonnance du 26 mars
et en ses demandes devant la cour en son arrêt du 16 novembre 2009
»
Monsieur LABORIE André