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LA MAFIA JUDICIAIRE TOULOUSAINE " Article 41 de la loi du 29 juillet 1881 - Déclaration universelle des droits de l'homme - Article 6 de la C.E.D.H " |
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Requête en omission de statuer
Et le 4 juin 2010
Présentée à Monsieur NUNEZ
Jacques Premier Président
Prés la cour d’appel de Toulouse.
Dont délégation à F. GIROT par
ordonnance du 20 septembre 2007.
Sixième chambre contentieux B.A.J
Demande de rectification de cette
omission de statuer et sur le fondement des l’articles 462 ;
463 ; 464 du NCPC
Manque de base légale
défaut de motif « d’ordre public »
Sur ordonnance 30 avril 2010.
Affaire :
N° RG : 10/01501 sixième chambre de la cour d’appel de Toulouse et sur décision
du 4 mars 2010 rendue par le BAJ T.G.I.
Sur ordonnance 12 février 2010.
Affaire :
N° RG : 09/03417 sixième chambre de la cour d’appel de Toulouse et sur
décision du 25 juin 2009 rendue par le BAJ T.G.I.
FAX : 05-61-33-75-25
Lettre recommandée N° 1 A 042 075 0794 2
A LA
REQUËTE DE :
Monsieur André LABORIE 2 rue de la Forge 31650 Saint ORENS, né le 20
mai 1956 à Toulouse demandeur d’emploi.
PS :
« Actuellement le courrier est
transféré poste restante suite à la violation du domicile en date du 27 mars
2008 » domicile actuellement occupé par un tiers sans droit ni titre usant
de faux et usage de faux »
Contre :
Décisions ci-dessus de recours
rendues par la cour d’appel de Toulouse en son délégué de Monsieur le Premier
Président de la cour d’appel de Toulouse : F. GIROT
Requête en omission de statuer pour violation :
Des règles d’ordre public de la loi N° 91-647 du 10
juillet 1991 relative à l’aide juridique.
Voir contenu des conclusions distinctes et
motivées :
La loi organique n°2009-1523 du 10
décembre 2009
« relative à
l’application de l’article 61-1 de la Constitution
Et sur son fondement de l’article 23-1
de la loi organique du 7 novembre 1958 sur le Conseil constitutionnel dans sa
rédaction issue de la loi organique du 10 décembre 2009
Présentées à Monsieur le Premier Président de la cour
d’appel de TOULOUSE
Place du SALIN 31000 TOULOUSE.
Greffe de la sixième chambre.
FAX : 05-61-33-75-25
Lettre recommandée N° 1 A 042 075 0794 2
Requête en omission de statuer pour violation :
En son contenu des deux décisions rendues contraires à
la vraie situation juridique dont est exposé les
différents délits poursuivis avec toutes les preuves à l’appui dans les
plaintes régulièrement portées à la connaissance du BAJ de Toulouse.
Que toutes les pièces doivent être fournies devant le
juge d’instruction pour en constater la réalité de nombreux actes entachés de
faux intellectuels, ayant permis le détournement de la Propriété de Monsieur
LABORIE André et de Madame LABORIE André, de la violation de leur domicile en
date du 27 mars 2008 et du vol de tous les meubles et objets meublant leur
résidence.
Qu’il n’est pas nécessaire de se répéter voir plaintes
régulièrement déposée et motivées en faits et en droit.
Toutes preuves sur le site : http://www.lamafiajudiciaire.org,
site destiné aux autorités judiciaires.
Que la cour se doit d’appliquer la jurisprudence de la
cour européenne des droits de l’homme, en l’espèce :
Le juge
Français qui constate une contradiction entre les termes de la Convention
européenne et ceux d’une norme nationale doit faire prévaloir le texte
international ( Cass. Crim.,
3 juin 1975 : Bull. crim. N° 141.- Cass.crim., 26 mars 1990 : Bull, N°131.- CE, ass.,
20octo.1989 : AJDA 1989, N°12, p.788).
La cour européenne des droits de l'homme du
30 juillet 1998 a statué :
Réf : 61-1997-845-1051
Le bureau d'aide juridictionnelle n'a pas à apprécier
les chances du succès du dossier.
Des lors, en rejetant la demande d'aide judiciaire au
motif que la prétention ne paraît pas actuellement juste, le bureau
d'assistance judiciaire a porté atteinte à la substance même du droit a un
tribunal du requérant.
Que les ordonnances ont été rendues avec partialité, actes
ne pouvant être contestés de son magistrat délégué F. GIROT et de toutes
autorités judiciaires au vu de la violation flagrante des règles de droit
« d’ordre public », reprises dans les conclusions distinctes.
Que ces ordonnances doivent être rectifiées en ce que
de droit et obtenir l’aide juridictionnelle totale pour les dossiers en cours
aux motifs soulevés dans les conclusions distinctes.
Qu’il est à préciser que des conclusions distinctes et
motivées sont jointes à cette requête et concernant La loi organique n°2009-1523 du 10
décembre 2009 « relative à l’application de l’article 61-1 de la Constitution.
Que le juge délégué a à ce jour
une obligation de respecter la procédure en convoquant les parties à un débat
contradictoire, en produisant les réquisitions du ministère public à chaque
partie avant de rendre sa décision de renvoi ou de non renvoi devant la cour de
cassation.
Sous toutes réserves dont
acte.
Monsieur LABORIE André