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LA MAFIA JUDICIAIRE TOULOUSAINE " Article 41 de la loi du 29 juillet 1881 - Déclaration universelle des droits de l'homme - Article 6 de la C.E.D.H " |
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Monsieur LABORIE André Le 27 mai 2010
2 rue de la Forge
(Courrier transfert Poste
restante)
31650 Saint Orens
Tél : 06-14-29-21-74
Demandeur d’emploi au RSA
Mon site destinés au
autorités judiciaires : http://www.lamafiajudiciaire.org
Monsieur VALET Michel
Procureur de la République
T.G.I de Toulouse.
2 allée
Jules Guesde
31000 Toulouse
PS :
« Actuellement
le courrier est transféré poste restante suite à la violation du domicile en
date du 27 mars 2008 » domicile actuellement occupé par un tiers (Monsieur
TEULE Laurent et autres sans droit ni titre régulier).
LETTRE RECOMMANDEE AVEC AR : N° 1A 042 075
0790 4.
Objet : Plainte dans les intérêts de Monsieur et Madame
LABORIE pour faire cesser « un trouble à l’ordre public
« L’occupation de notre domicile, de notre propriété située au N° 2 rue de
la forge 31650 Saint Orens, plainte pour les délits ci-dessous.
Monsieur le Procureur de la
République,
Je
sollicite votre très haute bienveillance à prendre en considération pour préserver
nos intérêts de la communauté, notre propriété, notre domicile et faire cesser
ce trouble à l’ordre public de l’occupation sans droit ni titre
régulier et de la violation de ce dernier en date du 27 mars 2008.
Plainte à l’encontre
de :
·
Madame
D’ARAUJO épouse BABILE demeurant au 51 chemin des Carmes 31400 Toulouse, né le
21 avril 1928 à FUMEL 47500
·
Monsieur
Laurent TEULE né le 16 juillet
1981 à Toulouse (31) demeurant sans droit ni titre régulier) au domicile de
Monsieur et Madame LABORIE, au N° 2 rue de la Forge 31650 Saint Orens.
·
La
SARL LTMDB, société à
responsabilité limitée au capital de 2000 euros enregistré au RCS de Toulouse
N° 494254956 dont le siège est à Saint Orens au N° 2
rue de la Forge 31650 Saint Orens (
occupant sans droit ni titre régulier) le domicile
de Monsieur et Madame LABORIE, au N° 2 rue de la Forge 31650 Saint Orens, représentée par son gérant Monsieur TEULE Laurent.
Plainte dans un
temps non prescrit par la loi au cours de l’année 2007
Et jusqu’à ce jour pour :
·
Appropriation
frauduleuse notre propriété. Fait
réprimé par les articles 314-1 à 314-4 et 311-12 du code pénal
·
Escroquerie
au jugement, abus de confiance. Faits
réprimés par les articles 313-1 à 313-3 et 311-12 du code pénal.
·
Violation
de notre domicile par expulsion irrégulière. Fait réprimé par les articles 432-8 du code pénal.
·
Faux
et usage de faux pour obtenir des décisions juridictionnelles favorables. Fait réprimé par les articles 441-1 ;
441-2 ; 441-4 ; 441-5 ; 441-6 du code pénal.
·
Vol
de tous nos meubles et objets
Fait réprimé par les articles 311-1 à 311-11 du code pénal
·
Atteinte
à l’action de la justice : Fait
réprimé par l’article 434-4 du code pénal.
Recel : de vente de notre propriété par Monsieur TEULE Laurent
gérant de la SARL LTMDB et pour son propre compte en date du 22 septembre 2009.
·
Faits
réprimés par les articles 314-1 à 314-4 et 311-12 du code pénal.
·
Faits
réprimés par Art. L. 241-3. du code de commerce
- Est puni d'un emprisonnement de cinq ans et
d'une amende de 375 000 €
Le fait, pour les gérants, de faire, de mauvaise foi,
des biens ou du crédit de la société, un usage qu'ils savent contraire à
l'intérêt de celle-ci, à des fins personnelles ou pour favoriser une autre société
ou entreprise dans laquelle ils sont intéressés directement ou indirectement;
Le fait, pour les gérants, de faire, de mauvaise foi,
des pouvoirs qu'ils possèdent ou des voix dont ils disposent, en cette qualité,
un usage qu'ils savent contraire aux intérêts de la société, à des fins
personnelles ou pour favoriser une autre société ou une autre entreprise dans
laquelle ils sont intéressés directement ou indirectement.
I / SUR LES AGISSEMENTS DELICTUEUX DE CES
DERNIERS :
LE DETOURNEMENT DE NOTRE PROPRIETE ET LE RECEL.
RAPPEL DE LA SITUATION JURIDIQUE DU BIEN
Monsieur
et Madame LABORIE ont fait l’objet d’une procédure de saisie immobilière
pendant que Monsieur LABORIE André était incarcéré du 14 février 2006 au 14
septembre 2007, privé de tous les droits de la défense.
La
procédure de saisie immobilière a été faite en violation des article 2215 du
code civil ; des article 14 ; 15 ; 16 du ncpc ;
des articles 6 et 6-1 de la CEDH, pour faux et usage de faux par les parties
adverses principalement la Commerzbank qui ne pouvant avoir aucun titre de
créance valide, Monsieur et Madame LABORIE étant, au contraire, créanciers de
cette dernière.
·
Actuellement
et depuis le 4 août 2009 la cour de cassation est saisie d’un pourvoi contre le
jugement d’adjudication du 21 décembre 2006 aux fins d’annulation.
Le
jugement d’adjudication n’est pas à ce jour signifié à Monsieur et Madame
LABORIE à la demande de Madame
BABILE pour le mettre à exécution.
Audience du 21 décembre 2006 devant la chambre des
criées au
T.G.I de Toulouse.,
Madame
BABILE a été déclarée adjudicataire.
Madame
BABILE pour être remplie de la pleine propriété devait accomplir les formalités
suivantes.
·
Signification
du jugement d’adjudication aux saisis pour le mettre à exécution ( article 502 et 503 ) du ncpp et
dans le délai de 6 mois ( article 478 du ncpc) sous
peine de forclusion.
·
Consignation
des frais à la CARPA dans les deux mois
·
Consignation
du montant de l’adjudication à la CARPA.
·
Publication
du jugement d’adjudication à la conservation des hypothèques si aucune folle
enchère ou action en résolution.
Monsieur
et Madame LABORIE, par Avoué à la cour d’appel de Toulouse ont assigné la
banque poursuivant la saisie immobilière ainsi que Madame BABILE adjudicataire
par huissier de justice le 9 février 2007 ( avec
dénonce de l’assignation au Greffier en chef du T.G.I
de Toulouse ) en annulation du jugement d’adjudication pour fraude de toute la
procédure de saisie immobilière.
A
partir de cette assignation Madame BABILE, avait perdu le bénéfice de
l’adjudication et ne pouvait prétendre être propriétaire, la propriété
retournant aux saisis comme en cas de
folle enchère.
Madame
BABILE par l’effet de l’appel du jugement d’adjudication et sur le fondement de
l’article 750 de l’acpc, ne pouvait publier le
jugement d’adjudication à la conservation des hypothèques tant que la cour
n’avait pas rendu sa décision.
·
Art. 750 (Abrogé
par Ord. no 2006-461 du 21 avr. 2006) (Décr. no 59-89 du 7 janv. 1959) «L'adjudicataire est tenu de faire publier au
bureau des hypothèques le jugement d'adjudication dans les deux mois de sa
date, et, en
cas d'appel, dans les deux mois de l'arrêt confirmatif, sous peine
de revente sur folle enchère.
SUR LES
AGISSEMENTS DE MADAME BABILE
Grosse du jugement
indûment obtenue.
Madame BABILE alors
qu’elle avait perdu le bénéfice de l’adjudication, de la propriété par l’effet
de l’action en résolution en date du 9 février 2007, s’est fait délivrer la grosse du jugement d’adjudication le 27 février
2007 en fournissant de fausses informations au greffe de la chambre des criées.
·
Publication irrégulière
en date du 20 mars 2007.
Madame BABILE alors
qu’elle avait perdu le bénéfice de l’adjudication droit de propriété par
l’action en résolution du 9 février 2007 s’est permise de faire publier la
grosse du jugement d’adjudication en date du 20 mars 2007 à la conservation des
hypothèques de Toulouse en violation de l’application de l’article 750 de l’acpc.
Madame BABILE alors
quelle avait perdu le bénéfice de l’adjudication, droit de propriété par
l’effet de l’action en résolution du 9 février 2007 s’est permise de vendre le
bien adjugé à la SARL LTMDB par sous
seing privé du 5 avril 2007 et ce en violation de l’article
1599 du code civil.
·
Art.
1599 du code civil :
La vente de la chose d'autrui est nulle: elle peut donner lieu à des dommages
intérêts lorsque l'acheteur a ignoré que la chose fût à autrui.
Montant de l’adjudication
consigné à la CARPA seulement le 11 avril 2007.
·
Nullité du sous seing
privé du 5 avril 2007 et sur le fondement de
l’article 1599 du Code civil.
Madame BABILE, alors
quelle avait perdu le bénéfice de l’adjudication, par l’action en résolution en
date du 9 février 2007, ne pouvait passer un sous seing privé avec la SARL
LTMDB pour vendre un bien qui ne lui appartenait pas et sur le fondement de
l’article 1599 du code civil.
Et au
surplus des articles ci-dessous :
·
Art.
2211 code
civil (Ord. no 2006-461 du 21 avr. 2006) L'adjudicataire doit consigner le prix sur un
compte séquestre ou à la Caisse des dépôts et consignations et payer les frais de la vente. Il
ne peut, avant cette consignation et ce paiement, accomplir un acte de
disposition sur le bien à
l'exception de la constitution d'une hypothèque
accessoire à un contrat de prêt destiné à financer l'acquisition de ce
bien.
·
Art.
2212
code civil (Ord. no 2006-461 du 21
avr. 2006) A défaut de consignation du prix et du
paiement des frais, la vente est résolue de plein droit.
Sur
l’arrêt du 21 mai 2007 de la cour d’appel de Toulouse.
Celui-ci fait suite à
l’action en résolution engagée le 9 février 2007 dont Monsieur et Madame
LABORIE ont été déboutés.
Pour
mettre en exécution l’arrêt du 21 mai 2007.
Madame BABILE se devait
de le faire signifier tant à Monsieur qu’à Madame LABORIE sur le fondement des
articles 502 et 503 du ncpc.
Ce n’est qu’à partir de
la mise à exécution de l’arrêt du 21 mai 2007, que Madame BABILE retrouve son
droit d’adjudicataire.
De nouvelles
obligations s’imposaient à Madame BABILE qui après avoir consigné le montant de
l’adjudication le 11 avril 2007 et les frais de la procédure.
·
Se devait d’obtenir la
grosse du jugement d’adjudication et ce seulement après l’arrêt du 21 mai 2007
qui lui ouvrait les droits quelle avait perdus par l’action en résolution.
·
Se devait de faire
signifier le jugement d’adjudication à Monsieur et Madame LABORIE pour le faire
mettre à exécution.
·
Se devait de faire
publier ce jugement à la conservation des hypothèques de Toulouse dans les deux
mois de l’arrêt confirmatif du 21 mai 2007, article 750 de l’acpc, bien sûr après qu’il soit signifié à chacune des
parties sur le fondement des articles 502 et 503 du ncpc
et dans le délai de l’article 478 du ncpc.
Or Madame BABILE le 6
juin 2007 a conclu la vente avec la SARL LTMDB alors que toutes ces
formalités n’étaient pas été accomplies.
SUR LA
NULITE DE LA VENTE.
Entre
Madame BABILE et la SARL LTMDB
Madame BABILE a perdu
sont droit d’adjudicataire le 9 février 2007 par l’effet de l’action en
résolution, la propriété retournant aux saisis, Monsieur et Madame LABORIE
jusqu’à l’arrêt de la cour d’appel.
L’acte sou
seing privé du 5 avril 2007 est entaché de nullité au vu de l’article 1599 du
code civil.
Que l’acte de
vente définitif en date du 6 juin 2007 par Madame BABILE et la SARL LTMDB est
nul de plein droit au vu de l’article 1599 du code civil.
Aux
motifs que :
Madame BABILE n’avait pas
retrouvé son droit d’adjudicataire, ( droit de
propriété perdu le 9 février 2007 ).
En l’absence de mise à
exécution par signification de l’arrêt du 21 mai 2007 tant à Monsieur LABORIE andré qu’à Madame LABORIE Suzette sur le fondement des
articles 502 et 503 du ncpc et dans le délai de
l’article 478 sous peine de forclusion.
Etant
précisé que :
·
Cet arrêt du 21 mai 2007,
à la demande de Madame BABILE n’a été signifié à Monsieur LABORIE André que le
12 juin 2007, bien après le 6 juin 2007.
·
Cet arrêt du 21 mai 2007 n’a jamais été signifié
à Madame LABORIE Suzette à la demande de Madame BABILE.
·
Cet arrêt du 21 mai 2007
à la demande de la Commerzbank n’a été signifié que le 19 juillet 2007 à
Monsieur LABORIE André, bien après le 6 juin 2007.
·
Cet arrêt du 21 mai 2007 n’a jamais été signifié
à Madame LABORIE Suzette à la demande de la Commerzbank.
Les significations
n’étant pas faites à chaque partie, l’arrêt du 21 mai 2007 ne pouvait être mis
à exécution.
Ce n’est qu’après cette
signification que Madame BABILE aurait retrouvé tous ses droits d’adjudicataire
et devait accomplir les actes ci-dessus et repris :
·
Obtenir la
grosse du jugement d’adjudication.
·
Faire
signifier le jugement d’adjudication à
Monsieur et Madame LABORIE pour le faire mettre à exécution.
·
Faire publier
ce jugement à la conservation des hypothèques de Toulouse dans les deux mois de
l’arrêt confirmatif du 21 mai 2007, article 750 de l’acpc.
En
conséquence Madame BABILE n’ayant pas remplie ses obligations d’ordre public,
ne pouvait se prévaloir d’un quelconque droit le 6 juin 2007, n’ayant pas
acquis le droit de propriété du bien pour vendre celui.
La
vente par Madame BABILE Suzette à la SARL LTMDB le 6 juin 2007 par devant
Maître CHARRAS notaire est nulle de plein droit.
Une
inscription de faux a été effectuée contre cet acte notarié, dénoncée aux partie et au parquet de Toulouse.
·
L’inscription
de faux consommée ne donne plus de force probante à l’acte authentique.
Sur les agissements de Monsieur TEULE Laurent Gérant
de la SARL LTMDB
Celui-ci
se trouvant poursuivi devant le tribunal de grande instance, ainsi que la SARL
LTMDB et Madame BABILE, ne pouvait ignorer qu’il existait plusieurs procédures
en cours :
Mesures provisoires
demandées et les instances
toujours pendantes devant la cour d’appel de Toulouse, réouverture des débats
en septembre 2010.
Appel sur l’ordonnance d’expulsion du 1er juin 2007 obtenue illégalement alors que Madame BABILE n’était
plus adjudicataire et ne pouvant bénéficier du droit de la propriété de
Monsieur et Madame LABORIE, tout en sachant qu’elle avait perdu la propriété
par l’action en résolution engagée le 9 février 2007 la privant de tous les
droits à agir en justice pour demander notre expulsion devant le tribunal, procédure
en cours devant la cour d’appel de Toulouse.
Plaintes pénales déposées le
11 juin 2009 devant le doyen des juges d’instruction au T.G.I
de Toulouse ainsi qu’en date du 7 février 2010 et à l’encontre de :
·
Madame
BABILE,
·
De
la SARL LTMDB.
·
De
Monsieur TEULE Laurent.
Ces
personnes physiques et morales ( lors de différentes
assemblées ) ont décidé de dissoudre la SARL LTMDB avec au Préalable le recel
de notre propriété.
Vente
à ce jour à Monsieur TEULE Laurent, effectuée le 22 septembre 2009 comme
indiqué dans les annexes de la clôture des comptes de liquidation déposés le 23
avril 2010 au TC de Toulouse.
Insolvabilité
de la SARL LTMDB est volontaire et pour avoir receler la propriété acquise par
la fraude de son vendeur Madame BABILE et dans les intérêts de Monsieur TEULE
Laurent, ce dernier occupant toujours la propriété au N° 2 rue de la forge
31650 sans un quelconque droit ni titre régulier et par la création de
deux sociétés fictives pour effectuer cette transaction et dont ils
sont actionnaires.
I / IL a été crée une SARL OMNI Conseil en date
du 30 janvier 2007
RCS N° B 494 027 147.
Les associés :
·
Monsieur
Laurent TEULE propriétaire de 192 parts.
·
Madame
Suzette BABILE propriétaire de 4 part.
·
Monsieur
Roger BABILE propriétaire de 4 parts.
Monsieur TEULE Laurent est le gérant de cette société
II / Il a été crée
une SARL LTMDB en date du 13 février 2007 RCS N° B
494 254 956.
Les associés :
·
Monsieur
Laurent TEULE propriétaire de 20 parts.
·
Madame
Suzette BABILE propriétaire de 4 parts.
·
Monsieur
Roger BABILE propriétaire de 4 parts.
·
La
société OMNI Conseil propriétaire de 172 parts.
Monsieur TEULE Laurent est le gérant de cette société.
A
ce jour soit le 29 avril 2010 la propriété est occupée, sans droit ni titre,
Monsieur TEULE Laurent et Madame GIL figurant sur la boite au lettre
II / SUR LES AGISSEMENTS DELICTUEUX DE CES
DERNIERS :
Demande d’expulsion de Monsieur et Madame LABORIE
devant le TI de Toulouse.
Alors
que Madame DARAUJO épouse BABILE avait eu connaissance de l’action en
résolution en date du 9 février 2007 par assignation délivrée à sa connaissance
a menacé Monsieur et Madame LABORIE de quitter leur domicile alors que la
propriété était redevenue aux saisis par l’appel formé devant la cour et que
Madame DARAUJO épouse BABILE n’avait plus aucun droit à agir.
Rappelant
que pour mettre une décision de justice elle faut quelle soit signifiée en sa
grosse sur le fondement de l’article 502 et 503 du ncpc.
Qu’encore
à ce jour le jugement d’adjudication en sa grosse n’a toujours pas été publié
et ne peut donc être propriétaire autant Madame D’ARAUJO
épouse BABILE que la SARL LTMDB, représenté par son petit fils Monsieur TEULE
Laurent.
Que
l’infraction est caractérisée
encore une fois de Madame DARAUJO épouse BABILE d’avoir menacer de quitter les
lieux de notre domicile alors quelle n’était plus propriétaire depuis le 9
février 2007.
Que
l’intention de la fraude est
caractérisée car Madame DARAUJO était au courrant de l’action en résolution par
l’assignation qui lui a été délivrée par huissier de justice en date du 9
février 2007 et de l’absence en date du 15 et 22 février de la grosse du
jugement d’adjudication.
Sur la fraude de Madame DARAUJO épouse BABILE
en la saisine du tribunal d’instance de Toulouse pour demander l’expulsion
de Monsieur et Madame LABORIE de leur domicile.
Escroquerie au jugement, abus de confiance
Alors
que Madame DARAUJO épouse BABILE n’avait aucun droit à agir en justice pour
demander l’expulsion de Monsieur et Madame LABORIE, a fait délivrer une
assignation aux parties le 9 mars 2007 alors quelle n’était plus propriétaire
par l’assignation en résolution délivrée par huissier de justice en date du 9
février 2007.
Que
par faux et usage de faux, Madame DARAUJO épouse BABILE dans son assignation a
fait valoir quelle était propriétaire au tribunal d’instance pour obtenir une
ordonnance d’expulsion alors que la propriété était revenue à Monsieur et
Madame LABORIE suite à l’action en résolution
du jugement d’adjudication devant la cour d’appel.
Que
par faux et usage de faux, Madame DARAUJO épouse BABILE dans son assignation a
fait valoir que Monsieur et Madame LABORIE refusaient de quitter leur domicile
alors qu’ils étaient propriétaires et qui le sont son toujours par l’absence de
publication du jugement d’adjudication en sa grosse devant intervenir
postérieurement à la décision de la cour et dans le délai de deux mois de
l’arrêt rendu en date du 21 mai 2007. « article
750 de l’acpc »
Rappel
que par l’action en résolution en date du 9 février 2007, la propriété revient
aux saisis.
Qu’il
est rappelé que le jugement d’adjudication ne vaut pas expulsion. ( conseil d’état).
Que
Madame DARAUJO épouse BABILE dans son assignation du 9 mars 2007 ne fait valoir
pour la rendre recevable de l’absence de l’action en résolution en date du 9
février 2007 lui faisant perdre sa propriété, trompant de ce fait le tribunal
d’instance.
Que
Madame DARAUJO épouse BABILE dans son assignation du 9 mars 2007 ne fait pas
valoir quelle n’a pas respecté la signification de la grosse du jugement
d’adjudication, bien sur elle ne pouvait l’obtenir régulièrement comme
ci-dessus précisé, trompant de ce fait le tribunal d’instance
Que
Madame DARAUJO épouse BABILE dans son assignation du 9 mars 2007 adressée
seulement à Monsieur LABORIE André fait valoir une situation juridique inexacte
au tribunal d’instance profitant de la situation d’incarcération de Monsieur
LABORIE André sans droit de défense pour obtenir une ordonnance favorable du
tribunal d’instance de Toulouse en date du 1er juin 2007, trompant
de ce fait le tribunal d’instance
Que
Madame DARAUJO épouse BABILE dans son assignation du 9 mars 2007 demande une
indemnité d’occupation de la propriété obtenu aux enchères et pour la période
du 2 janvier 2007 au 20 mars 2007 soit de deux mois et pour la somme de 3640
euros alors quelle ne peut justifier de la pleine propriété par la
signification de la grosse du jugement d’adjudication du 21 décembre 2006 et
d’une publication régulière à la conservation des hypothèques, trompant de ce
fait le tribunal d’instance
Que
cette demande par Madame DARAUJO épouse BABILE dans son assignation du 9 mars
2007 serait suite à un soit disant cahier des charges.
Pour
Monsieur et Madame LABORIE ce cahier des charges n’a jamais pu être porté à
leur connaissance pour qu’il en soit contesté, trompant de ce fait le tribunal
d’instance.
Que
ce cahier des charges n’a jamais pu être contesté malgré les contestations soulevées
avant et pendant l’incarcération de Monsieur LABORIE André, délivré par trois
banques dont une qui n’existait plus depuis décembre 1999, ce cahier des
charges confirme bien que le commandement du 20 octobre 2003 est bien entaché
de nullité ce dernier en sa page deux indique que ce dernier a été délivré par
la société Athéna banque le 20 octobre 2003 alors que cette dernière n’existait
plus depuis décembre 1999 et reconnu par la cour d’appel de Toulouse le 16 mai
2006 en son arrêt rendu.
Que
l’infraction d’escroquerie pour obtenir un jugement par faux et usage de faux
apportés par Madame DARAUJO épouse BABILE au tribunal d’instance est établi,
trompant de ce fait le tribunal en ses juges.
III / Sur la
violation de notre domicile par expulsion irrégulière.
En date du 27
mars 2008 et à la demande
de Madame D’ARAUJO
épouse BABILE.
Fait réprimé par les
articles 432-8 du code pénal.
Alors
que Madame D’ARAUJO épouse BABILE ne pouvant être
propriétaire de la résidence appartenant à Monsieur et Madame LABORIE à obtenu
une ordonnance d’expulsion en date le 1er juin 2007 en violation de
tous les droits et par faux et usage de faux apportés au tribunal dans
l’assignation introductive d’instance, a en violation des articles 502 et 503
du ncpc et par une signification irrégulière de la
dite ordonnance sans respecter les voies de recours sur le fondement de
l’article 680 du ncpc dont nullité sur le fondement
de l’article 693 du ncpc et par l’absence de la voie
de recours qui pouvait être saisie en l’espèce pour faire suspendre l’exécution
provisoire devant Monsieur le Premier Président de la cour d’appel.
Que
cette ordonnance du 1er juin 2007 fait l’objet d’une inscription en
faux intellectuel enrôlée au greffe du T.G.I en août
2008, dénoncée aux parties, à Monsieur le Procureur de la République et le tout
enrôlé au greffe du T.G.I de Toulouse.
Indiquant
que l’inscription en faux intellectuel fait perdre toute force probante à
l’acte authentique.
Madame
d’ARAUJO épouse BABILE a fait mettre au surplus en
exécution cette dite ordonnance en violation de et sous sa propre
responsabilité.
·
L’article 648 du ncpc.
·
La
loi du 27 décembre 1923 concernant les clercs assermentés.
·
L’article 1er de l’ordonnance
N° 45-2592 du 2 novembre 1945
Rappelant que
nous somme dans une procédure d’exécution forcée et que seul les huissiers de
justice ont compétence pour établir des procès verbaux sous peine de nullité de
la procédure de signification « d’ordre public »
Sur l’absence de titre exécutoire :
Que
l’ordonnance rendue ne peut être exécutoire sans au préalable être signifiée sur le fondement des
articles 502 et 503 du ncpc.
Que
les significations faites par huissiers de justice sont irrégulières et sous la
responsabilité de Madame D’ARAUJO épouse BABILE.
Sur la signification à Monsieur LABORIE André
Que le procès verbal de
signification de l’ordonnance du 1er juin 2007 à Monsieur LABORIE a
été effectué par clerc assermenté le 13 juin 2007 sans pouvoir identifier le
clerc, en violation de l’article 648 du ncpc qui est
d’ordre public.
Signification entachée de
nullité pour violation de :
·
L’article
648 du ncpc qui est d’ordre public.
·
La
loi du 27 décembre 1923 concernant les clercs assermentés.
·
L’article 1er de l’ordonnance
N° 45-2592 du 2 novembre 1945
Sur la signification faite à Madame LABORIE
Suzette :
Que
le procès verbal de signification en date du 14 juin 2007 a été effectué par
clerc assermenté sans pouvoir identifier le clerc indiquant qu’il n’a pu
joindre Madame LABORIE, que de ce fait il indique qu’il n’a pu lui signifier
l’ordonnance d’expulsion rendue le 1er juin 2007.
Signification, entachée de
nullité pour violation de :
·
La
loi du 27 décembre 1923 concernant les clercs assermentés.
·
L’article 1er de l’ordonnance
N° 45-2592 du 2 novembre 1945.
Qu’en
conséquence par l’absence d’une signification régulière à chacune des parties
l’ordonnance rendu le 1er juin 2007 ne peut être mise en exécution
par Madame D’ARAUJO épouse BABILE.
Qu’en
ordonnant l’expulsion en date du 27 mars 2008 de Monsieur et Madame LABORIE de
leur domicile et après avoir porté de faux éléments à la la
SCP d’huissiers GARRIGUE & BALUTEAUD huissiers de justice pour agir à sa
demande.
Qu’en
ordonnant l’enlèvement de tous les meubles et objets meublant le domicile de
Monsieur et Madame LABORIE en date du 27 mars 2008 et déposés toujours à la
demande de Madame D’ARAUJO épouse BABILE dans un
entrepôt à fenouillet prés de Toulouse sans le consentement des occupants, le
vol est établi.
L’infraction de violation du domicile est établie ainsi que le vol de tous les meubles et objet
en date du 27 mars 2008 par la demande de Madame D’ARAUJO
épouse BABILE agissant sans un titre exécutoire.
Que l’intention du délit est
caractérisée de Madame d’ARAUJO épouse BABILE au vu de tous les éléments ci-dessus.
IV / Sur l’occupation sans droit ni titre par Monsieur
TEULE Laurent et de tout occupant du domicile et de la propriété de Monsieur et
Madame LABORIE au N° 2 rue de la forge 31650 Saint Orens
Qu’à
ce jour Monsieur TEULE Laurent se sert de faux et usage de faux intellectuels
pour faire valoir la vente qui prétend de régulière à la SARL LTMDB en date du
6 juin 2007 par devant son notaire Maître CHARRAS dont il est gérant.
Que
Monsieur TEULE Laurent agissant en tant que gérant a établi un bail de location
de complaisance pour le compte de sa société LTMDB et à son profit pour occuper
le domicile de Monsieur et Madame LABORIE.
Qu’au
vu du faux intellectuel établi et dont la procédure enregistrée au T.G.I de Toulouse fait perdre la force probante de l’acte
de vente passé devant Maître CHARRAS, que de ce fait le bail qu’il a rédigé
pour le compte de la SARL LTMDB de la location de la propriété de Monsieur et
Madame LABORIE est considéré comme nul et non avenu.
Que
Monsieur TEULE Laurent et de tous ses occupants sont sans droit ni titre
régulier pour occuper le domicile et la propriété de Monsieur et Madame LABORIE.
Que les infractions sont établies, de faux et recel de faux par Monsieur TEULE Laurent
agissant pour son compte et pour le compte de la SARL LTMDB.
Que l’intention de Monsieur TEULE
Laurent est confirmée car il ne peut
ignorer les règles de droit et les agissements délictueux de Madame d’ ARAUJO
épouse BABILE.
·
Que
l’intention frauduleuse de Monsieur TEULE Laurent est encore plus caractérisée
pour avoir recelé la vente faite irrégulièrement de Madame D’ARAUJO épouse BABILE à la SARL LTMDB représenté par son
gérant Monsieur TEULE Laurent ce dernier s’étant vendu à lui-même notre
propriété en date du 22 septembre 2009. faits réprimés par Faits réprimés
par Art. L. 241-3. du code de commerce
V / Sur l’atteinte à
l’action de la justice par Monsieur TEULE Laurent et Madame D’ARAUJO épouse BABILE.
Que
Monsieur LABORIE André et dans les intérêts de Monsieur et Madame LABORIE a
diligenté devant le tribunal de grande instance de Toulouse des procédures
judiciaires au civil pour se voir ordonné en référé des mesures provisoires sur
les agissements de Madame D’ARAUJO épouse BABILE et
de Monsieur TEULE Laurent, pour faire cesser ce trouble à l’ordre public de
l’occupation sans droit ni titre de leur propriété, de leur résidence.
Que
ces derniers en leur défense ont porté de faux éléments pour faire rendre
irrecevable les demandes de Monsieur et Madame LABORIE et obtenir encore une
nouvelle fois des jugement par escroquerie et au prétexte du non respect de
l’article 648 du ncpc en leur domicile, ce qui
causerait un grief à Madame D’ARAUJO épouse BABILE et
de Monsieur TEULE Laurent sur l’impossibilité de signification des actes de
procédure, agissements dans le seul but de faire obstacle à ce qu’un tribunal
tranche le litige qui nous oppose.
Sur
la pratique auprès du tribunal pour faire obstacle à ce que soit ordonné des
mesures provisoires.
Que
ces parties ne peuvent se prévaloir d’avoir violé le domicile de Monsieur et
Madame LABORIE en date du 28 mars 2008 et de leur dire à ces derniers :
·
Vous
n’avez plus de domicile, vous ne pouvez plus agir en justice.
·
Qu’il
nous est impossible de vous communiquer un quelconque acte, vous n’habitez plus
au domicile que je viens de vous prendre.
·
Nous
en informerons la justice que c’est illégal de nous poursuivre pour obtenir
notre condamnation et pour avoir violé votre domicile. « Domicile de
Monsieur et Madame LABORIE ».
·
Nous
en informerons la justice et soulèverons la nullité des actes introductifs
d’instance sur le fondement de l’article 648 du ncpc
pour faire obstacle à vos demandes qui sont contraires à nos intérêts.
Voilà
concrètement comment les parties ci-dessus ont elles réagis pour tromper les
différentes juridictions et les différents présidents régulièrement saisis et
pour faire obstacle encore une fois à la vérité et obstacle aux procédures.
Ces
parties adverses elles mêmes sont tombées dans leurs propres pièges, car elles
ont toutes fait signifier des actes au domicile de Monsieur et Madame LABORIE
au N° 2 rue de la Forge 31650 Saint Orens.
Que
l’intention encore une fois de Madame D’ARAUJO épouse
BABILE et de Monsieur TEULE Laurent, de la SARL LTMDB ; de Maître CHARRAS
est caractérisée car ces derniers ont multiplié de nombreuses significations
d’actes à Monsieur et Madame LABORIE à leur adresse réelle soit au N° 2 rue de
la Forge 31650 Saint Orense.
Que
l’infraction à l’atteinte de l’action de la justice est caractérisée pour continuer à porter de faux
éléments au tribunal dans le seul but d’obtenir des décisions judiciaires à
leurs profits.
VI / Sur les préjudices causés à Monsieur et Madame
LABORIE de la part de Madame d’ARAUJO épouse BABILE
et de Monsieur TEULE Laurent.
Qu’à
ce jour et depuis le 27 mars 2008 nous sommes sans domicile fixe, chez des
amis, vivant chacun de son côté, démunis de nos meubles et objets qui sont
toujours entassés dans un dépôt à la demande de Madame D’ARAUJO
épouse BABILE agissant sans un quelconque titre valide et donc les dégâts
matériels sont très importants.
Préjudices
certains pour Madame LABORIE Suzette qui a été obligé d’arrêter son activité
professionnelle par l’absence de domicile, dépression et arrêt maladie, perte
de salaire, perte de la chance, saisie par ces derniers alors qu’ils sont
coupables des délits ci-dessus repris, victimes de préjudices matériel et
financier et moral.
Victimes
de se voir faire des saisies attributions par BABILE ET TEULE sur ses salaires
retraites alors que les saisies irrégulières ne peuvent remplacer la saisie
rémunération et sur des sommes qui ne sont pas dues, ordonnances ou jugements
obtenues par la fraude.
Victimes
de se voir contraint de faire saisir la justice et pour défendre les intérêts
communs.
Victimes
de ces derniers d’avoir détourné impunément à la loi et comme expliqué
ci-dessus la propriété de Monsieur et Madame LABORIE par faux et usage de faux
après que soit rendu un jugement d’adjudication alors en toute connaissance de
cause qu’une action en résolution était pendante depuis le 9 février 2007
faisant retour de la propriété aux saisis.
Victimes
de ces derniers pour avoir fait obstacle aux mesures provisoires demandées et à
l’accès à un juge.
Rappel sur les mesures provisoires qui ont été demandées dont obstacles:
Madame
D’ARAUJO épouse BABILE ,
Monsieur TEULE Laurent agissant en son nom et pour le compte de sa société
LTMDB ont fait obstacle par faux et usage de faux devant le tribunal de grande
instance de Toulouse et la cour d’appel.
Qu’a
ce jour par les obstacles des parties ci-dessus les mesures provisoires autant
devant le tribunal que devant la cour n’ont toujours pas été rendues et les
causes n’ont toujours pas été entendues, le tribunal et la cour d’appel se
refuse de statuer sur les différentes mesures provisoires demandées et suite
aux agissements de ces personnes ci-dessus qui persévèrent à porter des faux et
usage de faux trompant systématiquement les différents présidents.
Que
les préjudices sont identiques pour Monsieur LABORIE André évalués à la somme
de 200.000 euros sans compter le détournement de notre propriété évaluée à
500.000 euros.
Que
par Complot de Madame D’ARAUJO épouse BABILE ; de Monsieur TEULE
Laurent ; de la SARL LTMDB ont trompés par différents actes de faux
et usages de faux intellectuels les autorités suivantes.
·
Le
conservateur des hypothèques.
·
Le
tribunal d’instance en son ordonnance du 1er juin 2007.
·
Maître
CHARRAS Notaire à Toulouse.
·
Le
tribunal de grande instance saisie en référé pour obtenir des mesures
provisoires.
·
La
cour d’appel en différentes procédures
d’appel qui se refuse de statuer.
·
La
SCP d’huissiers GARRIGUES & BALUTEAUD.
·
La
Préfecture de la Haute Garonne.
·
La
Gendarmerie de Saint Orens.
·
Le
Procureur de la République.
VII / DEMANDES
Il
vous est demandé de faire cesser au plus vite ce trouble à l’ordre public dont
nous sommes victimes.
De
faire poursuivre les auteurs devant le tribunal correctionnel pour application
stricte de la loi pénale et pour les faits dont nous sommes victimes.
Il
vous est demandé de prendre toutes les mesures nécessaires à l’encontre de
Madame DARAUJO épouse BABILE, de son petit fils Monsieur TEULE Laurent, de la
SARL LTMDB pour faire cesser au plus vite ce trouble à l’ordre public dont nous
sommes encore à ce jour victimes, de l’occupation sans droit ni titre de notre
domicile et de notre propriété toujours établie juridiquement bien que des
actes de malveillance ont été effectués par ces personnes ci-dessus
poursuivies.
Il
vous est demandé dans les intérêts de Monsieur et Madame LABORIE au vu du
trouble à l’ordre public et après enquête que soit expulsé manu militari de
tout occupant de notre domicile réel situé au N° 2 rue de la forge 31650 Saint
ORENS, à ce jour il est occupé sans droit
ni titre régulier par Monsieur TEULE Laurent et de tous ses occupants alors que
nous sommes sans domicile fixe depuis le 27 mars 2008 et toujours propriétaires.
Je
vous informe qu’est pendant au civil devant le tribunal de commerce de toulouse pour son audience du 1er juin 2010 à 14
heures une action en nullité des actes de commerce effectué entre :
·
Madame
D’ARAUJO épouse BABILE et la SARL LTMDB le 5 avril
& 6 juin 2007.
·
De
la SARL LTMDB à Monsieur TEULE Laurent le 22 septembre 2009.
Je
vous informe qu’est toujours pendant au civil une action en nullité de
l’ordonnance d’expulsion du 1er juin 2007 obtenue par la fraude, « la
cour se refuse de statuer, ainsi que sur les mesures provisoires, sur la
fin de non recevoir qui est d’ordre public et suite à la perte du droit
d’adjudicataire et du droit de propriété en date du 9 février 2007.
Que
le Pénal et le civil sont deux juridictions différentes, qu’il est de votre
devoir de faire application stricte de la loi pénale pour les délits ci-dessus.
Je
reste à la disposition de la justice pour apporter toutes les preuves utiles à
la vérité et pour confirmer mes écrits ci-dessus.
Concernant
ces affaires, vous pouvez les consulter sur le site http://www.lamafiajudiciaire.org
Site destiné aux autorités judiciaires et principalement au ministère
de la justice l’informant de toutes les procédures en cours et preuves et
surtout sur le dysfonctionnement volontaire de la juridiction Toulousaine par
les différents obstacles à l’accès à un juge : ( violation permanente de
l’article 6 de la CEDH ).
Je
vous prie de croire Monsieur VALET Michel Procureur de la République à mes
respectueuses salutations.
Pour Monsieur et Madame LABORIE
Monsieur LABORIE André.