Monsieur
LABORIE André.
Le 18 avril 2008
Et
pour le compte de Monsieur et Madame LABORIE
2
rue de la Forge
31650
Saint Orens
(Actuellement
sans domicile fixe)
Courrier
poste restante Saint Orens
Tél :
06-14-29-21-74
Mail : laboriandr@yahoo.fr
Monsieur le Procureur de la République
Tribunal
de grande instance de Toulouse
2 allée Jules
Guesde
31000
TOULOUSE
Plainte contre X
Monsieur le Procureur de la République
Je porte plainte pour le compte de
Monsieur et Madame LABORIE, pour des
faits graves sur le territoire national dans un temps non prescrit par la loi.
Et
pour avoir été expulsés de notre
résidence principale au N° 2 rue de la Forge 31650 Saint Orens
le 27 mars 2008 par la SCP d’huissiers GARRIGUES BALLUTEAUD, à la demande de
Madame BABILE Suzette .
Madame
BABILE Suzette n’ayant aucun titre de propriété valide, ayant vendu par la
fraude son prétendu bien obtenu par adjudication le 21 décembre 2006, ce
dernier attaqué en nullité devant le tribunal, procédure en cours.
Madame
BABILE Suzette aurait vendu notre résidence le 4 avril 2007 à la SARL LTMDB et
acte finalisé en violation de la condition suspensive le 6 juin 2007 au Cabinet
de Maître CHARRAS Jean Luc notaire et ce dernier cousin de Madame CHARRAS
substitut de Monsieur le Procureur de la République de Toulouse. » (voir explication ci-dessous).
« A ce jour Monsieur et Madame
LABORIE sont sans domicile fixe».
Plainte contre X :
·
Pour
abus de confiance, escroquerie, prise illégale d’intérêts.
·
Recel
de faux et usage de faux.
·
Pour
vol et détournement de tout notre mobilier et objets meublant notre résidence
·
Abus
d’autorité.
·
Menaces
de la gendarmerie sans titre valide pour quitter notre résidence
·
Discrimination
à l’accès à un tribunal, détournement de dossiers
·
Entrave
aux droits de la défense par l’absence des dossiers.
·
Atteinte
morale et physique de Monsieur et Madame LABORIE.
·
Atteinte
à la dignité de Monsieur et Madame LABORIE.
·
Atteinte
à la vie privée de Monsieur et Madame LABORIE.
·
Atteinte
à une activité professionnelle.
·
Atteinte
aux biens « notre logement détourné » par expulsion abusive sans
titre valide.
·
Détournement
de toutes nos correspondances pour avoir enlevé le nom sur la boite aux
lettres.
·
Entrave
à l’accès à un tribunal par la spoliation de tous les dossiers et documents administratifs
·
Entrave
à toutes les convocations devant en justice et des moyens de défenses.
·
Exclusion
de la société.
Le préjudice est très important : nous sommes sans domicile, sans affaires, ne pouvant plus gérer
nos différents dossiers devant différents tribunaux, Madame LABORIE Suzette en
longue maladie « dépression » ne pouvant plus assurer
son travail de service public aux hôpitaux de Toulouse.
La présence sur les lieux en date du 27 mars 2008 : Maître GARRIGUES demeurant au 54 rue Bayard à Toulouse,
agissant pour le compte de Madame BABILE Suzette cette dernière ne pouvant
détenir un acte de propriété valide par la saisine du tribunal, décisions
rendues le 28 novembre 2007 et 30 janvier 2008 saisissant directement le
tribunal pour obtenir un jugement de nullité de l’adjudication et pour fraude
de la procédure de saisie immobilière.
·
Que
Maître GARRIGUES huissier de justice était en présence de 10 à 12 gendarmes de
Saint Orens et après avoir obtenu par faux et usage
de faux une autorisation d’expulsion avec assistance de la force publique.
DEROULEMENT DES VOIES DE FAITS :
Le
27 mars 2008 à 9 heures du matin la
sonnerie du portail retentit, j’ouvre la porte et je reconnais l’huissier qui
est déjà venu me harceler pour nous expulser de notre résidence principale
alors qu’il ne détient aucun titre définitif valide. Mis au courant des difficultés dans ce
dossier et des différentes voies de recours en cours devant la juridiction
Toulousaine, il ne pouvait ignorer les différents documents reçus quelques
jours auparavant.
J’étais
en peignoir de bain, je lui ai dis : « je vais
m’habiller ». Je ressors, je vais lui ouvrir le portail et bien sûr je constate qu’il était accompagné d’environ 10 gendarmes. Je les ai fait tous
entrer ; ils ont pris position dans la salle à manger. Immédiatement je
les ai informé qu’il existait des voies de recours ; ils n’ont rien voulu
savoir, tant l’huissier que les gendarmes, agressifs et presque prêts à m’embarquer, de plus ayant connaissance de la situation et de l’illégalité
de la procédure d’expulsion.
La
complicité de la gendarmerie est réelle ; elle couvre les agissements
délictueux de Maître GARRIGUES huissiers de justice et de la décision préfectorale entachée de nullité attaquée
devant le tribunal administratif en date du 18 janvier 2008.
L’huissier
de justice aurait agi sur ordre de la préfecture et par décision du 27 décembre
2007, celle-ci attaquée devant le tribunal administratif pour de graves voies
de faits, autant sur la forme de la décision, faux en écritures publiques ou
l’auteur de la signature n’avait aucune délégation de Monsieur le Préfet,
autant sur le fond que le forme de la procédure d’expulsion, Madame BABILE ne
pouvant être adjudicataire, la propriété étant celle de Monsieur et Madame LABORIE.
Pendant
que je parlementais avec les gendarmes qui avaient été précédemment informés
par courrier recommandé avec accusé de réception que des voies de recours avaient été
engagées, l’huissier donnait l’ordre d’enlever tous les meubles et objets aux déménageurs.
J’ai
essayé de téléphoner à des avocats, Préfecture, Ministre de la Justice, avec
une pression permanente autour de moi et la crainte d’être emmené, voyant un
des gendarmes en train de se mettre les gants pour éventuellement procéder à mon
arrestation.
J’ai
pu les calmer très difficilement en me pliant aux pressions et ne pouvant rien
faire pour empêcher l’expulsion.
En
premier, et, pour que je ne puisse pas agir par des justificatifs que j’aurai
pu fournir devant un tribunal dans de nombreuses affaires, j’ai eu tous les
dossiers du bureau enlevés, une centaine et de nombreux papiers et livres
juridiques, codes juridiques, logiciels informatiques, tout ce que l’on peut
trouver dans un bureau de personnel et d’intime d’où le préjudice certain.
Se
trouvait dans la maison Madame LABORIE Suzette mon épouse bien que nous vivons
séparés depuis de nombreuses années avec
chacun notre vie privée.
Nous
sommes restés solidaires devant ce qui se passait sans pouvoir rien faire et
les gendarmes rigolaient attendaient que je fasse un faux pas pour m’embarquer.
Nous
sommes partis, elle avec une petite valise, aucun temps accordé pour prendre
des affaires et ou les mettre nous étions dans la rue sans domicile !!!
Mes
différents appels sont restés vains, sans résultat, aucun secours des avocats
appelés, tout le monde était irresponsable même la préfecture avec laquelle
j’ai pu être mis en relation directe avec Monsieur André le sous préfet qui n’a
pas voulu arrêter la procédure d’expulsion irrégulière.
J’ai
baissé les bras ne pouvant rien faire et laissais notre domicile aux mains de l’huissier GARRIGUES.
Ils
ont mis trois jours pour enlever tout ce que contenait notre résidence
principale, sans même être au courant de ce qu’ils enlevaient.
Nous
sommes partis sans rien, pillage de tout ; destination un soit disant
dépôt à BRUGUIERE au nord de Toulouse.
Monsieur
et Madame LABORIE sont démunis de tous leurs dossiers juridiques pour faire
valoir leurs droits devant un tribunal, obstacles à toutes les procédures en
cours, ne pouvant répondre aux conclusions et autres.
Monsieur
et Madame LABORIE sont privés de leurs effets personnels nécessaires pour leur
vie quotidienne.
Madame
LABORIE agent hospitalier ne pouvant assurer son service public auprès des hôpitaux
de Toulouse en maladie et sans domicile faute de moyens financiers d’où le
préjudice certain.
Nous
sommes à la rue, sans qu’aucune autorité n’intervienne pour faire cesser ce
pillage diligenté par la SCP d’huissiers GARRIGUES et BALLUTEAUD.
L’huissier
GARRIGUES a même enlevé sur notre boîte
aux lettres notre nom, détournant de ce fait notre correspondance alors que
Madame BABILE Suzette ne peut être propriétaire par son acte d’adjudication
obtenu par une procédure de saisie immobilière irrégulière pendant que j’étais
en prison.
Procédure
de saisie faite sans débat contradictoire et seulement par faux et usage de
faux de la partie adverse en accord avec les autorités Toulousaines trompées
par certains avocats et huissiers aucun moyen de défense Monsieur André LABORIE
seul à pouvoir défendre la procédure, était en prison sans pouvoir agir.
Une
plainte a été déposée à la gendarmerie de Saint Orens
le jour même soit le 27 mars 2008 contre la SCP d’huissiers GARRIGUES &
BALLUTEAUD, soit disant communiquée au parquet de Toulouse et à la préfecture
de Toulouse, encore à ce jour restée sans réponse.
Monsieur
et Madame LABORIE sont dans la rue, sans domicile alors qu’ils sont
propriétaire de leur résidence située à Saint Orens
de Gameville, toutes les serrures ont été changées
par l’huissier GARRIGUES.
SYNTHESE RAPIDE DE LA PROCEDURE DE SAISIE IMMOBILIAIRE
JUSQU'A L’EXPULSION IRREGULIERE ( en date du 27 mars 2008).
Monsieur
et Madame LABORIE ont été poursuivis devant le tribunal de la juridiction Toulousaine
par des banques pour recouvrir des sommes qu’elles auraient prêtés au cours des
années 1992 1994.
Monsieur
et Madame LABORIE contestent la régularité des différentes procédures faites à
leur encontre, privés de voies de recours et suite à des significations
irrégulières faites par huissiers de justice, la SCP PRIAT & COTTIN.
Monsieur
et Madame LABORIE se sont vu poursuivis en saisie immobilière en octobre 2002
par un acte unique et pour le compte de 3 banques, CETELEM ; PASS ;
ATHENA Banque et par leur conseil Maître MUSQUI Avocat.
Ces
trois banques ont été déboutées le 19 décembre 2002 pour irrégularité de
procédure et avec interdiction de renouveler un nouveau commandement pendant
une durée de 3 années.
C’est
au cours de la signification de la décision du 19 décembre 2002, que Monsieur
et Madame LABORIE par l’intermédiaire de leur conseil, se sont aperçus que la
société ATHENA Banque n’existait plus depuis décembre 1999.
Maître
MUSQUI Avocat à Toulouse, « alors que la banque Athéna banque n’existait
plus juridiquement et confirmation seulement le 16 mars 2006 par un arrêt de la
cour d’appel de Toulouse » par requête du 11 mars 2003 a saisi
la chambre des criées de Toulouse pour obtenir la prorogation pour signifier un
nouveau commandement et obtenant de la chambre des criées une décision
favorable de prorogation en date du 15 mai 2003
Mais
cette requête en demande par Maître MUSQUI pour le compte de ces trois clientes
était elle recevable sachant que la société Athéna banque n’existait plus juridiquement ??
non !!
Qu’ainsi
le pouvoir en saisie immobilière par un acte unique de ces trois banques et par
conséquence délivré le 9 septembre 2002 est nul de plein droit.
Qu’il
ne peut exister une continuation aux poursuites sans un pouvoir en saisie immobilière
valide.
Que
le conseil de Monsieur et Madame LABORIE a introduit une requête en annulation
de la décision rendue défavorable le 15 mai 2003 par la chambre des criées de
Toulouse, soit en date du 23 mai 2003.
Que
la chambre des criées n’a jamais répondu sur cette requête présentée le 23 mai
2003.
Que
le conseil des trois banques a renouvelé un commandement aux fins de saisie
immobilière le 5 septembre 2003 sous l’identité des trois banques.
Que
Monsieur et Madame LABORIE ont assigné en opposition devant le juge de
l’exécution de l’irrégularité du commandement du 5 septembre 2003, c’est
seulement le 16 mai 2006 que Monsieur et Madame LABORIE ont obtenu une décision
favorable en annulation du commandement du 5 septembre 2003 et de tous les actes
attachés à celui-ci, le pouvoir en saisi immobilière
effectué le 9 septembre 2002 étant nul.
Que
le conseil des trois banques a renouvelé un commandement le 20 octobre 2003
sans un pouvoir valide, en prétextant que la société Athéna Banque aurait
fusionnée avec la banque AGF sous le N° RCS B 572 199 461 inscrite au
registre du commerce et des sociétés alors que Monsieur et Madame LABORIE ont
porté l’original K-Bis prouvant que la société AGF au
N° RCS était radiée depuis le 13 février 2003.
Immédiatement
Monsieur et Madame LABORIE ont assigné devant le juge de l’exécution pour faire
annuler le commandement du 20 octobre 2003 soit en date du 30 octobre 2003.
Que
le conseil de ces trois banques a immédiatement publié ce commandement à la
conservation des hypothèques le 31 octobre 2003 sans respecter le délai minimum
de 20 jours dans le seul but de saisir la chambre des criées alors qu’une
procédure était pendante devant le juge de l’exécution, assignation en
opposition et avec une difficulté de signification par Maître ARNAUT huissier
de justice qui avait des pressions à faire obstacle à la signification de cet
acte par la chambre des huissiers de
Toulouse, dires provenant de Maître ARNAUT.
Que
le conseil de Monsieur et Madame LABORIE a introduit un dire pour soulever
l’incident de procédure, la chambre des criées, cette dernière s’est toujours
refusée à statuer sur ce dire régulièrement déposé.
Que
par le jugement favorable du 19 décembre 2002, interdisant la continuation des
poursuites pour une durée de trois ans a autorité de force de chose
jugée dans la mesure que le conseil des parties ne pouvait
sérieusement introduire une requête en contestation du jugement rendu, seule la
voie d’appel était ouverte et au surplus par une requête de la banque Athéna banque
qui n’avait plus d’existence juridique.
Que
le commandement du 20 octobre 2003 ne pouvait être délivré et ne pouvait en
conséquence saisir la chambre des criées de Toulouse privée d’une nouvelle
publication pour une durée de trois ans.
Monsieur
et Madame LABORIE se sont trouvés devant tous les obstacles possibles et
inimaginables pour se faire entendre devant la chambre des criées, représenté
par leur conseil, des voies de recours ont été effectuées sans que les juges
prennent les pièces invoquées en nullité et de l’inexistence de ces deux
banques, la société Athéna banque et AGF sous le N° RCS B
572 199 461.
Au
vu de ces éléments ci-dessus, la chambre des criées ne pouvait être saisie
régulièrement.
Monsieur
et Madame LABORIE ont été convoqué pour la continuation des poursuites pour le
6 octobre 2005 et par ces mêmes banques et représentées par le même conseil,
Maître MUSQUI Bernard avocat.
A
cette audience, l’affaire n’a pas été appelée et Monsieur LABORIE présent à
cette audience a porté à la connaissance du Magistrat qu’il était convoqué par
acte d’huissier et demandait que soit récusé la greffière pour une procédure
correctionnelle faite à son encontre dans une autre procédure de saisie
immobilière et avec l’autorisation du parquet de Toulouse.
L’affaire
n’a pas été appelée au vu des difficultés de ce dossier.
Pour
se débarrasser de Monsieur LABORIE d’une éventuelle procédure de continuation
aux poursuites en saisie immobilière, le Président et sa greffière ont porté
plainte au procureur de la république PAUL MICHEL le 5 décembre 2005 disant que
Monsieur LABORIE les avait outragé, seule façon d’écarter Monsieur LABORIE de
toute la procédure alors qu’il était présent par citation d’huissier de justice
et que ce dernier demandait seulement la récusation de la greffière.
Peu
de temps après Monsieur LABORIE était poursuivi pour outrage et d’autre griefs
qui ne pouvaient exister et a fait l’objet d’une comparution immédiate et mis
en prison du 14 février 2006 au 14 septembre 2007.
Que
pendant cette période d’incarcération volontaire et prémédité, une banque
extérieure « LA COMMERZBANK », sans droit ni titre valide est venu
aux trois précédentes banques demander le droit de se subroger aux poursuites
de saisies immobilières alors que cette dernière ne pouvait être créancière de
Monsieur et Madame LABORIE.
Qu’une
sommation a été faite par cette nouvelle banque aux banques CETELEM, PASS,
ATHENA banque en début d’année 2006 pendant l’incarcération, alors que cette
dernière n’existe plus depuis le 19 décembre 1999 et par la SCP d’avocats
FRANCES ; JUSTICE ESPENAN ; MERCIE.
Qu’une
dénonce a été faite en 2006 par ces trois banques et par un acte unique à la
Commerzbank alors que la société Athéna banque n’existe plus depuis 1999.
Que
Monsieur le Président de la chambre des criées a rendu un jugement de
subrogation au profit de la Commerzbank et sur le fondement aux continuations
des poursuites sur la base du commandement du 20 octobre 2003, en prétextant de
sa régularité et de l’inexistence de contestation sur le dit commandement alors
qu’une assignation en opposition était délivrée le 30 octobre 2003 pour vice de
forme et de fond de ce commandement du 20 octobre 2003 et pour les faits
ci-dessus invoqués.
De
nombreux actes ont été délivrés pendant l’incarcération de Monsieur LABORIE
seul a connaître de la procédure et ayant tout pouvoir de Madame LABORIE à la
défendre, mais n’ayant aucun moyen d’agir de sa cellule, ne pouvant obtenir un
avocat dans une procédure civile et pénale, n’ayant aucun revenu et avec le
refus systématique de l’aide juridictionnelle, ne pouvant faire aucune
procédure, aucun moyen de défense alors que la procédure devant la chambre des
criées devant se faire par avocat.
Monsieur
LABORIE a seulement pu envoyer des lettres recommandées avec accusé de
réception en contestation à Monsieur le Président de la chambre des criées et
avec une grande difficulté.
Monsieur
LABORIE ne pouvant respecter aucun délai mis en place par la partie adverse la
COMMERZBANK représentée par la SCP d’avocats FRANCES ; MERCIE ;
JUSTICE ESPENANT, « rappelant qu’existait un conflit avec ces
avocats », ces derniers profitant de la situation de l’incarcération pour
obtenir une vente aux enchères de notre résidence principale sans aucun moyen
de nous défendre et agissant par animosité au vu d’une précédente procédure
diligentée par Monsieur LABORIE André à leur en contre devant la juridiction
correctionnelle et pour avoir introduit des faux documents dans un autre
dossier.
Après
deux renvois artificiels de la vente aux enchères et suite à ce jugement de
subrogation dont le fond et la forme sont irréguliers, la vente aux enchères a
eu lieu le 21 décembre 2006 alors que Monsieur LABORIE était incarcéré et
qu’aucun avocat n’a voulu intervenir dans ce dossier, Monsieur et Madame
LABORIE privés de leur droit de défense et alors que par écrit Monsieur LABORIE
avait soulevé la fraude dans la procédure pour les faits ci-dessus invoqués
auprès de la chambre des criées.
Madame
BABILE est devenu adjudicataire le 21 décembre 2006, ses conseils prétextant
qu’il n’y avait aucune difficulté de procédure à acquérir ce bien et dans le
seul but de récupérer de fortes sommes d’argents, « la SCP d’avocats
agissant pour le trésor public avec lequel nous somme en conflit ».
Monsieur
LABORIE a effectué un appel sur ce jugement d’adjudication en soulevant la
fraude par écrit devant la cour d’appel de Toulouse et sur le fondement de
l’article 731, et en ne pouvant apporter aucune pièce, détenu sans aucun moyen
de défense, les avocats toulousains se refusant de l’assister.
La
cour d’appel par son arrêt du 21 mai 2007 a rejeté l’appel formulé par la SCP
MALET au prétexte que pour l’annulation d’un jugement d’adjudication le
tribunal de grande instance est seul
compétant et sans avoir pris en considération la fraude «
élément d’ordre public ».
Que
cet arrêt de la cour d’appel du 21 mai 2007 a été signifié le 12 juin 2007 à
Monsieur LABORIE André incarcéré à la maison d’arrêt de Montauban sans avoir la
possibilité de saisir un avocat à la cour de cassation et sans aucun élément de
défense pour apporter toute substance, seulement la saisine en lettre
recommandée pour former un pourvoi avec demande de l’aide juridictionnelle.
Alors
que Madame BABILE Suzette adjudicataire avait déjà été assignée devant la cour
d’appel de Toulouse le 19 février 2007 pour annulation du jugement
d’adjudication, cette dernière ne pouvant méconnaître la difficulté de la
procédure, s’est immédiatement occupée de saisir le juge de l’expulsion
« JEX » au Tribunal d’instance (alors que Monsieur LABORIE
était toujours incarcéré et sans moyen de défense) pour obtenir un
jugement d’expulsion et à la diligence de la SCP d’Avocats CATUGIER ;
DUSSAN ; BOURRASSE.
Monsieur
LABORIE a été convoqué à comparaître devant le tribunal concernant la procédure
d’expulsion pour le 23 mai 2007.
Immédiatement
à réception de la convocation, Monsieur LABORIE par lettre recommandée a saisi
Madame le Président de l’audience pour qu’elle fasse mettre tous les moyens
d’entendre Monsieur LABORIE par un débat contradictoire et dans les intérêt de
Monsieur et Madame LABORIE.
Immédiatement
à réception de la convocation, Monsieur LABORIE a demandé au greffe de la
prison d’être extrait à l’audience devant le tribunal d’instance.
Immédiatement
à réception de la convocation, Monsieur LABORIE a demandé à Monsieur le
Procureur de la République d’être extrait à l’audience devant le tribunal
d’instance.
Monsieur
LABORIE n’a pu se faire encore une fois entendre, il n’a pas était extrait.
Une
décision d’expulsion a été rendue sans la présence de Monsieur LABORIE
représentant Madame LABORIE par un pouvoir, décision rendue le 1 juin 2007 en
premier ressort avec exécution provisoire alors que l’arrêt de la cour d’appel
en demande d’annulation du jugement d’adjudication rendu le 21 mai 2007 a été
signifié seulement le 12 juin 2007
Un
appel a été formé par Monsieur LABORIE et pour le compte de Monsieur et Madame
Par la SCP d’avoués MALET en date du 11 juin 2007, procédure en cours.
Monsieur
LABORIE André a saisi par lettre recommandée, seul moyen de défense Monsieur le
Premier Président de la cour d’appel de Toulouse le 11 juin 2007 pour demander
la suspension de l’exécution provisoire, ce dernier m’indiquant que je devais
assigner devant la cour, « Monsieur LABORIE André rappelle qu’en
prison il n’avait aucun moyen ».
Rappelant
que Monsieur LABORIE incarcéré sans pièce, sans dossier, sans aucun moyen de
défense, s’est vu signifié des actes sans que ce dernier n’ait pu agir pour
faire valoir ses droits.
Monsieur
LABORIE a immédiatement par lettres recommandées avisé Monsieur le Préfet de la
HG, L’huissier de justice, Monsieur le Procureur de la République des vices de
droit et de forme de la procédure et surtout le manque d’action à agir en
justice et pour porter toutes preuves contraires.
C’est
seulement à sa sortie de prison le 14 septembre 2007, que Monsieur LABORIE
André pour le compte de Monsieur et Madame a pu saisir le juge de l’exécution
par assignation de la Banque COMMERZBANK et de Madame BABILE adjudicataire pour
faire annuler le jugement d’adjudication et tous les actes postérieurs à
celui-ci compris le commandement de libéré les lieux et par une autre
assignation soulevant l’irrégularité des publications et nullité des actes à la
conservation des hypothèques.
Deux
décisions ont été rendues par le juge de l’exécution une le 28 novembre 2007 et
l’autre le 30 janvier 2008 se rendant incompétent et par les mêmes décisions
saisissant directement le tribunal pour obtenir l’annulation du jugement
d’adjudication rendu le 21 décembre 2006.
La
préfecture de la HG étant avertie de ses difficultés et voies de recours en
cours par Monsieur LABORIE André, a rendu une décision d’expulsion le 27
décembre 2007 pour le compte de Madame BABILE Suzette aux seuls éléments produits
de l’huissier de justice de la SCP GARRIGUES & BALLUTEAUD pour ordonner
l’expulsion par la force publique alors que Madame BABILE par acte du 4 avril
2007 a revendu notre résidence à une société LTMDB et la vente étant réalisée
le 6 juin 2007 et alors que les conditions suspensives étaient toujours
pendantes.
Que
cette décision de la préfecture a fait l’objet d’une voie de recours devant la
tribunal administratif de Toulouse le 18 janvier 2008 pour irrégularité de
forme et de fond, la sous préfète n’avait pas de délégation de signature en
date du 27 décembre et c’est seulement qu’à partir du 1 janvier 2008 quelle l’a
obtenu, « confirmé par les actes administratifs de la
préfecture ».
En
date du 13 mars 2008, Monsieur LABORIE André et dans les intérêts de Monsieur
et Madame LABORIE a saisi l’huissier de justice « la SCP GARRIGUES &
BALLUTEAUD » sur son courrier du 11 mars 2008 et pour l’informer des
différentes voies de recours en cours ci-dessus et de l’irrégularité de toute
la procédure avec jointes toutes les preuves à l’appuis.
En
date du 13 mars 2008, Monsieur LABORIE André et dans les intérêts de Monsieur
et Madame LABORIE a saisi la chambre des huissiers de Toulouse des difficultées rencontrées avec l’huissier de justice
« la SCP GARRIGUES & BALLUTEAUD » sur son courrier du 11 mars
2008 et pour l’informer des différentes voies de recours en cours ci-dessus et
de l’irrégularité de toute la procédure avec jointes toutes les preuves à
l’appuis.
En
date du 13 mars 2008, Monsieur LABORIE André et dans les intérêts de Monsieur
et Madame LABORIE a saisi la gendarmerie de Saint Orens
en lettre recommandée pour leur apporter connaissance des difficultés
rencontrées avec « la SCP GARRIGUES & BALLUTEAUD » huissier de
justice sur son courrier du 11 mars 2008 et pour l’informer des différentes
voies de recours en cours ci-dessus et de l’irrégularité de toute la procédure
avec jointes toutes les preuves à l’appuis, à fin qu’ils n’interviennent sous
toutes réquisitions de l’huissier, faisant part que la décision de la
préfecture faisait l’objet d’une voie de recours devant le tribunal
administratif de Toulouse.
·
En
date du 27 mars 2008, Monsieur et Madame LABORIE ont été expulsés de leur
propriété, de leur résidence principale avec l’assistance de la gendarmerie à la demande de Madame BABILE qui a obtenu un
jugement d’adjudication en date du 21 décembre 2006 mais encore à ce
jour attaqué en annulation, procédures pendantes.
Que
l’expulsion à la demande de Madame BABILE Suzette est irrecevable car cette
dernière et alors qu’existait un contentieux en annulation du titre
d’adjudication, a cédé le bien, « notre résidence principale »
à une société à responsabilité limité LTMDB Sous le N°494 254 956 R.CS TOULOUSE et immatriculée le 13 février 2007.
Que
cette vente a été faite par Madame BABILE Suzette le 05 avril 2007 par devant
Maître CHARRAS Jean Luc Notaire au 8 rue LABEDA à Toulouse, vente consentie
sous la condition suspensive que l’appel formé à l’encontre du jugement
d’adjudication soit débouté.
Que
par acte du 6 juin 2007, le notaire CHARRAS Jean Luc a effectué un acte
notarial en réalisation de la condition suspensive pour parfaire la vente de
Madame BABILE à la SARL LTMDB alors que le jugement du 21 mai rendu par la cour
d’appel de Toulouse n’a été que seulement signifié le 12 juin 2007 en
mentionnant la voie de recours de deux mois pour former un pourvoi en
cassation.
Que cette vente irrégulière a été couverte par Madame CHARRAS substitut
de Monsieur le Procureur de la République de Toulouse, son époux, Georges
CHARRAS Notaire parti à la retraite et remplacé par son cousin CHARRAS Jean
Luc, et son fils de Madame CHARRAS travaillant dans l’étude de son cousin.
Il est rappelé que Madame CHARRAS est à l’origine d’un obstacle dans
les droits de défense de Monsieur LABORIE André et concernant une autre
procédure de saisie immobilière avec vente aux enchères publiques.
Au vu de ces obstacles permanents pour couvrir les auteurs de ses
malversations, Monsieur LABORIE André a été contraint de porter plainte à son encontre
et de la poursuivre devant le tribunal correctionnel de Toulouse.
Pour faire obstacle à cette procédure à son encontre, Monsieur LABORIE
André a fait l’objet de sa part de différentes menaces, elle a demandé la mise
sous tutelle, la procédure ayant fait échec, elle a demandé et à participé à la
détention de Monsieur LABORIE André pour profiter et favoriser pendant son
incarcération du dépouillement de sa résidence principale et de celle de Madame
LABORIE Suzette au N° 2 rue de la Forge 31650 Saint Orens.
Un
pourvoi en cassation a été formé le 3 août 2007 en lettre recommandée avec A. R
par Monsieur LABORIE André sur l’arrêt du 21 mai 2007, signifié le 12 juin
2007.
Qu’en
aucun cas Maître CHARRAS Notaire ne pouvait en date du 6 juin 2007 établir un
acte définitif au profit de la LTMDB.
Que
la vente passée chez Maître CHARRAS Jean Luc est nulle.
Que
si la vente est régulière à la SARL LTMDB, à partir du 6 juin 2007, Madame
BABILE Suzette en son nom ne pouvait demander l’expulsion de Monsieur et Madame
LABORIE de leur domicile.
·
Madame
BABILE Suzette ne pouvait en son nom faire délivrer un commandement d’expulsion.
Nous
n’avons pu rien faire, nous sommes sans domicile, sans aucune affaire, Madame
LABORIE dépressive ne pouvant assurer son travail de service public, notre
résidence a été vidée en son intégralité et les meubles stockés dans un dépôt
sans notre consentement.
Notre
préjudice est très important.
Dans
l’attente que les enquêtes soient effectuées par les services concernés et que
les auteurs soient poursuivis, nous demandons qu’il soit ordonné la
réintégration de Monsieur et Madame LABORIE à leur domicile au N° 2 rue de la
Forge ainsi que la réintégration des meubles et objets meublant notre
habitation et la réparation des préjudices subis.
Je
vous prie de croire Monsieur le Procureur de la République et pour le compte de
Monsieur et Madame LABORIE à mes respectueuses salutations.
Pour Monsieur et Madame LABORIE
LABORIE
André
Plainte
communiquée pour faire valoir ce que de droit.
·
Conseil
supérieur de la Magistrature. FAX : 01- 43-29-96-20
·
Première
Présidence de la République. FAX : 01-47-42-24-65
·
Procureur
Général à la Cour de Cassation FAX : 01-44-32-69-34
·
Cour
d’appel de Toulouse, Monsieur le Procureur Général. FAX :
: 05-61-33-73-70
·
Juge
de l’exécution au T.G.I de Toulouse. FAX :
05-61-33-70-76
·
Procureur
de la République au T.G.I de Toulouse. FAX :
05-61-33-73-70
·
Préfet
de la Haute Garonne. FAX : 05-34-45-36-55
·
SCP
d’huissier GARRIGUES & BALLUTEAUD. FAX :
05-61-29-07-77
·
Chambre
des huissiers de justice de Toulouse. FAX : 05-62-26-44-84
·
Tribunal
administratif de Toulouse. FAX : 05-62-73-57-40
·
Journaux
et médias. France 3 sud : FAX : 05-62-23-99-44
·
Monsieur
André VALINI Président de la commission OUTREAU. FAX : 04-76-46-70-98
·
Ordre
des avocats de Paris. FAX : 01-46-34-77-65
·
Ordre
des avocats de Toulouse. FAX : 05-62-26-75-77
·
Commandant
de Gendarmerie de Saint Orens. FAX :
05-62-88-45-89
·
SCP
d’avocats CATUGIER , BOURRASSET, DULOUM Conseil de BABILE. FAX : 05-61-23-09-20
·
Madame
ALLIOT Marie Ministre de l’Intérieur. FAX : 01-42-66-15-73
·
Doyen
des juges de Paris. FAX : 01-44-32-79-61
·
Procureur
de la République de Paris. FAX : 01-44-32-77-68
·
Monsieur
COUSTEAU Président du T.G.I de Toulouse. FAX :
05-61-33-70-76
·
1er
Président à la cour de Cassation. FAX : 01-44-32-69-34
·
Maître
CARSALADE huissier de justice. FAX : 05-62-26-94-45.
·
Maître
CHARRAS Jean Luc Notaire. FAX : 05-61-29-89-06
·
Maître
PRIAT huissier de justice. FAX : 05-61-23-95-72
·
Maître
MUSQUI Bernard Avocat. FAX : 05-61-21-37-09
·
SCP d’avocats
Frances, Mercié, Justice –Espenan FAX :
05-61-22-58-88
PS :
Toutes les preuves sont
déjà apportées devant le tribunal et communiquées au parquet de Toulouse par la
dénonce au Procureur de la République de l’assignation devant le juge de
l’exécution de Madame BABILE et de la Commerzbank et pour l’audience qui s’est
tenue le 10 octobre 2007.
·
Le
complément de preuves vous sera apporté au cours de votre enquête.