Monsieur
LABORIE André Le 17 mars 2010
N° 2 rue de la forge
31650 Saint Orens.
Tél :
06-14-29-21-74.
Mail :
laboriandr@yahoo.fr
http://www.lamafiajudiciaire.org
«
Actuellement le courrier est transféré poste restante »
Notre domicile étant occupé sans droit ni titre par un tiers »
suite à l’excès de pouvoir de la Préfecture de la HG par ces deux décisions
irrégulièrement prises et aux références de dossiers ci-dessous.
Monsieur le Président
Tribunal administratif de Toulouse.
68 rue Raymond IV
31068 Toulouse Cedex
FAX : 05-62-73-57-40.
Dossiers : N° 0800266-2. & N° 0803576 -2.
Contre la Préfecture de
la Haute Garonne : Expulsion
locative par excès de pouvoir.
Réponse au mémoire courrier
du 19 février 2010 de la préfecture.
Monsieur le Président
Je
vous prie de trouver ci-joint mes
conclusions complétives dans les
dossiers ci-dessus et en réponse du courrier de la préfecture porté à ma
connaissance ce jour soit le 17 mars 2010.
Que
par un précédent mémoire du 8 janvier 2010 porté à la connaissance du tribunal
administratif de Toulouse, il était demandé que la préfecture apporte les
preuves des pièces suivantes :
Pièces manquantes à l’échange contradictoire entre les
parties.
Injonction à la Préfecture des pièces suivantes:
Fournir : L’enquête
administrative à l’encontre de Madame PAGES Suzette épouse LABORIE.
Fournir : L’enquête
administrative à l’encontre de Monsieur LABORIE Stéphane qui avait toutes ses
affaires au domicile de ses parents, non
avisé en tant que majeur dans la procédure d’expulsion.
Fournir : La
réquisition de concours de la force publique déposée à la préfecture le 16
avril 2007 par la SCP d’huissiers GARRIGUES et BALLUTEAUD.
Fournir :
L’ordonnance du 1er juin 2007 signifiée à Monsieur et Madame LABORIE
séparément dont a eu connaissance la préfecture de la haute Garonne, cette
dernière devant vérifier avant de la faire mettre en exécution par la force
publique du respect des articles 502 ; 503 ; 654 ; 478 ;
680 du ncpc.
Fournir : La
décision définitive purgée de toutes voies de recours justifiant des faits
« que je considère de calomnieux dénoncés » par
Monsieur MARTIN Guillaume en date du 22 octobre 2007 à l’encontre de Monsieur
LABORIE André et pour fraude ; escroquerie et outrage à Magistrat.
Fournir : Au vu de
l’avis du commandement de compagnie de gendarmerie liée au dossier et au procès
verbal du 22 octobre 2007, faire fournir par la préfecture le ou les
justificatifs alléguant un préjugé défavorable à l’encontre de Monsieur
LABORIE André par le capitaine Patrice LACAZE en date du 23 octobre 2007
officier adjoint de gendarmerie de Toulouse Saint Michel.
Fournir : Au vu de
l’avis du commandant de groupement de gendarmerie liée au dossier et au procès
verbal du 22 octobre 2007, faire fournir par la préfecture le ou les
justificatifs alléguant un préjugé défavorable à l’encontre de Monsieur LABORIE
André par le colonel SEGURA en date du 31 octobre 2007.
Fournir : la saisine
des services sociaux pour le droit à un logement opposable bien que la
procédure d’expulsion soit irrégulière sur la forme et sur le fond.
DISCUSSION
Que
la préfecture essaye d’endormir le tribunal administratif en ses belles paroles
qui ne représentent pas la vraie réalité juridique dont ils doivent se
prévaloir avant de donner toutes autorisation qui
pourraient porter préjudice comme en l’espèce dans cette procédure d’expulsion.
Que
la préfecture fait carence de production des pièces demandées.
En France, tout fonctionnaire ou
officier civil investi d'une autorité juridictionnelle, administrative ou
politique: Les
membres des tribunaux, les maires, les préfets sont des magistrats.
Que
la préfecture par leur décision illégale autant celle du 27 décembre 2007 que
celle du 8 janvier 2008 a déjà fait l’objet de moyens de droit en contestation
et je n’y reviendrai pas sur les écrits fondant l’excès de pouvoir caractérisé.
« d’ordre public ».
Que
la préfecture fourni une ordonnance de référer du 1er juin 2007 qui
premièrement ne possède pas la force exécutoire, qui ne peut être mise en
exécution et plus :
Petit cours de droit à la préfecture : en son représentant et qui n’apporte pas
encore la preuve par décret de sa substitution à la fonction de préfet en
ses actes : « Françoise SOULIMAN » a telle prêté
serment ; voulant se substituer à
un Magistrat « le Préfet » dans ses écrits.
A telle le droit d’usurper l’identité du
préfet en ses fonctions de Magistrat ?
Qu’il
est rappelé pour que cette ordonnance soit mise en exécution, il faut quelle
soit signifiée à Monsieur et Madame LABORIE avec la mention de la force exécutoire. « Mande à tout
officier…. et suivant »
Que
cette ordonnance doit être signifiée sur le fondement des articles 502 et 503
du code de procédure civile.
Que
cette ordonnance doit être signifiée à la personne de Monsieur et Madame
LABORIE suivant les articles 651 et
suivants.
Que
cette ordonnance doit être signifiée par huissier de justice et non par clerc
assermenté décision faisant partie d’une procédure d’exécution forcée.
Que
cette ordonnance en sa signification doit mentionner les différentes voies de
recours.
Que
la saisine de Monsieur le Premier de la cour d’appel est une voie de recours
pour faire suspendre l’exécution provisoire.
Que
ces formalités sont d’ordre public dans un délai de 6 mois sur le fondement de
l’article 478 du ncpc « formalité non
accomplies dans les 6 mois la décision ne peut être mise en exécution.
·
Que la préfecture
se refuse de fournir les pièces ci-dessus et engage pleinement sa
responsabilité civile et pénale étant le dernier maillon de la chaîne qui a
ordonné l’expulsion à la demande de Madame D’ARAUJO épouse BABILE par
l’intermédiaire de son Huissier de justice, la SCP d’huissiers GARRIGUES et
BALUTEAU alors que cette dernière ne pouvait être propriétaire, que les
propriétaires étant Monsieur et Madame LABORIE pour les raisons juridiques
suivantes.
Propriété
de Monsieur et Madame LABORIE reprise dans une dernière plainte déposée devant
le doyen des juges d’instruction au T.G.I de Toulouse en ses termes et dont la
préfecture de la HG représenté par son Préfet en 2006 et 2007 avait été informé
de cette situation sans saisir qui de droit :
·
Sa
responsabilité est engagée de la préfecture pour excès de pouvoir d’avoir
ordonné l’expulsion de Monsieur et Madame LABORIE.
Que Monsieur et
Madame LABORIE était propriétaire au moment de l’expulsion en date du 27 mars
2008 et le sont toujours à ce jour bien que des actes de malveillance aient été
effectués.
Plainte avec constitution
de partie civile en date du 7 février 2010 à l’encontre de :
·
Madame
D’ARAUJO épouse BABILE demeurant au
51 chemin des Carmes 31400 Toulouse, né le 21 avril 1928 à FUMEL 47500
·
Monsieur
Laurent TEULE né le 16 juillet 1981 à
Toulouse (31) demeurant sans droit ni titre régulier) au domicile de Monsieur
et Madame LABORIE, au N° 2 rue de la Forge 31650 Saint Orens.
·
La SARL LTMDB, société à responsabilité limitée au capital de 2000
euros enregistré au RCS de Toulouse N° 494254956 dont le siège est à Saint Orens au N° 2 rue de la Forge 31650 Saint Orens ( occupant
sans droit ni titre régulier) le domicile de Monsieur et Madame
LABORIE, au N° 2 rue de la Forge 31650 Saint Orens.
·
Maître CHARRAS Jean Luc Notaire associé 8 rue LABEDA 31000 TOULOUSE
Plainte pour :
·
Appropriation
frauduleuse notre propriété. Fait
réprimé par les articles 314-1 à 314-4 et 311-12 du code pénal
·
Escroquerie au
jugement, abus de confiance. Faits
réprimés par les articles 313-1 à 313-3 et 311-12 du code pénal.
·
Violation de
notre domicile par expulsion irrégulière. Fait réprimé par les articles 432-8 du code pénal.
·
Faux et usage
de faux pour obtenir des décisions juridictionnelles favorables. Fait réprimé par les articles 441-1 ;
441-2 ; 441-4 ; 441-5 ; 441-6 du code pénal.
·
Vol. Fait réprimé par les articles 311-1 à 311-11 du code
pénal
·
Atteinte à
l’action de la justice : Fait
réprimé par l’article 434-4 du code pénal.
A titre préliminaire :
Qu’il
est rappelé qu’une plainte a été déposée devant le doyen des juges
d’instruction au T.G.I de Toulouse en date du 11 juin 2009 concernant la fraude
de toute la procédure de saisie immobilière faite pendant ma détention
arbitraire pour la bonne cause « détournement de notre
propriété » du 14 février 2006 au 14 septembre 2007 en violation
de toutes les règles de droit et par faux et usage de faux dont Monsieur et
Madame LABORIE sont victimes.
RAPPEL :
Monsieur
et Madame LABORIE ont fait l’objet d’une procédure de saisie immobilière
pendant que Monsieur LABORIE André était incarcéré de la période du 14 février
2006 et jusqu’au 14 septembre 2007, privé de tous les droits de défense.
Procédure
de saisie immobilière faite en violation des article 2215 du code civil ;
violation des article 14 ; 15 ; 16 du ncpc ; violation des articles 6 et 6-1 de la CEDH, par
faux et usage de faux apportés des parties adverses principalement la
Commerzbank ne pouvant avoir aucun titre de créance valide, Monsieur et Madame
LABORIE créditeurs de cette dernière.
Qu’un jugement de subrogation en date du 29 juin
2006 par faux et usage de faux apportés par les parties adverses pour que soit
continué la procédure de saisie immobilière.
Que ce jugement de subrogation du 29 juin 2006 a été
inscrit en faux intellectuel en juillet 2008, enregistré au greffe du T.G.I de
Toulouse, dénoncé aux parties à Monsieur CAVE Michel, à Monsieur VALET Michel
Procureur de la République et que ces dénonces ont été enrôlées au greffe du
T.G.I de Toulouse
Que ce jugement de subrogation du 29 juin 2006 n’a jamais
été signifié à Madame LABORIE Suzette, qu’il ne pouvait être mis en conséquence
en exécution article 502 et 503 du ncpc.
Que ce jugement ne pouvait
être mis en exécution, n’a jamais été signifié régulièrement à Monsieur LABORIE
André par huissier de justice. «
procédure d’exécution forcée »
Que ce jugement de subrogation a été signifié
seulement et irrégulièrement à Monsieur LABORIE André en violation de l’article
680 du ncpc, en ses voies de recours non mentionnées.
Que sur le fondement de l’article 693 du ncpc, la signification est nulle « d’ordre public »
Il a été signifié par clerc
assermenté comme il est indiqué dans l’acte de signification, en violation de l’article
648 du ncpc, le clerc ne peut être identifié sur sa
réelle identité.
Qu’un clerc
d’huissier n’a pas les compétences de signifier des actes d’exécution forcée.
Que les actes
de procédures de saisie immobilière font partis
des actes
d’exécutions forcées dans son ensemble.
Violation de
la loi du 26 décembre 1923 concernant les clercs assermentés.
Violation de
l’article 1er de l’ordonnance N° 45-2592 du 2 novembre 1945
Qu’au cours de cette détention arbitraire et
prémédité, a été rendu un jugement le 26 octobre 2006 par Monsieur CAVE Michel.
·
En violation de l’application des articles 502 ; 503 ;
648 ; 680 ; 693.
·
En violation de
l’application de la loi du 26 décembre
1923 concernant les clercs assermentés.
·
En violation de l’article 1er de
l’ordonnance N° 45-2592 du 2 novembre 1945 concernant l’exclusivité des
huissiers de justice en matière de procédure d’exécution forcée.
·
En violation de l’article 2215 du code civil, en violation des articles
14 ; 15 ; 16 du ncpc ; violation des
articles 6 ; 6-1 de la CEDH par faux et usage de faux apportés par les
parties adverses pour que soit continué la procédure de saisie immobilière et a
renvoyé l’audience d’adjudication au 21 décembre 2006.
Que ce jugement de renvoi du 26 octobre 2006 ne
pouvait donc renvoyer l’audience d’adjudication au 21 décembre 2006.
Qu’il est précisé qu’à cette audience du 26 octobre
2006 Monsieur CAVE Michel président de la chambre des criées avait été saisi au
préalable par courrier recommandée et courriers adressé au greffe de la chambre
des criées, lui faisant part de la violation des voies de recours, de la
violation de l’article 2215 du code civil, de la violation des articles
14 ; 15 ; 16 du ncpc ; de la violation
des articles 6 ; 6-1 de la CEDH, des
faux et usage de faux apportés par les parties adverses.
Qu’à été rendu un jugement d’adjudication en date du
21 décembre 2006 « au profit d’un adjudicataire choisi d’avance « soit Madame D’ARAUJO épouse BABILE
« sans que Monsieur LABORIE André ait pu obtenir l’aide juridictionnelle
pour obtenir un avocat et sans aucun moyen de défense pour déposer un dire.
Et en violation encore une fois de la signification
du jugement du 26 octobre 2006.
Que ce jugement de renvoi au 21 décembre 2006 soit
le jugement du 26 octobre 2006 n’a jamais été signifié à Madame LABORIE
Suzette, qu’il ne pouvait être mis en exécution articles 502 et 503 du ncpc.
Que ce jugement du 26 octobre 2006 ne pouvait être mis en exécution, n’a jamais été signifié
régulièrement à Monsieur LABORIE André par huissier de justice. « procédure
d’exécution forcée »
Que ce jugement du 26 octobre a été signifié
seulement et irrégulièrement à Monsieur LABORIE André, en violation de tous les
droits et moyens de défense.
Que quand bien même les voies de recours sont
indiquées, il faut que ces voies de recours soient effectives, qu’elles
puissent être saisies.
Que sur le fondement de l’article 693 du ncpc, la signification est nulle « d’ordre public »
Que ce jugement de renvoi a
été signifié le 16 novembre 2006 seulement à Monsieur LABORIE André démuni de
tous ses droits de défenses a été
signifié par clerc assermenté comme il est indiqué dans l’acte de
signification, en violation de l’article 648 du ncpc, le
clerc ne peut être identifié sur sa réelle identité.
Qu’un clerc
d’huissier n’a pas les compétences de signifier des actes d’exécution forcée.
Que les actes
de procédures de saisie immobilière font parti des actes d’exécutions forcées
dans son ensemble.
Violation de
la loi du 26 décembre 1923 concernant les clercs assermentés.
Violation de
l’article 1er de l’ordonnance N° 45-2592 du 2 novembre 1945.
SUR LES AGISSEMENTS DELICTUEUX DE :
·
Madame D’ARAUJO
épouse BABILE
·
Monsieur
Laurent TEULE né le 16 juillet 1981 à
Toulouse (31).
·
La SARL LTMDB, société à responsabilité limitée au capital de 2000
euros enregistré au RCS de Toulouse N° 494254956 .
·
Maître CHARRAS Jean Luc Notaire associé 8 rue LABEDA 31000 TOULOUSE
Qu’en date du 21 décembre 2006 Madame DARAUJO est
devenue adjudicataire de notre propriété située au N° 2 rue de la Forge 31650
Saint Orens par jugement rendu par la chambre des criées
en violation de tous les droits de défense.
Que
Monsieur et Madame LABORIE ont par l’intermédiaire d’un avoué effectués une
action en résolution par assignation des parties en date du 9 février 2007 à
l’encontre de la banque poursuivante et de l’adjudicataire Madame DARAUJO
épouse BABILE et pour obtenir l’annulation du jugement d’adjudication rendu le
21 décembre 2006 obtenu par la fraude d’une saisie immobilière.
Que
par cette action Madame DARAUJO épouse BABILE a perdu son droit de propriété.
Sur les délits reprochés à l’encontre de Madame DARAUJO
épouse BABILE et à l’encontre de Monsieur TEULE Laurent, SARL LTMDB ;
Maître CHARRAS.
Que
dans un temps non prescrit par la loi au cours de l’année 2007 et jusqu’à ce
jour alors que Madame D’ARAUJO avait perdu la propriété depuis le 9 février
2007 et que la propriété était revenue aux saisis soit à Monsieur et Madame
LABORIE, différents délits ont été effectués en complot de Madame
DARAUJO épouse BABILE de Monsieur TEULE Laurent, la SARL LTMDB ; Maître CHARAS
Jean Luc notaire.
Agissements délictueux par faux intellectuels pour
détourner la propriété de Monsieur et Madame LABORIE et occuper celle-ci sans
droit ni titre encore à ce jour par la violation de notre domicile en date du
28 mars 2008 situé au N° 2 rue de la forge 31650 Saint Orens.
I / Sur le délit de
l’obtention de la grosse du jugement d’adjudication par faux et usage de
faux éléments.
Madame
DARAUJO épouse BABILE a obtenu de la chambre des criées la grosse du jugement
d’adjudication en date du 27 février 2007 par faux et usage de faux et pour
faire valoir un droit alors qu’elle n’était plus propriétaire.
Précisant
que la grosse du jugement est obtenue de la greffière que si la propriété est
établie, si les frais ordinaires et extraordinaires sont payés et si le montant
de l’adjudication est consigné.
·
Que la propriété
n’était plus établie au profit de Madame DARAUJO épouse BABILE depuis, le 9
février 2007.
·
Que la
consignation du montant de l’adjudication n’était pas consignée, faite seulement
le 11 avril 2007 à la CARPA.
Que
l’infraction de Madame DARAUJO
épouse BABILE pour avoir obtenue la grosse du jugement en date du 27 février
2007 est établie.
Que
l’intention de la fraude est
caractérisée car Madame D’ARAUJO était au courrant de l’action en résolution
par l’assignation qui lui a été délivrée par huissier de justice en date du 9
février 2007.
II / Sur le délit de publication le 20 mars 2007 du
jugement d’adjudication
Que
l’article 750 de l’acpc interdisait à Madame d’ARAUJO
épouse BABILE de publier le jugement d’adjudication tant que la cour d’appel
saisie sur l’action en résolution pour fraude n’avait pas statué.
Art. 750 (Abrogé
par Ord. no 2006-461 du 21 avr. 2006) (Décr. no 59-89
du 7 janv. 1959) «L'adjudicataire est tenu de faire publier au
bureau des hypothèques le jugement d'adjudication dans les deux mois de sa
date, et, en
cas d'appel, dans les deux mois de l'arrêt confirmatif, sous peine
de revente sur folle enchère.
Alors
que Madame DARAUJO épouse BABILE avait perdu la propriété cette dernière a
saisi le conservateur des hypothèques de Toulouse pour faire publier la grosse
du jugement d’adjudication déjà obtenue par la fraude ci-dessus et pour obtenir
un droit en justice et une décision sans un débat contradictoire entre les
parties abusant de l’incarcération de Monsieur LABORIE André et n’ayant
celui-ci aucun moyen pour se défendre.
Que
l’infraction est encore une fois caractérisée pour le fait que Madame DARAUJO épouse BABILE a fait
publier le jugement d’adjudication le 20 mars 2007 alors quelle n’était plus
propriétaire depuis le 9 février 2007.
Que
l’intention de la fraude est
caractérisée car Madame DARAUJO était au courrant de l’action en résolution par
l’assignation qui lui a été délivrée par huissier de justice en date du 9
février 2007.
III / Sur le délit d’harcèlement de signification
d’acte adressé à Monsieur et Madame LABORIE en date du 15 et 22 février 2007 à
la demande
de Madame DARAUJO épouse BABILE
Alors
que Madame DARAUJO épouse BABILE avait eu connaissance de l’action en
résolution en date du 9 février 2007 par assignation délivrée à sa connaissance
a menacé Monsieur et Madame LABORIE de quitter leur domicile alors que la
propriété était redevenue aux saisis par l’appel formé devant la cour et que
Madame DARAUJO épouse BABILE n’avait plus aucun droit à agir.
Rappelant
que pour mettre une décision de justice elle faut quelle soit signifiée en sa
grosse sur le fondement de l’article 502 et 503 du ncpc.
Qu’encore
à ce jour le jugement d’adjudication en sa grosse n’a toujours pas été publié
et ne peut donc être propriétaire autant Madame D’ARAUJO épouse BABILE que la
SARL LTMDB, représenté par son petit fils Monsieur TEULE Laurent.
Que
l’infraction est caractérisée
encore une fois de Madame DARAUJO épouse BABILE d’avoir menacer
de quitter les lieux de notre domicile alors quelle n’était plus propriétaire
depuis le 9 février 2007.
Que
l’intention de la fraude est
caractérisée car Madame DARAUJO était au courrant de l’action en résolution par
l’assignation qui lui a été délivrée par huissier de justice en date du 9
février 2007 et de l’absence en date du 15 et 22 février de la grosse du
jugement d’adjudication.
IV / Sur la fraude de Madame DARAUJO épouse BABILE en
la saisine du tribunal d’instance de Toulouse pour demander l’expulsion
de Monsieur et Madame LABORIE de leur
domicile.
Alors
que Madame DARAUJO épouse BABILE n’avait aucun droit à agir en justice pour
demander l’expulsion de Monsieur et Madame LABORIE, a fait délivrer une
assignation aux parties le 9 mars 2007 alors quelle n’était plus propriétaire
par l’assignation en résolution délivrée par huissier de justice en date du 9
février 2007.
Que
par faux et usage de faux, Madame DARAUJO épouse BABILE dans son assignation a
fait valoir quelle était propriétaire au tribunal d’instance pour obtenir une
ordonnance d’expulsion alors que la propriété était revenue à Monsieur et
Madame LABORIE suite à l’action en résolution
du jugement d’adjudication devant la cour d’appel.
Que
par faux et usage de faux, Madame DARAUJO épouse BABILE dans son assignation a
fait valoir que Monsieur et Madame LABORIE refusaient de quitter leur domicile
alors qu’ils étaient propriétaires et qui le sont son toujours par l’absence de
publication du jugement d’adjudication en sa grosse devant intervenir
postérieurement à la décision de la cour et dans le délai de deux mois de
l’arrêt rendu en date du 21 mai 2007. « article
750 de l’acpc »
Rappel
que par l’action en résolution en date du 9 février 2007, la propriété revient
aux saisis.
Qu’il
est rappelé que le jugement d’adjudication ne vaut pas expulsion. ( conseil d’état).
Que
Madame DARAUJO épouse BABILE dans son assignation du 9 mars 2007 ne fait valoir
pour la rendre recevable de l’absence de l’action en résolution en date du 9
février 2007 lui faisant perdre sa propriété, trompant de ce fait le tribunal
d’instance.
Que
Madame DARAUJO épouse BABILE dans son assignation du 9 mars 2007 ne fait pas
valoir quelle n’a pas respecté la signification de la grosse du jugement
d’adjudication, bien sur elle ne pouvait l’obtenir régulièrement comme
ci-dessus précisé, trompant de ce fait le tribunal d’instance
Que
Madame DARAUJO épouse BABILE dans son assignation du 9 mars 2007 adressée
seulement à Monsieur LABORIE André fait valoir une situation juridique inexacte
au tribunal d’instance profitant de la situation d’incarcération de Monsieur
LABORIE André sans droit de défense pour obtenir une ordonnance favorable du
tribunal d’instance de Toulouse en date du 1er juin 2007, trompant
de ce fait le tribunal d’instance
Que
Madame DARAUJO épouse BABILE dans son assignation du 9 mars 2007 demande une
indemnité d’occupation de la propriété obtenu aux enchères et pour la période
du 2 janvier 2007 au 20 mars 2007 soit de deux mois et pour la somme de 3640
euros alors quelle ne peut justifier de la pleine propriété par la
signification de la grosse du jugement d’adjudication du 21 décembre 2006 et
d’une publication régulière à la conservation des hypothèques, trompant de ce
fait le tribunal d’instance
Que
cette demande par Madame DARAUJO épouse BABILE dans son assignation du 9 mars
2007 serait suite à un soit disant cahier des charges.
Pour
Monsieur et Madame LABORIE ce cahier des charges n’a jamais pu être porté à
leur connaissance pour qu’il en soit contesté, trompant de ce fait le tribunal
d’instance.
Que
ce cahier des charges n’a jamais pu être contesté malgré les contestations
soulevées avant et pendant l’incarcération de Monsieur LABORIE André, délivré
par trois banques dont une qui n’existait plus depuis décembre 1999, ce cahier
des charges confirme bien que le commandement du 20 octobre 2003 est bien
entaché de nullité ce dernier en sa page deux indique que ce dernier a été
délivré par la société Athéna banque le 20 octobre 2003 alors que cette
dernière n’existait plus depuis décembre 1999 et reconnu par la cour d’appel de
Toulouse le 16 mai 2006 en son arrêt rendu.
Que
l’infraction d’escroquerie pour obtenir un jugement par faux et usage de faux
apportés par Madame DARAUJO épouse BABILE au tribunal est établi, trompant de
ce fait le tribunal d’instance
Que
l’intention de Madame DARAUJO épouse BABILE est établie par la récidive de ses
actes ci-dessus irréguliers.
V / Sur la fraude de Madame
d’ARAUJO épouse BABILE pour avoir céder par un sous seing privé en date du 5
avril 2007 la propriété de Monsieur et Madame LABORIE.
Madame
D’ARAUJO épouse BABILE alors que cette dernière savait quelle avait perdu son
droit de propriété par l’action en résolution effectuée et signifié en sa personne
en date du 9 février 2007
Madame
D’ARAUJO épouse BABILE alors que cette dernière savait quelle ne pouvait
obtenir la grosse du jugement d’adjudication en date du 27 février 2007 pour
les raisons invoquées ci-dessus.
Madame
D’ARAUJO épouse BABILE alors que cette dernière savait quelle ne pouvait
publier le jugement d’adjudication sur le fondement de l’article 750 de l’acpc et suite à l’action en résolution «
l’appel »
Madame
D’ARAUJO épouse BABILE alors que cette dernière savait quelle n’avait pas encore
consigné le montant de l’adjudication à la CARPA, seulement effectuée le 11
avril 2007.
·
A, en date
du 5 avril 2007 par devant Maître CHARRAS Notaire à Toulouse, passé un sous
seing privé de vente de notre propriété avec la SARL LTMDB dont son gérant est
Monsieur TEULE Laurent petit fils de Madame D’ARAUJO épouse BABILE.
Que
l’infraction de Madame D’ARAUJO épouse BABILE
pour avoir eu l’intention de vendre la propriété de Monsieur et Madame
LABORIE sans quelle en soit propriétaire est caractérisée, interdit par
l’article 2211 du code civil.
Que
l’intention de l’infraction au vu de ce qui précède est caractérisée.
VI / Sur la fraude de Madame d’ARAUJO épouse BABILE
pour avoir céder par acte définitif en date du 6 juin 2007 la propriété de
Monsieur et Madame LABORIE.
Que
Madame D’ARAUJO ne pouvait en date du 6 juin 2007 finaliser la vente devant
chez maître CHARRAS notaire de la propriété de Monsieur et Madame LABORIE au vu
de :
·
Son
préalable étant irrégulier en son sous seing privé du 5 avril 2007, Madame
D’ARAUJO épouse BABILE n’étant pas propriétaire.
·
En sa
publication irrégulière en date du 20 mars 2007 sur le fondement de l’article
750 de l’acpc.
·
En la non signification antérieure au 6 juin 2007 de l’arrêt
rendu le 21 mai 2007 par la cour d’appel de Toulouse refusant l’annulation du
jugement d’adjudication.
Que
Madame D’ARAUJO épouse BABILE se devait pour mettre en exécution l’arrêt de la
cour d’appel de Toulouse rendu le 21 mai 2007 sur le fondement des articles 502
et 503 le faire signifier par huissier de justice en la personne de Monsieur et
Madame LABORIE.
Qu’il
est rappelé que nous sommes dans une procédure d’exécution forcée en matière de
saisie immobilière dont les actes ne peuvent être effectué que par huissiers de
justice sur la loi du 26 décembre 1923 et de l’article 1 de l’ordonnance 1945 sous
peine de nullité des significations « d’ordre public »
Sur la signification irrégulière de
l’arrêt du 21 mai 2007.
Madame D’ARAUJO épouse BABILE ne pouvait mettre en
exécution l’arrêt du 21 mai 2007 sans qu’il soit au préalable signifié sur le
fondement des articles 502 et 503 du ncpc.
Pour Madame LABORIE Suzette :
A
la demande de la Commerzbank il a été signifié le 11 juin 2007 par huissier de
justice ou clerc assermenté, signification ne respectant pas l’article 648 du ncpc.
Ne pouvant identifier si
c’est un clerc ou un huissier, ne permettant pas de vérifier l’application
stricte de :
·
La loi du 27
décembre 1923 concernant les clercs assermentés.
·
L’article 1er de l’ordonnance N° 45-2592 du
2 novembre 1945
A
la demande de Madame BABILE, il a été signifié le 30 mai 2007 par un clerc assermenté, signification
ne respectant pas l’article 648 du ncpc.
Qu’au vu du procès verbal seulement fourni par la
SCP d’avoués le 12 octobre 2009 dans une autre procédure devant la cour
d’appel, ce procès verbal rédigé par un clerc assermenté indique que la
signification à la demande de Madame
d’ARAUJO épouse BABILE n’a pu se faire en date du 30 mai 2007.
Que le procés verbal de
non signification établi par le clerc assermenté est nul de plein droit, ne
respectant pas :
·
L’article 648 du ncpc.
·
La loi du 27
décembre 1923 concernant les clercs assermentés.
·
L’article 1er de l’ordonnance N° 45-2592 du
2 novembre 1945
Qu’en conséquence l’arrêt du 21 mai 2007
ne peut être exécutoire.
Pour Monsieur LABORIE André :
A
la demande de la Commerzbank il a été signifié par huissier de justice le 19
juillet 2007 à la Maison d’arrêt de Montauban.
A
la demande de Madame D’ARAUJO épouse BABILE il a été signifié par huissier de justice le
12 juin 2007 à la maison d’arrêt de Montauban.
Qu’en l’absence de moyen de défense la signification
doit être déclarée nulle.
« Juris-classeur »
La
signification doit être déclarée nulle en raison de l'atteinte portée aux droits
de la défense (TGI Paris, 20 déc. 1972 : D. 1973, p. 204 ; JCP
1973GII, 6263, obs. J.A. ; RTD civ. 1973, p. 168, note P. Raynaud).
Qu’en conséquence :
Cet arrêt du 21 mai 2007 ne peut être mis en
exécution par Madame D’ARAUJO épouse BABILE ainsi que par la Commerzbank pour
faire valoir un quelconque droit en violation de :
·
L’article 648 du ncpc.
·
La loi du 27
décembre 1923 concernant les clercs assermentés.
·
L’article 1er de l’ordonnance N° 45-2592 du
2 novembre 1945
En
l’espèce Madame D’ARAUJO épouse BABILE ne pouvait formaliser la vente de la
propriété de Monsieur et Madame LABORIE par devant maître CHARRAS Notaire en
date du 6 juin 2007 car Madame D’ARAUJO
épouse BABILE n’avait aucun droit de propriété depuis le 9 février 2007 et de
l’absence d’une publication régulière du jugement d’adjudication à la
conservation des hypothèques de toulouse.
Que
le jugement d’adjudication sur le fondement de l’article 750 de l’acpc, doit être publié dans les deux mois de l’arrêt rendu
par la cour d’appel en date du 21 mai 2007 et sous peine de forclusion.
Qu’à
ce jour de la plainte soit le 7 février 2010 le jugement d’adjudication en sa
grosse n’a toujours pas été publié régulièrement, il y a forclusion article 386
du ncpc.
Que l’infraction est caractérisée par Madame D’ARAUJO épouse BABILE d’avoir établi la
cession de la propriété de Monsieur et Madame LABORIE à la société LTMDB
représenté par son gérant Monsieur TEULE Laurent qui est que le petit fils sans
une signification régulière de l’arrêt rendu par la cour d’appel de Toulouse en
date du 21 mai 2007 et sans une publication régulière du jugement
d’adjudication en sa grosse et devant intervenir dans les deux mois de la
décision rendue par la cour d’appel et sur le fondement de l’article 750 de l’acpc.
Que l’intention de l’infraction, de cette fraude entre Madame D’ARAUJO épouse BABILE et la SARL
LTMDB est établie en date du 6 juin 2007 par devant Maître CHARRAS Notaire à
Toulouse.
Qu’au
cours du mois d’août 2008 ces actes notariés ont été inscrits en faux
intellectuels et enregistrés au greffe du T.G.I de Toulouse, dénoncés aux
parties en cause, dénoncés à Monsieur le Procureur de la République et le tout
enrôlé au greffe du tribunal.
Indiquant
que l’inscription en faux intellectuel fait perdre toute force probante à
l’acte authentique.
Que depuis l’inscription de faux
intellectuel contre les actes de Maître CHARRAS Notaire, la SARL LTMDB n’a plus
de titre pour occuper le domicile de Monsieur et Madame LABORIE au N° 2 rue de
la forge 31650 Saint Orens.
VII / Sur la violation du domicile de Monsieur et
Madame LABORIE en date du 27 mars 2008 et à la demande de Madame D’ARAUJO
épouse BABILE.
Alors
que Madame D’ARAUJO épouse BABILE ne pouvant être propriétaire de la résidence
appartenant à Monsieur et Madame LABORIE à obtenu une ordonnance d’expulsion en
date le 1er juin 2007en violation de tous les droits et par faux et
usage de faux apportés au tribunal dans l’assignation introductive d’instance,
a en violation des articles 502 et 503 du ncpc et par
une signification irrégulière de la dite ordonnance sans respecter les voies de
recours sur le fondement de l’article 680 du ncpc
dont nullité sur le fondement de l’article 693 du ncpc
et par l’absence de la voie de recours qui pouvait être saisie en l’espèce pour
faire suspendre l’exécution provisoire devant Monsieur le Premier Président de
la cour d’appel.
Que
cette ordonnance du 1er juin 2007 fait l’objet d’une inscription en
faux intellectuel enrôlée au greffe du T.G.I en août 2008, dénoncée aux parties,
à Monsieur le Procureur de la République et le tout enrôlé au greffe du T.G.I
de Toulouse.
Indiquant
que l’inscription en faux intellectuel fait perdre toute force probante à
l’acte authentique.
Madame
d’ARAUJO épouse BABILE a fait mettre au surplus en exécution cette dite
ordonnance en violation de :
·
L’article 648 du ncpc.
·
La loi du 27
décembre 1923 concernant les clercs assermentés.
·
L’article 1er de l’ordonnance N° 45-2592 du
2 novembre 1945
Rappelant que
nous somme dans une procédure d’exécution forcée et que seul
les huissiers de justice ont compétence pour établir des procès verbaux sous
peine de nullité de la procédure de signification « d’ordre public »
Sur l’absence de titre exécutoire :
Que
l’ordonnance rendue ne peut être exécutoire sans au préalable être signifiée sur le fondement des
articles 502 et 503 du ncpc.
Que
les significations faites par huissiers de justice sont irrégulières et sous la
responsabilité de Madame D’ARAUJO épouse BABILE.
Sur la signification à Monsieur LABORIE André
Que le procès verbal de
signification de l’ordonnance du 1er juin 2007 à Monsieur LABORIE a
été effectué par clerc assermenté le 13 juin 2007 sans pouvoir identifier le
clerc, en violation de l’article 648 du ncpc qui est
d’ordre public.
Signification entachée de
nullité pour violation de :
·
L’article 648 du ncpc qui est d’ordre public.
·
La loi du 27
décembre 1923 concernant les clercs assermentés.
·
L’article 1er de l’ordonnance N° 45-2592 du
2 novembre 1945
Sur la signification faite à Madame LABORIE
Suzette :
Que
le procès verbal de signification en date du 14 juin 2007 a été effectué par
clerc assermenté sans pouvoir identifier le clerc indiquant qu’il n’a pu
joindre Madame LABORIE, que de ce fait il indique qu’il n’a pu lui signifier
l’ordonnance d’expulsion rendue le 1er juin 2007.
Signification, entachée de
nullité pour violation de :
·
La loi du 27
décembre 1923 concernant les clercs assermentés.
·
L’article 1er de l’ordonnance N° 45-2592 du
2 novembre 1945.
Qu’en
conséquence par l’absence d’une signification régulière à chacune des parties
l’ordonnance rendu le 1er juin 2007 ne peut être mise en exécution
par Madame D’ARAUJO épouse BABILE.
Qu’en
ordonnant l’expulsion en date du 27 mars 2008 de Monsieur et Madame LABORIE de
leur domicile et après avoir porté de faux éléments à la la
SCP d’huissiers GARRIGUE & BALUTEAUD huissiers de justice pour agir à sa
demande.
Qu’en
ordonnant l’enlèvement de tous les meubles et objets meublant le domicile de
Monsieur et Madame LABORIE en date du 27 mars 2008 et déposés toujours à la
demande de Madame D’ARAUJO épouse BABILE dans un entrepôt à fenouillet prés de
Toulouse sans le consentement des occupants, le vol est établi.
L’infraction de violation du domicile est établi ainsi que
le vol de tous les meubles et objet en date du 27 mars 2008 par la demande de
Madame D’ARAUJO épouse BABILE agissant sans un titre exécutoire.
Que l’intention du délit est
caractérisée de Madame d’ARAUJO
épouse BABILE au vu de tous les éléments ci-dessus.
VIII / Sur l’occupation sans droit ni titre par
Monsieur TEULE Laurent et de tout occupant du domicile et de la propriété de
Monsieur et Madame LABORIE au N° 2 rue de la forge 31650 Saint Orens
Qu’à
ce jour Monsieur TEULE Laurent se sert de faux et usage de faux intellectuels
pour faire valoir la vente qui prétend de régulière à la SARL LTMDB en date du
6 juin 2007 par devant son notaire Maître CHARRAS dont il est gérant.
Que
Monsieur TEULE Laurent agissant en tant que gérant a établi un bail de location
de complaisance pour le compte de sa société LTMDB et à son profit pour occuper
le domicile de Monsieur et Madame LABORIE.
Qu’au
vu du faux intellectuel établi et dont la procédure enregistrée au T.G.I de
Toulouse fait perdre la force probante de l’acte de vente passé devant Maître
CHARRAS, que de ce fait le bail qu’il a rédigé pour le compte de la SARL LTMDB
de la location de la propriété de Monsieur et Madame LABORIE est considéré
comme nul et non avenu.
Que
Monsieur TEULE Laurent et de tous ses occupants sont sans droit ni titre
régulier pour occuper le domicile et la propriété de Monsieur et Madame
LABORIE.
Que les infractions sont établies, de faux et recel de faux par Monsieur TEULE Laurent
agissant pour son compte et pour le compte de la SARL LTMDB.
Que l’intention de Monsieur TEULE
Laurent est confirmée car il ne peut
ignorer les règles de droit et les agissements délictueux de Madame d’ ARAUJO
épouse BABILE.
Sur l’atteinte à
l’action de la justice par Monsieur TEULE Laurent et Madame D’ARAUJO
épouse BABILE.
Que
Monsieur LABORIE André et dans les intérêts de Monsieur et Madame LABORIE a
diligenté devant le tribunal de grande instance de Toulouse des procédures
judiciaires au civil pour se voir ordonné en référé des mesures provisoires sur
les agissements de Madame D’ARAUJO épouse BABILE et de Monsieur TEULE Laurent,
pour faire cesser ce trouble à l’ordre public de l’occupation sans droit ni
titre de leur propriété, de leur résidence.
Que
ces derniers en leur défense ont porté de faux éléments pour faire rendre irrecevable
les demandes de Monsieur et Madame LABORIE et obtenir encore une nouvelle fois
des jugement par escroquerie et au prétexte du non respect de l’article 648 du ncpc en leur domicile, ce qui causerait un grief à Madame
D’ARAUJO épouse BABILE et de Monsieur TEULE Laurent sur l’impossibilité de
signification des actes de procédure, agissements dans le seul but de faire
obstacle à ce qu’un tribunal tranche le litige qui nous oppose.
Sur
la pratique auprès du tribunal pour faire obstacle à ce que soit
ordonné des mesures provisoires.
Que
ces parties ne peuvent se prévaloir d’avoir violé le domicile de Monsieur et
Madame LABORIE en date du 28 mars 2008 et de leur dire à ces derniers :
·
Vous n’avez
plus de domicile, vous ne pouvez plus agir en justice.
·
Qu’il nous
est impossible de vous communiquer un quelconque acte, vous n’habitez plus au
domicile que je viens de vous prendre.
·
Nous en
informerons la justice que c’est illégal de nous poursuivre pour obtenir notre
condamnation et pour avoir violé votre domicile. « Domicile de Monsieur et
Madame LABORIE ».
·
Nous en
informerons la justice et soulèverons la nullité des actes introductifs
d’instance sur le fondement de l’article 648 du ncpc
pour faire obstacle à vos demandes qui sont contraires à nos intérêts.
Voilà
concrètement comment les parties ci-dessus ont elles réagis
pour tromper les différentes juridictions et les différents présidents
régulièrement saisis et pour faire obstacle encore une fois à la vérité et
obstacle aux procédures.
Ces
parties adverses elles mêmes sont tombées dans leurs propres pièges, car elles
ont toutes fait signifier des actes au domicile de Monsieur et Madame LABORIE
au N° 2 rue de la Forge 31650 Saint Orens.
Que
l’intention encore une fois de Madame D’ARAUJO épouse BABILE et de Monsieur
TEULE Laurent, de la SARL LTMDB ; de Maître CHARRAS est caractérisée car
ces derniers ont multiplié de nombreuses significations d’actes à Monsieur et
Madame LABORIE à leur adresse réelle soit au N° 2 rue de la Forge 31650 Saint
Orense.
Que
l’infraction à l’atteinte de l’action de la justice est caractérisée pour continuer à porter de faux
éléments au tribunal dans le seul but d’obtenir des décisions judiciaires à
leurs profits.
Sur les préjudices causés à Monsieur et Madame LABORIE
de la part de Madame d’ARAUJO épouse BABILE et de Monsieur TEULE Laurent.
Qu’à
ce jour et depuis le 27 mars 2008 nous sommes sans domicile fixe, chez des
amis, vivant chacun de son côté, démunis de nos meubles et objets qui sont
toujours entassés dans un dépôt à la demande de Madame D’ARAUJO épouse BABILE
agissant sans un quelconque titre valide et donc les dégâts matériels sont très
importants.
Préjudices
certains pour Madame LABORIE Suzette qui a été obligé d’arrêter son activité
professionnelle par l’absence de domicile, dépression et arrêt maladie, perte
de salaire, perte de la chance, saisie par ces derniers alors qu’ils sont
coupables des délits ci-dessus repris, victimes de préjudices matériel et
financier et moral.
Victimes
de se voir faire des saisies attributions sur ses salaires retraites alors que
les saisies irrégulières ne peuvent remplacer la saisie rémunération et sur des
sommes qui ne sont pas dues.
Victimes
de se voir contraint de faire saisir la justice par Monsieur LABORIE André et
pour défendre les intérêts communs.
Victimes
de ces derniers d’avoir détourné impunément à la loi et comme expliqué
ci-dessus la propriété de Monsieur et Madame LABORIE par faux et usage de faux
après que soit rendu un jugement d’adjudication alors en toute connaissance de
cause qu’une action en résolution était pendante depuis le 9 février 2007.
Victime
de ces derniers pour avoir fait obstacle aux mesures provisoires demandées.
Mesures provisoires demandées :
Devant
le tribunal de grande instance de Toulouse et la cour d’appel de Toulouse
contre les personnes ci-dessus.
Qu’a
ce jour par les obstacles des parties ci-dessus les mesures provisoires autant
devant le tribunal que devant la cour n’ont toujours pas été rendues et les
causes n’ont toujours pas été entendues, le tribunal et la cour d’appel se
refuse de statuer sur les différentes mesures provisoires demandées et suite
aux agissements de ces personnes ci-dessus qui persévèrent à porter des faux et
usage de faux trompant systématiquement les différents président et pour les
mesures demandées ci-dessous.
I / Ordonner la suspension de l’exécution provisoire de l’ordonnance du 26
mars 2009.
II / Au vu des articles 2212 du code civil, la vente est nulle de plein droit
par la carrence de Madame D’ARAUJO épouse BABILE de respecter les formalités
requises postérieureuses au jugement d’adjudication et par la perte de la
propriété suite à l’action en résolution engagée en date du 9 février 2007.
III / Au vu de l’article 2211, Madame D’ARAUJO épouse BABILE ne pouvait cèder
le bien obtenu par adjudication en date du 21 décembre 2006, vendu par acte
notarié le 5 avril et 6 juin 2007 à la SARL LTMDB.
IV / Au vu de la violation de l’article 750 de l’acpc
V / Au vu de la nullité des actes notariés et des inscriptions de faux
régulièrement déposés, la SARL LTMDB ne peut être propriétaire de la propriété
de Monsieur et Madame LABORIE.
VI / Au vu que la société LTMDB ne pouvant être propriétaire, le bail du 1er
mai 2008 de cette dernière à Monsieur Laurent TEULE et de tous les occupants
est nul de plein droit.
VII / Ordonner à Monsieur TEULE Laurent sous astreinte de 100 euros par jour la
remise des clefs de la boite au lettre à Monsieur et Madame LABORIE.
VIII / Ordonner l’interdiction à Madame D’ARAUJO épouse BABILE, à la SARL LTMDB,
à Monsieur TEULE Laurent de faire un quelconque acte de revente préjudiciant
aux intérêts de Monsieur et Madame LABORIE.
IX / Ordonner par Monsieur le Premier Président statuant en matière de référé
la cessation des agissements de la SARL LTMDB, de Monsieur TEULE Laurent à
l’occupation de la propriété de Monsieur et Madame LABORIE et de tout occupant.
X / Ordonner par Monsieur le Premier Président statuant en matière de référé
la cessation de tous travaux dégradant la propriété de Monsieur et Madame
LABORIE, leur domicile violé en date du 27 mars 2008.
XI / Ordonner par Monsieur le Premier Président prés la cour d’appel une
mesure conservatoire sur l’état hypothècaire de ce bien auprés de la
conservation des hypothèques de Toulouse dans l’attente que les formalités
soient régularisées par le retour de la propriété.
XII / intégrale à Monsieur et Madame LABORIE et suite à la
procédure en cours en annulation de la procédure de saisie immobilière dont
jugement d’adjudication.
XIII / Ordonner une expertise des différentes dégradations de leur propriété.
XIV / Ordonner après expertise à SARL LTMDB, Monsieur TEULE Laurent sous
astreinte de 100 euros par jour la remise en état de la propriété de Monsieur
et Madame LABORIE comme il l’ont trouvé en son occupation irrégulière.
XV / Ordonner une expertise des différents préjudices causés sur l’enlèvement
de tout le mobilier en date du 27 mars 2008, toujours stockés à un dépôt sans
le consentement de Monsieur et Madame LABORIE en faisant valoir la mission de
l’expert demandée.
XVI / Ordonner la séquestration de la somme de 260.000 euros prix de la vente
irrégulière et pour la somme que Madame D’ARAUJO épouse BABILE aurait versée le
11 avril 2007 au profit de Monsieur et Madame LABORIE en attente de l’évaluation
des différents préjudices subis après expertise.
XVII / Ordonner une provision de la somme de 80.000 euros sur ces sommes
séquestrées au profit de Monsieur et Madame LABORIE, aucune contestation ne
pouvant être soulevée à par quelles soient dilatoires, les règles
ci-dessus violées étant d’ordre public.
XIII / Renvoyer si necéssaire l’affaire sur le juge du fond devant le tribunal
de grande instance appelé à statuer selon la procédure de droit commun sur la
responsabilité civile des auteurs ci-dessus assignés et en résolution des deux
actes notariés inscrits en faux intellectuels ; le juge du fond qui sera
saisi directement par Monsieur le Premier Président statuant en référé.
Que les préjudices sont
identiques pour Monsieur LABORIE André évalués à la somme de 150.000 euros sans
compter le détournement de notre propriété évaluée à 500.000 euros et vendue
aux enchères dans les conditions ci-dessus pour la somme de 260.000 euros dont
plainte déjà déposée devant le doyen des juges d’instruction au T.G.I de
Toulouse en date du 11 juin 2009.
Que
par Complot de Madame D’ARAUJO épouse
BABILE ; de Monsieur TEULE Laurent ; de la SARL LTMDB et de
maître CHARRAS Jean Luc Notaire ont trompés par les différents actes de faux et
usages de faux intellectuels les autorités suivantes.
·
Le tribunal
d’instance en son ordonnance du 1er juin 2007.
·
Le tribunal de
grande instance saisie en référé pour obtenir des mesures provisoires.
·
La cour
d’appel en différentes procédures
d’appel qui se refuse de statuer.
·
La SCP
d’huissiers GARRIGUES & BALUTEAUD.
·
La Préfecture de
la Haute Garonne.
·
La Gendarmerie de
Saint Orens.
·
Le Procureur de
la République
Pour rafraîchir la mémoire à la préfecture
Il
est rappelé que celle-ci par ces deux décisions portant préjudices et suivies
d’effet ne font que receler les agissements de Madame D’ARAUJO épouse BABILE et
de ses complices et sous la responsabilité de la Préfecture qui n’a pas vérifié
ou fait vérifié en tant que Préfet « Magistrat » l’exactitude des
éléments contestés et déjà portés à la connaissance de la Préfecture
antérieurement à leur deux décisions irrégulières prises.
Rejeter
purement et simplement les écrits de la préfecture.
Faire
droit aux demandes de Monsieur LABORIE André et dans les intérêts de la
communauté légale de Monsieur et Madame LABORIE, dont leur propriété et leur
domicile étant au N° 2 rue de la forge 31650 Saint Orens à bien été violé en date du 27 mars 2008 sous les
ordres de la Préfecture de la HG représenté par son Préfet.
Faire
droit à la production par la Préfecture des pièces manquantes et demandées par
les précédentes conclusions et reprises ci-dessus ainsi que l’ordonnance du 1er
juin 2007 dans les formalités de droit que celle-ci devaient
être accomplies.
Faire
droit aux différentes demandes soumises de soumise devant le tribunal
administratif.
Dans
cette attente, je vous prie de croire Monsieur le Président à mes respectueuses
salutations.
Monsieur LABORIE André
Pièces :
·
Ci-joint en trois
exemplaires conclusions.