Conclusions sur le
fondement de l'article 459 du cpp présentées
Devant le Tribunal
Correctionnel de Toulouse.
A Monsieur, Madame le Président et ses assesseur.
AUDIENCE du 6
septembre 2011 à 14 heures
Devant la 6eme
chambre correctionnelle du T.G.I de Toulouse.
DEMANDE DE RENVOI DANS DEUX PROCEDURES
*
* *
lère attaque du
parquet le 1er mars 2010.
A la demande de Monsieur CAVE et de Madame PUISSEGUR. « Plainte déposée le 28
octobre 2009 ».
Renvoyant Monsieur LABORIE
André devant le tribunal correctionnel pour son audience du
17 mars 2010 à 14 heures et renvoyée au 21 mai 2010.
2ème attaque du
parquet en date du 6 avril 2010.
A la demande de Monsieur CAVE
et de Madame PUISSEGUR.
« Plainte déposée le 24 mars
2010 ».
Renvoyant Monsieur LABORIE
André devant le tribunal correctionnel
Pour son audience du 21 mai
2010.
*
* *
JONCTION DES DEUX DOSSIERS A L'AUDIENCE DU 21 JUILLET 2010.
FAX: № 05-61-33-73-73.
Pour :
Monsieur LABORIE André né le
20 mai 1956 à Toulouse ayant pour domicile le № 2 rue de la forge 31650
Saint Orens « courrier transfert poste restante »
PS : «Actuellement le courrier est transféré poste restante
suite à la violation du domicile en date du 27 mars 2008 » domicile actuellement
occupé par un tiers (Monsieur TEULE Laurent et autres sans droit ni titre
régulier.
• A domicile élu de la SCP
d'huissiers FERAN18 rue Tripière 31000 Toulouse.
Contre :
Le Parquet de Toulouse
représenté en son Tribunal de Grande Instance par : • Monsieur VALET Michel Procureur de la
République.
RAPPEL DE LA PROCEDURE :
Audience
du 21 juillet 2010
Que pour l'audience du 21 juillet
Que pour l'audience du 21 juillet
Que pour l'audience du 21 juillet
• Qu'en son audience du 21
juillet
Audience du 5 octobre 2010
Que pour son audience en date du 5 octobre 2010 il a
été produit des pièces supplémentaires. Nouvelles pièces produites :
Saisine du CNDS : Plainte liée avec cette
affaire concernant le déroulement de la procédure faite à l'encontre de
Monsieur LABORIE en date du 1er mars et 6 avril 2010.
Plainte à rencontre de
Monsieur VALET Michel : Procureur de la République à Toulouse auprès du
conseil supérieur de la Magistrature sur ses agissements liés à cette affaire.
Monsieur LABORIE faisait valoir que pour son audience
du 5 octobre 2010 qu'au vu des enquêtes qui sont en cours et liées à la
procédure de poursuite faite à l'encontre de Monsieur LABORIE André : Le tribunal ne veut être
saisi de l'entier dossier sur le fond.
• Qu'en son audience du 5
octobre 2010, le Président a bien indiqué que cette affaire ne pouvait être
jugée car se serait préjuger de l'affaire de Monsieur CAVE et de Madame
PUISSEGUR dont est partie civile Monsieur LABORIE André pour son audience du 10
janvier 2011.
Que Monsieur LABORIE André rappelait en son audience
du 5 octobre 2010 certains éléments fondamentaux suivants :
I / Il doit être statué seulement
sur la question de priorité constitutionnalité.
II / Le fond des poursuites à l'encontre de
Monsieur LABORIE André pourra être effectué qu'après que le procès de Monsieur CAVE
et de Madame PUISSEGUR est eu lieu, ainsi que la purge de toutes les nullités
de procédures sur le fondement de l'article 385 du cpp.
Qu'il et rappelé dans ces deux affaires jointes que
les poursuites faites à l'encontre de Monsieur LABORIE André étaient dans le
seul but de faire obstacle au procès à l'encontre de Monsieur CAVE et de Madame
PUISSEGUR, fait
réprimés par l'article 434-4 du code pénal.
Qu'au vu d'une partialité établie de cette juridiction
et aux obligations déontologiques des Magistrats qui doivent êtres respectées.
« Guide du
conseil supérieur de la Magistrature » :
Monsieur LABORIE a déposé des conclusions distinctes
concernant La
loi organique n°2009-1523 du 10 décembre 2009 « relative à l'application de
l'article 61-1 de la Constitution, sur la question prioritaire de
constitutionnalité.
Et pour qu'il soit constaté que le tribunal ne peut se
saisir de ce dossier au vu d'une partialité établie sur toute la juridiction
toulousaine en les affaires de Monsieur LABORIE André.
Dans la procédure devant être contradictoire.
•
Que des conclusions ont été déposées par le parquet
concernant la question de priorité.
•
Que des conclusions ont été déposées par le conseil
des parties civiles, ces dernières ne pouvant être recevables en leur action.
•
Que des conclusions responsives ont été déposées par
Monsieur LABORIE André autant sur celles du parquet que celles du conseil des
parties civiles.
Qu'en conséquence doit s'ouvrir seulement un débat
contradictoire en son audience du 5 octobre 2010 sur la dite question à fin que soit rendu un
jugement ordonnant ou refusant la saisine de la cour de cassation en sa
question de priorité constitutionnelle.
En
rappelant ;
Par application de la loi organique du 10 décembre
2009, relative à l'application de l'article 61-1 de la Constitution relatif à
la question de constitutionnalité, la Cour précise que « les juges du fond ne
peuvent pas statuer sur la conventionalité d'une disposition légale avant de transmettre la
question de constitutionnalité ». à la cour de cassation
LA QUESTION
EST LA SUIVANTE :
« Est-il constitutionnel que les Magistrats composant
cette juridiction toulousaine puissent juger Monsieur LABORIE André par ses
pairs « avec impartialité » tout en sachant que les faits poursuivis sont dans
le seul but de se venger de la délivrance par huissier de justice d'une
citation par voie d'action effectuée à l'encontre de Monsieur CAVE et de Madame
PUISSEGUR et de cette communication faite aux autorités par le site Internet et
au vu que de tels agissements sont dans le seul but d'anéantir une nouvelle
fois Monsieur LABORIE André avec toute partialité et à faire obstacle aux
différents procès en cours dont sont responsables de nombreux Magistrats pour
des faits criminels ci-dessus repris dans les conclusions.
La Cour de cassation devant statuer dans un délai de
trois mois sur le renvoi de la question de constitutionnalité, ainsi que le
prévoit la loi organique du 10 décembre 2009.
Précisant que la cour de cassation se refuse
d'ordonner directement le dépaysement des affaires de Monsieur LABOPJE André
sur la juridiction de Bordeaux suite aux différentes requêtes déposées en
demande de suspicion légitime de la dite juridiction Toulousaine, cette dite
juridiction toulousaine se refusant de signifier les arrêts de la cour de cassation
sur le fondement de l'article 666 du cpp.
Qu'en conséquence :
Que le conseil constitutionnel doit être saisi avant
que le fond des poursuites effectués à l'encontre de Monsieur LABOPJE André
soit entendu devant un tribunal impartial, « article 6 de la CEDH» purgé de tous les vices et
nullités de procédure sur le fondement de l'article 385 du cpp et dans la
mesure que la prescription des faits imaginaires ne soit pas refusée devant un
tribunal impartial autre que la juridiction Toulousaine.
Pièces
complémentaires :
•
Plainte au conseil supérieur de la Magistrature à
l'encontre de Monsieur VALET Michel.
•
Saisine du CNDS par Monsieur le Député Gérard BAPT.
« Saisine de Madame ALLIOT Marie par Monsieur
le Député Gérard BAPT. Tout sur mon site destiné aux autorités judiciaires: http://www.lamafiaiudiciaire.org
• Qu'en son audience du 5 octobre 2010, le Président a bien
indiqué que ces deux affaires ne pouvaient être jugées car ce serait préjuger
de l'affaire de Monsieur CAVE et de Madame PUISSEGUR dont est partie civile
Monsieur LABORIE André pour son audience du 10 janvier 2011.
Que le tribunal en son audience du 5 octobre
Audience du 4 janvier 2011
Qu'au vu de la procédure toujours pendante devant la
cour d'appel et concernant l'appel de la consignation ordonnée dans les
poursuites contre Monsieur CAVE et Madame PUISSEGUR, dont est partie civile
Monsieur LABORIE André, procédure faisant suite à une opposition en date du 5
octobre 2010 sur un arrêt du 29 juillet 2010 rendu par défaut, les débats se
devant être rouverts et sur opposition pour son audience de la cour d'appel du
1er février 2011
• Qu'en conséquence, le président en son
audience du 4 janvier
ne pouvaient être jugées car ce serait préjuger de
l'affaire de Monsieur CAVE et de Madame PUISSEGUR dont est partie civile
Monsieur LABORIE André.
Audience du 5 avril 2011
Qu'en son audience du 5 avril 2011, Monsieur LABORIE
André a déposé des conclusions sur le fondement de l'article 459 du cpp. « Demande de renvoi ».
Que le
tribunal :
Au vu que ces deux affaires ne peuvent être jugées
tant que le procès n'a pas eu lieu soit à rencontre de Monsieur CAVE Michel et
de Madame PUISSEGUR Marie Claude.
•
Et pour demander l'annulation des deux procédures sur
le fondement de l'article 385 du cpp, pour différents motifs de droits et de
faits.
•
Et pour demander la réparation des préjudices causés à
rencontre de Monsieur LABORIE André.
L'audience
a été renvoyée au 7 juin 2011.
Qu'en
son audience du 7 juin 2011
Le tribunal ne pourra que constater les différentes
étapes.
Qu'au vu que le Président a déjà indiqué à toutes les
précédentes audiences ; que ces deux affaires ne pouvaient être jugées car se
serait préjuger de l'affaire de Monsieur CAVE et de Madame PUISSEGUR
« Le président sera contraint
de renvoyer ces deux affaires dont Monsieur LABORIE André est prévenu. « une réelle victime » du parquet à la demande de
Monsieur CAVE et de Madame PUISSEGUR ».
Qu'il est rappelé que Monsieur LABORIE André est
prévenu et poursuivi par artifice de deux plaintes déposées, par des délits
imaginaires et dans le seul but que Monsieur CAVE et Madame PUISSEGUR
obtiennent le recours statutaire dans la procédure dont ces derniers sont
prévenus alors même qu'ils ne peuvent l'obtenir au vu de l'article 11 de la
loi n° 83-634 du 13 juillet 1983 et de article 112 de la loi n° 2003-239 du 18
mars 2003.
•
Ce qui est confirmé par la décision du Ministère de la
justice intervenue le 30 novembre 2009 faisant suite à une demande du 9
novembre 2009 faite à la demande de Monsieur CAVE Michel auprès de Monsieur le
Premier Président prés la cour d'appel de Toulouse.
•
Ce qui est confirmé par la décision du Ministère de la
justice intervenue le 12 janvier 2010 faisant suite à une demande du 29 octobre
2009 faite à la demande de Madame
PUISSEGUR Marie Claude auprès de Monsieur le Premier
Président prés la cour d'appel de Toulouse.
Bien que ce recours statutaire ils ne pouvaient
l'obtenir au vu des poursuites pénales diligentées à leur encontre des chefs de
corruptions,
de concussions et de faux intellectuels.
• Seule possibilité d'avoir le recours
statutaire c'était d'introduire une plainte mais dans un cas bien précis de
délit et non par artifice.
Que de ce fait ils ont introduit une plainte par
artifice en date du 28 octobre 2009 dans le seul but d'obtenir le recours
statutaire et par dénonciation calomnieuse, reprochant à Monsieur LABORIE André
de leur avoir fait délivrer par huissier de justice une citation par voie
d'action et sensibilisant les autres magistrats à venir à leur côté.
Qu'au vu de la nullité de cette plainte du 28 octobre
2009 et de la procédure diligentée à {'encontre de Monsieur LABORIE le 1er
mars 2010 dont de nombreux préjudices ont été causés, « Monsieur LABORIE
demande réparation ».
Monsieur CAVE Michel et Madame PUISSEGUR sous une
autre forme et dans la seule intention d'obtenir le recours statutaire ont renouvelé
une plainte le 24 mars 2010 dont celle-ci n 'est que l'accessoire de la
précédente et prise en complot au vu du contenu de celle-ci.
• Qu'en conséquence ces nouveaux
agissements de Monsieur CAVE et de Madame PUISSEGUR dont les preuves ont été
seulement apportées par le ministère de la justice en date du 4 mars 2011 doivent être séparément
sanctionnés et
pris en compte dans la nullité de la procédure faite seulement par un artifice
incontestable à l'encontre de Monsieur LABORIE André, procédure ayant causé
d'importants préjudices soumise à réparation.
Qu'il est porté à la connaissance du tribunal et à
mettre dans le dossier, d'une plainte pour détournement de fond adressée à
Monsieur MERCIER Michel Ministre de la Justice et à Monsieur le Président du
Conseil Supérieur de la Magistrature.
Récidive de Monsieur CAVE et
de Madame PUISSEGUR, après avoir détourné :
•
Notre propriété par faux et usages de faux.
•
La somme de 271000 euros par faux et usage de faux.
Il se sont permit par faux et usages de faux
intellectuels de détourner ou tenter de détourner des fonds publics alors
qu'ils ne peuvent bénéficier du recours statutaire pour des faits dont ils sont
poursuivis, au
vu de l'article 11 de la loi n° 83-634 du 13 juillet 1983 et de article 112 de
la loi n° 2003-239 du 18 mars 2003
Confirmant la plainte adressée à Madame ALLIOT Marie
en date du 9 mars 2010 contre Monsieur SOUBELET Renaud Procureur de la
république adjoint et confirmant la nullité des actes de poursuites faites à
l'encontre de Monsieur LABORIE André autant au fond des poursuites que sur la
forme de la procédure, comme repris dans mes conclusions déposées pour
l'audience du 21 juillet 2010 soulevant comme exception la nullité « IN LIMINE LITIS »
Nullités « IN LIMINE LITIS » qui se devra être purgées
après le procès contre Monsieur CAVE et contre Madame PUISSEGUR.
• Mais dans l'immédiat au vu que le Président a déjà indiqué
que ces deux affaires ne pouvaient être jugées car se serait préjuger de
l'affaire de Monsieur CAVE et de Madame PUISSEGUR dont Monsieur LABORIE est
partie civile.
Qu'en conséquence, le président sera contraint
une nouvelle fois de renvoyer ces deux affaires dont Monsieur LABORIE André est
prévenu « Prévenu
par artifice »
par un délit imaginaire dans le seul but que Monsieur CAVE et Madame PUISSEGUR
obtiennent le recours statutaire.
Que ces derniers par la fraude encore une nouvelle
fois obtiennent un avantage à obtenir un avocat pour leur défense sans que
Monsieur LABORIE André puisse obtenir l'aide juridictionnelle pour assurer la
sienne autant en tant que prévenu artificiel qu'en tant que partie civile et
victimes de ces derniers.
Que des sommes importantes ont été débloquées pour
faire diligenter des enquêtes qui ont occasionné de nombreux coût pendant plus
de 5 mois alors que Monsieur LABORIE André était présent chaque semaine devant
le tribunal de grande instance de toulouse.
- Agissements de Monsieur
VALET Michel Procureur de la République, chef du parquet et pour avoir rendu
recevable la plainte de Monsieur CAVE et de Madame PUISSEGUR, dans le seul but
de favoriser illégalement la défense de ces derniers sur des fonds publics,
pouvant être considéré de complicité.
Qu'au vu du code déontologique des magistrats :
• II incombe à tout juge
d'observer une réserve et d'éviter tout comportement de nature à entraîner le
risque que son impartialité soit mise en doute et qu'il puisse, de ce fait,
être porté atteinte à l'autorité de l'institution judiciaire ; un magistrat est
tenu de se déporter dés lors qu'il entretient ou a entretenu des relations
suivies avec une des parties au litige dont il est saisi
• Le Magistrat qui, ayant
l'obligation morale de se déporter et d'éviter toute intervention de nature à
donner l'apparence d'un manquement à la neutralité et à l'impartialité, ne le
fait pas, faillit aux devoirs auxquels tout juge est tenu de se conformer dans
sa démarche et dans son action.
Qu'il est rappelé : il n'y a pas de démocratie sans
justice, pas de justice sans défense, pas de défense sans avocat.
PS;
Que Monsieur LABORIE André portait des informations
supplémentaires concernant les nouveaux agissements de Monsieur CAVE et de
Madame PUISSEGUR : Soit une plainte artificielle faisant l'objet de poursuites
à rencontre de Monsieur LABORIE André et dans le seul but d'obtenir le recours
statutaire dans la procédure qui de droit : « citation correctionnelle délivrée
par huissier de justice ».
Qu'au vu de cette nouvelle plainte pour détournement
de fonds publics, portée à la connaissance du tribunal, constitutive de peine
criminelle, fait réprimé par 1' Article 432-15 du code pénal.
•
Le fait, par une personne dépositaire de l'autorité
publique ou chargée d'une mission de service public, un comptable public, un
dépositaire public ou l'un de ses subordonnés, de détruire, détourner ou
soustraire un acte ou un titre, ou des fonds publics ou privés, ou effets,
pièces ou titres en tenant lieu, ou tout autre objet qui lui a été remis en
raison de ses fonctions ou de sa mission, est puni de dix ans
d'emprisonnement et de 150000 euros d'amende.
•
La tentative du délit prévu à l'alinéa qui précède est
punie des mêmes peines.
Qu'il est de droit que cette plainte pour détournement
de fonds publics soit produite aux autorités concernées pour en donner suite et
sur le fondement Article 434-1 et suivant du code pénal
• Le fait, pour quiconque ayant connaissance d'un crime dont il
est encore possible de prévenir ou de limiter les effets, ou dont les auteurs
sont susceptibles de commettre de nouveaux crimes qui pourraient être empêchés,
de ne pas en informer les autorités judiciaires ou administratives est puni de
trois ans d'emprisonnement et de 45000 euros d'amende.
Ce qui évitera à Monsieur LABORIE André de se
constituer partie civile par voie d'action au vu de la fiagrance des délits
incontestables, obligation du parquet de poursuivre à rencontre de Monsieur CAVE
Michel et Madame PUISSEGUR Marie Claude, avec la complicité de Maître FORGET
Jean Luc avocat conseil.
• Les deux
affaires ont été renvoyées à l'audience du 6 septembre 2011.
Qu'en son audience du 6
septembre 2011
Au vu de tout ce qui précède.
La demande de renvoi est de droit pour une bonne
administration de la justice sur le fondement de l'article 665 du cpp et du
code de la déontologie des magistrats édité par le CSM, en l'espèce la
juridiction de Bordeaux seule accessible par Monsieur LABORIE André pour
assurer ses droits de défense
PAR CES MOTIFS.
Qu'au vu que le Président a déjà indiqué, que ces deux
affaires ne pouvait être jugées à rencontre de Monsieur LABORIE André car se
serait préjuger de l'affaire de Monsieur CA VE et de Madame PUISSEGUR dont
Monsieur LABORIE André est partie civile.
Qu'au vu que nous sommes dans l'attente que le procès
ait lieu à l'encontre de Monsieur CAVE Michel et de Madame PUISSEGUR Marie
Claude devant une autre juridiction en l'espèce celle de BORDEAUX sur le
fondement de l'article 665 du cpp.
• Ordonner le renvoi de ces
deux procédures dont Monsieur LABORIE est prévenu par artifices, à une date ultérieure en faisant
respecter l'article 6-1 de la CEDH pour que Monsieur LABORIE André fasse valoir
la nullité des deux procédures faites à son encontre « IN LIMINE LITIS » et obtenir réparation des
différents préjudices causés.
Sous
toutes réserves dont acte :
Monsieur LABORIE André
PS:
Site destiné aux autorités judiciaires pour être
informé du dysfonctionnement grave de la juridiction toulousaine et des
procédures en cours : http://www.lamafiaiudiciaire.org