CONCLUSIONS DEVANT LA COUR.
Présentées devant Monsieur Madame le Président,
Monsieur, Madame les conseillers.
Composant la chambre des appels correctionnels.
Cour d’appel, Place du Salin 31000 Toulouse
Suite à la Procédure d’Appel en date du 8 Mars 2012
Sur le jugement
rendu en date du 8 mars 2012.
« Jugement Jamais
porté à la connaissance de Monsieur LABORIE André. »
Décision du 8 mars 2012 rendue par son président
Monsieur ROUSSEL Guillaume
Alors qu’il existait une procédure de récusation à son
encontre.
Soit la décision a été rendue avec une partialité
incontestable au vu du non-respect
du code de la déontologie des Magistrats et du contenu
de ce jugement.
Soit en violation des articles 6 ; 6-1
de la CEDH.
Procédure venant sur opposition du 3 juin 2013 de l’arrêt du 7 mai 2013
N° 12/00996.
Monsieur LABORIE André non convoqué.
Rendu en violation des articles 6 ; 6-1 de la CEDH.
« Et
pour l’audience du 13 novembre 2013 »
*****
POUR :
Monsieur
LABORIE André demandeur d’emploi né le 20 mai 1956 à Toulouse domicile au N°2
rue de la FORGE 31650 Saint ORENS de GAMEVILLE, de nationalité Française.
PS :
« Actuellement
le courrier est transféré suite à la violation du domicile en date du 27 mars
2008 » domicile actuellement occupé par un tiers avec la complicité de Monsieur
TEULE Laurent et autres sans droit ni titre régulier ».
·
Domicile élu
de la SCP d’huissiers FERRAN
CONTRE :
Madame Aude CARASSOU
juge au Tribunal de Grande Instance de Toulouse 40 Avenue Camille PUJOL 31506 TOULOUSE Cedex 5.
Madame
D’ARAUJO épouse BABILE demeurant au
51 chemin des Carmes 31400 Toulouse, né le 21 avril 1928 à FUMEL 47500
Monsieur
Laurent TEULE né le 16 juillet 1981 à
Toulouse (31) demeurant sans droit ni titre régulier) au domicile de Monsieur
et Madame LABORIE, au N° 2 rue de la Forge 31650 Saint Orens.
La
SARL LTMDB, société à responsabilité
limitée au capital de 2000 euros enregistré au RCS de Toulouse N° 494254956
dont le siège est à Saint Orens au N° 2 rue de la
Forge 31650 Saint Orens (
occupant sans droit ni titre régulier) le domicile
de Monsieur et Madame LABORIE, au N° 2 rue de la Forge 31650 Saint Orens, représentée par son gérant Monsieur TEULE Laurent.
Partie jointe : Le ministère public devant
demander l'application stricte de la loi pénale pour les faits poursuivis.
•
LOI n° 2013-669 du 25 juillet 2013
relative aux attributions du garde des sceaux et des magistrats du ministère
public en matière de politique pénale et de mise en œuvre de l'action publique.
•
L'article 31 du même code est complété par les mots :
« dans le respect du principe d'impartialité auquel il est tenu ».
*******
PLAN D’ANALYSE
I / Sur la recevabilité de
l’opposition de l’arrêt du 7 mai 2013 Renvoyant l’affaire à l’audience du 13
novembre 2013.
II / Règles
générales de la prescription de l’action publique.
III / Sur l’absence de
prescription de l’action publique par les différents actes effectués
interrompant la prescription ou situations de droit privant de mettre l’action
publique en mouvement.
IV / Monsieur TEULE Laurent
récidive dans ces actes avec la complicité de son conseil.
V / Les conséquences, absence de
prescription de l’action publique.
VI / Sur l’auteur de la décision du 8 mars 2012
rendue par le T.G.I de Toulouse.
VII / Qui a mis l’action publique en mouvement à
l’encontre des parties.
VIII / Les obligations de la cour :
I / Sur la
recevabilité de l’opposition de l’arrêt du 7 mai 2013
Renvoyant
l’affaire à l’audience du 13 novembre 2013.
Rappel
de la procédure renvoyant à l’audience du 13 novembre 2013.
La cour d’appel a rendu un arrêt en date du 7
mai 2013 par défaut à l’encontre de Monsieur LABORIE André, ce dernier non
convoqué à sa personne.
Que Monsieur LABORIE André en a eu
connaissance de cet arrêt du 7 mai 2013 par sa signification au N° 2 rue de la
forge 31650 Saint Orens bien que notre propriété soit
encore à ce jour squatter soit en date du 3 juin 2013.
·
Il est à préciser que le courrier a été
transféré depuis la violation de notre domicile en date du 27 mars 2008 et
occupé depuis sans droit ni titre par Monsieur TEULE Laurent.
Soit que
l’opposition est recevable, enregistrée
le 3 juin 2013 au greffe de la cour d’appel.
La cour reconnait que l’arrêt a été rendu par
défaut à l’encontre de Monsieur LABORIE André.
En la
forme.
La cour déclarant l’appel recevable.
Au
fond.
La cour annule le jugement du tribunal
correctionnel en date du 8 mars 2012.
Evoquant,
Constate
l’extinction de l’action publique par décès pour Madame D’ARAUJO et par dissolution
pour la société LTMDB.
Constate l’extinction de l’action publique
par prescription à l’égard de Madame CARASSOU et Monsieur TEULE Laurent.
Les observations de Monsieur LABORIEA André.
Sur
l’action publique.
·
Seule l’action publique est
éteinte à l’encontre de Madame D’ARAUJO épouse BABILE Suzette par son décès en
février 2012.
Sur l’action civile.
II / Règles
générales de la prescription de l’action publique.
Rappel des textes :
La
Cour de cassation a retardé le point de départ de la prescription triennale au
jour où le délit est apparu et a pu être constaté, c’est à dire au jour de la
découverte Note Un
arrêt du 7 décembre 1967,Bull. crim.,
n° 321 ; D. 1968, jurispr. p. 617. .
La Cour de cassation a précisé que le point de départ de la prescription
triennale doit être fixé au jour où le délit est apparu et a pu être constaté
dans des conditions permettant
l'exercice de l'action publique, en d’autres termes, par les seules personnes
habilitées à mettre cette action en mouvement : les victimes et le ministère public Note Un arrêt du 10 août
1981 (Bull. crim., n° 244 ; Rev. soc. 1983, p.
368, note Bouloc).
Que la victime se soit bien trouvée dans des
conditions permettant l'exercice de l'action publique, le point de départ de la
prescription de l'action publique doit être fixé au jour où le délit est apparu
et a pu être constaté dans des conditions permettant l'exercice de cette
action.
Cass.crim. 1er août 1919 (Gaz.Pal. 1919 II
176, Dames G...d) :
Si, d’après les art.
637 et 638 du Code d’instruction criminelle, la durée de la prescription est
fixée à trois ans, pour les délits de nature à être punis correctionnellement,
il ne saurait en être ainsi lorsque le ministère public et la partie civile ont
été mis dans l’impossibilité d’agir par des circonstances indépendantes de leur
volonté.
Sur la suspension du délai.
L’écoulement du délai de
prescription se trouve comme mis en sommeil quand la partie poursuivante se
heurte à un obstacle de droit ou de fait qui paralyse l’exercice de l’action
publique. Il recommence à s’écouler, au point où il en était, dès que
l’obstacle a disparu.
Cour sup. de just. du Luxembourg 19 décembre
1963 (Pas.Lux. 1963-1965 199) : La prescription
est suspendue, en vertu du principe contra non valentem
agere non currit praescription, toutes les fois que l’exercice de l’action
est empêché par un obstacle provenant, soit de la loi, soit de la force
majeure.
Cass.crim. 28 mars 2000 (Gaz.Pal.
2000 II Chr.crim. 2160) : La prescription de
l’action publique est suspendue lorsqu’un obstacle de droit met la partie
poursuivante dans l’impossibilité d’agir (art. 6 et 8 C.pr.pén.).
Le recel est une infraction
imprescriptible.
Le
recel au vu de la loi est une infraction continue « imprescriptible » c’est le fait de dissimuler, de
détenir ou de transmettre une chose, ou de faire office d'intermédiaire afin de
transmettre, en sachant que cette chose provient d'un crime ou d'un délit.
Constitue également
un recel le fait, en connaissance de cause, de bénéficier, par tout moyen, du
produit d'un crime ou d'un délit.
Note. Si le ministère public apprécie seul l'opportunité
des poursuites (sous réserve de l'exercice de l'action civile par la victime), dès
lors qu'il les a engagées et a saisi une juridiction il ne peut plus mettre fin
à l'action
publique. Comme l'a jugé Cass.crim. 28 septembre 1994
(Gaz.Pal. 1994 II Chr.714) :
En conséquence : La partie civile qui apprécie aussi seule l’opportunité des
poursuites par la procédure de citation par voie d’action, mettant
automatiquement elle seule l’action publique en mouvement et valant
réquisitoire de Monsieur le Procureur de la République.
·
Dès lors la partie civile qui
a engagées les poursuites par voie d’action en saisissant une juridiction ne peut plus mettre fin à l'action publique. Comme l'a jugé Cass.crim.
28 septembre 1994 (Gaz.Pal. 1994 II Chr.714) :
****
Jurisprudences :
·
Prescription de L'action
publique, point de départ. Le point de départ de la prescription, en cas
d'infraction continue, est retardé tant que l'infraction se renouvelle : Cass.crim. 2 juillet 1980 (E...).
·
Prescription de l'action
publique, point de départ. Le point de départ de la prescription varie
selon que l'on est en présence d'une infraction instantanée ou continue ; voir : Cass.crim. 31
mars 1926, (P...).
·
Prescription de l'action
publique, point de départ. Le point de départ de la prescription varie
selon que l'on est en présence d'une infraction instantanée ou continue; voir : Cass.crim. Cass.crim. 16 décembre 1938 (D...).
Qu’au vu de l’article 121-7 du
code pénal
Est
complice d'un crime ou d'un délit la personne qui sciemment, par aide ou
assistance, en a facilité la préparation ou la consommation.
Est
également complice la personne qui par don, promesse, menace, ordre, abus
d'autorité ou de pouvoir aura provoqué à une infraction ou donné des
instructions pour la commettre.
Sur l’absence de prescription des délits
Prescription pénale
Au vu de la loi № 80-1042 du 23 décembre 1980, en son article 10 du
code de procédure pénale que l'action civile se prescrit selon les règles du
code civil, qu'elle soit portée devant les tribunaux civils ou répressifs, que
s'agissant d'une responsabilité extracontractuelle, le délai de prescription
est de 10 ans ( C.Civ ; art.2270-1).
Le délai de
prescription de l'action publique en matière d'abus de confiance peut commercer
à courir à compter de l'inscription en comptabilité de l'opération
caractérisant cette infraction, c'est sous réserve que cette inscription ou
cette présentation ne recèle aucune dissimulation et que la victime se soit bien trouvée dans des conditions permettant
l'exercice de l'action publique.
( Cour de cassation 23 mai 2002 №
de pourvoi : 01-83983).
Prescription civile :
Depuis
la loi n° 85-677 du 5 juillet 1985 (JO 6 juill. 1985) : "Les actions en
responsabilité civile extra-contractuelle se
prescrivent par dix ans ci compter de la manifestation du dommage ou de son
aggravation" (C. civ., art. 2270-1, al. 1).
Loi du 17 juin 2008 : Ce raccourcissement de la prescription, en
matière civile, était souhaité car il n'est jamais sain de laisser pendant un
trop long temps les procès en attente, d'autant que le délai pour prescrire ne
court qu'à compter du jour où la faute a produit ses conséquences dommageables,
ce qui peut arriver à une date relativement éloignée de celle où la faute a
été commise.
·
Lorsqu’une instance a été
introduite avant l’entrée en vigueur de la loi, l’action est poursuivie et
jugée conformément à la loi ancienne ; cette loi ancienne s’applique
également en appel et en cassation. Cette solution résulte de la jurisprudence
de la Cour européenne : dès l’instant qu’un juge est saisi d’une demande, le
demandeur bénéficie d’une espérance légitime d’obtenir que le juge se prononce,
et une loi nouvelle ne peut pas supprimer cette espérance légitime sans
méconnaître l’équité du procès et le droit au respect des biens. La sécurité
juridique entraîne une cristallisation de la situation juridique lors de la
formation de la demande. En conséquence, dès lors qu’une instance a été
introduite, aucune modification n’affecte la durée de la prescription.
La responsabilité délictuelle également appelée
Responsabilité extra-contractuelle ou quasi-délictuelle.
La responsabilité
délictuelle, ou aquilienne, également
appelée responsabilité extra-contractuelle ou quasi-délictuelle,
est, avec la responsabilité contractuelle, une des
deux parties de la responsabilité civile. Cette matière est
essentiellement régie par les articles 1382
à 1386
du code civil. Chacun de ces articles précise dans
quel cadre la responsabilité civile peut être mise en cause. Par exemple, dans
le cadre de l'article 1382, il est indiqué que chaque personne qui est à
l'origine d'un préjudice causé à quelqu'un se doit de réparer ce dernier. Chaque fois la notion de faute est
sous-jacente. 1
Le
principe qui régit la responsabilité extracontractuelle est la faute.
Est responsable d'un dommage celui par la faute duquel il est arrivé. Actuellement
se développe la responsabilité sans faute. C'est pourquoi le terme de
responsabilité extra contractuelle convient mieux maintenant que le terme de
responsabilité délictuelle.
Pour
mettre en œuvre la responsabilité extra contractuelle il faut un dommage
(Le préjudice peut être matériel, physique ou moral. Le dommage doit être
quantifiable. Les juges refuseront d'indemniser un préjudice dont le montant
n'est pas chiffré), un fait générateur de responsabilité
(ou faute, c’est-à-dire un non-respect de la loi ou bien un comportement que
n'aurait pas eu une personne normalement prudente et diligente placée dans les
mêmes circonstances) et un lien de causalité (la faute
doit être la cause, même non exclusive, du dommage).
La
réunion de ces trois éléments (faute, dommage, lien) crée dans le chef de celui
qui a commis la faute l'obligation d'indemniser. L'indemnisation sera
strictement proportionnelle au préjudice allégué et retenu.
III / Sur
l’absence de prescription de l’action publique.
Les différents
actes effectués interrompant la prescription.
Ou situations
de droit privant de mettre l’action publique en mouvement.
I / Plainte en date du 20 mai 2007 constitution de partie civile devant le juge d’instruction du T.G.I de
Toulouse.
·
Obstacle au juge alors que Monsieur LABORIE venait
de se retrouver victime, mis en détention arbitraire, sans aucun revenus et fixant
une consignation à la somme de 2000 euros. ( ci
jointe ordonnance du 20 décembre 2007 )
·
Personne
concernée : Madame
D’ARAUJO épouse BABILE et autres.
***
II / Plainte
en date du 1er avril 2008 pour
violation de notre domicile, vol de tous nos meubles et objets par faux et
usage de faux « ordonnance rendue par Madame CARRASSOU
en date du 1er juin 2007 obtenue par la fraude » alors
que Monsieur et Madame LABORIE étaient toujours les propriétaires. ( Ci-joint plainte ).
·
Personnes
concernées :
Madame D’ARAUJO épouse BABILE et la SCP D’huissiers GARRIGUES et BALLUTEAUD et
Madame CARRASSOU Aude.
***
III / Plainte
en date du 18 avril 2008, suite à la découverte sur un
état hypothécaire du 8 avril 2008 de différents actes de ventes entre les
parties concernées, effectués pendant la détention arbitraire sans en avoir été
porté à notre connaissance et alors que Monsieur et Madame LABORIE étaient
toujours les propriétaires de l’immeuble au N° 2 rue de la forge 31650 Saint Orens. ( ci-joint plainte )
·
Personnes
concernées : Madame
D’ARAUJO épouse BABILE et la SARL LTMDB représentée par Monsieur TEULE Laurent
et Maître CHARRAS Notaire.
***
IV /
Plainte en date du 21 juillet 2008 : Pour
faux et usages de faux intellectuels faux en écriture publique. ( ci-joint plainte )
Personnes concernées :
·
Madame D’ARAUJO épouse BABILE
·
SARL LTMDB représentée par
Monsieur TEULE Laurent.
·
Maître CHARRAS Jean Luc Notaire.
·
La SCP d’huissiers GARRIGUES et
BALLUTEAUD.
·
Madame CARRASSOU Aude.
Les
pièces jointes à la plainte du 21 juillet 2008 :
A / Procès-verbal d’inscription de faux
intellectuels contre un jugement de subrogation rendu le 29 juin 2006 N0
enregistrement : 08/00026 au greffe du T.G.I de Toulouse le 08 juillet
2008. " Motivations "
**
B / Procès-verbal d’inscription de faux intellectuels contre deux actes notariés du 5
avril 2007 et du 6 juin 2007 N°
enregistrement : 08/00027 au greffe du T.G.I de Toulouse le 8 juillet
2008. " Motivations "
**
C / Procès-verbal d’inscription
de faux intellectuels contre une ordonnance rendu le 1er juin
2007 N° enregistrement : 08/00028 au greffe du T.G.I de Toulouse
le 16 juillet 2008. " Motivations "
Aucune
contestation n’a été soulevée des parties.
**
D / Procès-verbal d’inscription
de faux intellectuels contre tous les actes effectués par la SCP
GARRIGUES et BALUTEAUD huissiers de justice N° enregistrement :
08/00029 au greffe du T.G.I de Toulouse le 23 juillet 2008. " Motivations "
Aucune
contestation n’a été soulevée des parties.
**
Les conséquences du faux en écritures publiques ou intellectuels
déclarés en faux en principal.
Il faut qu'il soit dénoncé au procureur de la
république. article 303 du ncpc
Il faut qu’il soit dénoncé aux parties pour leur
permettre de le contester dans le mois de la dénonce.
Article
1319 du code civil. En cas de faux principal l'acte est suspendu plus
aucune valeur authentique pour faire valoir un droit.
Dans le cas où le faux en principal a déjà été consommé par le
défendeur et ses bénéficiaires,
·
L'article 314 du code de
procédure civile ne peut être appliqué:
Qu'en l'absence de contestation par le défendeur qui
a pris connaissance du procès-verbal d'inscription de faux.
L'infraction est caractérisée: Réprimée par l'article
441-4 du code pénal.
Qu'en conséquence :
Aucune des inscriptions en faux intellectuel,
faux en écritures publiques ne pouvait faire valoir un quelconque droit.
***
V /
Plainte en date du 28 juillet 2008 : Pour faux
et usage de faux. ( ci-joint plainte )
· Dans
l’affaire TEULE Laurent : Soit à l’encontre la SCP d’avocats : CATUGIER, DUSAN,
BOURRASSET.
***
VI /
Plainte du 1er septembre 2008 au
parquet de Toulouse pour savoir des suites des inscriptions en faux principal
contre les auteurs. ( ci-joint plainte )
***
VII /
Plainte en date du 1er septembre 2008 : Adressée au T.G.I de PARIS en son
doyens des juges d’instruction. ( ci jointe plainte )
·
I / Plainte
contre X et pour atteinte à ma liberté individuelle
·
II / Détournement
de notre résidence principale par faux et usage de faux intellectuels pendant
la détention arbitraire.
·
III / Violation
de notre domicile par une expulsion irrégulière le 27 mars 2008 et par l’usage
de faux intellectuels
·
IV / Les
différents préjudices subis par Monsieur et Madame LABORIE, sa famille.
Soit les personnes concernées dans le
chapitre II et chapitres III.
Madame
D’ARAUJO épouse BABILE Suzette.
Madame CARRASSOU Aude.
SARL LTMDB représenté par son gérant Monsieur TEULE Laurent.
Monsieur TEULE Laurent.
ET AUTRES…….
***
VII /
Plainte contre X en date du 11 juin 2009 devant le
doyen des juges d’instruction de Toulouse. Obstacle consignation et réquisition
du parquet. ( Ci-joint plainte )
Dont pour des
faits concernant
Madame
D’ARAUJO épouse BABILE Suzette.
Madame CARRASSOU Aude.
SARL LTMDB représenté par son gérant
Monsieur TEULE Laurent.
Monsieur TEULE Laurent.
ET AUTRES…….
***
VIII / Plainte
en date du 14 octobre 2009 au parquet de Toulouse: Contre
Monsieur TEULE Laurent et Madame D’ARAUJO épouse BABILE, SARL LTMDB. ( ci-joint plainte )
·
Appropriation
frauduleuse notre propriété. Fait
réprimé par les articles 314-1 à 314-4 et 311-12 du code pénal
·
Escroquerie au
jugement, abus de confiance. Faits
réprimés par les articles 313-1 à 313-3 et 311-12 du code pénal.
·
Violation de
notre domicile par expulsion irrégulière. Fait réprimé par les articles 432-8 du code pénal.
·
Faux et usage
de faux pour obtenir des décisions juridictionnelles favorables. Fait réprimé par les articles 441-1 ;
441-2 ; 441-4 ; 441-5 ; 441-6 du code pénal.
·
Vol. Fait réprimé par les articles 311-1 à 311-11 du code
pénal
·
Atteinte à
l’action de la justice : Fait
réprimé par l’article 434-4 du code pénal.
***
IX / Plainte a été déposée le 13
novembre 2009 : Sur le fondement
de l’article 40-3 et 36 du cpp prés Monsieur le
Procureur Génral DAVOST.
· Concernant : La plainte du 14 octobre 2009. ( ci-joint plainte )
***
X / Plainte a été déposée le 7
février 2010 : adressée au
doyen des juges de Toulouse et contre : ( ci-joint plainte )
·
Madame
D’ARAUJO épouse BABILE demeurant au
51 chemin des Carmes 31400 Toulouse, né le 21 avril 1928 à FUMEL 47500
·
Monsieur
Laurent TEULE né le 16 juillet 1981 à
Toulouse (31) demeurant sans droit ni titre régulier) au domicile de Monsieur
et Madame LABORIE, au N° 2 rue de la Forge 31650 Saint Orens.
·
La SARL LTMDB, société à responsabilité limitée au capital de 2000
euros enregistré au RCS de Toulouse N° 494254956 dont le siège est à Saint Orens au N° 2 rue de la Forge 31650 Saint Orens ( occupant
sans droit ni titre régulier) le domicile de Monsieur et Madame
LABORIE, au N° 2 rue de la Forge 31650 Saint Orens.
·
Maître CHARRAS Jean Luc Notaire associé 8 rue LABEDA 31000 TOULOUSE
***
XI / Plainte en date du 14
octobre 2009 : En complément de
celle au parquet de Toulouse. ( ci-joint plainte )
***
XII / Plainte contre X en date du 20 avril 2010 : adressée à la Brigade financière de Toulouse. ( ci-joint plainte
)
Madame
D’ARAUJO épouse BABILE Suzette.
Madame CARRASSOU Aude.
SARL LTMDB représenté par son gérant
Monsieur TEULE Laurent.
Monsieur TEULE Laurent.
ET AUTRES…….
***
XIII / Plainte en date du 27 mai 2010 adressée parquet de Toulouse. ( Ci-joint plainte
)
·
Recel : de vente de notre propriété par Monsieur TEULE
Laurent gérant de la SARL LTMDB et pour son propre compte en date du 22
septembre 2009.
·
Faits réprimés par les articles 314-1 à 314-4 et 311-12 du code pénal.
·
Faits réprimés par Art. L. 241-3. du code de commerce
***
XIV / Plainte en date du 13 août 2010 : adressée au parquet de Toulouse. ( ci-joint plainte).
· A l’encontre de la SCP d’huissiers VALES ; GAUTIE, PELISSOU, 2
avenue Jean Rieux à Toulouse 31506 Toulouse Cedex.
·
Pour abus de confiance Aggravé.
·
Faits réprimés par le code pénal en ses
articles : Article 314-1 ; Article 314-2 ; Article 314-3 ; Article 314-4 ; Article 132-16
·
Pour Escroquerie aggravée.
·
Faits réprimés par le code pénal en ses
articles : Article 313-1 ; Article 313-2 ; Article 313-3 ; Article 132-16
·
Pour faux et usage de faux en écritures
publiques
·
Faits réprimés par le code pénal en ses articles : Article 313-1 ; Article 441-1
· A l’encontre de Monsieur Laurent TEULE né le 16
juillet 1981 à Toulouse (31) demeurant sans droit ni titre régulier) au
domicile de Monsieur et Madame LABORIE, au N° 2 rue de la Forge 31650 Saint Orens.
· Pour complicité et recel des faits poursuivis à l’encontre de la SCP
d’huissiers VALES ; GAUTIE ; PELISSOU en la saisie attribution du 12
mai 2009.
***
XV / Plainte en date du 3 septembre 2010 : adressée au doyen des juges au T.G.I de Toulouse. ( Ci-joint plainte).
· Recel de faux et usage de faux par la SCP d’huissiers VALES ;
GAUTIE ; PELISSOU et à la demande de Monsieur TEULE Laurent
***
XVI / Plainte contre X parquet de PARIS en date du 22 décembre 2010. ( ci-joint plainte )
· Faisant suite aux précédentes devant le Doyen des Juges
au T.G.I de Paris : rappel 2004 / 2007
/ 2008.
Plainte au T.G.I de PARIS au vu des obstacles
systématiques aux différentes plaintes déposées autant au parquet que devant le
juge d’instruction sur la juridiction toulousaine.
Plainte contre X
avec personnes nommées qui ont participé.
· A la
détention arbitraire de Monsieur LABORIE André du 14 février 2006 au 14
septembre 2007.
·
A la tentative de spoliation de
notre propriété.
·
A la violation de notre domicile.
·
A l’occupation sans droit ni
titre de notre immeuble
·
Au vol de tous nos meubles et
objets meublant notre domicile en date du 27 mars 2008.
·
Aux différents obstacles depuis
2005 à ne pouvoir saisir un juge, un tribunal.
Procédure
en cours : Aide juridictionnelle totale, 100 euros de consignation. Avec l’aide
juridictionnelle totale.
· 1er
audience de la partie civile soit ma personne le 16 novembre 2012.
Dossier : N° Instruction : 20/11/109.
Dossier : N° Parquet : P 11.040.2305/7.
***
XVII / Plainte en date du 19 avril 2011 : Adressée parquet de Toulouse. ( ci-joint plainte )
Plainte contre la SCP D’huissiers
GARRIGUES ET BALUTEAUD.
Complicité de Maître BOURRASSET jean Charles avocat.
Violation de notre domicile par recel et mise en
exécution de l’ordonnance du 1er juin 2007 et obtenue par la fraude.
Fait réprimé par les articles 432-8 du code pénal.
Faux et usage de faux en écritures publiques
Fait réprimé par les articles 441-1 ;
441-2 ; 441-4 ; 441-5 ; 441-6 du code pénal.
Vol de tous nos meubles et objets.
Fait réprimé par les articles 311-1 à 311-11 du code
pénal
Harcèlement
moral :
Faits
réprimés par les articles 222-33-2 et
suivants.
Complicité :
Faits réprimés par l’article 121-7 du code pénal
Soit le recel de Monsieur TEULE Laurent
***
XVIII / Plainte contre X en date du 24 juin 2011 : adressée au parquet de Toulouse. ( ci-joint plainte
)
Plainte pour occupation sans
droit ni titre de notre propriété, de notre domicile situé au N° 2 rue de la
Forge 31650 et suite à la violation de notre domicile en date du 27 mars 2008
par une expulsion artificielle par faux et usage de faux alors que nous étions
et sommes toujours propriétaires.
***
XIX / Plainte contre X en date du 24 août 2011 adressée au parquet de Toulouse. ( ci-joint plainte
)
Demande des suites à donner à des faits qui sont réprimés de peines
criminelle dont les inscriptions de faux en principal suivantes :
·
En date du 30
juillet 2008 dénoncé à Monsieur VALET Michel en sa personne Procureur de la
République et concernant un procès verbal d’inscription de faux enregistré au
greffe du T.G.I de Toulouse le 8 juillet 2008 sous la référence N° 08/00026 et
contre un jugement de subrogation rendu le 29 juin 2006 par Monsieur CAVE
Michel.
·
En date du 30
juillet 2008 dénoncé à Monsieur VALET Michel en sa personne Procureur de la
République et concernant un procès verbal d’inscription de faux enregistré au
greffe du T.G.I de Toulouse le 16 juillet 2008 sous la référence N° 08/00028 et
contre une ordonnance d’expulsion rendue le 1er juin 2007 par Madame
CARASSOU Aude
·
En date du 30 juillet
2008 dénoncé à Monsieur VALET Michel en sa personne Procureur de la République
et concernant un procès verbal d’inscription de faux enregistré au greffe du
T.G.I de Toulouse le 23 juillet 2008 sous la référence N° 08/00029 et contre
des actes de la SCP d’huissiers GARRIGUES & BALUTEAUD à Toulouse.
·
En date du 30
juillet 2008 dénoncé à Monsieur VALET Michel en sa personne Procureur de la
République et concernant un procès verbal d’inscription de faux enregistré au
greffe du T.G.I de Toulouse le 8 juillet 2008 sous la référence N° 08/00027 et
contre des actes notariés de Maître CHARRAS jean Luc Notaire à Toulouse
effectués en date du 5 avril et 6 juin 2007.
·
En date du 24 août
2010 dénoncé à Monsieur GARRIGUES Hervé en sa personne, Procureur de la
république adjoint et concernant un procès verbal d’inscription de faux enregistré au
greffe du T.G.I de Toulouse le 9 août 2010 sous la référence N° 22/2010 et
contre un acte notarié de Maître CHARRAS Jean Luc Notaire à Toulouse effectué
en date du 22 septembre 2009.
Dont Monsieur TEULE Laurent recèle
pour occuper sans droit ni titre la propriété de Monsieur et Madame LABORIE
située toujours au N° 2 rue de la forge 31650 Saint Orens.
***
XX / Plainte en date du 13 juin 2012 adressées au parquet de Toulouse et suite à de nouveaux faux en
écritures publiques et intellectuels enregistrés au T.G.I de Toulouse et
dénoncés aux partie ainsi qu’à Monsieur le Procureur de la république valant
faux en principal. ( ci-joint plainte )
·
Dont rappel de
quelques précédents inscriptions de faux en principal dont sont auteurs et
complices ainsi que receleurs les personnes suivantes :
-
Madame D’ARAUJO épouse BABILE
Suzette.
-
Madame CARRASSOU Aude.
-
SARL LTMDB représenté par son
gérant Monsieur TEULE Laurent.
-
Monsieur TEULE Laurent.
ET AUTRES…….
Et pour les inscriptions en faux en principal a ne pas ignorer :
·
I / Procès-verbal
d’inscription de faux intellectuels contre
un jugement de subrogation rendu le 29 juin 2006 N0 enregistrement :
08/00026 au greffe du T.G.I de Toulouse le 08 juillet 2008.
·
II / Procès-verbal
d’inscription de faux intellectuel contre l’arrêt du 21 mai 2007 et les arrêts
en recours en révision N° enregistrement : 12/00022 au greffe du T.G.I de
Toulouse le 30 mai 2012.
·
III / Procès-verbal
d’inscription de faux intellectuels contre
une ordonnance rendu le 1er juin 2007 N° enregistrement :
08/00028 au greffe du T.G.I de Toulouse le 16 juillet 2008.
·
IV / Procès-verbal
d’inscription de faux intellectuels contre
tous les actes effectués par la SCP GARRIGUES et BALUTEAUD huissiers de justice
N° enregistrement : 08/00029 au greffe du T.G.I de Toulouse le 23 juillet
2008.
·
V / Procès-verbal
d’inscription de faux intellectuel contre l’arrêt
du 21 mai 2007 et les arrêts en recours
en révision N° enregistrement : 12/00022 au greffe du T.G.I de
Toulouse le 30 mai 2012.
·
VI / Procès-verbal
d’inscription de faux intellectuels contre
deux actes notariés du 5 avril 2007 et du 6 juin 2007 N°
enregistrement : 08/00027 au greffe du T.G.I de Toulouse le 8 juillet
2008.
·
VII / Procès-verbal
d’inscription de faux intellectuels contre
actes notariés du 22 septembre 2009 N° enregistrement : 22/2010 au
greffe du T.G.I de Toulouse le 9 août 2010
·
VIII / Procès-verbal
d’inscription de faux intellectuel contre différents jugement en matière de
mesures provisoires N° enregistrement : 12/00020 au greffe du T.G.I de
Toulouse le 2 mai 2012.
·
IX / Procès-verbal
d’inscription de faux intellectuel contre jugement d’expulsion irrégulière N°
enregistrement : 12/00023 au greffe du T.G.I de Toulouse le 30 mai 2012.
·
X / Procès-verbal
d’inscription de faux intellectuel contre différents jugement saisies
attribution N° enregistrement : 12/00023 au greffe du T.G.I de Toulouse le 30 mai 2012.
·
XI / Procès-verbal
d’inscription de faux intellectuel contre ordonnance du 11 décembre 2008 N°
enregistrement : 12/00023 au greffe du T.G.I de Toulouse le 30 mai 2012.
Dans l’attente d’intervention urgente à faire cesser
ce trouble manifestement grave et illicite « trouble à l’ordre public »
soit de l’occupation sans droit ni titre régulier de notre propriété située au
N° 2 rue de la forge 31650 Saint Orens « violation
de notre domicile depuis le 27 mars 2008 ».
***
XXI / Plainte en date du 28 juillet
2012 contre X adressée au parquet de Toulouse. ( ci-joint plainte )
·
Avec auteurs connus
dans chacun des actes inscrits en faux en écritures publiques, faux
intellectuels.
·
Saisine du parquet sur le fondement de
l’article 40-2 du code de procédure pénale.
Faits réprimés par les articles 441-4 et suivants du
code pénal, aux préjudices de Monsieur et Madame LABORIE et à l’institution
judicaire.
Et
pour avoir pris ou participé à des mesures destinées à faire échec à
l'exécution de la loi : faits réprimés par les articles 432-1 et 432-2 du
code pénal, aux préjudices de Monsieur et Madame LABORIE et à l’institution judicaire.
Les inscriptions de faux en principal suivantes :
·
I / Procès verbal d’inscription de faux intellectuels contre
un jugement de subrogation rendu le 29 juin 2006 N0 enregistrement :
08/00026 au greffe du T.G.I de Toulouse le 08 juillet 2008. " Motivations
"
Dénonce
par huissier de justice aux différentes parties et enrôlé au greffe.
·
II / Procès verbal d’inscription de faux intellectuels contre
une ordonnance rendu le 1er juin 2007 N° enregistrement :
08/00028 au greffe du T.G.I de Toulouse le 16 juillet 2008. " Motivations
"
Dénonce
par huissier de justice aux différentes parties et enrôlé au greffe.
·
III / Procès verbal d’inscription de faux intellectuels contre
deux actes notariés du 5 avril 2007 et du 6 juin 2007 N° enregistrement :
08/00027 au greffe du T.G.I de Toulouse le 8 juillet 2008. " Motivations
"
Dénonce
par huissier de justice aux différentes parties et enrôlé au greffe.
·
IV / Procès verbal d’inscription de faux intellectuels contre
tous les actes effectués par la SCP GARRIGUES et BALUTEAUD huissiers de justice
N° enregistrement : 08/00029 au greffe du T.G.I de Toulouse le 23 juillet 2008.
" Motivations
"
Dénonce
par huissier de justice aux différentes parties et enrôlé au greffe.
·
V / Procès verbal d'inscription de faux intellectuels contre un
arrêt rendu par la cour de cassation le 4 octobre 2000, enregistré le 21
janvier 2009 au greffe du T.G.I de Toulouse N° 09/00002 " Motivations
"
Dénonce
par huissier de justice aux différentes parties et enrôlé au greffe.
·
VI / Procès
verbal d'inscription de faux intellectuels contre un acte hypothécaire
du 2 mars 1992, enregistré le 21 janvier 2009 au greffe du T.G.I de Toulouse
N° 09/00001 " Motivations
"
Dénonce
par huissier de justice aux différentes parties et enrôlé au greffe.
·
VII / Procès verbal d’inscription de faux intellectuels contre
un acte notariés du 22 septembre 2009 N° enregistrement : 22/2010 au greffe
du T.G.I de Toulouse le 9 août 2010. " Motivations
"
Dénonce
par huissier de justice aux différentes parties et enrôlé au greffe.
·
VIII / Procès verbal d’inscription de faux intellectuels contre différentes ordonnances de
référés en matière de mesures provisoires N° enregistrement : 12/00020 au
greffe du T.G.I de Toulouse le 2 mai 2012. " Motivations
"
Dénonce
par huissier de justice aux différentes parties et enrôlé au greffe.
·
IX / Procès verbal d’inscription de faux intellectuels dans différents dossiers et contre
différents jugements rendus par le juge de l’exécution N° enregistrement :
12/00023 au greffe du T.G.I de Toulouse le 30 mai 2012. " Motivations
"
Dénonce
par huissier de justice aux différentes parties et enrôlé au greffe.
·
X / Procès verbal d’inscription de faux intellectuels contre plusieurs arrêt rendus par la
cour d’appel de Toulouse. N° enregistrement : 12/00022 au greffe du T.G.I de
Toulouse le 30 mai 2012. " Motivations
"
Dénonce
par huissier de justice aux différentes parties et enrôlé au greffe.
·
XI / Procès
verbal d’inscription de faux intellectuels contre un jugement du 15 septembre
2011 N° enregistrement 12/00012 au greffe du T.G.I de toulouse
le 28 mars 2012. " Motivations
"
Dénonce
par huissier de justice aux différentes parties et enrôlé au greffe.
·
XII / Procès
verbal d'inscription de faux intellectuels contre plusieurs actes
concernant un permis de conduire. N° enregistrement N°12/00028 au greffe du
T.G.I de Toulouse le 11 juillet 2012. " Motivations
"
Dénonce
par huissier de justice aux différentes parties et enrôlé au greffe.
·
XIII / Procès verbal d'inscription de faux intellectuels contre
différentes publications effectuées à la conservation des hypothèques de
Toulouse, N° enregistrement N° 12/00029 au greffe du T.G.I de Toulouse le 25
juillet 2012 " Motivations".
Dénonce
par huissier de justice aux différentes parties et qui sera enrôlé au greffe
Saisine du parquet sur
le fondement de l’article 40-2 du code de procédure pénale.
***
XXII /
Plainte en date du 28 septembre 2012 adressée
au parquet de Toulouse. ( ci-joint plainte )
Objet :
·
Plainte pour délit
de flagrance de violation de domicile.
·
Usurpation
d’adresse.
A l’encontre de Monsieur TEULE Laurent et suite à la
décision rendue par la préfecture de la HG en date du 24 septembre 2012
ordonnant au colonel de gendarmerie de midi Pyrénées l’expulsion immédiate de
Monsieur TEULE Laurent et de tous les occupant de la propriété de Monsieur et
Madame LABORIE Toujours établie.
***
XXIII /
Plainte en date du 16 octobre 2012 adressée
au parquet de Toulouse. ( ci joint plainte )
·
Objet : Rappel du 28 juillet 2012 et autres…
·
Plainte en faux principal contre X : Avec auteurs connus dans chacun des actes
inscrits en faux en écritures publiques, faux intellectuels.
· Saisine du parquet sur le fondement de l’article 40-2 du code de procédure
pénale.
***
XXIV / Plainte en date du 13 novembre 2012 adressée au parquet de Toulouse. ( ci-joint plainte )
·
Objet :
·
Rappel plainte du 28
juillet 2012 et précédentes.
·
Rappel plainte du 16
octobre 2012.
·
Nouvelle plainte en faux principal contre X : Avec auteurs connus dans chacun des actes
inscrits en faux en écritures publiques, faux intellectuels.
·
Saisine du parquet sur le fondement de
l’article 40-2 du code de procédure pénale.
***
XXV / Plainte en date du 10 janvier 2013 adressée au parquet de Toulouse. ( ci-joint plainte )
·
Objet : Saisine du parquet sur le fondement de l’article 40-2 du code de
procédure pénale.
·
Rappel plainte du 28
juillet 2012 et précédentes. « restée sans réponse »
·
Rappel plainte du 16
octobre 2012. « restée sans réponse »
·
Rappel plainte du 13
novembre 2012. « restée sans réponse »
·
Soit plainte en faux principal contre X : Avec auteurs connus dans chacun des actes
inscrits en faux en écritures publiques, faux intellectuels.
***
XXV / Plainte en date du 3 février 2013 adressée au parquet de Toulouse ( ci-joint plainte )
·
OBJET :
Plainte contre X : Vol de tous nos meubles et objets le 28 mars 2008 et
recel à ce jour, ils ont disparus.
·
Maître BOURRASSET jean Charles avocat « Conseil de Madame
D’ARAUJO épouse BABILE et de Monsieur TEULE Laurent »
·
La SCP
d’huissiers GARRIGUES ET BALUTEAUD.
·
Monsieur Claude
HERNANDEZ 18 allées du Clos de la tuilerie 31470 Saint LYS.
·
Monsieur Sylvain
DUCROCQ SARL T.D.V.E 4 rue Soyouz ZA Montredon 31240 L’UNION
Dont le mandataire est Monsieur TEULE
Laurent ayant directement agi auprès de la SCP d’huissiers de justice et comme
l’indique par un courrier Maître Jean Charles BOURRASSET avocat.
***
XXVI / Plainte en date du 9 mars 2013 adressée au parquet de Toulouse ( ci-joint plainte )
·
Rappel du 10 janvier 2013 et précédentes
saisines.
·
Objet : Saisine du parquet sur le fondement de l’article 40-2 du code de
procédure pénale.
·
Soit plainte en faux principal contre X : Avec auteurs connus dans chacun des actes
inscrits en faux en écritures publiques, faux intellectuels.
***
XXVII / Plainte en date du 13 mars 2013 adressée parquet de Toulouse ( ci-joint plainte )
·
OBJET :
Plainte contre X : Vol de tous nos meubles et objets le 28 mars 2008 et
recel à ce jour, ils ont disparus.
·
Sur le fondement de l’article 40-2
du code de procédure pénale, je vous prie de m’indiquer les poursuites ou les
mesures alternatives qui seront prises contre les auteurs et complices.
· « signée en son accusé de réception en date du
7 février 2013 ».
· Soit le recel de la décision
du 1er juin 2007 prise par Madame CARRASSOU Aude.
***
XXVIII
/ Plainte en date du 19 mars 2013 adressée au parquet de Toulouse. ( Ci-joint
plainte )
· Objet : Plainte
contre X :
· Trafic d’influence, corruption active, passive :
Dont sont
impliqué :
Monsieur TEULE
Laurent
Maître
BOURRASSET Jean Charles Avocat
La préfecture
de la Haute Garonne contre X
Monsieur de
Saint- Exupéry de Castillon juge des référés au T.A de Toulouse
***
IV MONSIEUR TEULE LAURENT RECIDIVE
DANS CES ACTES.
An complicité de Maître BOURRASSET
Avocat.
Profitant des autorités
administratives et judiciaires qui se refuse de faire
cesser différents troubles à l’ordre public.
XXIX / Plainte en date du 17 octobre 2013 adressée directement à Monsieur VALLS ministre de l’intérieur. ( ci-joint plainte
)
· Objet : Plainte Contre X Escroquerie, abus de confiance.
· « Nouvelles victimes de Monsieur TEULE
Laurent en complicité de son conseil
Monsieur Jean Charles BOURRASSET Avocat »
***
XXX / Plainte du 19 octobre 2013 adressée à Madame Monique OLLIVIER Procureure Générale près la cour
d’appel de Toulouse.
Objet : Saisine du Parquet Général près la cour d’appel de Toulouse
·
Communication plainte
adressée à Monsieur VALLS Ministre de l’Intérieur.
Plainte
Contre X :
Escroquerie, abus de confiance.
«
Nouvelles
victimes de Monsieur TEULE Laurent
en complicité de son conseil Monsieur Jean Charles BOURRASSET Avocat
»
·
Plainte pour flagrance de voie de fait « A l’encontre des nouveaux occupants sans
droit ni titre régulier ».
***
V / LES CONSEQUENCES
La cour d’appel de Toulouse ne peut
dire qu’il y a prescription de l’action publique et de l’action civile pour les
faits poursuivis contre les auteurs .
Qu’il
ne peut donc exister de prescription de l’action publique.
· Monsieur LABORIE André ne peut être le responsable des obstacles
volontaires et des entraves à l’accès à un juge et à un tribunal.
Soit à l’encontre :
L’action publique est éteinte seulement pour Madame
D’ARAUJO épouse BABILE décédée depuis février 2012.
Qu’il
ne peut aussi donc exister de prescription de l’action civile.
L’action civile est toujours présente pour Madame
D’ARAUJO épouse BABILE à la charge de ses héritiers vu qu’elle est décédée
depuis février 2012.
V / Qu’au vu des différentes entraves aux
plaintes ci-dessus.
Soit la
flagrance même qui ne peut être ignorée.
Le T.G.I de
Toulouse a été saisie régulièrement par voie de citation.
Les parties à
comparaitre devant la chambre correctionnelle
Pour l’audience
du 15 décembre 2010.
Soit les parties
suivantes :
·
Madame
Aude CARASSOU juge au
Tribunal de Grande Instance de Toulouse 40 Avenue Camille PUJOL 31506 TOULOUSE Cedex 5.
·
Madame
D’ARAUJO épouse BABILE demeurant au
51 chemin des Carmes 31400 Toulouse, né le 21 avril 1928 à FUMEL 47500
Pour qu’il
soit condamné conformément à la loi pour des faits qui ne sont pas prescrits.
Et pour
obtenir réparation des dommages causés sur le plan civil à l’encontre de toutes
les parties.
Et comme demandé dans la citation par voie d’action
régulièrement introduite devant le tribunal pour son audience du 15 décembre
2011
Soit en
son audience du 27 février 2012
· Qu’au vu
du déroulement de celle-ci un jugement a été rendu le 8 mars 2012.
VI / Sur
l’auteur de la décision du 8 mars 2012
Rendue par le
T.G.I de Toulouse.
Nous somme toujours avec le même magistrat
Monsieur ROUSSEL Guillaume qui fait encore une fois entrave à ce que les causes
soient entendues.
( Ci-joint plainte du 13 mars 2012 adressée à Monsieur VONAU
Dominique )
Monsieur Guillaume ROUSSEL ne pouvait statuer
car une procédure était en cours devant Monsieur le Premier Président près la
cour d’appel de Toulouse.
Et il ne pouvait statuer sans que soit pris
en considération par un autre magistrat :
Soit ces pièces, ont été remises à l’audience du 8 mars 2012, datées
et signées du greffier. Greffier de l’audience, avec date de réception et
signatures.
Que Monsieur ROUSSEL Guillaume devait se faire remplacer par un
autre magistrat.
Qu’un autre Magistrat se devait d’ouvrir les débats sur la requête
en demande de dépaysement. « d’ordre
public »
La cour de cassation
indique en son arrêt du 29 mars 1995 : N° 94-82.320.
· Selon l’article 386 du
code de procédure pénale, l’exception préjudicielle doit être présentée avant
toute défense au fond.
La cour de cassation
indique en son arrêt du 26 mars 1997 : N° 96-83.477.
· Encourt la censure le
jugement qui dit irrecevables, en application des articles 385 et 386 du code
de procédure pénale, les conclusions du prévenu déposées avant
l’audience et visées par le greffier pour n’avoir pas été développées oralement
avant les réquisitions du ministère public.
La cour de cassation
indique dans son arrêt au vu des articles 385 et 386 du code de procédure
pénale :
· Attendu que selon les
textes le tribunal doit statuer sur les exceptions que le prévenu lui soumet
dans des conclusions régulièrement déposées avant toute défense au fond.
Soit la violation des règles de droit par « discrimination-
partialité » devant le T.G.I de Toulouse est flagrante, obstacles
permanents dans les dossiers de Monsieur LABORIE André.
Le tribunal s’est refusé de statuer sur ces exceptions de droit.
·
Soit encore une fois la nullité du jugement du 8 mars 2012
est nul de plein droit.
Soit la décision « dont appel »
rendue en date du 8 mars 2012 par Monsieur Guillaume ROUSSEL suit les mêmes
obstacles que dans les précédents dossiers et pour que les
faits poursuivis contre les auteurs ne soient pas entendus devant un tribunal
impartial.
· Décision du 8
mars 2012 constitutif d’un faux
intellectuel
Que ce jugement a fait l’objet d’un appel en
date du 8 mars 2012 le même jour et au vu que ce magistrat se refusait d’ouvrir
les débat sur les conclusions régulièrement déposées avant l’audience datées et
signée de la greffière et faxées la veille.
· Que ce jugement du 8 mars 2012 n’a jamais été remis à
Monsieur LABORIE André.
Qu’aucune
consignation n’a été ordonnée par le T.G.I.
·
Que Monsieur LABORIE André est
au RSA et que le BAJ de Toulouse n’est pas venu en aide alors qu’au vu du
revenu de solidarité « l’aide juridictionnelle est obligatoire »
empêchant Monsieur LABORIE André d’être défendu par un avocat à ce titre pour
que sa cause soit entendue équitablement.
Qu’il ne peut donc exister de nullité de la citation par
voie d’action délivrée à la demande de monsieur LABORIE André au motif que la
consignation n’a pas été versée.
Le défaut de
versement de consignation par la partie civile poursuivante n'est pas une cause
d'irrecevabilité de la citation directe délivrée à sa requête lorsque le
tribunal a omis d'en fixer le montant et le délai de versement. Crim. 29 avr. 2003: Bull. crim.
n° 90; D. 2003. IR 1601 ; JCP 2003. IV. 2173.
VII / Qui a mis
l’action publique en mouvement à l’encontre des parties.
Le droit d’appel de l’action publique et civile par
Monsieur LABORIE André.
Et sur le jugement du 8 mars 2012.
Qu’il est rappelé à la cour que c’est
Monsieur LABORIE André, partie civile principale qui a pris l’initiative de
faire délivrer par voie d’action en date du 24 septembre 2010, une citation à
comparaitre des personnes ci-dessous et devant
la juridiction correctionnelle de
Toulouse en son audience du 15 décembre 2010.
Soit :
·
Madame Aude
CARASSOU juge au Tribunal de Grande
Instance de Toulouse 40 Avenue Camille PUJOL
31506 TOULOUSE Cedex 5.
·
Madame
D’ARAUJO épouse BABILE demeurant au
51 chemin des Carmes 31400 Toulouse, né le 21 avril 1928 à FUMEL 47500
·
Monsieur
Laurent TEULE né le 16 juillet 1981 à
Toulouse (31) demeurant sans droit ni titre régulier) au domicile de Monsieur
et Madame LABORIE, au N° 2 rue de la Forge 31650 Saint Orens.
· La SARL LTMDB,
société à responsabilité limitée au capital de 2000 euros enregistré au RCS de
Toulouse N° 494254956 dont le siège est à Saint Orens
au N° 2 rue de la Forge 31650 Saint Orens (occupant
sans droit ni titre régulier) le domicile de Monsieur et Madame
LABORIE, au N° 2 rue de la
Que la citation délivrée à la demande de
la partie civile principale, a les mêmes conséquences qu’un réquisitoire
de Monsieur le Procureur de la république.
Que la citation délivrée à la demande de la
partie civile est le contre-pouvoir du procureur de la république qui ce
dernier ne peut mettre l’action publique en mouvement car il devient partie
jointe à la partie civile principale.
Que l’action publique appartient donc à Monsieur LABORIE André. « victime et
partie civile principale »
·
L'exercice de
l'action civile devant le tribunal de répression a pour conséquence nécessaire
de mettre en mouvement l'action publique.
Crim. 8 mai 1903: DP 1905. 1. 534 15 nov. 1945: D. 1946. 111 22 janv. 1953: D. 1953. 109.
· Mais il n'en est ainsi qu'autant que l'action civile a
été régulièrement introduite soit par une plainte avec constitution de partie
civile, soit par une citation selon les art. 182 et 183 C. instr. crim. (art. 388 C. pr. pén.), soit par la comparution de l'inculpé sur simple
avertissement, selon l'art. 147 C. instr. crim. (art. 389 C. pr. pén.). Crim. 6 déc. 1928: DP 1930. 1. 140.
·
La mise en mouvement de l'action publique par la
victime d'une infraction pénale a lieu aussi bien à l'encontre des
fonctionnaires, même si l'infraction a été commise dans le service, qu'à l'encontre des particuliers. Crim. 22 janv. 1953: D.
1953. 109, rapp. Patin.
Que de ce fait il n’appartient pas de savoir si le procureur de la
république peut faire appel de l’action publique car il n’a aucun droit sur
celle-ci étant partie jointe auprès de la victime, en l’espèce auprès de
Monsieur LABORIE André.
•
Le parquet est là au côté de Monsieur
LABORIE pour demander que les faits poursuivis soient sanctionnés conformément
à la loi sans aucune discrimination des parties, son impartialité doit être
totale.
Soit l’appel de l’action publique appartient à Monsieur LABORIE André et
non à Monsieur le Procureur de la république qui est seulement partie jointe.
Soit Monsieur LABORIE André partie civile, a
été fondé de faire appel du jugement du 8 mars 2012 autant sur l’action publique que sur l’action
civile en date du 8 mars 2012, pour nullité du jugement sur le fondement de
l’article 593 du code de procédure pénale et pour avoir violé les articles 385
et 386 du cpp en ses conclusions et pièces déposées
avant l’audience et non débattues.
Arrêt de la chambre criminelle de
la cour de cassation du 11 avril 2012 N° 11-83916.
· 1er Que si l’appel de la partie civile ne peut
porter que sur les dispositions civiles de l’arrêt.
Il en va différemment lorsque saisi par
voie de citation directe,
La cour d’appel doit évoquer et statuer
tant sur l’action publique que sur l’action civile.
Le
tribunal en son audience du 8 mars 2012 se devait sous peine de nullité du
jugement.
· La requête en
demande de dépaysement.
· Les
conclusions de nullités en ses différentes exceptions.
Soit avant l’audience du 8 mars 2012, celles-ci ont été aussi remises
au greffier de l’audience, avec date de réception et signatures.
L’équité des parties en son dépôt de pièces avant
l’audience.
Valable pour la partie civile ainsi que pour le
prévenu.
La cour de cassation
indique en son arrêt du 29 mars 1995 : N° 94-82.320.
· Selon l’article 386 du
code de procédure pénale, l’exception préjudicielle doit être présentée avant
toute défense au fond.
La cour de cassation
indique en son arrêt du 26 mars 1997 : N° 96-83.477.
· Encourt la censure le
jugement qui dit irrecevables, en application des articles 385 et 386 du code
de procédure pénale, les conclusions du prévenu déposées avant l’audience et
visées par le greffier pour n’avoir pas été développées oralement avant les
réquisitions du ministère public.
La cour de cassation
indique en son arrêt du 10 décembre 2003 N° 02-87.487.
· Méconnait les
dispositions des articles 385 et 386 du code de procédure pénale l’arrêt qui
confirme le jugement ayant déclaré irrecevable les conclusions du prévenu,
déposées avant l’audience et visées par le greffier, au motif que l’attention
du magistrat n’a pas été attirée sur leur contenu et qu’elles n’ont pas été
développées oralement avant les réquisitions du ministère public.
La cour de cassation
indique dans son arrêt au vu des articles 385 et 386 du code de procédure
pénale :
· Attendu que selon les
textes le tribunal doit statuer sur les exceptions que le prévenu lui soumet
dans des conclusions régulièrement déposées avant toute défense au fond.
Soit la violation des règles de droit par « discrimination-
partialité » devant le T.G.I de Toulouse est flagrante, obstacles
permanents dans les dossiers de Monsieur LABORIE André.
Le tribunal s’est refusé de statuer sur ces exceptions de droit.
· Soit encore une fois la
nullité du jugement du 8 mars 2012 est nul de plein droit.
Qu’il ne peut y avoir de nullité du
jugement du 8 mars 2012 sans avoir
statué sur le montant de la consignation d’autant plus que celle-ci devait être
ordonnée à l’euro symbolique au vu de différents arrêts rendus par la cour
d’appel en 2003 et 2004 et dans la mesure que le bureau d’aide juridictionnelle
n’est pas venu en aide et que Monsieur LABORIE André se trouvait au RMI soit à
ce jour toujours au RSA après avoir produit les pièces nécessaires est dans la
même configuration.
VIII / SOIT LES OBLIGATIONS DE LA COUR
La cour se doit de
confirmer l’annulation du jugement 8 mars 2012. « Constitutif de
faux intellectuel » nullité.
Pour une bonne administration de la justice, au vu de l’obligation de respecter le code de la déontologie des
magistrats, au vu d’une partialité ainsi établie de la juridiction toulousaine.
·
Au vu d’une impartialité absolue imposée par notre justice.
Ordonner le dépaysement
de l’affaire sur une autre juridiction identique, en l’espèce Bordeaux ou Agen,
et suivant la motivation en sa requête introduite en date du 27 février 2012
non débattue.
·
Et pour avoir aussi présentée le 6 juin 2013 à
Madame OLLIVIER Monique Procureure Générale près la cour d’appel de Toulouse une
demande de dépaysement des dossiers de l’audience du 13 novembre 2013
·
Et d’autant
plus du doute de la dite cour qui ne pouvait ignorer des différentes plaintes
ci-dessus interrompant la prescription et produites en pièces jointes pour
éviter toutes contestations.
Soit par l’effet dévolutif de la cour sur
l’action publique.
La juridiction qui sera saisie
se devra de statuer sur l’action publique soit sur le fond des poursuites à
l’encontre :
·
Madame CARRASSOU Aude.
·
Monsieur TEULE Laurent gérant de la SARL LTMDB.
·
Monsieur TEULE Laurent en son nom personnel.
La cour d’appel se doit
en premier de statuer sur les faux en écritures publiques et intellectuels soit
les faux en principal. « Articles 287 ; 288 ; 302 du code
procédure civile. (arrêt de la cour de cassation du
20 décembre 2012 N° 11-26942.)
·
Fait réprimés de peines criminelles par le code pénal en ses articles
441-4
Concernant les actes en tant qu’auteurs ou
complices. « recel »
·
Acte
notarié du 5 avril 2007 et 6 juin 2007.
·
Acte du 1er
juin 2007.
·
Actes soit
procès-verbal d’expulsion du 2 avril 2008 rédigé de la SCP d’huissiers
GARRIGUES et BALLUTEAUD.
·
Acte
notarié du 22 septembre 2009.
·
Acte
notarié du 5 juin 2013.
Dans le cas contraire, la cour violera l’article 6 de la CEDH :
soit entrave à l’accès à un juge, à un tribunal : déni de justice et
laissera impuni les auteurs des délits poursuivis.
Soit sur les chefs de
poursuites dans l’acte introductif d’instance « citation par voie
d’action » justifiés en ses preuves reprises en son bordereau de
pièces déposé au T.G.I de Toulouse et pièces complémentaires portées
contradictoirement à la connaissance des parties soit les faits nouveaux en
récidive.
Soit par l’effet dévolutif de la cour sur
l’action civile.
La juridiction qui sera
saisie se devra de statuer sur l’action civile en réparation des différents
dommages causés demandé dans l’acte introductif d’instance à l’encontre de :
·
Madame D’ARAUJO épouse BABILE
·
Madame CARRASSOU Aude.
·
Monsieur TEULE Laurent gérant de la SARL LTMDB.
·
Monsieur TEULE Laurent en son nom personnel.
( Dans le cas contraire, la cour
violera l’article 6 de la CEDH : soit entrave à l’accès à un juge, à un
tribunal : déni de justice et laissera impuni les auteurs poursuivis à
réparer les dommages causés avec toutes conséquences de droit.)
Sous toutes réserves dont acte :
Monsieur LABORIE André
Pièces :
Toutes
les pièces sont déjà déposées dans le dossier à part que celles-ci soient
détournées, ce qui n’étonnerai pas Monsieur LABORIE André au vu des décisions
rendues pour faire obstacle au procès contre les personnes poursuivies, dont
les faits reprochés sont incontestables et à ce jour couvert par le parquet de
Toulouse. « Cela retrouvé dans d’autres dossiers »
Pièces complémentaires
produites :
·
Un
constat d’huissier du 10 août 2011.
Les inscriptions de faux en principal :
·
Dénonces
procès-verbal d'inscription de faux intellectuels
contre un acte hypothécaire du 2 mars 1992, enregistré le 21 janvier 2009
au greffe du T.G.I de Toulouse N° 09/0000.
·
Dénonce
procès-verbal d'inscription de faux intellectuels
contre un arrêt rendu par la cour de cassation le 4 octobre 2000, enregistré
le 21 janvier 2009 au greffe du T.G.I de Toulouse N° 09/00002
·
Dénonces
procès-verbal d’inscription de faux intellectuels contre
un jugement de subrogation rendu le 29 juin 2006 N0 enregistrement :
08/00026 au greffe du T.G.I de Toulouse le 08 juillet 2008.
·
Dénonces
procès-verbal d’inscription de faux intellectuels contre une ordonnance
rendu le 1er juin 2007 N° enregistrement : 08/00028
au greffe du T.G.I de Toulouse le 16 juillet 2008.
·
Dénonces
procès-verbal d’inscription de faux intellectuels contre
deux actes notariés du 5 avril 2007 et du 6 juin 2007 N° enregistrement : 08/00027
au greffe du T.G.I de Toulouse le 8 juillet 2008.
·
Dénonces
procès-verbal d’inscription de faux intellectuels contre tous les
actes effectués par la SCP GARRIGUES et BALUTEAUD huissiers de justice N°
enregistrement : 08/00029 au greffe du T.G.I de Toulouse le 23 juillet
2008.
·
Dénonces
procès-verbal
d’inscription de faux enregistré au greffe du T.G.I de Toulouse le 9 août
2010 sous la référence N° 22/2010 et contre un acte notarié de Maître CHARRAS
Jean Luc Notaire à Toulouse effectué en date du 22 septembre 2009.
·
Dénonces
procès-verbal
d’inscription de faux intellectuel contre l’arrêt
du 21 mai 2007 et les arrêts en recours
en révision N° enregistrement : 12/00022 au greffe du T.G.I de Toulouse
le 30 mai 2012.
·
Dénonces
procès-verbal
d’inscription de faux intellectuel contre les arrêts sur appel de l’ordonnance du 1er juin 2007 N° enregistrement :
12/00022 au greffe du T.G.I de Toulouse le 30 mai 2012.
·
Dénonces
procès-verbal
d’inscription de faux intellectuels contre différentes ordonnances de référés
en matière de mesures provisoires N° enregistrement : 12/00020 au greffe du
T.G.I de Toulouse le 2 mai 2012.
·
Dénonces
procès-verbal
d’inscription de faux intellectuels dans différents dossiers et contre différents
jugements rendus par le juge de l’exécution N° enregistrement : 12/00023 au
greffe du T.G.I de Toulouse le 30 mai 2012.
·
Dénonces
procès-verbal d'inscription
de faux intellectuels contre différentes publications effectuées à la conservation
des hypothèques de Toulouse, N° enregistrement N° 12/00029 au greffe du T.G.I
de Toulouse le 25 juillet 2012.
Les différentes plaintes interrompant
le délai de prescription de l’action publique.
I
/ Plainte
en date du 20 mai 2007
II / Plainte
en date du 1er avril 2008
III / Plainte
en date du 18 avril 2008.
IV / Plainte
en date du 21 juillet 2008 :
V / Plainte
en date du 28 juillet 2008 :
VI / Plainte
du 1er septembre 2008 parquet
VII / Plainte
en date du 1er septembre 2008 DJ Paris:
VIII / Plainte
contre X en date du 11 juin 2009.
IX / Plainte
en date du 14 octobre 2009
X / Plainte
a été déposée le 13 novembre 2009
XI
/ Plainte
a été déposée le 7 février 2010 :
XIII
/ Plainte
contre X en date du 20 avril 2010 :
XIV / Plainte
en date du 27 mai 2010.
XV / Plainte
en date du 13 août 2010
XVI / Plainte
en date du 3 septembre 2010 :
XVII / Plainte
contre X parquet de PARIS en date du 22 décembre 2010.
XVIII / Plainte
en date du 19 avril 2011 :
XIX / Plainte
contre X en date du 24 juin 2011 :
XX / Plainte
contre X en date du 24 août 2011
XXI / Plainte
en date du 13 juin 2012.
XXII / Plainte
en date du 28 juillet 2012.
XXIII / Plainte
en date du 28 septembre 2012.
XXIV /
Plainte en date du 16 octobre 2012.
XXV / Plainte
en date du 13 novembre 2012
XXV / Plainte
en date du 10 janvier 2013.
XXVI / Plainte
en date du 3 février 2013.
XXVII / Plainte
en date du 9 mars 2013.
XXVIII / Plainte
en date du 13 mars 2013.
XXIX / Plainte
en date du 19 mars 2013.
Récidive de recel d’escroquerie, d’abus de confiance par Monsieur
TEULE Laurent.
·
Sommation
interpellative du 13 mars 2013.
·
Dénonces
procès-verbal
enregistrant une inscription de faux intellectuels contre une décision du 1er octobre 2012 rendue par la préfecture de la HG et
contre une ordonnance du 15 mars 2013 rendue par le tribunal administratif
de Toulouse, enregistré sous le N°
13/00025 au greffe du T.G.I de Toulouse le 7 mai 2013.
·
Acte
du 5 juin 2013 « Projet
d'inscrit en faux principal, faux en en écritures publiques ».
XXX / Plainte
en date du 17 octobre 2013.
XXXI / Plainte
du 19 octobre 2013.
Monsieur
LABORIE André