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LA MAFIA JUDICIAIRE TOULOUSAINE " Article 41 de la loi du 29 juillet 1881 - Déclaration universelle des droits de l'homme - Article 6 de la C.E.D.H " |
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Monsieur LABORIE André Le
20 octobre 2012
2 rue de la Forge
(Courrier transfert)
31650 Saint Orens
Tél : 06-14-29-21-74
PS :
« Actuellement le courrier est transféré poste restante suite à la
violation du domicile en date du 27 mars 2008 » domicile actuellement
occupé par un tiers (Monsieur TEULE Laurent et autres sans droit ni titre
régulier).
Philipe DUVAL-MOLINOS.
Juge d’Instruction.
JIRS de Lyon
67 rue Servient.
69433 Lyon Cedex 03
Lettre recommandée N° 1A 075 937
3899 0.
FAX : 04-72-60-72-38.
Objet : Plainte avec constitution de partie
civile à l’encontre de X :
Soit : Monsieur Amar BELACEL ayant participé
directement ou indirectement par :
Agissements constitutifs de troubles à l’ordre public : Faits réprimés par le code pénal.
Monsieur le doyen des juges,
Je sollicite votre très haute
bienveillance à prendre ma plainte avec constitution de partie civile, je suis
victime des agissements de Monsieur Amar BELACEL vice procureur de la
république de Toulouse qui ce dernier a déjà été impliqué directement ou
indirectement pour Trafic
d’influence dans plusieurs affaires dont il a déjà été mis en examen par
vos soins ces derniers mois.
Moi aussi, je suis concerné par
les agissements de Monsieur Amar BELACEL et me porte partie civile par cette plainte venant en complément de
l’information que vous avez ouverte à son encontre et pour des préjudices
direct causés à moi-même et à ma famille, aux règles de droit de notre société,
agissements constitutifs de troubles à l’ordre public contraires au respect de
notre constitution, ayant discrédité notre justice.
Plainte avec constitution de partie civile pour des agissements similaires que vous avez pu relevés.
Je rappelle que le
parquet est indivisible par sa nature.
Je rappelle l’absence
de prescription suite aux différentes plaintes restées sans suites.
Qu’il est rappelé que la faute d’un des membres du parquet engage la
responsabilité de tous les autres membres.
Sur l’indivisibilité du parquet
Une des spécificités du parquet est qu'il est indivisible : chaque membre
représente l'ensemble et les membres du parquet sont donc interchangeables.
·
Si un
membre fait un acte, tout le parquet est engagé.
Les tribunaux
correctionnels, sont représentés pour chacun des parquets par un Procureur de la République assisté d'un
procureur-adjoint ou/et de vice procureurs et de substituts du procureur en
fonction de l'importance du tribunal ;
Sur
son rôle
Le rôle du ministère public qui est de défendre
les intérêts de la société, l'ordre public et l'application de la loi s'exerce
dans trois domaines : l'action publique devant les juridictions pénales,
l'intervention devant les juridictions civiles et des attributions
administratives.
Sur son attributions
administrative.
Le procureur de la République « dirige l'activité des officiers et agents de
la police judiciaire dans le ressort de son tribunal » (article 41 CPP).
Il peut également intervenir auprès d’interlocuteurs locaux (maires,
conseillers régionaux et généraux) pour coordonner l’action des services de police
et de gendarmerie.
Sur l’indépendance du
parquet.
Le parquet n’est pas considéré comme une autorité judiciaire indépendante au
sens de l’article 5 de la Convention de Sauvegarde des Droits de l’Homme et des
Libertés Fondamentales[9].
·
La Cour européenne des droits de l’homme a ainsi
condamné la France en novembre 2010 pour ce motif[10]
Sur
l’Action publique - Mise en mouvement par la partie civile.
Cass.crim. 22 janvier 1953 (R... c. B..., ci-dessous) :
La victime d’une infraction à la loi pénale, en
portant son action devant les juridictions répressives, met, par là même,
l’action publique en mouvement.
Prescription de l’action publique, point de départ. Le point de
départ de la prescription, en cas d’infraction continue, est retardé tant que
l’infraction se renouvelle : Cass.crim. 2 juillet
1980 (E...).
SUR LES FAITS
REPROCHES :
Dont est
impliqué Monsieur Amar BELACEL vice procureur de la république représentant le
parquet de Toulouse indivisible par sa nature, la faute de l’un engage tout les
membres du parquet.
Les faits poursuivis qui
sont portés à votre connaissance et qui seront analysés suivant les titres suivants :
En préambule : La
responsabilité civile et pénale ( Page 5
)
I / Synthèse de
la détention arbitraire ( Page 8 )
II / Deux
détentions arbitraires : « Auteur et complices »
III / Violation
de notre domicile par voie de fait en date du 27 mars 2008. « Auteurs et
complices. ( Page 107 )
IV / Trouble à l’ordre public par le parquet de Toulouse qui se refuse
de donner suite aux différentes plaintes déposées en faux principal et
concernant différentes inscriptions en faux en écritures publiques, faux
intellectuels dont procès verbaux effectués sur le fondement de l’article 306
du ncpc, dénoncés aux parties et au parquet. « auteur des faux et complicités » ( Page 145 )
V / Demandes à Monsieur le juge d’instruction. ( Page 157 ).
*
* *
Monsieur Amar BELACEL connaissait parfaitement les voies de faits
faites par le parquet de Toulouse dont il en était le vice Procureur de la
République et pour tous les faits portés à votre connaissance.
Sur
certaines voies de faits, Monsieur Amar
BELACEL a été directement saisi le 1er avril 2008 par une
plainte. « a fin de l’ignorer, ci
jointe »
Monsieur Amar BELACEL s’est refusé d’une
quelconque intervention pour faire cesser un trouble à l’ordre public dont nous
nous sommes retrouvés victimes et sommes toujours victimes à ce jour sans que
le parquet intervienne.
Que
le jour où j’ai rédigé cette plainte du 1er avril 2008 nous étions
dans la rue, sans domicile fixe, sans meuble et objet. « Sans une
quelconque assistance ».
Alors que Monsieur et Madame LABORIE
subissaient une atteinte grave manifestement illégale à une liberté
fondamentale.
Précisant que le droit de propriété est un
droit inaliénable protégé par les articles 2 et 17 de la Déclaration des droits
de l’homme et du citoyen du 26 août 1789.
Il est rappelé
qu’il ne peut y avoir expulsion par la force publique sans que le procureur de
la république n’en soit informé.
Il s’est trouvé
qu’en date du 27 mars 2008, Monsieur Amar BELACEL était le vice procureur nommé
depuis 2002 se substituant à Monsieur le Procureur de la république qui n’avait
pas encore pris ses fonctions soit Monsieur VALET Michel.
Que Monsieur
Amar BELACEL lui a laissé toutes ses consignes par la suite à donner aux
procédures faites par Monsieur LABORIE André agissant pour ses propres intérêts
et ceux de la communauté légale bien que nous soyons séparé de faits depuis
2001.
Le trafic d’influence incontestable
suite à l’appréciation de Monsieur LABORIE André par les membres du parquet de
Toulouse déjà impliqué dans ses affaires. « Soit poursuite judiciaire à
l’encontre de Monsieur LANSAC Alain substitut de Monsieur le Procureur de
la République de Toulouse».
Trafic d’influence pour faire obstacle
aux différentes plaintes déposées et procédure en cours dont consignation ont
été versées. « Affaires toujours non entendues devant le tribunal
obstacles permanents »
Que par le
silence de Monsieur Amar BELACEL, représentant le parquet de Toulouse, ce
dernier indivisible par sa nature, une ampleur importante dans la suite des
évènements laissant toutes attitudes délictueuses et criminelles à de nombreux
axillaires de justice et autres à introduire de fausses informations devant
différents tribunaux dans la mesure que le parquet se refuse d’intervenir.
« soit jugement obtenus par escroquerie, faux actes notariés et
autres »
PREAMBULE
Rappel :
La responsabilité pénale des magistrats judiciaires : l'application de
la loi commune
En
matière pénale, les magistrats ne bénéficient, depuis la loi n° 93-2 du 4
janvier 1993, d'aucun privilège de juridiction ni d'aucune immunité. Leur
responsabilité pénale peut être engagée comme celle de tout citoyen, mais aussi
en tant que magistrats, dépositaires de l'autorité publique. A ce titre, ils
sont soumis à la répression d'infractions spécifiques du code pénal, telles que
l'abus d'autorité (art. 432-4), la corruption active ou passive
(art. 434-9), ou le déni de justice (art. 434-7-1).
A ne pas
ignorer.
Arrêt de la Cour de Cassation du 27 septembre 2000 N°
99-87929
Article 41 de la loi du 29 juillet 1881
Article 434-1 et suivant du code pénal
La
juridiction toulousaine ayant à décider du bien fondé de l’accusation
N’offre pas les garanties suffisantes
d’impartialité.
Au vu des textes ci-dessous et de sa
jurisprudence de la CEDH.
Que la juridiction de LYON est la plus compétente dans la mesure qu’un
dossier est déjà ouvert par la mise en examen de Monsieur Amar BELACEL pour trafic d’influence.
Que les faits poursuivis de
détention arbitraire, se sont passé sur le territoire national dans un temps
non prescrit par la loi et sur la juridiction toulousaine.
Qu’au vu d’une bonne
administration de la justice ces faits doivent être entendus devant une autre
juridiction que celle ou sont exercé les fonctions de Monsieur DAVOST Patrice
et de Monsieur VALET Michel.
La juridiction toulousaine ayant à décider
du bien-fondé de l'accusation au vu de la qualité de ces magistrats »
agent public » et des liens importants qui les unissent, n’offre pas les garanties suffisantes
d'impartialité comme les textes ci-dessous le précisent.
Article 662 alina 13 du
code de procédure pénale: Les
circonstances de l'espèce dans lesquelles ont été exercées des poursuites, sur
la dénonciation d'un magistrat du Parquet se présentant comme victime des
faits, sont de nature, non
à faire douter de l'indépendance des membres du tribunal, mais à faire craindre
que la juridiction ayant à décider du bien-fondé de l'accusation n'offre pas
les garanties suffisantes d'impartialité, selon l'art. 6 Conv.
EDH et constituent dès lors, un motif de dessaisissement pour cause de
suspicion légitime, au sens de l'art.
Qu’au vu du code
de déontologie des magistrats :
• Il incombe à tout juge d’observer une
réserve et d’éviter tout comportement de nature à entraîner le risque que son
impartialité soit mise en doute et qu’il puisse, de ce fait, être porté
atteinte à l’autorité de l’institution judiciaire ; un magistrat est tenu de se
déporter dés lors qu’il entretient ou a entretenu des relations suivies avec
une des parties au litige dont il est saisi.
• Le Magistrat qui, ayant l’obligation morale
de se déporter et d’éviter toute intervention de nature à donner l’apparence
d’un manquement à la neutralité et à l’impartialité, ne le fait pas, faillit
aux devoirs auxquels tout juge est tenu de se conformer dans sa démarche et
dans son action.
Art. 43 du code de procédure pénale : Sont compétents le procureur de la
République du lieu de l'infraction, celui de la résidence de l'une des
personnes soupçonnées d'avoir participé à l'infraction, celui du lieu
d'arrestation d'une de ces personnes, même lorsque cette arrestation a été
opérée pour une autre cause (L. n° 2004-204 du 9 mars 2004, art. 111-I et 125) «et celui du
lieu de détention d'une de ces personnes, même lorsque cette détention est
effectuée pour une autre cause.
«Lorsque
le procureur de la République est saisi de faits mettant en cause, comme auteur
ou comme victime, (L.
n° 2005-1549 du 12 déc. 2005, art. 36) «un magistrat, un avocat, un officier public ou ministériel, un
militaire de la gendarmerie nationale, un fonctionnaire de la police nationale,
des douanes ou de l'administration pénitentiaire ou toute autre personne
dépositaire de l'autorité publique ou chargée d'une mission de service public
[ancienne
rédaction: une personne dépositaire de l'autorité publique ou chargée d'une
mission de service public]» qui
est habituellement, de par ses fonctions ou sa mission, en relation avec les
magistrats ou fonctionnaires de la juridiction, le procureur général peut,
d'office, sur proposition du procureur de la République et à la demande de
l'intéressé, transmettre la procédure au procureur de la République auprès
du tribunal de grande instance le plus proche du ressort de la cour d'appel.
Cette juridiction est alors territorialement compétente pour connaître
l'affaire, par dérogation aux dispositions des articles 52, 382 et 522. La
décision du procureur général constitue une mesure d'administration judiciaire
qui n'est susceptible d'aucun recours.».
PS :
Que nous sommes dans un cas de force majeure, c’est la juridiction
toulousaine toute entière qui ne peut être saisie par les liens qui unissent
tous les magistrats et auxiliaires de justice.
Que plusieurs requêtes en demande de suspicion légitimes ont été
déposées à la chambre criminelle à la cour de cassation et dénoncées au
procureur général prés la cour d’appel de Toulouse, ce dernier ayant fait
obstacle aux différentes requêtes soit par corruption active ou corruption
passive.
SANCTION DU C.S.M
Conseil supérieur de la magistrature, statuant comme
conseil de discipline des magistrats du siège
MAGISTRAT -
Devoirs fondamentaux - Devoir de neutralité - Manquement - Applications
diverses - Intervention de nature à donner l'apparence d'un manquement à la
neutralité
Il incombe à tout juge d'observer une réserve rigoureuse
et d'éviter tout comportement de nature à entraîner le risque que son
impartialité soit mise en doute et qu'il puisse, de ce fait, être porté
atteinte à l'autorité de l'institution judiciaire ; un magistrat est tenu de se
déporter dès lors qu'il entretient ou a entretenu des relations suivies avec
une des parties au litige dont il est saisi.
Le magistrat qui, ayant l'obligation morale de se
déporter et d'éviter toute intervention de nature à donner l'apparence d'un
manquement à la neutralité et à l'impartialité, ne le fait pas, faillit aux devoirs
auxquels tout juge est tenu de se conformer dans sa démarche et dans son action.
MAGISTRAT
- Devoirs fondamentaux - Devoir de maintenir la confiance du justiciable
envers l'institution judiciaire - Manquement - Applications diverses -
Intervention de nature à donner l'apparence d'un manquement du magistrat à la
neutralité et à l'impartialité
Manque aux devoirs de délicatesse et de loyauté auxquels
est tenu tout juge, et omet de se conduire comme un digne et loyal magistrat,
le juge qui, en ne se déportant pas dans des affaires où il a l'obligation
morale de ne pas siéger, se départit de la réserve rigoureuse à laquelle il est
tenu, s'exposant ainsi à ce que son impartialité et sa neutralité soient mises
en cause et portant, de ce fait, atteinte à l'autorité de l'institution
judiciaire.
Textes appliqués : Ordonnance n° 58-1270 du
22 décembre 1958, articles 43 à 58 ; loi organique n° 94-100
du 5 février 1994, articles 18, 19 ; décret n° 94-199 du 9 mars 1994, articles 40 à 44.
Sur l’intention
des délits
« L’élément
intentionnel résulte de la nature même du délit » ( Cass.crim,
4 janvier 1902 : DP 1904, p.128-19 mars 1942 : DA 1942, p.102-16 janv 1947 : Bull.crim,
N°23.-3 janv.1970 : D.1970, somm.p.68 ; Bull.crim,N°7).
I / Synthèse avant explication en son déroulement sur
chacune
des détentions
arbitraires :
Faits réprimés par le code pénal.
Rappel des textes répressifs.
La responsabilité civile et pénale
I / A / Sur la détention arbitraire
du 14 février 2006 au 14 septembre 2007.
Sous les ordres de Monsieur Amar BELACEL ne pouvant ignorer la situation.
Qu’au vu d’une détention
arbitraire consommée par Monsieur LABORIE André du 14 février 2006 au 14
septembre 2007, sans un mandat de dépôt, sans une condamnation définitive et au
vu des voies de recours toujours pendantes, à ce jour procédure prescrite à
l’encontre de Monsieur LABORIE André.
Qu’au vu de 32 courriers
envoyés aux différentes autorités pour faire cesser la détention arbitraire de
Monsieur LABORIE dont forcément Monsieur DAVOST en été averti, ce dernier par
son silence à faire cesser ce trouble à l’ordre public, contraire à notre
constitution, Monsieur DAVOST Patrice s’est rendu coupable de la détention
arbitraire.
Que Monsieur DAVOST Patrice
dans un temps non prescrit par la loi, agissant dans le cadre de ses fonctions
« d’agent public » en
tant que Procureur Général prés la cour d’appel de Toulouse avec mission de
représentation du ministre de la justice ;
chef hiérarchique de la police nationale, de la gendarmerie, du
procureur de la république et de ses substituts ; a pris connaissance de
32 courriers de Monsieur LABORIE André courant l’année 2006 et 2007, restés
tous sans réponse concernant une détention arbitraire établie par les preuves
matérielles réelles, portées à sa connaissance pendant la période du 14 février
2006 au 14 septembre 2007.
Soit détention arbitraire du 14
février 2006 au 14 septembre 2007.
·
Faits réprimés
par les articles : 432-4 ;
432-5 ; 432-6 du code pénal.
I / B :
Sur la détention arbitraire du 14 septembre 2011 au 24 novembre 2011.
Que Monsieur DAVOST Patrice
Procureur général a aussi cautionné et facilité les agissements de Monsieur
VALET Michel procureur de la république de Toulouse pour avoir accepté que
Monsieur LABORIE André soit mis en détention arbitraire du 14 septembre 2011 au
24 novembre 2011, sans un quelconque délit, sans une condamnation définitive,
décision arbitrairement prise en violation de tous les droits de défense de
Monsieur LABORIE André.
Soit détention arbitraire du 14
septembre 2011 au 14 novembre 2011.
·
Faits réprimés
par les articles : 432-4 ;
432-5 ; 432-6 du code pénal.
I / C : Sur la détention arbitraire par corruption
active ou passive de tous ses subordonnés,
Qu’au vu du déroulement
ci-dessous et preuves apportées sur ces détentions arbitraires, Monsieur DAVOST
Patrice a favorisé directement ou indirectement par différents moyens «
avantage ou autres », exercés devant le tribunal, la cour d’appel de
Toulouse, la cour de cassation et pour obtenir par faux et usage de faux des décisions
contraires à la loi, en violation permanente des droits de la défense en ses
articles 6 ; 6-1 ; 6-3 de la CEDH. « En l’espèce dans ce cas de figure
ceux de Monsieur LABORIE André ».
Soit corruption active et passive établie «
trafic d’influence » :
Mesures destinées
à faire échec à l'exécution de la loi :
*
* *
II / a : Sur la détention arbitraire du 14
septembre 2011 au 24 novembre 2011.
Sous les ordres de Monsieur Amar BELACEL
Monsieur VALET Michel
procureur de la république de Toulouse a prie l’initiative de mettre Monsieur
LABORIE André en prison du 14 septembre 2011 au 24 novembre 2011, sans
l’existence d’un quelconque délit, par corruption du tribunal à l’audience du
15 septembre 2011, par corruption de ses subordonnés et dans le seul but de
faire obstacle aux différents dossiers en cours, aux différentes plaintes
portés à sa connaissance.
Monsieur VALET Michel
procureur de la république de Toulouse a prie l’initiative de mettre Monsieur
LABORIE André en prison du 14 septembre 2011 au 24 novembre 2011 en auto-
forgeant un dossier sur des faits prescrits par la loi.
Monsieur VALET Michel
procureur de la république de Toulouse a prie l’initiative de mettre Monsieur
LABORIE André en prison du 14 septembre 2011 au 24 novembre 2011 pour faire
obstacle à un magistrat renvoyé par la cour de cassation en audience
correctionnelle.
Monsieur VALET Michel
procureur de la république de Toulouse a prie l’initiative de mettre Monsieur
LABORIE André en prison du 14 septembre 2011 au 24 novembre 2011, à fin de lui
soustraire le disque dur de l’ordinateur de Monsieur LABORIE andré pour le
priver de la gestion de ses dossiers.
Monsieur VALET Michel
procureur de la république de Toulouse a prie l’initiative de mettre Monsieur
LABORIE André en prison du 14 septembre 2011 au 24 novembre 2011, en violation
de tous les droits de la défense, par faux et usage de faux.
Soit détention arbitraire du
14 septembre 2011 au 14 novembre 2011:
·
Faits réprimés
par les articles : 432-4 ;
432-5 ; 432-6 du code pénal.
II /
b : Sur la détention arbitraire du 14 septembre 2011 au 24 novembre 2011.
Monsieur VALET Michel
procureur de la république de Toulouse a prie l’initiative une nouvelle fois de
mettre Monsieur LABORIE André en garde à vue le 8 décembre 2011 et suivi de
poursuites correctionnelle pour outrage alors qu’il a seulement dénoncé aux
autorités judiciaires la détention arbitraire qu’il venait de subir et le vol
de son disque dur lui portant de graves préjudices en ses droits de défense et
dont l’instigateur était Monsieur VALET Michel au vu des pièces du dossiers en
ses réquisitions.
Soit tentative
de récidive de détention arbitraire par une garde à vue faite en
violation de toutes les règles de droits. « Absence de délit, violation
des droits de la défense ».
·
Faits réprimés
par les articles : 432-4 du
code pénal.
II / c :
Sur la détention arbitraire par corruption active ou passive de tous ses
subordonnés,
Qu’au vu du déroulement
ci-dessous et preuves apportées sur ces détentions arbitraires, Monsieur VALET
Michel a favorisées directement ou indirectement par différents moyens exercés
devant le tribunal et pour obtenir par faux et usage de faux des décisions
contraires à la loi, violation permanente des droits de la défense en ses
articles 6 ; 6-1 ; 6-3 de la CEDH. « En l’espèce dans ce cas de figure
ceux de Monsieur LABORIE André ».
Soit corruption active et passive établie :
Mesures destinées
à faire échec à l'exécution de la loi :
RAPPEL DES
TEXTES REPRESSIFS PEINES CRIMINELLES
Détention arbitraire :
Corruption
active et passive :
·
Est puni de dix ans d'emprisonnement et de 150
000 euros d'amende le fait, par une personne dépositaire de l'autorité
publique, chargée d'une mission de service public, ou investie d'un mandat
électif public, de solliciter ou d'agréer, sans droit, à tout moment,
directement ou indirectement, des offres, des promesses, des dons, des présents
ou des avantages quelconques pour elle-même ou pour autrui :
·
1° Soit pour accomplir ou s'abstenir d'accomplir
un acte de sa fonction, de sa mission ou de son mandat ou facilité par sa
fonction, sa mission ou son mandat ;
·
2° Soit pour abuser de son influence réelle ou
supposée en vue de faire obtenir d'une autorité ou d'une administration
publique des distinctions, des emplois, des marchés ou toute autre décision
favorable.
LA RESPONSABILITE
De Monsieur Amar BELACEL
De Monsieur DAVOST Patrice
& Monsieur VALET Michel.
Ne peut être exclu de leur responsabilité
pénale et civile.
Au vu des articles 432-4 ; 432-5 ;
432-6 du code pénal.
SOURCES JURISCLASSEUR :
Généralités
1. –
Textes pénaux protégeant la liberté individuelle - Dans tout État démocratique, la protection de la
liberté individuelle constitue un devoir essentiel.
Dans l'actuel Code pénal, cette
protection est assurée par deux séries distinctes de dispositions. Commises par
des particuliers, les atteintes à cette liberté sont réprimées par les articles, art. 224-1 à 224-5 (C. pén., Livre II, Titre II, Chap. IV, sect. 1, intitulée
"De l'enlèvement et de la séquestration").
Lorsqu'elles sont le fait de
personnes exerçant une fonction publique, ces atteintes relèvent des articles
432-4 à 432-6, commentés dans le présent fascicule et dont l'ensemble forme le
paragraphe de la section intitulée "Des abus d'autorité commis contre des particuliers".
A. – Éléments
constitutifs de l'infraction
*
* *
1° Personnes
coupables
L'expression personne dépositaire
de l'autorité publique vise toute personne titulaire d'un pouvoir de
décision et de contrainte qu'elle exerce sur les personnes ou sur les choses,
pouvoir dont elle fait usage dans l'exercice des fonctions, permanentes ou
temporaires, dont elle est investie par délégation de l'autorité publique. La personne
chargée d'une mission de service public est celle qui, sans avoir reçu un
pouvoir de décision ou de commandement dérivant de l'exercice de l'autorité
publique, a pour tâche d'exercer une fonction ou d'accomplir des actes dont la
finalité est de satisfaire à un intérêt public.
2° Acte matériel incriminé
Atteintes à la liberté individuelle imputables à des
autorités judiciaires
On rappellera seulement, à titre
d'exemple, que le juge des libertés et de la détention (le juge d'instruction, jusqu'à la loi n° 2000-516 du 15 juin 2000,
entrée en vigueur sur ce point le 1er janvier 2001) ne peut délivrer de mandats
de dépôt qu'à l'égard des individus mis en examen en raison de crimes ou de
délits correctionnels punissables d'un emprisonnement d'une durée égale ou
supérieure à trois ans (CPP, art.
143-1 nouveau), en observant les conditions de forme établies par l'article
145 du Code de procédure pénale, et pour des durées qui ne sauraient excéder
celles que prévoit l'article 145-1 du même Code.
Il suit de là qu'un
juge commettrait l'infraction punie par l'article 432-4 s'il plaçait en
détention provisoire un individu poursuivi pour un délit punissable d'une
simple amende ou d'un emprisonnement inférieur au taux précédemment indiqué –
réserve faite, cependant, du cas où la mise en détention serait ordonnée, pour
un emprisonnement d'un taux moindre, parce que cet individu aurait voulu se
soustraire aux obligations du contrôle judiciaire auquel il aurait été
astreint.
3° Intention
L'intention consistera
ordinairement en la connaissance qu'a l'agent d'agir abusivement, hors
les cas prévus par la loi ou sans respecter les formes qu'elle impose ; mais l'intention
résulte également de ce que cet agent pouvait et devait savoir que l'acte
accompli était illégal. On voit mal, en effet, qu'un magistrat ou un
fonctionnaire puisse victorieusement invoquer son ignorance d'une règle légale
bien établie et dont sa fonction exige qu'il en connaisse l'existence et la
portée.
Sur l’intention
des délits
« L’élément
intentionnel résulte de la nature même du délit » ( Cass.crim,
4 janvier 1902 : DP 1904, p.128-19 mars 1942 : DA 1942, p.102-16 janv 1947 : Bull.crim,
N°23.-3 janv.1970 : D.1970, somm.p.68 ; Bull.crim,N°7)
Modalités de la répression
I / Sanctions Pénales :
L'infraction simple
entraîne, contre la personne dépositaire de l'autorité publique ou
chargée d'une mission de service public, coupable d'un acte attentatoire à
la liberté individuelle, la menace d'un emprisonnement de sept ans et d'une
amende de
À ces peines principales
s'ajoutent les peines complémentaires énumérées par l'article 432-17,
1°, 2° et 3°, savoir :
1°
l'interdiction des droits civils, civiques et de famille, selon les modalités
prévues par l'article 131-26;
2° l'interdiction, selon les modalités fixées par l'article 131-27, d'exercer
une fonction publique ou d'exercer l'activité professionnelle ou sociale dans
l'exercice ou à l'occasion de l'exercice de laquelle l'infraction a été
commise;
3° la confiscation, dans les conditions écrites à l'article 131-21, des sommes
ou des objets irrégulièrement reçus par
l'auteur du délit, à l'exception des objets susceptibles de restitution.
Il y a infraction aggravée
si l'acte attentatoire commise par le coupable a consisté en une détention ou
une rétention et que celle-ci ait duré plus de sept jours. L'infraction devient en ce cas un
crime, puni de trente ans de réclusion criminelle et de trois millions de
francs d'amende (art. 432-4,
al. 2), ainsi que des peines complémentaires indiquées ci-dessus. Il s'agit
d'un crime de droit commun, ainsi qu'il ressort de la nature de la peine
privative de liberté applicable ; logiquement, on doit reconnaître la même
nature à l'infraction simple.
SUR L’ABSENCE
D’ABUS DE DROIT D’AGIR EN JUSTICE.
Article 32-1 alinéa 7 du code de
procédure civile: Les nombreuses procédures pour la reconnaissance du droit
du défendeur à la propriété des biens litigieux, génératrices de soucis et de
dépenses, ne caractérisent pas une faute faisant dégénérer en abus le droit
d'agir en justice. Civ. 3e,
21 janv. 1998:
Bull. civ. III, no 17; D. 1998. IR. 47; D.
Affaires 1998. 293, obs. S. P.
SUR L’ABSENCE DE PRESCRIPTION
L’écoulement du délai de prescription se trouve comme mis en sommeil
quand la partie poursuivante se heurte à un obstacle de droit ou de fait qui
paralyse l’exercice de l’action publique. Il recommence à s’écouler, au point
où il en était, dès que l’obstacle a disparu.
Cour
sup. de just. du Luxembourg 19 décembre 1963 (Pas.Lux. 1963-1965 199) : La prescription est
suspendue, en vertu du principe contra non valentem agere non currit praescription, toutes les fois que l’exercice de l’action
est empêché par un obstacle provenant, soit de la loi, soit de la force
majeure.
Cass.crim. 28 mars 2000 (Gaz.Pal.
2000 II Chr.crim. 2160) : La prescription de l’action
publique est suspendue lorsqu’un obstacle de droit met la partie poursuivante
dans l’impossibilité d’agir (art. 6 et
Qu’en l’espèce au vu des
différentes plaintes déposées et saisines des autorités qui se sont refusé
d’intervenir pour ordonner l’indemnisation de Monsieur LABORIE André, ce
dernier se voit donc contraint de saisir la justice sur le fondement d’un droit
constitutionnel.
Le Conseil constitutionnel a déduit de l'article 4
de la Déclaration, l'exigence constitutionnelle...
Dont il résulte que tout fait quelconque de l'homme qui cause à autrui
un dommage oblige celui par la faute duquel il est arrivé à la réparer ( Cons. const., 9 nov. 1999, déc. n° 99-419 DC, considérant 90 :
Ree. Cons. const, p. 116). Précédemment, des
parlementaires avaient vainement soutenu que le principe de responsabilité
personnelle posé par l'article 1382 du Code civil était investi d'une valeur
constitutionnelle ( Cons. const., 27juill. 1994préc.
n° 6, considérant 16).
Que l’action civile peut être demandée autant devant la juridiction
civile que devant la juridiction pénale.
Qu’au vu de la gravité des délits et de ses conséquences la juridiction
pénale a été choisie pour statuer sur la responsabilité pénale et la
responsabilité civile de :
II / SUR LE DEROULEMENT DE CHACUNE DES DETENTIONS
ARBITRAIRES
SUBIES ET CONSOMMEES PAR MONSIEUR LABORIE ANDRE.
/ I / Sur la
détention arbitraire du 14 février 2006 au 14 septembre 2007.
Sous la
responsabilité de Monsieur DAVOST Patrice Procureur Général.
Sous la
responsabilité de Monsieur Amar BELACEL.
Le
parquet indivisible par sa nature.
RAPPEL DE PROCEDURE :
Monsieur LABORIE André avait de
nombreux contentieux à l’encontre de certains magistrats du parquet et du siège
ainsi qu’à l’encontre de certains auxiliaires de justice, ces derniers
poursuivis pour des faits très graves dans l’exercice de leurs fonctions,
« obstacle permanant à l’accès à
un tribunal, à un juge violation permanente des article 6 ;
6-1 ; 6-3 de la CEDH ».
Monsieur LABORIE André a
introduit différentes citations par voie d’action devant le tribunal
correctionnel de Toulouse pour obtenir une condamnation pénale à l’encontre des
auteurs et surtout obtenir réparation des différents préjudices causés et
subis.
Que c’est au vu des éléments
suivants pertinents de contestations que Monsieur LABORIE André a fait
l’objet d’une détention arbitraire caractérisée du 14 février 2006 jusqu’au 14
septembre 2007 :
·
Qu’une greffière de la cour d’appel de
Toulouse avait indiqué au cours de la détention de Monsieur LABORIE André, que
les magistrats toulousains lui voulaient sa peau et qu’il serait traîné à
terre.
Nous allons voir comment ces magistrats poursuivis ci dessous par des
actes judiciaires ont agi avec toute partialité à l’encontre de Monsieur
LABORIE André et hors la loi.
Une infime preuve de ce que sont capable certains magistrats :
·
Faux et
usage de faux d’une décision rendue par un magistrat du bureau d’aide juridictionnelle
de PAU dans le département 64 et certifiée conforme !!! (ci-joint pièce jointe).
Qu’elles sont les poursuites
faites antérieurement à l’encontre des magistrats qui ont jugé Monsieur LABORIE
André en violation de toutes les règles de droit et comme vous pourrez le
constater sur notre territoire français dans un temps non prescrit par la
loi. »
Que ces magistrats ont bien
participé activement à la détention arbitraire de Monsieur LABORIE André du 14
février 2006 au 14 septembre 2007, « le temps de détourner la propriété de
Monsieur et Madame LABORIE par un autre magistrat et ses complices ».
Soit les poursuites suivantes :
I / Requête de prise à partie déposée le 23 décembre 2005 à
l’encontre de Monsieur PUJO-SAUSSET , Président de la chambre des appel
correctionnelle à la cour d’appel de Toulouse. ( ci-joint pièce jointe).
II / Requête en demande de récusation déposée le 3 janvier 2006 à
l’encontre de : Monsieur PUJO-SAUSSET ; TREMOULEUX ;
SILVESTRE ; BATIER ; SALMERON. ( ci-joint pièce jointe).
III / Requête en demande de renvoi pour cause de suspicion légitime
le 2 janvier 2006 de Monsieur PUJO-SAUSSET ; TREMOULEUX ;
SILVESTRE ; BATIER ; SALMERON. ( ci-joint pièce jointe).
IV / Requête du 30 janvier 2006 déposée à la chambre criminelle en demande
de suspicion légitime de la juridiction toulousaine sur le fondement de
l’article 662 du cpp, avec la demande de l’effet
suspensif selon la circulaire C.662 du ccp, signification à Monsieur le
Procureur général prés la cour d’appel de Toulouse le 3 février 2006. (
ci-joint pièce jointe).
Pour n’en ignorer :
—
en cas
d'interruption du cours de la justice, notamment si la juridiction compétente
ne peut être légalement composée,
—
pour cause de
suspicion légitime,
—
dans l'intérêt
d'une bonne administration de la justice.
*
**
Qu’au vu de l’effet suspensif
demandé et joint à la requête, il était de droit que la juridiction toulousaine
ne puisse intervenir dans des décisions à prendre à l’encontre de Monsieur
LABORIE André avant que la chambre criminelle ne rende sa décision.
« Que sa décision de la chambre criminelle n’était pas encore rendue en
date du 15 février 2006, portée à la connaissance seulement en mars 2006 après
réclamation.
Que la demande de suspicion
légitime était demandée pour que soit respecté l’impartialité des magistrats en
leurs décisions à venir, demandes fondées au vu des textes de lois ci-dessous
et rappelant les faits déjà rencontrés de partialité par des voies de faits
consommées dont Monsieur LABORIE André s’était retrouvé victime:
Soit : « L’impartialité étant d’ordre public »
·
Du code de déontologie des magistrats
:
·
• Il incombe à tout juge d’observer une
réserve et d’éviter tout comportement de nature à entraîner le risque que son
impartialité soit mise en doute et qu’il puisse, de ce fait, être porté
atteinte à l’autorité de l’institution judiciaire ; un magistrat est tenu de se
déporter dés lors qu’il entretient ou a entretenu des relations suivies avec
une des parties au litige dont il est saisi.
·
• Le Magistrat qui, ayant l’obligation
morale de se déporter et d’éviter toute intervention de nature à donner
l’apparence d’un manquement à la neutralité et à l’impartialité, ne le fait
pas, faillit aux devoirs auxquels tout juge est tenu de se conformer dans sa
démarche et dans son action.
REPRESSION SYSTEMATIQUES & DOSSIERS
AUTO-FORGES.
A l’encontre de Monsieur LABORIE André
Que Monsieur LABORIE André a fait
l’objet de poursuites judiciaires du 13 et 14 février 2006, mis en garde à vue
à la gendarmerie de Saint Orens sous le contrôle du
parquet et concernant une soit disant fraude au RMI et à l’aide
juridictionnelle.
·
Alors que les faits sont inexacts, Monsieur
LABORIE André a fait l’objet d’une comparution immédiate en date du 14 février
2006 devant Monsieur THEVENOT Jean François, Substitut de Monsieur le Procureur
de la République de Toulouse.
Qu’au cours de cette comparution,
a été porté à la connaissance de Monsieur LABORIE. « Moi-même », d’autres
chefs de poursuites « auto- forgés » : Faux en
écritures, exercice illégal à la profession d’avocat, outrage à magistrat, escroquerie au RMI,
escroquerie à l’aide juridictionnelle et autres.
Qu’il est porté à la connaissance
que ces poursuites diligentées à l’encontre de Monsieur LABORIE André étaient
dans le seul but de le faire incarcérer pour le priver de ses droits de défense
et pour le faire cesser en ses différentes actions en justice menées contre des
magistrats, et auxiliaires de justice et autres.
Qu’il est apporté à la
connaissance que le parquet avait avant cette répression, tout tenté pour
mettre Monsieur LABORIE André sous sauvegarde de justice, tutelle pour
l’empêcher d’agir en justice, ce qui n’avait pas marché, Monsieur LABORIE André
n’était pas atteint d’une quelconque déficience mentale et physique après de
longs mois de combat devant la justice.
Que la seule solution pour les
autorités toulousaines était de mettre au plus vite Monsieur LABORIE André en
prison pour lui faire obstacle à tous ses moyens de défense et aller même
jusqu’à profiter d’une détention arbitraire pour lui détourné sa propriété appartenant
à Monsieur et Madame LABORIE.
Le tout bien prémédité par faux
et usages de faux pour prévoir ensuite l’expulsion à la sortie de Monsieur
LABORIE André pour le laisser à terre, dans la rue sans plus aucun moyen de
défense et sans aucun moyen matériel, tous les meubles et objets volés.
Qui a participé et sous le
couvert de certaines autorités poursuivies en justice par Monsieur LABORIE
André.
Soit les plaintes suivantes auto forgées et par préméditation :
·
Plainte de l’ordre des avocats de Toulouse.
·
Plainte du conseil national des Barreau des
avocats de France.
·
Plainte de l’ordre des avocats de France.
Et pour exercice illégal à la
profession d’avocat, alors que Monsieur LABORIE André n’a jamais exercé la
profession d’avocat, ces derniers usant simplement d’un faux document effectué
par un magistrat de la juridiction de PAU dans le seul but de nuire aux
intérêts de Monsieur LABORIE André indiquant que Monsieur LABORIE André était
avocat « ce qui était faux » ( ci-joint la décision rendue par le bureau
d’aide juridictionnelle de PAU dans le département 64.
Différentes plaintes ont été
déposées concernant ce faux intellectuel effectué par un magistrat « et
certifié conforme » plainte restées sans réponse.
Monsieur LABORIE André qu’en
même poursuivi.
·
Plainte du conseil général pour avoir obtenu le
RMI par la fraude.
·
Plainte du bureau d’aide juridictionnelle du
T.G.I de Toulouse pour supprimer le versement et le paiement à mon avocat à fin
que celui ci n’intervienne plus dans les intérêts de Monsieur LABORIE André.
·
Plainte pour faux et usage de faux au sein d’une
association dont je j’en étais pas le président.
·
Plainte pour outrage à la demande d’un magistrat
« Monsieur CAVE Michel » pour exclure Monsieur LABORIE d’un procès
en saisie immobilière et à fin qu’il puisse agir en toute impunité comme
ci-dessous, il seras expliqué comment ce magistrat a activement participé et
auteur du détournement de la propriété de Monsieur et Madame LABORIE et actes
suivants…par faux intellectuels.
**
Voilà en date du 14 février 2006
ce qui s’est passé devant Monsieur THEVENOT jean François substitut de Monsieur
le Procureur de la République de Toulouse et agissant sous le contrôle de sa
hiérarchie Monsieur DAVOST Patrice.
Monsieur LABORIE André affaibli
par la garde à vue et la pression exercée, ce en violation de ses droits de
défense sur le fondement de l’article 393
du cpp, sans l’assistance d’un avocat devant le
procureur de la république, il a été renvoyé en prison sur le fondement de
l’article 396 du cpp jusqu’au 15 février 2006, jour
de la comparution immédiate en son audience de 14 heures.
Rappel de l’article 393 du cpp :
justifiant la nullité de toute la procédure, par l’absence de l’avocat devant
le procureur de la république : « d’ordre public ».
Art. 393 cpp (L.
n° 83-466 du 10 juin 1983) En matière
correctionnelle, après avoir constaté l'identité de la personne qui lui est
déférée, lui avoir fait connaître les faits qui lui sont reprochés et avoir
recueilli ses déclarations si elle en fait la demande, le procureur de
la République peut, s'il estime qu'une information n'est pas nécessaire,
procéder comme il est dit aux articles
394 à 396.
Le procureur de la République informe alors la
personne déférée devant lui qu'elle a le droit à l'assistance d'un (L. n° 93-2 du 4 janv. 1993) «avocat» de son choix
ou commis d'office.
L'avocat choisi ou, dans le cas d'une demande de commission
d'office, le bâtonnier de l'ordre des avocats, en est avisé sans délai.
L'avocat peut consulter sur le champ le dossier et communiquer
librement avec le prévenu.
·
Mention de ces formalités est faite au
procès-verbal à peine de nullité de la procédure.
·
L’article 393 est repris dans son article
706-106, l’avocat doit être présent devant le procureur de la république sous
peine de nullité de la procédure.
Art. 706-106 cpp Lorsque, au cours de l'enquête, il a été
fait application des dispositions des articles 706-80 à 706-95, la
personne qui est déférée devant le procureur de la République en application
des dispositions de l'article
Celui-ci peut consulter sur le champ le
dossier et communiquer librement avec elle, conformément aux dispositions des
deuxième et troisième alinéas de l'article 393.
La personne comparaît alors en présence de
son avocat devant le procureur de la République qui, après avoir entendu ses
déclarations et les observations de son avocat, soit procède comme il est dit
aux articles 394 à 396, soit requiert l'ouverture d'une information.
Si le procureur
de la République saisit le tribunal correctionnel selon la procédure de
comparution immédiate, les dispositions du deuxième alinéa de l'article 397-1 permettant au prévenu
de demander le renvoi de l'affaire à une audience qui devra avoir lieu dans un
délai qui ne peut être inférieur à
deux mois sans être supérieur à quatre mois sont applicables, quelle
que soit la peine encourue.
En date du 15 février 2006, le tribunal ne pouvait ignorer :
I / Qu’il existait une requête du 1er février 2006 en
demande de suspicion légitime de toute la juridiction toulousaine prés la cour
de cassation avec joint la demande d’effet suspensif.
II / Qu’il existait un conflit d’intérêt avec l’avocat nommé
d’office par l’ordre des avocats plaignant.
III / Qu’il existait la nullité de toute la procédure, par
l’absence d’un avocat devant Monsieur le Procureur de la République en son
audience du 14 février 2006, Monsieur LABORIE André présenté sur le fondement de l’article 393 du
cpp.
IV / Qu’il existait une partialité établie au vu des articles 662-13 ;
43 du cpp et du code de la déontologie des
magistrats. « Le tout repris
ci-dessus ».
V / Qu’il existait une demande écrite par Monsieur LABORIE André,
pour obtenir les pièces de la procédure au dos du procès verbal de comparution
à fin de lui permettre d’assurer sa défense.
VI / Que les pièces n’ont pas été produites à Monsieur LABORIE
André.
VII / Qu’au vu des pièces non produites, la nullité de toute la
procédure s’imposait sur le fondement de l’article 802 alinéa 46 du cpp.
·
Article
802 alinéa 46 du code de procédure pénale. Droit à l’information.
VIII / Du délai raisonnable pour préparer la
défense : « article 6 ; 6-1 ; 6-3 de la CEDH.
·
Lorsque le
délai de dix jours prévu à l'art.
IX / Que Monsieur LABORIE
André en cette audience du 15 février 2006 s’est refusé d’être jugé sans
préparer sa défense.
·
Les dires de Monsieur LABORIE ne peuvent
être contestés avec toutes les preuves à l’appui. « Et qui peuvent être contrôlées par toutes
autorités ».
Le tribunal en son audience du 15 février 2006 s’est refusé de
respecter les mesures d’ordre publiques soit :
·
Les droits de la défense doivent être effectifs.
·
Le tribunal doit être impartial.
·
Le tribunal doit être indépendant.
Agissements du tribunal en son
audience du 15 février 2006 dans le seul but de mettre Monsieur LABORIE André
en prison et le faire taire, l’empêcher d’agir en justice contre certains
magistrats et auxiliaires de justice comme expliqué ci-dessus, le dépouiller de
tous ses biens pendant son incarcération en profitant de l’absence de Monsieur
LABORIE André et de ses moyens de défense.
Monsieur LABORIE André en son
audience du 15 février
Que Monsieur LABORIE André dans
l’attente d’un avocat extérieur au barreau de Toulouse et pour conflit
d’intérêt pour assurer sa défense, a été condamné à 2 années de prison ferme à
l’audience du 15 février 2006 et pour avoir accepté de répondre à quelques
questions alors qu’au préalable Monsieur LABORIE André avait été demandé le
renvoi pour préparer la défense.
Que Monsieur LABORIE André a été
renvoyé immédiatement en prison par une condamnation arbitraire à l’audience du
15 février 2006.
Que Monsieur LABORIE André a été
renvoyé en prison sans une décision distincte et motivée du jugement rendu.
Que Monsieur LABORIE André a été
renvoyé en prison sans une condamnation définitive, ne pouvant exister un
quelconque délit et de trouble à l’ordre public ».
Que Monsieur LABORIE André a été
mis en prison sans respecter les voies de recours du délai de dix jours pour
former un appel sur la décision du 15 février 2006.
Que Monsieur LABORIE André ne
connaissant pas le contenu de son jugement a fait immédiatement appel le 16
février 2006 sur tout son ensemble.
Que dans les 10 jours il n’a
jamais été notifié la décision du 15 février 2006 à Monsieur LABORIE André pour
respecter ses droits de défense en tant que prévenu.
Que le jugement du 15 février
2006 était nul de plein droit pour violation des droits de la défense sur le
fondement de l’article 486 du cpp et de l’arrêt
du 24 juillet 2007 rendue par la Cour européenne des droits de
l’homme.
Rappel : Sur le jugement :
Le jugement doit être
dactylographié et déposé dans les trois jours sur le fondement de l’article 486
du code de procédure pénale.
Ce dépôt est nécessaire aux
parties avant le délai d’appel pour prendre connaissance de son contenu en ses
motifs qui a permis de prendre des
dispositions du jugement.
·
Rappelant
que l’absence de motif vaut nullité du jugement sur le fondement de l’article
485 du cpp.
Qu’en l’espèce au vu de l’article
6 alinéa 85 de la CEDH, la seule lecture du dispositif du jugement du T.G.I
avant l’expiration du délai d’appel porte atteinte aux droits de la défense
CEDH du 24 juillet 2007.
Article 6 Alinéa 85 : Motivation des décisions de justice. La seule lecture à
l'audience du dispositif du jugement du tribunal correctionnel avant
l'expiration du délai d'appel porte atteinte aux droits de la défense. CEDH
sect. II, 24 juill. 2007:
Arrêt de Jurisprudence DALLOZ
Cour européenne des droits de l'homme
24 juillet 2007n° 53640/00
Sommaire : L’absence de communication écrite de la décision avant
expiration du délai d'appel viole les droits de la défense.
Texte intégral :
Cour européenne des droits de l'homme24 juillet 2007N° 53640/00
« Faute
d'avoir pu obtenir le jugement complet avant l'expiration du délai d'appel, le
requérant avait donc pour seule issue d'interjeter appel sans connaître aucun
des éléments de la motivation retenue par le tribunal correctionnel.
_ [...] La Cour estime qu'en
l'espèce, la seule lecture à l'audience du dispositif du jugement du tribunal
correctionnel avant l'expiration du délai a porté atteinte aux droits de la
défense ».
Art. 486 alinéa 9 du code de procédure pénale:. Ainsi le dépôt tardif de
la minute d'un jugement ne peut entraîner la nullité de celui-ci lorsque
le prévenu n'en a subi aucun préjudice. •
QU’EN
CONCLUSION SUR LES AGISSEMENTS DU T.G.I.
Le jugement rendu le 15
février 2006 en violation de tous les droits ci-dessus est nul de
plein droit.
Qu’en conséquence au vu
de la violation des droits de défense du prévenu constaté par la cour
européenne des droit de l’homme en sont arrêt ci-dessus, et pour n’avoir remis
au prévenu dans le délai d'appel le jugement, sur le fondement de
l’article 486 alinéa 9 du cpp, le jugement est nul.
·
Il est précisé que ce
jugement a été communiqué seulement quelques mois après la date du 15 février
2006 et comme il en sera justifié ci-dessous.
Que ce jugement ne peut
que constituer en conséquence « qu’un faux intellectuel »
Qu’au vu de tous ces
éléments ci-dessus la détention arbitraire de Monsieur LABORIE André en date du
14 février 2006 est caractérisée.
QU’AU
VU DE L’APPEL DU JUGEMENT EN TOUTES SES DISPOSITIONS.
En
date du 16 février 2006.
La détention
arbitraire de Monsieur LABORIE André a continué.
Monsieur LABORIE André a immédiatement introduit différentes
demandes de libertés.
·
1er
pour faire valoir sa détention arbitraire.
·
2ème
pour être libéré à fin de pouvoir assurer sa défense effective.
Que la cour d’appel de Toulouse
s’est refusé dans les vingt jours de l’appel de statuer sur mon appel effectué
le 16 février 2006 concernant ma mise en détention à l’audience du 15
février 2006 et par une décision distincte et motivée qui devait être
rendues et jamais portée à la connaissance de Monsieur LABORIE André.
·
Ce qui
confirme la détention arbitraire de Monsieur LABORIE André depuis le 14 février
2006 et sur le fondement de la violation de l’article 148-2 du cpp.
·
Art. 148-2 (L. no
83-466 du 10 juin 1983)
Toute juridiction appelée à statuer, en application des
articles 141-1 et 148-1, sur une demande de mainlevée totale ou partielle du
contrôle judiciaire ou sur une demande de mise en liberté se prononce après
audition du ministère public, du prévenu ou de son (L. no 93-2 du 4 janv. 1993) «avocat»; le prévenu non détenu et son (L. no 93-2 du 4 janv. 1993) «avocat» sont convoqués, par lettre
recommandée, quarante-huit heures au moins avant la date de l'audience. (L. no 2004-204 du 9 mars 2004, art. 102)
«Si la personne a déjà comparu devant la juridiction moins de quatre
mois auparavant, le président de cette juridiction peut en cas de demande de
mise en liberté refuser la comparution personnelle de l'intéressé par une
décision motivée qui n'est susceptible d'aucun recours.»
·
no
2002-1138 du 9 sept. 2002, art. 38) «Lorsque la personne n'a pas encore été jugée
en premier ressort, la juridiction saisie statue dans les dix jours ou les
vingt jours de la réception de la demande, selon qu'elle est du premier ou du
second degré. Lorsque la personne a déjà été jugée en premier ressort et
qu'elle est en instance d'appel, la juridiction saisie statue dans les deux
mois de la demande. Lorsque la personne a déjà été jugée en second ressort et
qu'elle a formé un pourvoi en cassation, la juridiction saisie statue dans les
quatre mois de la demande.
·
«Toutefois, lorsqu'au jour de la réception de
la demande il n'a pas encore été statué soit sur une précédente demande de mise
en liberté ou de mainlevée de contrôle judiciaire, soit sur l'appel d'une
précédente décision de refus de mise en liberté ou de mainlevée du contrôle
judiciaire, les délais prévus ci-dessus ne commencent à courir qu'à compter de
la décision rendue par la juridiction compétente. Faute de décision à
l'expiration des délais, il est mis fin au contrôle judiciaire ou à la
détention provisoire, le prévenu, s'il n'est pas détenu pour une autre cause,
étant d'office remis en liberté.»
·
La décision du tribunal est immédiatement
exécutoire nonobstant appel; lorsque le prévenu est maintenu en détention, la
cour se prononce dans les vingt jours de l'appel, faute de quoi le prévenu,
s'il n'est pas détenu pour autre cause, est mis d'office en liberté.
« Ci-joint appel du jugement du 15 février
2006 ».
SUR
MES DIFFERENTES DEMANDES DE MISES EN LIBERTE
Postérieures
à celle du 16 février 2006 sur le maintient en détention.
Monsieur LABORIE André a formulé différentes demandes de mises en
liberté pour détention arbitraire depuis le 9 mars 2006 et pour préparer sa
défense devant la Cour d’Appel de Toulouse, se défendant seul au moment de ses
demandes, ne pouvant obtenir un avocat, aucun moyen pour en saisir un, monsieur LABORIE démuni de moyen financier,
un refus systématique à l’aide juridictionnelle.
Rappelant que sont parties civiles .
Mon seul moyen de défense était
d’être libre pour apporter la substance à la cour d’appel après bien entendu
avoir eu le temps nécessaire de préparer ma défense.
Sur
ma première demande de mise en liberté pour détention arbitraire et pour
préparer ma défense sur le fond de l’affaire devant la Cour d’Appel de
Toulouse.
Un arrêt a été rendu par la cour
d’appel le 30 mars 2006, (faux en écriture publique) Monsieur LABORIE
André ne pouvant être détenu régulièrement
par un mandat de dépôt du 14 février 2006. ( il ne peut en exister
), seule une mise en détention pour une durée de 3 jours.
Liberté refusée par la composition suivante de la cour
d’appel de Toulouse (juge et partie), tolérant ma
détention arbitraire depuis le 9 mars 2006. ( ci-joint arrêt pièce ) et par le
refus de n’avoir statué sur mon appel de maintient en détention effectué le 16
février 2006.
Détention arbitraire de
Monsieur LABORIE André Fait : réprimée par les articles 432-4 et
432-5 du code pénal.
Un pourvoi en cassation a été
formé le 4 avril 2006 ( pièce ci jointe) soulevant la partialité, l’excès
de pouvoir, les Magistrats composant la cours étaient poursuivis juridiquement
par Monsieur LABORIE André dans des affaires graves.
La cour de cassation n’a jamais
répondu dans le délai légal sur ma détention arbitraire, elle se devait de
répondre dans les 3 mois sur le fondement de l’article 567-2 du CPP, faute de
quoi Monsieur LABORIE André aurai du être remis d’office en liberté.
La détention arbitraire est
encore une fois confirmée par l’absence de décision conforme de la chambre
criminelle, Monsieur LABORIE André aurait du être libéré sur le fondement de
l’article 567-2 du NCPP.
Sur
ma seconde demande de mise en liberté pour détention arbitraire et pour
préparer ma défense sur le fond de l’affaire devant la Cour d’Appel de
Toulouse.
En son audience du 18 mai 2006.
Le fond de l’appel du jugement du 15 février
Seule la demande de mise en liberté a été
entendue contradictoirement et soulevant la détention arbitraire depuis la 15
février 2006.
Qu’un arrêt a été rendu par la
cour d’appel le 23 mai 2006 ( faux en écriture publique) Monsieur LABORIE
André ne pouvant être détenu régulièrement
par un mandat de dépôt du 14 février 2006. ( ne peut exister )
Liberté refusée par la composition suivante de la cour
d’appel de Toulouse, tolérant ma détention arbitraire depuis le 9 mars 2006. (
ci-joint arrêt ).
Détention arbitraire de
Monsieur LABORIE André : Fait
réprimé par les articles 432-4 et 432-5 du code pénal.
Un pourvoi en cassation a été
formé le 8 juin 2006 ( pièce jointe) soulevant la partialité, l’excès de
pouvoir, les Magistrats composant la cours étaient poursuivis juridiquement par
Monsieur LABORIE André dans des affaires graves.
La cour de cassation n’a jamais
répondu dans le délai légal sur ma détention arbitraire, elle se devait de
répondre dans les 3 mois sur le fondement de l’article 567-2 du NCPP, faute de
quoi j’aurai du être remis d’office en liberté.
La détention arbitraire est encore une fois confirmée par
l’absence de décision conforme de la chambre criminelle, Monsieur LABORIE André
aurait du être libéré sur le fondement de l’article 567-2 du NCPP.
DEROULEMENT
SUR LE FOND
Appel
du jugement du 15 février 2006.
En
son audience du 30 mai 2006 devant la cour d’appel de Toulouse.
Il est facile à comprendre les
agissements de la cour d’appel de Toulouse sous la responsabilité de Monsieur
DAVOST Patrice Procureur Général, d’avoir directement ou indirectement
participé à la violation de toutes les
règles de droit en son audience du 30 mai 2006 et dans le seul but de faire
obstacle encore une fois à la liberté de Monsieur LABORIE André alors qu’il
était déjà en détention arbitraire depuis le 9 mars 2006, maintient en
détention en date du 15 février 2006, sans
aucun mandat de dépôt.
A cette audience, la cour était
composée des Magistrats suivants et des mêmes magistrats qui m’ont refusé mes
deux demandes de mise en liberté pour préparer ma défense et qui ont été juges
et parties, ces derniers poursuivis juridiquement par Monsieur LABORIE André
devant Monsieur le Premier Président et les hautes autorités, récusés dans deux
précédentes affaires pour motifs graves antérieurement à la prise d’otage en
date du 13 février 2006.
TEXTES :
·
Article préliminaire alinéa 30 du cpp. Ne peut composer la
chambre correctionnelle appelée à juger un prévenu le magistrat qui, en qualité de juge des libertés et
de la détention, a statué auparavant sur
une demande de mise en liberté formée par l'intéressé. Crim. 16 mai 2007: Bull. crim. n°
128; D. 2010. Pan. 2261, note Pradel; AJ pénal 2007. 386, obs. Saas .
A cette audience du 30
mai 2006:
J’ai fait déposer une requête en
récusation présentée à Monsieur le Premier Président de la cour d’appel de
Toulouse de tous les membres de la cour.
Monsieur le Premier Président n’a
répondu sur cette requête que le 19 juin 2006.
La cour était avisée de cette
requête déposée à l’ouverture de l’audience.
La cour était avisée d’une
demande de renvoi formulée par Monsieur LABORIE André au motif qu’il avait
saisi le bureau d’aide juridictionnelle de Toulouse en date du 23 mai 2006 et
après le refus de mise en liberté en son audience du 18 mai 2006 pour obtenir
la possibilité de se défendre et précédentes.
Demande de l’aide
juridictionnelle pour obtenir l’assistance d’un avocat Parisien (Maître
BOUZERAN), conflit d’intérêt avec les avocats toulousains qui ont porté plainte
à l’encontre de Monsieur LABORIE André dans la procédure.
La loi n° 91-647 du 10 juillet 1991 relative à l'aide juridique.
Conformément
d'ailleurs aux dispositions de l'article 6 § 1 de la Convention européenne de
sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales, garantit en son
article 1er «l'accès à la justice et au droit», et son article 18 dispose que «L'aide juridictionnelle peut
être demandée avant ou pendant l'instance».
L'article 41 prévoit même que « la demande d'aide
juridictionnelle (peut être) formée après que la partie concernée ou son
mandataire a eu connaissance de la date d'audience et moins d'un mois avant
celle-ci ».
Enfin, l'article 43 dispose que :
·
« Sous réserve des dispositions de l'article 41, le
secrétaire du bureau d'aide juridictionnelle ou de la section du bureau, en cas
de demande d'aide juridictionnelle formée en cours d'instance, en avise le
président de la juridiction saisie.
·
Dans le cas où la demande est faite en vue d'exercer une
voie de recours, l'avis est adressé au président de la juridiction devant
laquelle le recours doit être porté ».
Il résulte de ces dispositions, implicitement mais
nécessairement, et sauf à les priver de toute portée, que la juridiction saisie
d'un recours dans le cadre duquel a été présentée une demande d'aide
juridictionnelle ne peut se prononcer sur le litige avant qu'il ait été statué
sur ladite demande.
C'est pourquoi la jurisprudence considère que
statue «
en méconnaissance des règles générales de procédure
» applicables devant elle la
juridiction qui rend sa décision alors que le bureau d'aide juridictionnelle,
régulièrement saisi par le requérant, n'a pas encore statué (CE 23 juillet 1993
Batta, req. 145824 ; 27 juillet 2005 Mlle Ait Melloula,
req. 270540).
Le Conseil d'Etat estime en effet que les
dispositions particulières régissant l'octroi de l'aide juridictionnelle « ont pour objet de rendre
effectif le principe à valeur constitutionnelle du droit d'exercer un recours » (CE sect.10 janvier 2001 Mme Coren,
req. 211878, 213462).
Bien plus, il a été jugé que le régime de l'aide
juridictionnelle « contribue à la mise en œuvre du droit constitutionnellement
garanti à toute personne à un recours effectif devant une juridiction », de sorte que « l'irrégularité tenant à ce
qu'une décision juridictionnelle a été rendue en méconnaissance de l'obligation
de surseoir à statuer - que la demande ait été présentée directement devant le
bureau d'aide juridictionnelle ou bien devant la juridiction saisie - doit être
soulevée d'office par la juridiction qui est saisie de cette décision» (CE avis 6 mai 2009 Khan, req.
322713; AJDA 2009, p. 1898, note B. Arvis).
Ainsi, il ressort de la jurisprudence tant
constitutionnelle.
·
Dans
le cas où la demande d'aide juridictionnelle est formée en cours d'instance, le
secrétaire du bureau ou de la section doit aviser le président de la
juridiction saisie (D. n° 91-1266, 19 déc. 1991,
art. 43). À
défaut, le jugement de première instance encourt l'annulation (CE, 4 mars
1994, Murugiah : Juris-Data
n° 041126 ; JCP1994GIV, p. 150, note M.C. Rouault).
· De même, en application
des « règles générales de procédure », il est clairement exclu que le tribunal administratif rejette les
conclusions d'un requérant avant qu'il ait été statué sur la demande d'aide
juridictionnelle déposée simultanément par celui-ci (CE, 23 juiU. 1993, Batta, req. n° 145824).
**
La cour était avisée d’une
demande de renvoi faite par un avocat Parisien (Maître BOUZERAN) et antérieurement à l’audience du 30 mai 2006.
La cour était avisée par Maître
BOUZERAN d’une demande de pièces du dossier qui a été accordée par le ministère
public.
Précisant que ces pièces sont
parvenues à Maître BOUZERAN seulement en juillet 2006 après l’audience du 30
mai 2006.
Que la cour après avoir
soulever ma demande, soit la demande de
report aux motifs ci-dessus a ordonné à la force publique de m’enlever de
l’audience alors que j’étais correct et serein au vu des éléments de droit soulevés
et ils m’ont mis en cellule au sous sol de la cour d’appel.
Monsieur LABORIE non présent et
non représenté à l’audience du 30 mai 2006.
Monsieur LABORIE a été remonté
par la police devant la cour après que le ministère public ait fait ses
réquisitions.
Monsieur LABORIE André n’a jamais
eu connaissance de ces réquisitions pour y répondre, ce qui est confirmé par
l’arrêt rendu le 14 juin 2006.
Que cet arrêt du 14 juin 2006 est bien entaché de nullité.
·
Violation de l’article préliminaire alinéa
30 du cpp.
·
Violation La loi n° 91-647 du 10 juillet 1991 relative à l'aide juridique reprise
ci-dessus.
·
Violation des droits de défense article
6 ; 6-1 ; 6-3 de la CEDH.
·
Violation de l’article 802 alinéa 46 du cpp, refus de communiquer les pièces.
·
En violation de l’article 513 alinéa 11 du cpp.
·
Récusation refusée par la cour avant que
Monsieur le Premier Président rende son ordonnance en date du 19 juin 2006.
·
Report d’audience refusée suite à la demande de
Maître BOUZERAN et en attente de l’aide juridictionnelle régulièrement déposée
le 23 mai 2006 et des pièces de la procédure.
·
Aucune possibilité de se faire entendre autant
sur les exceptions de la procédure que sur le fond des poursuites.
·
En mon absence, avec partialité, refus
d’accepter la récusation et la demande de renvoi ( ci-joint justificatif ).
·
En l’absence de mon avocat et sa demande de
renvoi. ( ci-joint justificatif ).
·
En l’absence des pièces demandées par mon avocat
( Nullité de la procédure, article 802 alinéa 46 du NCPP) ( ci-joint
justificatif ).
LES VOIES DE RECOURS.
Que Monsieur LABORIE André a
formé opposition auprès du greffe de la maison d’arrêt de SEYSSES sur l’arrêt
du 14 juin 2006 n’ayant pu y assister en son audience ni y être représenté par
un avocat, arrêt rendu en violation des éléments ci-dessus.
Que Monsieur LABORIE André a
formé aussi un pourvoi en cassation sur l’arrêt du 14 juin 2006 auprès du
greffe de la maison d’arrêt et postérieurement à l’enregistrement de
l’opposition sur l’arrêt du 14 juin 2006.
·
Que
l’aide juridictionnelle à la cour de cassation a été demandée, elle a été
refusée alors que j’étais détenu, sans revenue et en présence de moyens de
cassation incontestables.
Qu’après coup, j’ai appris que
j’ai eu la demande d’aide juridictionnelle refusée par le T.G.I de Toulouse
suite à ma demande en date du 23 mai 2006 pour la prise en charge de Maître
BOUZERAN alors que l’état se devait de la protection par l’aide
juridictionnelle des personnes démunies de moyen financier pour obtenir un
avocat.
Que Monsieur LABORIE s’est vu
refuser d’être présent en son audience publique à la cour de cassation, privé
du rapport du conseiller rapporteur, privé des conclusions de l’avocat général
alors que par écrit Monsieur LABORIE André avait demandé d’être présent.
Demandes de
mise en liberté après que les voies de recours ont été saisies sur l’arrêt du
14 juin 2006 et pour faire valoir la détention arbitraire.
Sur
ma troisième demande de mise en liberté pour détention arbitraire et pour préparer
ma défense sur le fond de l’affaire devant la Cour d’Appel de Toulouse.
Un arrêt a été rendu par la cour
d’appel le 23 août 2006 ( Faux en écritures publiques) Monsieur LABORIE
André ne pouvant être détenu régulièrement
par un mandat de dépôt du 14 février 2006. ( ne peut exister )
Liberté refusée par la composition suivante de la cour
d’appel de Toulouse, tolérant ma détention arbitraire depuis le 9 mars 2006. (
ci-joint arrêt pièce N° ).
FAIT : prévu et réprimé par les
articles 432-4 et 432-5 du code pénal.
Un pourvoi en cassation a été
formé le 8 septembre 2006 soulevant la partialité, l’excès de pouvoir, les
Magistrats composant la cours étaient poursuivis juridiquement par Monsieur
LABORIE André dans des affaires graves.
La cour de cassation n’a jamais
répondu dans le délai légal sur ma détention arbitraire, elle se devait de
répondre dans les 3 mois sur le fondement de l’article 567-2 du NCPP, faute de
quoi j’aurai du être remis d’office en liberté.
La détention arbitraire est
encore une fois confirmée par l’absence de décision conforme de la chambre
criminelle, Monsieur LABORIE André aurait du être libéré sur le fondement de
l’article 567-2 du NCPP.
Sur ce même arrêt du 23
août 2006, Monsieur LABORIE André a formé une opposition par l’absence
d’être présent à l’audience en ses débats et en étant excusé auprès de la cour
( ci-joint pièce N° ). Arrêt rendu
contradictoire par excès de pouvoir.
Que les débats se sont ré ouverts
le 10 octobre 2006, Monsieur LABORIE
André seul a se défendre et à faire valoir sa cause, a été pris à parti
par la police à l’audience et sous les ordres de son président pour ne pas
qu’il s’explique publiquement sur la détention arbitraire qu’il subissait, il a
été agressé violemment par la police et exclu de la sale d’audience ( ci-joint
certificat médical relatant les coups et blessures pièce N° ).
La composition de la cour à l’audience du 10 octobre
2006 :
Sur cette décision à l’audience
du 10 octobre 2006, la détention arbitraire a toujours été tolérée par les
magistrats ci-dessus ( ci-joint arrêt ).
Sur
ma quatrième demande de mise en liberté pour détention arbitraire et pour
préparer ma défense sur le fond de l’affaire devant la Cour d’Appel de Toulouse
et suite à une opposition pendante sur un arrêt rendu sur le fond en date du 14
juin 2006.
Un arrêt a été rendu par la cour
d’appel le 17 octobre 2006 ( faux en écriture publique) Monsieur LABORIE
André ne pouvant être détenu régulièrement
par un mandat de dépôt du 14 février 2006. ( ne peut exister ).
Liberté refusée par la
composition suivante de la cour d’appel de Toulouse, tolérant ma détention
arbitraire depuis le 9 mars 2006. ( ci-joint arrêt pièce N° ).
Ces derniers sont toujours juges et parties.
Cet arrêt du 17 octobre
En son audience du 29
novembre 2006, j’ai été assisté de Maître BOUZERAND Avocat au barreau
de PARIS, ce dernier soulevant ma détention arbitraire bien établie depuis le 9
mars 2006.
La cour a encore toléré cette
détention arbitraire et a rendu sa décision par un arrêt du 20 décembre
2006, ( par faux et usage de faux en écriture publique ) et en
prétextant les mêmes termes que les arrêts précédents, avec partialité , excès
de pouvoir, déni de justice de se
refuser de statuer réellement sur l’invalidité du mandat de dépôt du 14 février
2006 ne pouvant être supérieur à la comparution devant le tribunal en son
audience du 15 février 2006 et de l’absence de condamnation définitive.
Que la composition de la cour en
son audience du 29 novembre 2006 était composée des magistrats suivants :
·
Monsieur SUQUET, Président
·
Monsieur
BASTIE, conseiller
·
Monsieur LLAMANT, conseiller
·
Monsieur SILVESTRE, Avocat Général
L’arrêt rendu est un faux en
écriture publique, reprenant l’inexactitude des autres arrêts mais encore plus
grave, la décision a été rendue par une autre composition de la cour :
Monsieur LLAMANT absent dans la
décision, figure le nom de Madame SALMERON alors que cette dernière était
absente.
L’arrêt est entaché de nullité
sur le fondement de l’article 592 du NCPP.
Qu’un pourvoi en cassation a été
formé le 11 janvier 2007 la chambre
criminelle n’a jamais statué contradictoirement et sur le fondement de
l’article 567-2 du NCPP.
La détention arbitraire est encore une fois confirmée par
l’absence de décision conforme de la chambre criminelle, Monsieur LABORIE André
aurait du être libéré sur le fondement de l’article 567-2 du NCPP.
Sur
ma cinquième demande de mise en liberté pour détention arbitraire et pour
préparer ma défense sur le fond de l’affaire devant la Cour d’Appel de Toulouse
et suite à une opposition en date du 15 juin 2006 pendante sur un arrêt rendu
sur le fond en date du 14 juin 2006
La demande de mise en liberté
présentée le 27 décembre 2006 n’a jamais été entendue devant la cour d’appel de
Toulouse dans les 4 mois ( ci-joint demande au greffe de la MA de Seysses pièce
N° ).
Un arrêt a été rendu le 15 mars
dont les débats auraient eu lieu ce même jour, en mon absence et non convoqué
pour le 15 mars 2007, ce qui constitue un faux en écriture.
Sur le fondement de l’article
148-2 du NCPP, j’aurai du être libéré le 27 avril 2007.
La détention arbitraire est
encore une fois confirmée par l’absence de décision conforme
Qu’un pourvoi en cassation a été
formé, la chambre criminelle n’a jamais statué contradictoirement et sur le
fondement de l’article 567-2 du NCPP.
La détention arbitraire est
encore une fois confirmée par l’absence de décision conforme de la chambre
criminelle, Monsieur LABORIE André aurait du être libéré sur le fondement de
l’article 567-2 du NCPP.
SUR
LES AGISSEMENTS DE LA COUR D’APPEL POUR COUVRIR
CETTE DETENTION ARBITRAIRE.
Représentée
par Monsieur DAVOST Patrice Procureur Général.
La cour d’appel de Toulouse pour
couvrir ces différentes décisions tolérant la détention arbitraire de Monsieur
LABORIE André et depuis le 9 mars 2006, fait croire l’exécution d’un arrêt de
la cour d’appel de Toulouse du 14 juin 2006 dont ce dernier fait l’objet d’une
opposition effectuée l5 juin 2006 ( ci-joint justificatif ) .auprès du greffe
de la MA de Seysses et enregistrée à la cour d’appel
sous les références : 06 4600 devenues N° 06314.
Les autorités Toulousaines ne
veulent pas entendre cette voie de recours, l’opposition sur l’arrêt du 14 juin
2006, ce qui constitue un déni de justice sous la responsabilité de
l’Etat Français.
Cet acte de voie de
recours, régulièrement formé, a été caché par la Cour d’Appel de Toulouse, par
Monsieur SILVESTRE Jean Jacques qui est l’instigateur et l’acteur des
différents obstacles devant la cour d’appel à ce que ma cause soit entendue
devant un tribunal impartial.
Acte caché à la cour de Cassation
pour les induire en erreur de droit et dans le seul but d’obtenir avec
précipitation un arrêt de la chambre criminelle, d’administration judiciaire de
refus à l’accès à la cour de cassation au prétexte qu’il n’existe aucun moyen
de droit à cassation alors que l’arrêt lui-même dans son intégralité est
entaché de nullité, principalement et sans une quelconque contestation dans les
débats et sur le fondement de l’article 513 alinéa 11 du NCPP et autres !!
Qu’au vu du contenu de l’arrêt du
14 juin 2006, Monsieur LABORIE André était absent aux réquisitions du ministère
public, le moyen de cassation est incontestable.
La cour de cassation, la chambre criminelle ne peut statuer
tant que l’opposition sur l’arrêt du 14 juin 2006 n’a pas été entendue devant
la Cour d’appel et sur le fondement de l’article 657 alinéa 7 du NCPP.
Sur l’arrêt
obtenu et rendu par la chambre criminelle à la cour de cassation en date du 6
février 2007 en violation des règles de droit,
la cour d’appel de Toulouse pour couvrir une détention arbitraire depuis
le 9 mars 2006 à suborné la cour de cassation et pour mettre en exécution
l’arrêt du 14 juin 2006 rendu par la cour d’appel en violation de toutes les
règles de droit.
Cet arrêt a fait l’objet d’une opposition par Monsieur
LABORIE André, enregistrée le 12 avril 2007 après saisine de Monsieur le
Procureur Général à la cour de cassation et enregistré sous la référence du
dossier N° Z 07/82.712 ( ci-joint justificatif pièce N° )
Précisant que cet arrêt du 14 juin
·
En violation de l’article préliminaire
alinéa 30 du cpp.
·
En
violation La loi n° 91-647 du
10 juillet 1991 relative à l'aide juridique reprise ci-dessus.
·
En violation des droits de défense article
6 ; 6-1 ; 6-3 de la CEDH.
·
En violation de l’article 802 alinéa 46 du cpp, refus de communiquer les pièces.
·
En violation de l’article 513 alinéa 11 du cpp.
·
Récusation refusée par la cour avant que
Monsieur le Premier Président rende son ordonnance en date du 19 juin 2006.
·
Report d’audience refusée suite à la demande de
Maître BOUZERAN et en attente de l’aide juridictionnelle régulièrement déposée
le 23 mai 2006 et des pièces de la procédure.
·
Aucune possibilité de se faire entendre autant
sur les exceptions de la procédure que sur le fond des poursuites.
C’est dans ce contexte que
Monsieur LABORIE était fondé de faire opposition le 15 juin 2006 sur l’arrêt du
14 juin 2006 pour que sa cause soit entendue équitablement en présence des
parties à l’instance et en respectant l’article 6-3 de la CEDH.
Dans ces conditions, la
cour d’appel de Toulouse ne peut se prévaloir d’une quelconque condamnation
définitive :
Sur ces deux dernières voies de
recours, la minute du jugement a seulement été portée à ma connaissance le 30
mars 2007 ( ci-joint justificatif).
Qu’une opposition est en cours
sur l’arrêt du 6 février 2007 rendu par la chambre criminelle et enregistré le
12 avril 2007 sous la référence du dossier N° Z 07/82.712.
La cour d’appel de
Toulouse, dans un tel contexte ne peut se prévaloir d’un quelconque titre
exécutoire pour couvrir cette détention arbitraire depuis le 9 mars 2006 et
sous le contrôle de Monsieur DAVOST Patrice Procureur Général.
QU’EN CONSEQUENCE.
Sur l’action civile de
l’agent judiciaire du trésor.
et pour le compte du BAJ
de Toulouse.
Procédure toujours faite
sous le contrôle de Monsieur DAVOST Patrice Procureur Général et pour ne pas
désavouer les décisions rendues.
L’Arrêt rendu le 11 août 2012
N° 2011/752 par la Cour d’Appel de TOULOUSE Statuant sur les intérêts civils
est nul et non avenu.
Cet arrêt est fondé sur une
argumentation juridique inexacte, il ne peut exister aucun titre exécutoire et
comme expliqué ci-dessus dans le déroulement de la procédure.
Les voies de recours saisies ne
sont toujours pas entendues devant un tribunal au sens de l’article 6 de la
CEDH et sur les voies de recours suivantes :
Que les conclusions régulièrement déposées pour son audience du 20 juin
2011 étaient pour faire valoir la prescription de l’action publique à
l’encontre de Monsieur LABORIE André, depuis le 16 juin 2009 et au vu que les
voies de recours ci-dessus régulièrement saisies n’ont toujours pas été
entendues.
Que les conclusions régulièrement déposées pour son audience du 20 juin
2011 étaient pour faire valoir la partialité de la cour d’appel de Toulouse et
la demande de dépaysement sur la juridiction de bordeaux au vu des faits ci-dessus
relatés.
Que les conclusions régulièrement déposées pour son audience du 20 juin
2011 étaient pour faire valoir que Monsieur LABORIE André avait ses droits
violé par le refus de la nomination d’un avocat et par le refus de l’aide
juridictionnelle systématique pour assurer sa défense.
Que les conclusions régulièrement déposées pour son audience du 20 juin
2011 étaient pour garantir les observations, conclusions portées à la
connaissance de la cour d’appel de Toulouse car la cour se refuse à chaque fois
de plaider une affaire oralement, disant d’avance vous avez 10 mn.
Que dans une telle configuration les écrits restent et les paroles s’en
vont.
Raisons des seules conclusions régulièrement déposées et que la cour se
devait d’y répondre.
Que l’arrêt constitue un faux en écriture publique, faux intellectuel,
les voies de recours dont justificatifs ci-joint du ministre de la justice
n’ont toujours pas été entendues.
Prescription de
l’action publique, absence de condamnation définitive
I / Devant la
cour d’appel de Toulouse :
Que des voies de recours ont été
saisies, les autorités ne se sont pas conformées à rendre une décision dans le
délai de 3 ans : La
prescription de l’action publique est acquise.
La cour d’appel se devait de
rendre une décision de recevabilité ou de non recevabilité
de l’opposition formée le 15 juin 2006.
Que la détention arbitraire de
Monsieur LABORIE André est encore une fois confirmée.
II / Devant la
cour de Cassation :
Que la Cour de Cassation ne s’est
pas conformée à rendre une décision sur l’opposition à l’arrêt du 6 février
2007 enregistrée le 12 avril 2007 sous la référence de la cour de cassation N°
Z 07/82.712:
La cour de cassation se devait de
rendre une décision de recevabilité ou de non recevabilité
de l’opposition enregistrée le 12 avril 2007.
La cour de cassation ne pouvait
rendre un arrêt sur le pourvoi formé le 19 juin 2006 sans qu’au préalable,
l’opposition enregistrée par le service pénitentiaire du ministère de la
justice en date du 15 juin 2006 soit entendue par la cour d’appel.
La cour de
cassation, la chambre criminelle ne pouvait statuer tant que l’opposition sur
l’arrêt du 14 juin 2006 n’avait pas été entendue devant la Cour d’appel et sur
le fondement de l’article 657 alinéa 7 du NCPP.
·
Article 567 alinéa 7 du NCPP.
Ne sont pas susceptibles de pourvoi le jugement susceptible d'appel. Crim. 18 juill. 1985: Bull. crim. no 272.
... Ni l'arrêt susceptible d'opposition. Crim. 8 mars
1983: Bull. crim.
no 72.
Il est à préciser que la cour de cassation ne pouvait en
plus rejeter le pourvoi « bien sûr après que l’opposition soit
entendue » et dans une telle configuration ou l’arrêt de la cour
d’appel a été rendu en violation des articles : 6 ;
6-1 ; 6-3 ; de la CEDH, des articles 802 ; 513 du ncpp.
·
Ces articles sont d’ordre public relèvent de
la nullité de toute la procédure :
Qu’il est flagrant dans l’arrêt
du 14 juin 2006 que Monsieur LABORIE n’a pu répondre aux réquisitions de
Monsieur Avocat Général, car il était absent à l’audience.
Qu’il est flagrant dans son arrêt
du 14 juin 2006 que Monsieur LABORIE André a été jugé :
·
En violation de l’article préliminaire
alinéa 30 du cpp.
·
En
violation La loi n° 91-647 du
10 juillet 1991 relative à l'aide juridique reprise ci-dessus.
·
En violation des droits de défense article
6 ; 6-1 ; 6-3 de la CEDH.
·
En violation de l’article 802 alinéa 46 du cpp, refus de communiquer les pièces.
·
En violation de l’article 513 alinéa 11 du cpp.
·
Et des demandes ci-dessus, récusation
régulièrement déposée et autres.
Qu’en
conséquence sans une condamnation définitive,
Le tribunal et la cour ne pouvait être saisie de l’action civile du
trésor public.
Qu’en conséquence les demandes
du trésor public sont nulles sans avoir besoin d’aborder le fond au vu :
Que ces agissements de la
juridiction toulousaine sont permanents et dénoncés à ce jour sur le
site : http://www.lamafiajudiciaire.org
Sur
les droits de défense violés devant la cour d’appel de Toulouse.
Même dans cette procédure nulle par la prescription de l’action publique
et pour n’avoir pas statué sur les voies de recours dans les délais, Monsieur
LABORIE André considéré de prévenu s’est vu refuser l’assistance d’un avocat.
Rappel :
Par courrier recommandé et
ci-joint, Monsieur le Bâtonnier de l’ordre des avocats de Toulouse a été saisi
pour la nomination d’un avocat pour le représenter à l’audience du 25 janvier
2010 et suivantes.
Attendu que la défense constitue pour toute
personne un droit fondamental à caractère constitutionnel ; que son exercice
effectif exige que soit assuré l'accès de chacun, avec l'assistance d'un
défenseur, au juge chargé de statuer sur sa prétention ;
Sur la partialité établie des Magistrats de
la juridiction toulousaine.
Et sous la corruption active et passive
De Monsieur DAVOST Patrice Procureur
Général.
Au vu du déroulement ci dessus de
la détention arbitraire établie du 14 février 2006 au 14 septembre 2007.
Au vu du refus de statuer sur les
différentes demandes de mise en liberté et d’une détention arbitraire de
Monsieur LABORIE André ne pouvant être contestée.
Au vu du refus de déporter les
affaires de Monsieur LABORIE André devant une autre juridiction et malgré
plusieurs demandes.
Au vu du refus de statuer
sur les voies de recours sur les faits
poursuivis.
Au vu du refus de systématique de
l’obtention d’un avocat au titre de l’aide juridictionnelle.
Au vu des différents magistrats
impliqués dans la détention arbitraire et le détournement de la pro propriété
de Monsieur et Madame LABORIE pendant cette détention. (Plainte devant le doyen des juges
de Paris).
Au vu de la violation du domicile
de Monsieur et Madame LABORIE ordonnés par certains magistrats toulousains.
Au vu du refus de faire cesser
différents troubles à l’ordre public par le parquet de Toulouse,
concernant la détention arbitraire de
Monsieur LABORIE André.
Au vu du refus de faire cesser
différents troubles à l’ordre public par le parquet de Toulouse, concernant le
détournement de notre propriété par faux et usage de faux.
Au vu du refus de faire cesser
différents troubles à l’ordre public par le parquet de Toulouse, concernant la
violation du domicile en date du 27 mars 2008.
Au vu du refus de faire cesser
différents troubles à l’ordre public par le parquet de Toulouse, concernant le
vol de tous les meubles et objets en date du 27 mars 2008.
Au vu des obstacles rencontrés
par de nombreux magistrats du T.G.I et de la Cour d’appel de Toulouse se
refusant de statuer sur la vraie situation juridique dont sont victimes
Monsieur et Madame LABORIE.
Agissements prouvés par de
nombreuses pièces et voies de faits établies dans le seul but de couvrir le
crime organisé.
Au vu de l’ordonnance rendue par
le président du tribunal de grande instance de Toulouse statuant en matière de
référé ordonnant le renvoi en date du 28 mars 2008 sur la juridiction Parisienne
sur le fondement des articles 339 et 340 du code de procédure civile.
Et reprenant en ces
termes :
·
Les articles 339 et 340 du code de procédure
civile disposent que le juge qui suppose en sa personne une cause de récusation
ou estime en conscience devoir s’abstenir se fait remplacer par un autre juge
désigné par le président de la juridiction à laquelle il appartient, et que
lorsque l’abstention de plusieurs juges empêche la juridiction saisie de
statuer, il est procédé comme en matière de renvoi pour cause de suspicion
légitime.
·
En l’espèce la juridiction toulousaine doit
en conscience s’abstenir dans la mesure ou la juridiction parisienne est saisie
d’une plainte avec constitution de partie civile visant des faits de détention
arbitraire notamment reprochés à 15 magistrats du tribunal de grande
instance et de la cour d’appel de Toulouse et dans la mesure ou 18 autres
magistrats de ces deux dernières juridictions font l’objet de plaintes avec
constitution de partie civile ou de citations directes par Monsieur LABORIE.
Au vu du
code de la déontologie des magistrats
ci-dessous.
Devoir
fondamentaux des magistrats.
S 136 (7) - 29 octobre 2004.
·
115. Il incombe à tout juge d'observer une réserve
rigoureuse et d'éviter tout comportement de nature à entraîner le risque que
son impartialité soit mise en doute et qu'il puisse, de ce fait, être porté
atteinte à l'autorité de l'institution judiciaire ; un magistrat est tenu de se
déporter dès lors qu'il entretient ou a entretenu des relations suivies avec
une des parties au litige dont il est saisi.
·
Le magistrat qui, ayant l'obligation morale de se déporter
et d'éviter toute intervention de nature à donner l'apparence d'un manquement à
la neutralité et à l'impartialité, ne le fait pas, faillit aux devoirs auxquels
tout juge est tenu de se conformer dans sa démarche et dans son action.
MOYENS DE DROIT DE CASSATION.
Et sur l’arrêt du 11 août 2011.
Sous la responsabilité de Monsieur DAVOST
Patrice.
Au vu des écrits importants ci-dessus, réels et des voies de faits réelles, du crime
organisé dont sont victimes Monsieur et Madame LABORIE.
Au vu de l’absence de motifs réels en sa
décision attaquée, refus de prendre en considération de la vraie situation
juridique exposée ci-dessus et demandes.
Au vu du refus de répondre aux conclusions
régulièrement déposées. » violation
de l’article 485 du cpp.
·
Tout jugement doit contenir des motifs et
un dispositif.
(L. n° 85-1407 du 30 déc. 1985) «Les
motifs constituent la base de la décision.»
·
Le jugement ou arrêt doit aussi être motivé
et répondre à tous les chefs de conclusions dont les juges ont été saisis. Crim. 12 mars 1957: D.
1957. Somm. 87.
·
Doit être cassé l'arrêt qui se limite à
adopter les motifs d'un jugement se bornant à déclarer les faits établis, sans
les énoncer et sans préciser l'existence des circonstances exigées par la loi
pour que ces faits soient punissables. Crim. 6 mars
1996: Bull. crim.
n° 105.
Au vu de la violation de l’article 593 du cpp.
Art. 593 Les
arrêts de la chambre de l'instruction ainsi que les arrêts et jugements en
dernier ressort sont déclarés nuls s'ils ne contiennent pas de motifs ou si
leurs motifs sont insuffisants et ne permettent pas à la Cour de cassation
d'exercer son contrôle et de reconnaître si la loi a été respectée dans le
dispositif.
Il en
est de même lorsqu'il a été omis ou refusé de prononcer soit sur une ou
plusieurs demandes des parties, soit sur une ou plusieurs réquisitions du
ministère public.
Au vu que l’arrêt du 11 août 2011 est déclaré
de faux intellectuel par Monsieur LABORIE André devant la chambre criminelle, reprenant une situation juridique inexacte
concernant une condamnation définitive.
L’excès de
pouvoir de la cour d’appel de
Toulouse en sa décision du 11 août 2011 est établi et ne peut être encore une
fois contestée dans un seul but dilatoire.
« Excès de pouvoir » En ses différentes branches :
Au vu de tout ce qui précède, la partialité
des magistrats est établie.
Au vu du refus de dépayser l’affaire sur la
juridiction de Bordeaux.
Au vu de l’absence d’une quelconque décision
définitive.
Au vu de la violation de l’article 485 du cpp, refus de répondre aux conclusions.
Soit nullité de l’arrêt sur le fondement de
l’article 593 du cpp.
Soit nullité de l’arrêt au vu des éléments
ci-dessus constitutifs d’excès de pouvoir.
La cour de cassation se doit d’être casser
L’arrêt
rendu le 11 août 2012 N° 2011/752 avec toutes les conséquences de droit.
Soit : Casser sans renvoi.
Soit : Casser et constater devant une autre
juridiction de l’absence d’une condamnation définitive au vu des différentes
voies de recours toujours non entendues et donc prescription de l’action
publique des poursuites à l’encontre de Monsieur LABORIE André.
Soit : Casser et constater au vu des voies de
recours saisies et qui n’ont jamais été entendues, de la détention arbitraire
établie et consommée par Monsieur LABORIE André du 14 février 2006 au 14
septembre 2007, sans un mandat de dépôt et sans une condamnation définitive.
Soit : Casser et renvoyer au vu de la détention
arbitraire établie Monsieur LABORIE André devant la juridiction compétente pour
obtenir une indemnisation de tous ses préjudices subis.
Sur la bonne foi de Monsieur LABORIE André de dénoncer
un crime organisé
·
Article 434-1 du code pénal : Le
fait, pour quiconque ayant connaissance d'un crime dont il est encore possible
de prévenir ou de limiter les effets, ou dont les auteurs sont susceptibles de
commettre de nouveaux crimes qui pourraient être empêchés, de ne pas en
informer les autorités judiciaires ou administratives est puni de trois ans
d'emprisonnement et de 45000 euros d'amende.
Que la chambre criminelle prés la
cour de cassation en ses membres, sont contraint de saisir Monsieur le
Procureur Général de la dite cours pour lui porter de tels faits graves sur
notre territoire français dans un temps non prescrit par la loi.
DE TOUT CE QUI PRECEDE.
Concernant la détention arbitraire du 14
février 2006 au 14 septembre 2007.
Sous la responsabilité de Monsieur DAVOST
Patrice.
Monsieur LABORIE
André a bien effectué 19 mois de prison, de souffrance pour lui-même et pour sa
famille désemparée.
-
Sans un mandat de dépôt.
-
Sans un jugement régulier.
-
Sans une condamnation définitive, les voies de
recours toujours non entendues.
Monsieur LABORIE André est fondé de demander réparation des
différents préjudices subis.
QU’EN CONSEQUENCE
Le tribunal correctionnel saisi ou la cour d’assise se doit
de rentrer en voie de condamnation de Monsieur DAVOST Patrice concernant la
détention arbitraire prémédité du 14 février 2006 au 14 septembre 2007.
SUR LES PREJUDICES CAUSES.
Demandes sur l’action civile.
Monsieur LABORIE André demande en réparation sur tous les
préjudices causés et concernant cette détention consommée de 19 mois de prison
ferme.
Soit pour la procédure de détention arbitraire du 14
février 2006 au 14 septembre 2007.
-
Soit la
somme de 380.000 euros pour 19 mois de
détention arbitraire.
SUR L’ACTION PENALE POURSUIVIE
A l’encontre de Monsieur DAVOST Patrice.
Condamner Monsieur DAVOST Patrice sur le fondement des articles : 432-4 ;
432-5 ; 432-6 du code pénal.
Condamner Monsieur DAVOST Patrice sur le fondement de l’article 432-11 du code
pénal.
Condamner Monsieur DAVOST Patrice de tous les droits civiques.
Publication de la
condamnation dans un quotidien à sa charge.
( Toutes les
demandes, civiles et pénales seront reprises en fin d’acte.)
II / SUR LE DEROULEMENT DE CHACUNE DES DETENTIONS
ARBITRAIRES
SUBIES ET CONSOMMEES PAR MONSIEUR LABORIE ANDRE.
/ I / Sur la
détention arbitraire du 14 septembre 2011 au 24 novembre 2011
Sous la
responsabilité de Monsieur DAVOST Patrice Procureur Général.
Sous la
responsabilité de Monsieur Amar BELACEL.
Le
parquet indivisible par sa nature.
LA PROCEDURE SYNTHETISEE. « En 4
lignes »
*
Alors qu'il ne pouvait exister un quelconque délit."
Prescription".
Alors que la procédure de comparution immédiate est interdite en matière de
délit de presse.
Agissements volontaires à la demande de Monsieur VALET Michel Procureur de
la République et de ses complices pour faire obstacle à ses droits de défense
et autres ci dessous.
Pour arriver à son incarcération et à une perquisition, pour lui soustraire
son ordinateur et ses archives et lui enlever tous ses moyens de défenses par
la soustraction des preuves.
RAPPEL DE LA SITUATION JURIDIQUE DE MONSIEUR LABORIE.
QUI EST BIEN LA VICTIME DE
MONSIEUR VALET MICHEL
ET DE SES COMPLICES.
Monsieur LABORIE André s’est
retrouvé encore une fois victime d’une détention arbitraire établie du 14
septembre 2011 au 24 novembre 2011 diligentée à la demande de Monsieur VALET
Michel instigateur en sa réquisition du 6 septembre 2011 par corruption de ses
subordonnés, procédure faite en violation de toutes les règles de droit.
Agissements par abus d’autorité,
excès de pouvoir de Monsieur VALET Michel Procureur de la République de
Toulouse pour que sa victime Monsieur LABORIE n’intervienne pas en justice.
Que l’intention de Monsieur
VALET Michel sous sa hiérarchie,
Monsieur DAVOST Patrice était bien préméditée et délibérée à faire obstacles
aux intérêts de Monsieur LABORIE André.
Soit pour faire obstacle au procès contre : Monsieur CAVE Michel
« juge de l’exécution et Madame PUISSEGUR Marie Claude
greffière » malgré le renvoi par la chambre criminelle à cour de
cassation, en son arrêt du 4 mai 2011 ordonnant à ce que ces deux personnes soient
jugées devant un tribunal, d’ou l'audience du 6 septembre 2011
avait été renvoyée au 25 octobre 2011 pour faire valoir la demande de
dépaysement de l'affaire sur la juridiction de Bordeaux car le tribunal avait
reconnu en son audience du 6 septembre 2011 que cette affaire ne pouvait être
jugée sur Toulouse et avait reconnu que la partialité était ainsi établie.
Soit pour faire aussi
obstacle aux procédures suivantes :
PREAMBULE.
Qu’il va être démontré au vu des
pièces fournies seulement le 13 janvier 2012, que la détention subie par
Monsieur LABORIE André du 14 septembre 2011 au 24 novembre 2011 était bien
arbitraire, ne portant sur aucun titre valide.
Agissements de Monsieur VALET
Michel auprès de ses subordonnés par abus d’autorité, par faux et usage de
faux, par corruption de tous ses subordonnés et tribunal en ses différents
membres.
Agissements sous le couvert de sa
hiérarchie Monsieur DAVOST Procureur Général prés la cour d’appel de Toulouse.
Que les agissements de Monsieur
VALET Michel et de ses complices sont caractérisés encore une fois, causant de
graves préjudices à Monsieur LABORIE André.
Qu’en conséquence de tout ce qui précède, la
violation sur la forme et sur le fond de l’entière procédure ne peut être
contestée.
SUR LA VIOLATION ET LA NULLITE DE LA GARDE
A VUE.
Du 14 et 15 septembre 2011.
Et suivantes du 8 et 9 décembre 2011.
Justice dépêche du 6 janvier 2012.
Au cours de la rentrée solennelle
de la cour d’Appel de Toulouse, Monsieur DAVOST Patrice Procureur Général
rappelle que les gardes à vu ont chutées de 20,7 % et que depuis le 1er
juin 2011, la réforme de la garde à vue, qui permet aux mis en cause de
bénéficier de la présence d’un avocat dés la première heure.
-
Que la loi encore une fois n’est pas respectée
sur la juridiction toulousaine ou par discrimination. « Les
preuves apportées par Monsieur LABORIE André sont incontestables et
pertinentes ».
*
* *
LIBERTES
& DROITS DE L'HOMME : ACTUALITES.
Nullité des gardes à vue en l’absence
de l’avocat dès le début de celles-ci (CEDH, 27 novembre 2008, Salduz c. Turquie; CEDH 13 octobre 2009, Dayanan C/ Turquie)
● Les arrêts rendus le 15 avril 2011 par
l'assemblée plénière de la Cour de cassation statuant sur la régularité de
mesures de garde à vue au regard de l'article 6 § 1 de la Conv.
EDH avaient consacré le droit à l'assistance effective d'un avocat dont la
présence était immédiatement rendue obligatoire (voir notre précédente actualité 18 avril 2011 ).
● Les avocats sont donc depuis présents dès le début de toutes les
gardes à vue, quelle que soit la nature de l'affaire. Ces décisions historiques
avaient validé sans aucune ambigüité les positions défendues par la profession
d'avocat toute entière depuis de nombreux mois ( voir notre dossier spécial Garde à vue ).
● La
réforme de la garde à vue engagée par les pouvoirs publics et publiée par la
loi n° 2011-392 du 14 avril 2011 (JO du 15 avril 2011) est applicable à
compter du 1er juin 2011, date d’entrée en vigueur de la loi ( voir notre précédente actualité 16 avril 2011
).
● Certaines de ses dispositions ont été appliquées de manière
anticipée pour répondre aux principes rendus obligatoires immédiatement par la
décision de la chambre plénière de la Cour de cassation. Il s’agit
principalement de la notification du droit au silence et du droit d’être
assisté d’un avocat dès la 1ere heure de garde à vue et pendant toute la garde
à vue.
● Cependant, et même si la Circulaire du Ministère de la Justice du 15 avril 2011
relative aux droits de la personne gardée à vue, suite aux arrêts de
l’Assemblée plénière de la Cour de cassation du 15 avril
● Il n’est par ailleurs pas en l’état prévu qu’ils puissent également
avoir accès au dossier et aux éléments d’enquête.
● Ces nouvelles décisions
rendues sur le fondement de l’article 6 § 3 de la Convention européenne des
droits de l’homme ont réaffirmé les premiers principes indispensables pour que
ces gardes à vue puissent être conformes aux exigences de la Conv. EDH telles qu’interprétées par la Cour européenne des
droits de l’homme : la personne gardée à vue doit être informée de son droit de garder le silence, bénéficier de l’assistance effective d’un
avocat et être gardée dans des
conditions préservant sa dignité.
● Elles ont également, s’agissant de décisions concernant des gardes à
vues menées antérieurement au 15 avril 2011, ouvert la porte à l’introduction
de nombreuses actions en nullités concernant des procès-verbaux d’auditions
menées antérieurement à cette date.
Les arrêts Chambre criminelle
de la Cour de Cassation du 31 mai 2011 sur www.courdecassation.fr
● Cour de cassation. Chambre criminelle. 31 mai 2011, Pourvoi n° 10-88.809
● Cour de cassation. Chambre criminelle. 31 mai 2011, Pourvoi n° 10-80.034
● Cour de cassation. Chambre criminelle. 31 mai 2011, Pourvoi n° 10-88.293
● Cour de cassation. Chambre criminelle. 31 mai 2011, Pourvoi n° 11-81.412
● La Cour de cassation
rend la présence de l’avocat obligatoire pendant toute la garde à vue.
Les arrêts rendus le 15 avril
2011 par l'assemblée plénière de la Cour de cassation statuant sur la
régularité de mesures de garde à vue au regard de l'article 6 § 1 de la Conv. EDH consacrent le droit à l'assistance effective d'un
avocat dont la présence est immédiatement rendue obligatoire. Les avocats
seront donc présents dès le début de toutes les gardes à vue, quelle que soit
la nature de l'affaire. Ces décisions historiques valident sans aucune
ambigüité les positions défendues par la profession d'avocat toute entière
depuis de nombreux mois ... – Actualité du CNB du 18 avril 2011
● La réforme de la garde
à vue publiée par la loi n° 2011-392 du 14 avril 2011, applicable au 1er juin
2011.
Le Sénat a apporté en 2ème lecture des modifications au texte transmis par
l’Assemblée nationale. Elles touchent pour l'essentiel aux conditions
d'assistance du gardé à vue et de la victime par l’avocat, aux personnes
prévenues du déclenchement de la mesure, à la désignation de l’avocat assistant
les gardés à vue et à la gestion des conflits d’intérêts en cas de pluralité de
gardes à vue, aux auditions hors garde à vue et aux conditions d’établissement
d'une liste d'avocats habilités en matière de terrorisme. Le texte a ensuite
été adopté en 2ème lecture par l’Assemblée nationale le 12 avril pour être
publié par la loi n° 2011-392 du 14 avril 2011 (JO du 15 avril 2011),
applicable au 1er juin 2011 ... – Actualité du CNB du 16 avril 2011
Tous les
procès verbaux ci-dessous sont constitutifs de faux en écritures publiques,
absence de délit de flagrance.
Prescription
des faits reprochés.
Monsieur VALET Michel s’est
auto-forgé un délit « prescrit sur le fondement de l’article
65 de la loi de la presse de 1881 et d’une jurisprudence constante » et
pour poursuivre Monsieur LABORIE André directement par ses officiers de police
judiciaires, sans déposer une quelconque plainte comme tout justiciable, dans
le seul but de le faire incarcérer pour faire obstacle à plusieurs procès en
cours et surtout pour ne plus répondre à ses obligations de représentant du
ministère public ; saisi par différentes plaintes pour faire cesser
différents troubles à l’ordre public, celles ci classées systématiquement sans
suite sans même ouvrir et lire les plaintes, entassées dans un placard comme il
me l’a avoué lors de différentes confrontations sous la contrainte de policiers
et de gendarmes.
Sur la prétendue victime :
-
Il n’existait aucun délit car le prétexte de
la photo montage mise sur internet ne dérangeait pas Monsieur VALET Michel, ce
dernier s’étant refusé en date du 14 septembre 2011 de la faire enlever, c’est
Monsieur LABORIE André qui l’a proposé et c’est seulement après réitération de
Monsieur LABORIE en lettre recommandée que celle-ci a ordonné son enlèvement,
sous la contrainte de représailles formulées par les deux officiers de police
judiciaire qui sont intervenus à la demande de Monsieur VALET Michel et pendant
sa détention arbitraire soit le 28 septembre 2011 à la Maison arrêt de SEYSSES.
-
( Refus
du parquet de transmettre le procès verbal du 28 septembre 2011 effectué à la
maison d’arrêt de Seysses ).
Qu’il ne peut exister de délits
au vu de la loi du 29 juillet 1881 en son article 65 « Prescription
des
faits en date du 14 septembre 2011».
Que l’information peut être
transmise par écrit ou par image, Monsieur LABORIE a choisi par image pour
dénoncer aux autorités l’excès de pouvoir d’autorité de Monsieur VALET Michel
Procureur de la République de Toulouse.
La loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse
Que Monsieur VALET Michel au vu
de ses fonctions de magistrat du parquet, a sciemment violé l’article 65 de la loi du 29 juillet 1881 «
en matière de délit de presse »
« La prescription des poursuites est de 3 mois à la date de la
première diffusion. ».
·
L'action publique et l'action civile résultant
des crimes, délits et contraventions prévus par la présente loi se
prescriront après trois mois révolus, à compter du jour où ils auront
été commis ou du jour du dernier acte d'instruction ou de poursuite s'il en a
été fait.
Jurisprudences :
Article 8 alinéa 1 bis.
Nature de la prescription. La prescription de l'action
publique constitue une exception péremptoire et d'ordre public qui doit être
relevée d'office par le juge. Crim. 20 mai
1980: Bull. crim. n° 156; RSC 1980. 459, obs.
J.-M. Robert 14 févr. 1995: Bull. crim. n° 66 19
avr. 1995: ibid. n° 159.
Article 8 alinéa 3.
Effets de la
prescription.
La
prescription de l'action publique ôte aux faits poursuivis tout caractère
délictueux. Crim. 27 oct. 1993: Bull. crim. n° 320.
Article 8 alinéa 7. Infractions instantanées. S'agissant d'un
délit instantané, la prescription a commencé à courir dès le jour où ont été
commis les actes incriminés. Crim. 27 sept. 1995:
pourvoi n° 94-84.446.
·
Article 8 alinéa 11du cpp : les
délits de presse. En matière d'infraction à la loi sur la presse, il
appartient aux juges du fait, pour fixer le point de départ de la prescription,
de déterminer, d'après les circonstances de la cause, la date du premier acte
de publication par lequel le délit est consommé. La mise de l'écrit à la
disposition du public, en un lieu quelconque, fait courir le délai prévu par
l'art. 65 de la loi du 29 juill. 1881, indépendamment
du domicile des victimes, et de l'ampleur de la distribution. Crim. 31 janv. 1995: Bull. crim.
n° 39. Lorsque des poursuites pour l'une des infractions prévues par la loi
du 29 juill. 1881 sont engagées à raison de la
diffusion, sur le réseau internet, d'un message figurant sur un site, le point
de départ du délai de prescription de l'action publique prévu par l'art. 65 de
la loi précitée doit être fixé à la date du premier acte de publication: cette
date est celle à laquelle le message a été mis pour la première fois à la
disposition des utilisateurs.
·
Encourt dès lors la cassation une cour
d'appel, qui, pour fixer le point de départ de la prescription de l'action publique,
à raison de textes diffusés sur internet, retient que, sur ce réseau, l'acte de
publication devient continu. Crim. 27 nov. 2001: Bull.
crim. n° 246; D. 2002. IR 456 ; LPA 2002, n°
163, p. 7, note Raynouard.
·
·
Art. 434-25 du code pénal: Le
fait de chercher à jeter le discrédit, publiquement par actes, paroles, écrits
ou images de toute nature, sur un acte ou une décision juridictionnelle, dans
des conditions de nature à porter atteinte à l'autorité de la justice ou à son
indépendance est puni de six mois d'emprisonnement et de 7 500 € d'amende.
Les dispositions de l'alinéa précédent ne s'appliquent pas aux commentaires
techniques ni aux actes, paroles, écrits ou images de toute nature tendant à la
réformation, la cassation ou la révision d'une décision Lorsque
l'infraction est commise par la voie de la presse écrite ou audiovisuelle, les
dispositions particulières des lois qui régissent ces matières sont applicables
en ce qui concerne la détermination des personnes responsables. L'action
publique se prescrit par trois mois révolus, à compter du jour où
l'infraction définie au présent article a été commise, si dans cet intervalle
il n'a été fait aucun acte d'instruction ou de poursuite.
Qu’il ne peut exister de flagrant délit en conséquence.
Arrêt de la Cour de Cassation du 27 septembre 2000 N°
99-87929
Celui qui dénonce à l’autorité compétente des
faits délictueux imputés à un magistrat ne commet à l’égard de ce magistrat
aucun outrage s’il se borne à spécifier et qualifier les faits dénoncés.
Article 41 de la loi du 29 juillet 1881
Ne donneront lieu à aucune action en
diffamation, injure ou outrage, ni le compte rendu fidèle fait de bonne foi des
débats judiçiaires, ni les discours prononcés ou des
écrits produits devant les tribunaux.
Article 434-1 et suivant du code pénal
Le fait, pour quiconque ayant connaissance d'un
crime dont il est encore possible de prévenir ou de limiter les effets, ou dont
les auteurs sont susceptibles de commettre de nouveaux crimes qui pourraient
être empêchés, de ne pas en informer les autorités judiciaires ou
administratives est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45000 euros
d'amende.
LES PROCES VERBAUX ETABLIS PAR LE S.R.P.J
DE TOULOUSE.
Sous la corruption active et passive de ses
derniers.
Sont constitutifs de faux en écritures
publiques.
Soit en l’absence de délit et de flagrant
délit.
Soit en violation des droits de défenses
effectives.
I / Courrier du 14 septembre 2011 de la direction générale
de la police nationale SRPJ de Toulouse. ( SOIT
TRANSMIS à Monsieur le Procureur de la République.).
Observations de
Monsieur LABORIE André :
-
Comment peut il être transmis à Monsieur le
Procureur de la République un soit transmis en date du 14 septembre 2001
confirmant les différents procès verbaux établis de toutes la procédure alors
que cette dernière ne faisait que commencer.
*
* *
II / Imprimé du 7 septembre 2011 signé de Monsieur VALET Michel
Procureur de la République adressé directement à l’attention de Monsieur le
Directeur du SRPJ de Toulouse N° 11/250/000080.
Observations de Monsieur LABORIE André :
Comment
Monsieur VALET Michel se prétendant victime peut il déroger aux règles de
procédures pénale et se permettre de faire directement sa loi en saisissant ses
subordonnés sous son autorité.
*
* *
III / Copie du 06 septembre 2011 d’une page du site
internet lamafiajudiciaire.org.
Observations de Monsieur LABORIE André :
-
Comment peut il être produit des pages du
site internet lamafiajudiciaire.org
« propriété intellectuelle » alors que ce lui ci indique en bas de
toutes ses pages l’interdiction de copier sous peine de poursuites judiciaires.
*
* *
IV / Copie du 06
septembre 2011 d’une page du site internet lamafiajudiciaire.org
Observations de Monsieur LABORIE André :
-
Comment peut il être produit des pages du
site internet lamafiajudiciaire.org
« propriété intellectuelle » alors que ce lui ci indique en bas de
toutes ses pages l’interdiction de copier sous peine de poursuites judiciaires.
*
* *
V / Qu’il est produit un procès verbal de synthèse du 2 mars 2010 à 17
heures effectué par la gendarmerie de Saint Orens
et concernant la procédure faites suites aux
représailles demandés par Monsieur VALET Michel en date du 16 décembre
2009 et par son intermédiaire Monsieur SOUBELET Renaud procureur de la
république adjoint.
·
Qu’il est
à précisé que cette procédure est encours devant le tribunal et que cette
affaire ne peut être jugée tant que le procès à l’encontre de Monsieur CAVE
Michel et Madame PUISSEGUR n’est pas intervenu.
·
Que ce
procès verbal ne peut venir influencer et servir pour ce que de droit dans
cette procédure diligentée en date du 7 septembre 2011 par Monsieur VALET
Michel procureur de la république.
Observations de Monsieur LABORIE André :
-
Comment peut il être produit des pages du
site internet lamafiajudiciaire.org
« propriété intellectuelle » alors que ce lui ci indique en bas de
toutes ses pages l’interdiction de copier sous peine de poursuites judiciaires.
*
* *
VI / Qu’il est produit un
compte rendu d’enquête du SRPJ de Toulouse du 15 septembre 2011 ;
procédure N° 2011/000566.
Observations de Monsieur LABORIE André :
-
Comment peut
être rédigé un compte rendu d’enquête pour outrage à Magistrat alors
qu’il ne peut exister un quelconque délit en date du 15, septembre 2011 au vu
de la prescription ainsi qu’au moment de la réquisition ordonnée par Monsieur
le Procureur de la République en date du 7 septembre 2011.
-
Comment peut
être rédigé un compte rendu le 15 septembre 2011 ayant des conséquences
judiciaires en mentionnant une
infraction d’outrage alors que ce dernier s’il s’avérait vrai était prescrit
sur le fondement de l’article 65 de la loi du 29 juillet 1881 et d’une
jurisprudence constante qui ne pouvait être ignorée.
-
Ce qui constitue une dénonciation
calomnieuse à l’encontre de Monsieur LABORIE André et comme dans tous les
procès verbaux.
*
* *
VII / Qu’il est produit un document « Suite
judiciaires » transmis le 15 septembre 2011 à Monsieur le Procureur de la,
République de Toulouse.
Observations de Monsieur LABORIE André :
-
Comment peut
être rédigé un tel document en date du 15 septembre 2011 mentionnant une enquête de flagrant délit
alors qu’il ne peut exister de flagrant délit et un quelconque délit.
-
Comment peut
être rédigé un procès verbal le 15 septembre 2011 ayant des conséquences
judiciaires en mentionnant une
infraction d’outrage alors que ce dernier s’il s’avérait vrai était prescrit
sur le fondement de l’article 65 de la loi du 29 juillet 1881 et d’une
jurisprudence constante qui ne pouvait être ignorée.
-
Ce qui constitue une dénonciation
calomnieuse à l’encontre de Monsieur LABORIE André et comme dans tous les
procès verbaux.
*
* *
VIII / Qu’il est produit un concentré des faits et de l’enquête en
date du 15 septembre 2011 rédigé par le capitaine de police Jean DOS SANTOS
adressé à Monsieur le directeur du SRPJ de Toulouse.
Observations de Monsieur LABORIE André :
-
Comment peut
être rédigé un procès verbal le 15 septembre 2011 par Monsieur DOS
SANTOS ayant des conséquences judiciaires en
mentionnant une enquête de flagrant délit alors qu’il ne peut exister de
flagrant délit et un quelconque délit.
-
Ce qui constitue une dénonciation
calomnieuse à l’encontre de Monsieur LABORIE André et comme dans tous les
procès verbaux.
*
* *
IX / Qu’il est produit un
procès verbal contre X : N°
2011/000566/1 du 7 septembre 2011 à 14 heures 45.
Observations de Monsieur LABORIE André :
-
Comment peut
être rédigé un procès verbal le 7 septembre 2011 ayant des
conséquences judiciaires en mentionnant une enquête de flagrant délit
alors qu’il ne peut exister de flagrant délit et un quelconque délit.
-
Et au vu de deux précédentes procédures sur
les mêmes causes, mêmes objets et mêmes personnes
-
Ce qui constitue une dénonciation
calomnieuse à l’encontre de Monsieur LABORIE André et comme dans tous les
procès verbaux.
*
* *
X / Qu’il est produit un
procès verbal contre X outrage à
magistrats : N° 2011/000566/2 du 7
septembre 2011 à 16 heures 15.
Observations de Monsieur LABORIE André :
-
Comment peut il être produit des pages du
site internet lamafiajudiciaire.org
« propriété intellectuelle » alors que ce lui ci indique en bas de
toutes ses pages l’interdiction de copier sous peine de poursuites judiciaires.
-
Comment peut
être rédigé un procès verbal le 7 septembre 2011 ayant des
conséquences judiciaires en mentionnant une enquête de flagrant délit
alors qu’il ne peut exister de flagrant délit et un quelconque délit.
-
-
Et au vu de deux précédentes procédures sur
les mêmes causes, mêmes objets et mêmes personnes en date du 1er
mars 2010
-
Ce qui constitue une dénonciation
calomnieuse à l’encontre de Monsieur LABORIE André et comme dans tous les
procès verbaux.
*
* *
Qu’il manque le
procès verbal N° 3 ( ? )
*
* *
XI / Qu’il est
produit un procès verbal contre
X outrage à magistrats : N° 2011/000566/4 du 9 septembre 2011 à 15 heures 25.
Observations de Monsieur LABORIE André :
*
* *
XII / Qu’il est produit un procès verbal contre X outrage à magistrats : N°
2011/000566/ 5 du 10 septembre 2011
à 17 heures 45.
Observations de Monsieur LABORIE André :
*
* *
XIII / Qu’il est produit un procès verbal contre X outrage à magistrats : N°
2011/000566/ 6 du 11 septembre 2011
à 12 heures 15.
Observations de Monsieur LABORIE André :
*
* *
XIV / Qu’il est produit un procès verbal contre X outrage à magistrats : N°
2011/000566/ 7 du 12 septembre 2011
à 10 heures.
Observations de Monsieur LABORIE André :
*
* *
XV / Qu’il est produit un procès verbal contre X outrage à magistrats : N°
2011/000566/ 8 du 12 septembre 2011
à 15 heures 15.
Observations de Monsieur LABORIE André :
*
* *
XVI / Qu’il est produit un procès verbal contre X outrage à magistrats : N°
2011/000566/ 9 du 13 septembre 2011
à 16 heures 30.
Observations de Monsieur LABORIE André :
*
* *
XVII / Qu’il est produit un procès verbal contre X outrage à magistrats : N°
2011/000566/ 10 du 13 septembre 2011
à 18 heures 55.
Observations de Monsieur LABORIE André :
*
* *
XVIII / Qu’il est produit un procès verbal contre X outrage à magistrats : N°
2011/000566 / 11 du 14 septembre
2011 à 5 heures 40.
Observations de Monsieur LABORIE André :
*
* *
XIX / Qu’il est produit un procès verbal contre X outrage à magistrats : N°
2011/000566 / 12 du 14 septembre
2011 à 7 heures 50.
Observations de Monsieur LABORIE André :
*
* *
XX / Qu’il est produit un procès verbal contre X outrage à magistrats : N°
2011/000566 / 13 du 14
septembre 2011 à 8 heures.
Observations de Monsieur LABORIE André :
*
* *
XXI / Qu’il est produit un procès verbal contre X outrage à magistrats : N°
2011/000566 / 14 du 14 septembre
2011 à 8 heures 05
Observations de Monsieur LABORIE André :
*
* *
XXII / Qu’il est produit un procès verbal contre X outrage à magistrats : N°
2011/000566 / 15 du 14 septembre
2011 à 10 heures 40.
Observations de Monsieur LABORIE André :
*
* *
XXIII / Qu’il est produit un procès verbal contre X : outrage à magistrats : N°
2011/000566 / 16 du 14 septembre
2011 à 11 heures.
Observations de Monsieur LABORIE André :
*
* *
XIX / Qu’il est produit un procès verbal contre X : outrage à magistrats : N°
2011/000566 / 17 du 14 septembre
2011 à 11 heures 15.
Observations de Monsieur LABORIE André :
*
* *
XX / Qu’il est produit un procès verbal contre X : outrage à magistrats : N°
2011/000566 / 18 du 14 septembre
2011 à 15 heures.
Observations de Monsieur LABORIE André :
*
* *
XXI / Qu’il est produit un procès verbal contre X : outrage à magistrats : N°
2011/000566 / 19 du 14 septembre
2011 à 15 heures 30.
Observations de Monsieur LABORIE André :
*
* *
XXII / Qu’il est produit un procès verbal contre X : outrage à magistrats : N°
2011/000566 / 20 du 14 septembre
2011 à 15 heures 30. ?
Observations de Monsieur LABORIE André :
*
* *
XXIII / Qu’il est produit un procès verbal contre X : outrage à magistrats : N°
2011/000566 / 21 du 14 septembre
2011 à 16 heures 35.
Observations de Monsieur LABORIE André :
*
* *
XXIV / Qu’il est produit un procès verbal contre X : outrage à magistrats : N°
2011/000566 / 22 du 14 septembre
2011 à 17 heures 30.
Observations de Monsieur LABORIE André :
*
* *
XXV / Qu’il est produit un procès verbal contre X : outrage à magistrats : N°
2011/000566 / 23 du 14 septembre
2011 à 18 heures.
De quel droit.
Observations de Monsieur LABORIE André :
*
* *
XXVI / Qu’il est produit un procès verbal contre X : outrage à magistrats : N°
2011/000566 / 24 du 14 septembre
2011 à 18 heures 45.
Observations de Monsieur LABORIE André :
*
* *
XXVII / Qu’il est produit un procès verbal contre X : outrage à magistrats : N°
2011/000566 / 25 du 14 septembre
2011 à 19 heures 05.
Observations de Monsieur LABORIE André :
*
* *
XXVIII / Qu’il est produit un procès verbal contre X : outrage à magistrats : N°
2011/000566 / 26 du 15 septembre
2011 à 7 heures 30 mettant fin à la garde à vue de 24 heures.
·
Le 14 septembre 2011 de 15 heures 30 à 17 heures
5.
·
Le 14 septembre 2011 de 18 heures 45 à 19
heures.
·
Que Monsieur LABORIE a pu s’alimenter de 13
heures 30 à 13 heures 40 alors que ce n’est pas vrai
·
Que Monsieur LABORIE a pu s’alimenter de 20
heures 30 à 20 heures 40 alors que ce
n’est pas vrai
·
Il a été notifié le droit d’appeler un membre de
la famille.
·
Il a été notifié le droit d’avoir un médecin.
·
Il a été notifié le droit à un avocat.
·
Il n’a
pas été notifié le droit de se taire.
·
Le médecin est intervenu à 14 heures 30. ( Soit 7 heures après )
·
L’avocat est intervenu à 12 heures 30 pendant 15. ( Soit 5 heures après )
Observations de Monsieur LABORIE André :
Observations
de Monsieur LABORIE André.
Dans son
ensemble global.
Procédure diligentée à la demande
de Monsieur VALET Michel Procureur de la république (prétendue victime).
Le parquet de Toulouse s’il était
régulièrement saisi, ce qui n’était pas le cas,
se devait de faire dépayser le dossier devant le parquet d’Auch pour une
bonne administration de la justice, la partialité étant incontestable devant sa
juridiction.
Code de déontologie des magistrats :
·
• Il incombe à tout juge d’observer une
réserve et d’éviter tout comportement de nature à entraîner le risque que son
impartialité soit mise en doute et qu’il puisse, de ce fait, être porté
atteinte à l’autorité de l’institution judiciaire ; un magistrat est tenu de se
déporter dés lors qu’il entretient ou a entretenu des relations suivies avec
une des parties au litige dont il est saisi.
• Le Magistrat qui, ayant
l’obligation morale de se déporter et d’éviter toute intervention de nature à
donner l’apparence d’un manquement à la neutralité et à l’impartialité, ne le
fait pas, faillit aux devoirs auxquels tout juge est tenu de se conformer dans
sa démarche et dans son action.
*
*
*
Que Monsieur LABORIE André a été
poursuivi sur un délit prescrit par l’article 65 de la loi du 29 juillet 1881
sur la presse « 3 mois de prescription et d’une jurisprudence
constante ».
·
Soit pour avoir mis en ligne une photo montage
sur son site internet rendu public en date du 19 mars 2011.
·
Qu’au vu de la prescription qu’il ne pouvait
exister de délit pour en poursuivre Monsieur LABORIE andré en date du 14
septembre 2011, le délit étant interrompu par la prescription de trois mois.
·
Ci-joint textes et jurisprudences de la chambre
criminelle.
·
Nullité
de la garde à vue.
Monsieur LABORIE André n’a pas eu
la notification du droit de se taire.
Monsieur LABORIE André n’a pas eu
ses droits effectifs à la première heure, (médecin, avocat).
Monsieur LABORIE André n’a pu
être assisté d’un avocat à certains procés verbaux
comme ci-dessus indiqué.
NOTIFICATION DE FIN DE GARDE A VUE
Le 15 septembre 2011.
Monsieur LABORIE s’est toujours retrouvé
séquestré sans droit de défense.
Les droits de la défense de
Monsieur LABORIE ont été encore une fois violés à la fin de la garde à vue.
Monsieur LABORIE André a été
privé d’être examiné par un médecin et privé de s’entretenir avec un avocat.
·
Art. 803-3 du code
de procédure pénale : (L. n°
2004-204 du 9 mars 2004, art.83) «Lorsque
la garde à vue a été prolongée mais que cette prolongation n'a pas été ordonnée
par le juge des libertés et de la détention ou par un juge d'instruction, la
personne retenue doit être effectivement présentée à la juridiction saisie ou,
à défaut, au juge des libertés et de la détention avant l'expiration du délai
de vingt heures.»
Lorsqu'il est fait application des dispositions du présent article, la
personne doit avoir la possibilité de s'alimenter et, à sa demande, de faire
prévenir par téléphone une des personnes visées à l'article 63-2, d'être
examinée par un médecin désigné conformément aux dispositions de l'article 63-3
et de s'entretenir, à tout moment, avec un avocat désigné par elle ou commis
d'office à sa demande, selon les modalités prévues par l'article (L. n° 2011-392 du
14 avr. 2011) «63-3-1.
L'avocat peut demander à consulter le dossier
de la procédure.»
Qu’en conséquence encore une fois la nullité de la procédure
s’imposait.
Que Monsieur LABORIE André à la
fin de sa garde à vue s’est retrouvé toujours séquestré en cellule au SRPJ de Toulouse jusqu’à 9 heures 15
du matin le 15 septembre 2011 sans que soit
notifier de nouveaux droits.
Que Monsieur LABORIE André à 9
heures 15 du matin le 15 septembre
PRESENTATION DEVANT LE PROCUREUR DE LA
REPUBLIQUE
A 10 heures du matin.
Que Monsieur LABORIE André à 10
heures, a été conduit menotté devant Madame COQUIZART, vice procureur de la
république au T.G.I de Toulouse sur le fondement de l’article 393 du cpp, en l’absence
d’avocat et renvoyé en comparution immédiate à 14 heures.
Violation
de l’article Art. 393 du cpp : la
personne qui est déférée devant le procureur de la République en application
des dispositions de l'article
Si le
procureur de la République saisit le tribunal correctionnel selon la procédure
de comparution immédiate, les dispositions du deuxième alinéa de l'article 397-1 permettant au prévenu
de demander le renvoi de l'affaire à une audience qui devra avoir lieu dans un
délai qui ne peut être inférieur à
deux mois sans être supérieur à quatre mois sont applicables, quelle
que soit la peine encourue.
Art. 393 cpp (L. n°
83-466 du 10 juin 1983) En matière correctionnelle, après avoir
constaté l'identité de la personne qui lui est déférée, lui avoir fait connaître les
faits qui lui sont reprochés et avoir recueilli ses déclarations si elle en
fait la demande, le procureur de la République peut, s'il estime qu'une
information n'est pas nécessaire, procéder comme il est dit aux articles 394 à 396.
Le procureur de la République informe alors la personne
déférée devant lui qu'elle a le droit à l'assistance d'un (L. n° 93-2 du 4
janv. 1993) «avocat» de son choix ou commis d'office. L'avocat choisi ou,
dans le cas d'une demande de commission d'office, le bâtonnier de l'ordre des
avocats, en est avisé sans délai.
L'avocat peut consulter sur le champ le dossier et communiquer
librement avec le prévenu.
Que Monsieur LABORIE a demandé
toutes les pièces de la procédure qui lui a été refusée, demande inscrite au
dos du procès verbal et non produit au dossier.
Qu’au vu de ce qui précède,
Madame COQUIZART Vice procureur de la république ne pouvait pas saisir le
tribunal en comparution immédiate, ce dernier ne peut être saisi pour un
délit de presse sur le fondement de l’article 397-6 du cpp,
de la loi du 29 juillet 1881 et d’une jurisprudence de la chambre criminelle de
la cour de cassation et encore moins lorsqu’il est prescrit.
Au vu de la :
TEXTE INTEGRAL DU MINISTERE DE
LA JUSTICE :
Procédure
La procédure de comparution immédiate est décidée par le procureur de la
République. Elle doit permettre d'obtenir un jugement rapide pour des faits qui
semblent simples et clairs.
Le procureur reçoit l'auteur présumé de l'infraction. Il l'informe des faits
qui lui sont reprochés et de sa convocation devant le tribunal correctionnel. La
personne poursuivie est assistée d'un avocat, commis d'office si nécessaire.
À savoir : la personne poursuivie peut refuser de se
soumettre à la procédure de comparution immédiate.
Délais de jugement
La personne poursuivie est convoquée devant le tribunal correctionnel :
·
immédiatement : si la peine
maximale encourue est de 2 ans d'emprisonnement (6 mois pour un flagrant délit)
et si le procureur estime que l'affaire peut être jugée en l'état,
·
dans les 10 jours à 2 mois , dans
les autres cas.
Dans l'attente du jugement, le juge des libertés et de la détention est
saisi afin de statuer sur le placement de la personne poursuivie (simple
contrôle judiciaire ou détention provisoire) .
LES AGISSEMENTS DE MADAME COQUIZART PAR CORRUPTION PASSIVE.
Que Madame COQUIZART Vice
procureur de la république à sciemment aussi violé les règles de procédure
pénale, en son article 393 ; 397-6, du cpp et
autres.
Que Madame COQUIZART Vice
procureur de la république ne pouvait ignorer les règles en la matière de la
comparution immédiate en matière de délit de presse étant interdite par la loi.
Que Madame COQUIZART Vice
procureur de la république ne pouvait user et ignorer les faux procès verbaux
effectués par le SRPJ de TOULOUSE depuis
le début de la procédure.
Les textes portés encore une fois à la connaissance du ou des
lecteurs :
·
Art. 397-6 (L. n° 83-466 du 10 juin
1983) Les dispositions des articles 393 à 397-5 ne sont applicables
ni aux mineurs, ni en matière de délits de presse, de
délits politiques ou d'infractions dont la procédure de poursuite est prévue
par une loi spéciale.
·
Toute référence faite dans les textes en vigueur
à la procédure de saisine directe vise désormais les procédures prévues par les
art. 393 à 397-6 du code de procédure pénale (L. n° 83-466 du 10 juin 1983,
art. 26).
Que Madame COQUIZART Vice
procureur de la république a aussi violé sciemment
l’article 65 de la loi du 29 juillet 1881 « en matière de délit de
presse » « La prescription
des poursuites est de 3 mois à la date de la première diffusion. ».
·
L'action publique et l'action civile résultant
des crimes, délits et contraventions prévus par la présente loi se
prescriront après trois mois révolus, à compter du jour où ils auront
été commis ou du jour du dernier acte d'instruction ou de poursuite s'il en a
été fait.
Jurisprudence :
Article 8 alinéa 1 bis.
Nature de la prescription. La prescription de l'action
publique constitue une exception péremptoire et d'ordre public qui doit être
relevée d'office par le juge. Crim. 20 mai
1980: Bull. crim. n° 156; RSC 1980. 459, obs.
J.-M. Robert 14 févr. 1995: Bull. crim. n° 66 19
avr. 1995: ibid. n° 159.
Article 8 alinéa 3.
Effets de la
prescription.
La
prescription de l'action publique ôte aux faits poursuivis tout caractère
délictueux. Crim. 27 oct. 1993: Bull. crim. n° 320.
Article 8 alinéa 7. Infractions instantanées. S'agissant d'un
délit instantané, la prescription a commencé à courir dès le jour où ont été
commis les actes incriminés. Crim. 27 sept. 1995:
pourvoi n° 94-84.446.
·
Article 8 alinéa 11du cpp : les
délits de presse. En matière d'infraction à la loi sur la presse, il
appartient aux juges du fait, pour fixer le point de départ de la prescription,
de déterminer, d'après les circonstances de la cause, la date du premier acte
de publication par lequel le délit est consommé. La mise de l'écrit à la
disposition du public, en un lieu quelconque, fait courir le délai prévu par
l'art. 65 de la loi du 29 juill. 1881, indépendamment
du domicile des victimes, et de l'ampleur de la distribution. Crim. 31 janv. 1995: Bull. crim.
n° 39. Lorsque des poursuites pour l'une des infractions prévues par la loi
du 29 juill. 1881 sont engagées à raison de la
diffusion, sur le réseau internet, d'un message figurant sur un site, le point
de départ du délai de prescription de l'action publique prévu par l'art. 65 de
la loi précitée doit être fixé à la date du premier acte de publication: cette
date est celle à laquelle le message a été mis pour la première fois à la
disposition des utilisateurs.
·
Encourt dès lors la cassation une cour
d'appel, qui, pour fixer le point de départ de la prescription de l'action
publique, à raison de textes diffusés sur internet, retient que, sur ce réseau,
l'acte de publication devient continu. Crim. 27 nov. 2001: Bull.
crim. n° 246; D. 2002. IR 456 ; LPA 2002, n°
163, p. 7, note Raynouard.
·
Art. 434-25 du code pénal: Le
fait de chercher à jeter le discrédit, publiquement par actes, paroles, écrits
ou images de toute nature, sur un acte ou une décision juridictionnelle, dans
des conditions de nature à porter atteinte à l'autorité de la justice ou à son
indépendance est puni de six mois d'emprisonnement et de 7 500 € d'amende.
Les dispositions de l'alinéa précédent ne s'appliquent pas aux commentaires
techniques ni aux actes, paroles, écrits ou images de toute nature tendant à la
réformation, la cassation ou la révision d'une décision Lorsque
l'infraction est commise par la voie de la presse écrite ou audiovisuelle, les
dispositions particulières des lois qui régissent ces matières sont applicables
en ce qui concerne la détermination des personnes responsables. L'action
publique se prescrit par trois mois révolus, à compter du jour où
l'infraction définie au présent article a été commise, si dans cet intervalle
il n'a été fait aucun acte d'instruction ou de poursuite.
Par méconnaissance volontaire ou involontaire des
règles de droit et textes, sans dépayser l’affaire pour une bonne
administration de la justice sur une autre juridiction du ressort de la cour
d’appel de Toulouse, a dressé un procès verbal de comparution immédiate, a renvoyé Monsieur LABORIE André devant le
tribunal pour l’audience du jour à 14 heures, le procès verbal a été signé par
moi, j’ai demandé les pièces de toute la procédure par écrit au dos du procès
verbal sur le fondement de l’article 802 alinéa 46 du code de procédure pénale.
Que les pièces de toute la
procédure ont été refusées par Madame COQUIZART Dominique agissant pour les
intérêts directs de Monsieur VALET Michel.
Violation de
l’article 802 alinéa 46 du code de procédure pénale.
NULLITE
DU PROCES VERBAL DE COMPARUTION IMMEDIATE.
Rédigé
à la demande et par corruption active de
Monsieur VALET Michel.
Nullité du procès verbal de
comparution immédiate.
Au vu des
textes ci-dessus violés volontairement par Madame COQUIZART vice procureur de
la république et des pièces du dossier fourni seulement le 13 janvier
2012.
Violation de l’article 65 de la loi du 29 juillet 1881 et de sa jurisprudence
ci-dessus. » absence d’un quelconque délit ».
Violation de tous les droits de défense en
garde à vue et comme confirmé par chacun des procès verbaux, Absence de
l’avocat, du médecin à la première heure de garde à vue.
Violation du droit de la défense en sa notification du droit de se taire.
Usage de faux en écriture publique concernant tous les procès verbaux de la SRPJ de
Toulouse.
Donc
nullité de la garde à vue.
Violation de l’article 393, violation de l’article 397-6 du cpp
et de l’article 50 de la loi du 29 juillet 1881.
·
Et autre………..ci dessus.
RETOUR A LA SEQUESTRATION DE MONSIEUR
LABORIE ANDRE
Mis en cellule souillée au sous sol du TGI
de Toulouse.
Que Monsieur LABORIE André est
resté séquestré sans aucun acte de notification en ses droits de défense, soit
violation de l’article 803 du cpp depuis 7 heures 30
du matin en ce jour du 15 septembre 2011 et jusqu’à 14 heures, sans boire ni
manger.
Que Monsieur LABORIE André
seulement 5 minutes a pu s’entretenir au sous sol avec un avocat nommé d’office,
sans pièces de procédure pour argumenter.
Que cet avocat était un autre
nommé d’office, ne le connaissant pas, n’étant même pas celui de la garde à
vue.
COMPARUTION DEVANT LE TRIBUNAL A 14 HEURES.
Monsieur LABORIE André s’est vu sous la contrainte forcée, menotté,
traîné comme un chien avec une laisse à comparaitre devant le tribunal sans
pouvoir au préalable s’entretenir avec un avocat, ne pouvant même pas
communiquer avec celui-ci par l’absence du dossier demandé devant Madame le
Procureur COQUIZART.
Qu’en son audience du 15
septembre 2011, Monsieur LABORIE était assisté d’un avocat d’office sans
pouvoir communiquer n’ayant pas pu obtenir les pièces de la procédure, étant
dans un box séparé de 5 à 6 mêtres.
Monsieur LABORIE André fatigué et
épuisé de cette procédure, s’est refusé d’être jugé au vu des éléments
ci-dessus, le tribunal ne pouvant être saisi au vu de la nullité du procès
verbal de comparution immédiate pour les moyens invoqués ci-dessus et d’une
partialité établie sachant que la prétendue victime était Monsieur VALET Michel
Procureur de la République de Toulouse.
Monsieur LABORIE andré était sans
moyen de défense, sans pièce, attendant qu’un délai lui soit ordonné pour
préparer sa défense sur le fondement de l’article 6-3 de la CEDH «
d’ordre public ».
Monsieur LABORIE André à fait
part au tribunal qu’il était de bonne foi sans pour autant être jugé:
Le tribunal ne pouvant se saisir
du dossier par l’interdiction sur le fondement de l’article 397-6 du cpp et autres, en violation de l’article 6-3 de la CEDH, a
jugé cet affaire avec partialité par les liens qui unissaient Monsieur VALET
Michel se prétendant victime :
En violation des textes :
Dans ce contexte Monsieur LABORIE
affaibli moralement et physiquement s’est vu condamné à 3 mois de prison ferme
pour le bien de sa majesté avec mandat d’arrêt à l’audience du 15 septembre
2011 et déporté manu militari, à la maison d’arrêt de Seysses.
Le tribunal n’a même pas regardé
le dossier et la régularité de la procédure, a réglé ses comptes avec Monsieur
LABORIE André par discrimination, hors la loi et sur les différents antécédent
avec de nombreux magistrats toulousains : « la partialité est ainsi encore
une fois établie ».
BOMJL n° 2011-06 du 30 juin 2011
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE LA JUSTICE ET DES LIBERTÉS
Rappel de
la limitation de la valeur probante des déclarations auto-incriminantes faites
sans l’assistance d’un avocat.
L’article 1er de la loi complète
l'article préliminaire du code de procédure pénale, qui fixe les principes
essentiels de la procédure pénale, par un alinéa disposant qu’« en matière criminelle et correctionnelle, aucune condamnation
ne peut être prononcée contre une personne sur le seul fondement de
déclarations qu'elle a faites sans
avoir pu s'entretenir avec un avocat et être assistée par lui. »
Cette disposition traduit
expressément dans notre droit les exigences résultant de la
jurisprudence de la Cour européenne
des droits de l'Homme issues notamment de son arrêt Salduz
c/Turquie du 27 novembre 2008 qui a estimé qu'« il est en principe porté une atteinte irrémédiable
aux droits de la défense lorsque des déclarations incriminantes -faites lors
d'un interrogatoire subi sans assistance possible d'un avocat- sont utilisées
pour fonder une condamnation ».
*
* *
Soit une détention arbitraire
ainsi établie au vu des voies de faits mises en place et comme décrites
ci-dessus.
Même pas le jugement porté à sa
connaissance dans le délai de 10 jours pour faire appel de la décision,
Monsieur LABORIE André ne connaissant même pas son contenu, seulement entendu
en son délibéré : 3 mois de
prison ferme.
Les voies de recours de ce fait
n’ont pu être saisies par la violation des droits de Monsieur LABORIE andré « prévenu » et comme l’indique
l’arrêt du 24 juillet 2007 par la cour européenne des droits de l’homme qui
dit :
Qu’en l’espèce au vu de l’article
6 alinéa 85 de la CEDH, la seule lecture du dispositif du jugement du T.G.I
avant l’expiration du délai d’appel porte atteinte aux droits de la défense CEDH
du 24 juillet 2007.
Article 6 Alinéa 85 : Motivation des décisions de justice. La seule lecture à
l'audience du dispositif du jugement du tribunal correctionnel avant
l'expiration du délai d'appel porte atteinte aux droits de la défense. CEDH
sect. II, 24 juill. 2007:
Arrêt de Jurisprudence DALLOZ
Cour européenne des droits de l'homme
24 juillet 2007n° 53640/00
Sommaire : L'absence de
communication écrite de la décision avant expiration du délai d'appel viole les
droits de la défense.
Texte intégral :
Cour européenne des droits de l'homme24 juillet 2007N° 53640/00
«
Faute d'avoir pu obtenir le jugement complet avant l'expiration du délai
d'appel, le requérant avait donc pour seule issue d'interjeter appel sans
connaître aucun des éléments de la motivation retenue par le tribunal
correctionnel.
[...] La Cour estime qu'en l'espèce, la seule
lecture à l'audience du dispositif du jugement du tribunal correctionnel avant
l'expiration du délai a porté atteinte aux droits de la défense ».
Art. 486 du code de procédure pénale:
La minute du jugement est datée et mentionne les noms des magistrats qui l'ont
rendu; la présence du ministère public à l'audience doit y être constatée.
Après avoir été signée par le président et le greffier, la minute est déposée
au greffe du tribunal dans les trois jours au plus tard du prononcé du
jugement. Ce dépôt est mentionné sur le registre spécialement tenu au greffe à
cet effet. — Pr. pén. C. 633.
(L. n° 89-461 du 6 juill. 1989) «En cas d'empêchement
du président, mention en est faite sur la minute qui est signée par celui des
juges qui donne lecture du jugement.»
Art. 486 alinéa 9 du code de procédure pénale:. Ainsi le dépôt tardif de
la minute d'un jugement ne peut entraîner la nullité de celui-ci lorsque
le prévenu n'en a subi aucun préjudice. •
Qu'en conséquence le jugement est nul,
non remis au prévenu dans le délai d'appel et comme le justifie la fiche pénale
synthétique indiquant que celui ci a été communiqué le 13 octobre 2011 soit un
mois après la décision rendue en date du 15 septembre 2011 en son seul
dispositif et toujours non communiqué à Monsieur LABORIE André.
Que ce jugement ne peut,
que constituer un faux intellectuel :
-
" Une inscription de faux
sera enregistrée, dénoncée au parties devant le T.G.I "
Un acte constitutif de faux intellectuels n'a plus
de valeur authentique.
Faits réprimés :
Sur la violation des droits de
Monsieur LABORIE André concernant le jugement du 15 septembre toujours non
remis après plusieurs réclamations.
Qu’en conséquence dans les délais d’appel les parties qui n’ont pas eu
connaissance du jugement en son intégralité après que le seul dispositif a été
lu à l’audience, sont en droit de faire valoir la nullité du jugement pour
atteinte aux droits de la défense, causant un grief qui ne peut être contesté au vu de l’arrêt du
24 juillet 2007, ne pouvant vérifier son contenu en son intégralité sur la
forme et sur le fond de la décision.
Qu’au vu de la nullité du
jugement celui-ci est comme s’il n’avait pas existé, ne pouvant être mis en
exécution et encore moins avant le délai d’appel qui est d’ordre public.
Que la mise en détention de Monsieur LABORIE André est bien arbitraire
à l’audience du 15 septembre 2011 au vu des conditions ci-dessus détaillées et
de la violation caractérisée des règles
de droit.
Quand bien même
que la décision serait régulière ce qui n’était pas le cas au vu de tout ce qui
précède :
Monsieur LABORIE André ne pouvait être mis en prison au vu
de l’article 474 du cpp.
Qu’en conséquence la détention de Monsieur LABORIE André à l’audience
du 15 septembre 2011 est bien arbitraire et consommée jusqu’au 24 novembre
2011.
NOUVELLES
REPRESAILLES DE MONSIEUR VALET MICHEL
Procureur de
la république de Toulouse.
Et des
nouveaux agissements en date du 8 décembre 2011.
Et sous la
responsabilité de Monsieur DAVOST Patrice supérieur hiérarchique agissant en
tant que Ministre de la Justice.
Monsieur LABORIE
André a fait l’objet de nouvelles représailles de Monsieur VALET Michel en date
du 8 décembre 2011.
RAPPEL :
Monsieur LABORIE André a été contraint de
saisir Monsieur le Procureur de la République de Toulouse et en exposant les
faits réels de détention arbitraire qu’il venait de subir au vu des dires
ci-dessus motivés et réels.
Que Monsieur LABORIE André a été contraint de
saisir Monsieur le Procureur de la République par courrier du 30 novembre 2011
et précédent, du 6 décembre 2011, en rappel, sur le fondement de l’article
434-1 du code pénal pour éviter que cela se reproduise.
Que Monsieur LABORIE André a été contraint de
saisir en date du 4 décembre 2011, Monsieur MERCIER Michel Ministre de la
justice par une plainte déposée contre les auteurs de cette détention
arbitraire du 14 septembre 2011 au 14 novembre 2011 et de ses conséquences.
Que Monsieur LABORIE André a été contraint de
saisir en date du 4 décembre 2011 Monsieur SARKOZY Nicolas Président de la
République concernant la plainte déposée à Monsieur Michel MERCIER Ministre de
la Justice et en demandant son intervention urgente.
Arrêt de la Cour de Cassation du 27 septembre 2000 N°
99-87929
Celui qui dénonce à l’autorité compétente des
faits délictueux imputés à un magistrat ne commet à l’égard de ce magistrat
aucun outrage s’il se borne à spécifier et qualifier les faits dénoncés.
Article 41 de la loi du 29 juillet 1881
Ne donneront lieu à aucune action en
diffamation, injure ou outrage, ni le compte rendu fidèle fait de bonne foi des
débats judiçiaires, ni les discours prononcés ou des
écrits produits devant les tribunaux.
Article 434-1 et suivant du code pénal
Le fait, pour quiconque ayant connaissance d'un
crime dont il est encore possible de prévenir ou de limiter les effets, ou dont
les auteurs sont susceptibles de commettre de nouveaux crimes qui pourraient
être empêchés, de ne pas en informer les autorités judiciaires ou administratives
est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45000 euros d'amende.
***
Que ces courriers ont mis
immédiatement dans l’embarra Monsieur VALET Michel Procureur de la République
ainsi que ses complices de se voir dénoncer sur de tels faits incontestables de
détention arbitraire et poursuivis devant les hautes autorités.
Et pour des faits réprimés par
les articles. 432-4 et 432-5 du code pénal.
QU’AU VU DE CES COURRIERS :
Une répression immédiate de
Monsieur VALET Michel Procureur de la République ne s’est pas fait attendre
pour faire obstacle à la divulgation par Monsieur LABORIE André de tels faits
sur notre territoire français.
A ce jour, l’affaire LABORIE ne
peut rester inconnue, la vérité doit sortir au vu des pièces produites
incontestables concernant cette détention arbitraire du 14 septembre 2011 au 14
novembre 2011 et de sa motivation illicite.
Soit la chasse à l’homme de
Monsieur LABORIE André a été de nouveau lancée par Monsieur VALET Michel
Procureur de la République de Toulouse.
Monsieur VALET Michel procureur
de la république de Toulouse récidive dans ces actes comme pour la procédure du
14 septembre 2011 et les précédentes dont s’est aussi retrouvé victime Monsieur
LABORIE André.
Alors qu’il ne peut encore une
fois exister un quelconque délit d’outrage au vu des jurisprudences ci-dessus.
Monsieur VALET Michel a agi pour
faire obstacle à contestations soulevées concernant la détention arbitraire du
14 septembre 2011 au 14 novembre 2011 et aux futures représailles judiciaires.
Qu’il est rappelé comme je
l’indique dans les différents courriers, que
Monsieur VALET Michel procureur de la république est l’instigateur au vu de ses réquisitions directes faites à
ses subordonnées agissant avec partialité, hors la loi et avec discrimination.
Que Monsieur VALET Michel est le seul responsable de telles procédures
engagées alors que c’est Monsieur LABORIE qui est directement victime.
Que Monsieur VALET Michel se refuse de faire ordonner des enquêtes sur
l’occupation sans droit ni titre de notre propriété toujours située au N° 2 rue
de la Forge 31650 Saint Orens
Que Monsieur VALET Michel agit pour faire obstacle pour faire obstacle
au procès de Monsieur CAVE et de Madame PUISSEGUR renvoyé par la chambre
criminelle devant le tribunal correctionnel par son arrêt du 4 mai 2011.
Que Monsieur VALET Michel agit
pour faire obstacle à de nombreux procès engagés et plaintes déposées, dans le
seul but de couvrir les différents auteurs responsables et coupables des faits
dénoncés avec preuves à l’appui et dont sont victimes depuis le 27 mars 2008
Monsieur et Madame LABORIE.
Conclusion :
C’est pour ces raisons que la nouvelle agression est intervenue de la
part de Monsieur VALET Michel Procureur de la République de Toulouse en date du
8 décembre 2011.
Et qu’au vu de ces pièces nous pouvons que constater :
De deux réquisitions de Monsieur
VALET Michel signée de sa personne. « Constitutifs de faux en écriture
publiques ».
DANS UN TEL CONTEXTE DE DETENTION
ARBITRAIRE.
Les courriers du 30 novembre 2011 & du 6 décembre 2011 étaient fondés
d’être portés à la connaissance des autorités toulousaines et autres.
Monsieur LABORIE André n’étant
pas masochiste était recevable à porter plainte sur la détention arbitraire
qu’il vient de subir et en réclamer la réparation.
Qu’au vu des griefs causés en ses droits de défense :
Pour cela, Monsieur LABORIE André
était contraint de saisir la justice soit Monsieur le Procureur de la
République pour obtenir son disque dur lui permettant de gérer ses dossiers et
mettre en route son ordinateur.
Pour cela, Monsieur LABORIE André
était contraint de demander les pièces de la procédure et le jugement du 15
septembre 2011 non porté à sa connaissance dans les dix jours.
Qu’il est prouvé que ce jugement
n’a pas respecté l’article 486 du cpp, seulement fourni au vu de la fiche d’écrou à
la maison d’arrêt de SEYSSES soit : en date du 17 octobre 2011, 1 mois après alors qu’il doit être remis au
prévenu dans les dix jours.
Que Monsieur LABORIE André en a
eu seulement connaissance le 13 janvier 2012 après de multiples demandes.
LES PIECES ET LEURS CONTESTATIONS.
I / Il est fourni en date du 1 décembre 2011 une réquisition N°
11/335000241adressée au directeur du service de la police judiciaire de
Toulouse « SRPJ » signée du même jour de Monsieur VALET Michel
procureur de la république de Toulouse et faisant mention des termes
suivants :
Observation de Monsieur LABORIE André :
Au vu de l’urgence et des
préjudices causés par l’absence de son disque dur, par fax et par lettre
recommandée le 30 novembre Monsieur LABORIE a été contraint de saisir le
parquet de Toulouse pour porter réclamation sur ce disque dur et sur une
détention arbitraire du 14 septembre 2011 au 14 novembre 2011 et réclamer la
décision du 15 septembre 2011 qui n’a jamais été portée à sa connaissance,
indiquant les responsables d’une telle situation vécue.
II / Il est fourni une nouvelle fois en date du 6 décembre 2011 une
réquisition N° 11/335000241 adressée au directeur du service de la police
judiciaire de Toulouse « SRPJ » signée du même jour de Monsieur
VALET Michel procureur de la république de Toulouse et faisant mention des
termes suivants :
Observation de Monsieur LABORIE André :
Contraint de réitérer au vu de
l’urgence, la demande envoyée par fax et par lettre recommandée le 30 novembre
2011 restée sans réponse, réitération au secrétariat du procureur de la
république suite à mon appel téléphonique avec Monsieur PELETIER Procureur
Adjoint qui m'a demandé de le faire et au vu de l'urgence pour gérer mes
différents dossiers.
VIOLATION
ET NULLITE DE LA PROCEDURE DE LA GARDE A VUE.
Du 8 et 9 décembre 2011.
Violation des droits de défense, absence
d’avocat, médecin à la première heure.
Défaut de moyen sérieux de poursuite.
LIBERTES & DROITS DE
L'HOMME : ACTUALITES.
Nullité des
gardes à vue en l’absence de l’avocat dès le début de celles-ci (CEDH, 27
novembre 2008, Salduz c. Turquie; CEDH 13 octobre
2009, Dayanan C/ Turquie)
Voir ci-dessus texte de l’ordre des avocat de PARIS et
textes de la chambre criminelle ( ci-dessus et concernant la première
procédure).
Violation de la réforme applicable depuis le 1er
juin 2011, concernant la garde à vue, qui permet aux mis en cause de bénéficier
de la présence d’un avocat dés la première heure.
Et comme le dit aussi Monsieur
DAVOST Patrice Procureur Général prés la cour d’appel de Toulouse en son
audience de rentrée solennelle 2012.
Tous les
procès verbaux ci-dessous sont constitutifs de faux en écritures publiques,
absence de délit de flagrance.
Tout
court : Absence de délit
Qu’il est à préciser que ce n’est
pas sérieux de poursuivre encore une fois Monsieur LABORIE André sur les même
objets, les mêmes causes, les même personnes pour seulement satisfaire son
instigateur Monsieur VALET Michel Procureur de la République de Toulouse,
responsable d’une telle situation, ayant le désir au vu de tous les éléments
portés à sa connaissance et restés sans suite,
de continuer à nuire aux intérêts de Monsieur LABORIE André dans ses
droits de défense.
Agissements dans le seul but se
couvrir et faire encore une fois obstacle à toutes procédures judiciaires
concernant cette détention arbitraire établie de Monsieur LABORIE André et
consommée, du 14 septembre 2011 au 24 novembre 2011, dans les conditions
ci-dessus expliquée ainsi que dans les
courriers qui lui sont reprochés adressés aux autorités judiciaires comme
indiqué ci-dessus.
Soit par corruption « intérêts personnels, avantages quelconques »,
il est mis en place tous les moyens nécessaires irréguliers sur la forme et le
fond de la procédure, ne respectant même pas les droits de la défense de la
personne poursuivie comme on a pu s’en apercevoir ci dessus, en auto-forgeant des délits imaginaires,
prescrits, en dressant des faux procès verbaux en leur contenu dans le seul
but de satisfaire les demandes de son
instigateur et de ce fait ces derniers se rendant aussi complices sur le
fondement de l’article 121-7 du code pénal.
Usant et abusant de leur
influence en leur qualité de fonctionnaires devant un tribunal pour obtenir la
condamnation systématique de la personne poursuivie, avec une partialité
établies au vu des liens qui les unissent, en violation des articles :
6 ; 6-1 et 6-3 de la CEDH.
Rappelant la constitution,
indiquant que l’autorité judiciaire est garante de la liberté individuelle, des
biens des personnes et de leur sécurité, dans le cas d’espèce Monsieur VALET
Michel Procureur de la république est concerné.
LES PROCES
VERBAUX ETABLIS PAR LE S.R.P.J DE TOULOUSE
Constitutifs
de faux en écritures publiques.
En l’absence
de délit et de flagrant délit.
En violation
des droits de défenses effectives.
I / Il est produit un procès
verbal le 5 décembre 2011 N° 2011/754/01 rédigé par Monsieur Paul BONNAMOUR
Commandant de police à Toulouse au SRPG.
Observations de Monsieur LABORIE André.
*
* *
II / Il est produit un
procès verbal le 6 décembre 2011 à 9 heures 45 N° 2011/769/01 rédigé par
Monsieur Julien SANTAGA OPJ à Toulouse au SRPG.
Observations de Monsieur LABORIE André.
*
* *
III / Il est produit un
procès verbal le 6 décembre 2011 à 17 heures 15 N° 2011/754/02 rédigé par
Monsieur Paul BONNAMOUR Commandant de police à Toulouse au SRPG.
Observations de Monsieur LABORIE André.
*
* *
IV / Il est produit un
procès verbal le 7 décembre 2011 à 8 heures 15 N° 2011/769/02 rédigé par
Monsieur Paul BONNAMOUR OPJ à Toulouse au SRPG.
·
Monsieur BONNAMOUR ; Commandant de police.
·
Vincent IRATCABAL, Capitaine de police.
·
Karne NOEL ;
Lieutenant de police
Observations de Monsieur LABORIE André.
*
* *
V / Il est produit un procès
verbal le 7 décembre 2011 à 15 heures 55 N° 2011/769/03 rédigé par Monsieur
Paul BONNAMOUR OPJ à Toulouse au SRPG.
Observations de Monsieur LABORIE André.
*
* *
VI / Il est produit un
procès verbal le 7 décembre 2011 à 16 heures 10 N° 2011/769/04 rédigé par
Monsieur Paul BONNAMOUR OPJ à Toulouse au SRPG.
Observations de Monsieur LABORIE André.
*
* *
VII / Il est produit un
procès verbal le 7 décembre 2011 à 16 heures 20 N° 2011/769/05 rédigé par NOEL
Karine lieutenant à Toulouse au SRPG.
Observations de Monsieur LABORIE André.
*
* *
VIII / Il est produit un
procès verbal le 7 décembre 2011 à 16 heures 25 N° 2011/769/05 rédigé par NOEL
Karine lieutenant à Toulouse au SRPG.
Observations de Monsieur LABORIE André.
*
* *
IX / Il est produit un
procès verbal le 7 décembre 2011 à 16 heures 30 N° 2011/769/05 rédigé par NOEL
Karine lieutenant à Toulouse au SRPG.
Observations de Monsieur LABORIE André.
*
* *
X / Il est produit un procès
verbal le 8 décembre 2011 à 8 heures 05 N° 2011/769/06 rédigé par Paul BONNMOUR
Commandant de police à Toulouse au SRPG.
Observations de Monsieur LABORIE André.
*
* *
XI / Il est produit un
procès verbal le 8 décembre 2011 à 10 heures 30 N° 2011/769/07 rédigé par NOEL
Karine lieutenant de police à Toulouse au SRPG.
Observations de Monsieur LABORIE André.
*
* *
XI / Il est produit un
procès verbal le 8 décembre 2011 à 12 heures 30 N° 2011/769/08 rédigé par Paul
BONNAMOUR OPJ à Toulouse au SRPG.
Observations de Monsieur LABORIE André.
*
* *
XII / Il est produit un
procès verbal le 8 décembre 2011 à 13 heures 45 N° 2011/769/09 rédigé par
Karine NOEL Lieutenant de police à Toulouse au SRPG.
Observations de Monsieur LABORIE André.
*
* *
XIII / Il est produit un
procès verbal le 8 décembre 2011 à 13 heures 50 N° 2011/769/10 rédigé par
Karine NOEL Lieutenant de police à Toulouse au SRPG.
Observations de Monsieur LABORIE André.
*
* *
XIV / Il est produit un
procès verbal le 8 décembre 2011 à 13 heures 50 N° 2011/769/11 rédigé par
Karine NOEL Lieutenant de police à Toulouse au SRPG.
Observations de Monsieur LABORIE André.
Monsieur LABORIE n’a toujours pas eu un avocat à la première heure.
*
* *
XIV / Il est produit un
procès verbal le 8 décembre 2011 à 14 heures 30 N° 2011/769/12 rédigé par Paul
BONNAMOUR OPJ à Toulouse au SRPG.
Observations de Monsieur LABORIE André.
*
* *
XV / Il est produit un
procès verbal le 8 décembre 2011 à 16 heures15
N° 2011/769/13 rédigé par Paul BONNAMOUR OPJ à Toulouse au SRPG.
Observations de Monsieur LABORIE André.
*
* *
XVI / Il est produit un
procès verbal le 8 décembre 2011 à 16 heures 20
N° 2011/769/14 rédigé par Karine NOEL lieutenant de police à Toulouse au SRPG.
Observations de Monsieur LABORIE André.
*
* *
XVII / Il est produit un
procès verbal le 8 décembre 2011 à 17 heures 20
N° 2011/769/15 rédigé par Paul BONNAMOUR OPJ de police
à Toulouse au SRPG.
Observations de Monsieur LABORIE André.
Monsieur LABORIE André s’est refusé de recevoir cette personne,
connaissant les objectifs requis et infondés de la part du parquet de Toulouse
dans le seul but que Monsieur LABORIE André ne puisse plus agir en justice.
*
* *
XVIII / Il est produit un
procès verbal le 8 décembre 2011 à 17 heures 30
N° 2011/769/16 rédigé par Paul BONNAMOUR OPJ de police
à Toulouse au SRPG.
Observations de Monsieur LABORIE André.
Monsieur LABORIE André n’a pas encore eu un avocat à la première heure
de sa garde à vue.
*
* *
XIX / Il est produit un
procès verbal le 8 décembre 2011 à 18 heures 15
N° 2011/769/17 rédigé par Paul BONNAMOUR OPJ de police
à Toulouse au SRPG.
Observations de Monsieur LABORIE André.
Monsieur LABORIE André n’a pas encore eu un avocat à la première heure
de sa garde à vue.
*
* *
XX / Il est produit un
procès verbal le 8 décembre 2011 à 18 heures 25
N° 2011/769/18 rédigé par Paul BONNAMOUR OPJ de police
à Toulouse au SRPG.
Observations de Monsieur LABORIE André.
*
* *
XXI / Il est produit un
procès verbal le 8 décembre 2011 à 19 heures 05
N° 2011/769/19 rédigé par Paul BONNAMOUR OPJ de police
à Toulouse au SRPG.
Observations de Monsieur LABORIE André.
*
* *
XXII / Il est produit un
procès verbal le 9 décembre 2011 à 8 heures 40
N° 2011/769/20 rédigé par Karine NOEL lieutenant de police
à Toulouse au SRPG.
Observations de Monsieur LABORIE André.
Ce procès verbal a été signé de Monsieur LABORIE andré en faisant la mention que je n’ai pas eu
d’avocat à la première heure et au cours des interrogatoires restant muet et
suite à la violation de la nouvelle loi concernant l’avocat à la première heure
de garde à vue.
*
* *
RECAPITULATIF DE TOUTE LA PROCEDURE PAR LA
SRPJ DE TOULOUSE.
En son commandant Monsieur Paul
BONNAMOUR.
Adressé à Monsieur le Procureur de la
République de Toulouse
Le 8 décembre 2011.
Observations de Monsieur LABORIE André.
I / Faux intellectuel, faux en écriture publique de ce courrier
destiné à une autorité ayant des conséquences judiciaires.
Que ce document est constitutif de faux en écriture
publiques car la fin de la garde à vue a été signée le 9 décembre 2011 à 8
heures 40 et ne pouvait donc être établi cet acte le 8 décembre 2011.
II / Absence de
délit d’outrage et de flagrance d’outrage, obligation de dénoncer.
Que les poursuites engagées sur un flagrant délit d’outrage
ne peut exister et encore plus sur des documents « en l’espèce
plainte » portés à la connaissance
des autorités judiciaires, procureur de la république et dénonçant des faits de
détention arbitraire portant le nom des responsable et des complicités
Arrêt de la Cour de Cassation du 27 septembre 2000 N°
99-87929
Celui qui dénonce à l’autorité compétente des
faits délictueux imputés à un magistrat ne commet à l’égard de ce magistrat
aucun outrage s’il se borne à spécifier et qualifier les faits dénoncés.
Article 41 de la loi du 29 juillet 1881
Ne donneront lieu à aucune action en diffamation,
injure ou outrage, ni le compte rendu fidèle fait de bonne foi des débats judiçiaires, ni les discours prononcés ou des écrits
produits devant les tribunaux.
Article 434-1 et suivant du code pénal
Le fait, pour quiconque ayant connaissance d'un
crime dont il est encore possible de prévenir ou de limiter les effets, ou dont
les auteurs sont susceptibles de commettre de nouveaux crimes qui pourraient
être empêchés, de ne pas en informer les autorités judiciaires ou
administratives est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45000 euros
d'amende.
III / Violation des droit
de la défense, du médecin, de l’avocat à la première heure
Justice dépêche du 6 janvier 2012.
Au cours de la rentrée solennelle
de la cour d’Appel de Toulouse, Monsieur DAVOST Patrice Procureur Général
rappelle que les gardes à vu ont chutées de 20,7 % et que depuis le 1er
juin 2011, la réforme de la garde à vue, qui permet aux mis en cause de
bénéficier de la présence d’un avocat dés la première heure.
Que la loi encore une fois n’est
pas respectée sur la juridiction toulousaine ou par discrimination. « Les
preuves apportées par Monsieur LABORIE André sont incontestables ».
LIBERTES
& DROITS DE L'HOMME : ACTUALITES.
Nullité des gardes à vue en l’absence
de l’avocat dès le début de celles-ci (CEDH, 27 novembre 2008, Salduz c. Turquie; CEDH 13 octobre 2009, Dayanan C/ Turquie)
IV / Déferrement devant le procureur de la
république sur le fondement de l’article 393 du cpp.
Monsieur LABORIE
André a été confronté par devant la prétendue victime Monsieur VALET Michel
assisté de deux policiers.
Monsieur LABORIE
André a été ensuite envoyé devant Monsieur BOYER pour son sort qui lui a remis
un procès verbal de comparution immédiate pour le 9 décembre 2011.
Et ce
en violation de l’article 393 et suivant du cpp.
Violation
de l’article Art. 393 du cpp : la
personne qui est déférée devant le procureur de la République en application
des dispositions de l'article
Si le
procureur de la République saisit le tribunal correctionnel selon la procédure
de comparution immédiate, les dispositions du deuxième alinéa de l'article 397-1 permettant au prévenu
de demander le renvoi de l'affaire à une audience qui devra avoir lieu dans un
délai qui ne peut être inférieur à
deux mois sans être supérieur à quatre mois sont applicables, quelle
que soit la peine encourue.
Art. 393 cpp (L. n°
83-466 du 10 juin 1983) En matière correctionnelle, après avoir
constaté l'identité de la personne qui lui est déférée, lui avoir fait connaître les
faits qui lui sont reprochés et avoir recueilli ses déclarations si elle en
fait la demande, le procureur de la République peut, s'il estime qu'une
information n'est pas nécessaire, procéder comme il est dit aux articles 394 à 396.
Le procureur de la République informe alors la personne
déférée devant lui qu'elle a le droit à l'assistance d'un (L. n° 93-2 du 4
janv. 1993) «avocat» de son choix ou commis d'office. L'avocat choisi ou,
dans le cas d'une demande de commission d'office, le bâtonnier de l'ordre des
avocats, en est avisé sans délai.
L'avocat peut consulter sur le champ le dossier et communiquer
librement avec le prévenu.
DE TOUT CE QUI PRECEDE.
Sur la nullité de
toute la procédure est d’ordre public :
I / Qu’au vu de l’appel en date du 13 janvier 2012 sur
le jugement du 15 septembre 2011 nul et non avenu sur la forme et sur le fond
ne pouvant servir en l’espèce à une récidive.
II / Qu’au vu des poursuites infondées d’outrage en date du 8 décembre 2011 et sur le fondement
des textes ci-dessous.
III / Qu’au
vu de la violation des droits effectifs de défense à la première heure de garde
à vue et sur le fondement des textes ci dessous.
Actualité du Conseil national des barreau « CNB » du 18 avril 2011
La réforme de la garde à vue publiée par la
loi n° 2011-392 du 14 avril 2011, applicable au 1er juin 2011.
Nullité des gardes à
vue en l’absence de l’avocat dès le début de celles-ci (CEDH, 27 novembre 2008,
Salduz c. Turquie; CEDH 13 octobre 2009, Dayanan C/ Turquie).
Les arrêts Chambre criminelle de la Cour de Cassation du 31 mai 2011
sur www.courdecassation.fr
● Cour de cassation. Chambre criminelle. 31 mai 2011, Pourvoi n° 10-88.809
● Cour de cassation. Chambre criminelle. 31 mai 2011, Pourvoi n° 10-80.034
● Cour de cassation. Chambre criminelle. 31 mai 2011, Pourvoi n° 10-88.293
● Cour de cassation. Chambre criminelle. 31 mai 2011, Pourvoi n° 11-81.412
● La Cour de cassation
rend la présence de l’avocat obligatoire pendant toute la garde à vue.
Les arrêts rendus le 15 avril 2011 par
l'assemblée plénière de la Cour de cassation statuant sur la régularité de
mesures de garde à vue au regard de l'article 6 § 1 de la Conv.
EDH consacrent le droit à l'assistance effective d'un avocat dont la présence
est immédiatement rendue obligatoire. Les avocats seront donc présents dès le
début de toutes les gardes à vue, quelle que soit la nature de l'affaire. Ces
décisions historiques valident sans aucune ambigüité les positions défendues
par la profession d'avocat toute entière depuis de nombreux mois ... –
IV / Qu’au vu de
tous les procès verbaux constitutifs de
faux en écritures publiques effectués pendant la garde à vue du 8 et 9 décembre
2011 et sur des bases fondamentales erronées, absence de délit et droits de la
défense violés.
V / Qu’au vu de
la nullité de toute la procédure de garde à vue en conséquence de ce qui
précède.
VI / Qu’au vu de
la nullité de la comparution devant le procureur de la république par l’absence
d’un avocat et en violation de l’article 393 du cpp.
« Atteinte au droits de la défense et par la nullité de la garde à
vue ».
VII / Qu’au vu
de la nullité du procès verbal de comparution immédiate pour violation des
droit de la défense, violation de l’article 393 du cpp.
VIII / Qu’au vu de
la Nullité de Toute la procédure faite à l’encontre de Monsieur
LABORIE André.
QU’EN CONSEQUENCE
Le tribunal correctionnel saisi ou la cour d’assise se doit
de rentrer en voie de condamnation de Monsieur VALET Michel Procureur de la
République agissant en tant qu’instigateur de la détention arbitraire et
prémédité du 14 septembre 2011 et de la nouvelle tentative en date du 8
décembre 2011 à l’encontre de Monsieur LABORIE André.
Sur les
préjudices causés par Monsieur VALET Michel
Demande sur
l’action civile.
Monsieur LABORIE André demande en réparation sur tous les
préjudices causés et concernant les deux procédures initiées volontairement et
non par une erreur de procédure, à la demande de Monsieur VALET Michel.
Soit pour la procédure de détention arbitraire du 14
septembre 2001 au 24 novembre 2011.
-
La
somme de 60.000 euros.
Soit pour la nouvelle tentative de détention arbitraire en
date du 8 décembre 2011 et conséquences.
-
La
somme de 20.000 euros.
PAR CES MOTIFS
SUR L’ACTION PENALE POURSUIVIE
Sous la
responsabilité de Monsieur DAVOST Patrice Procureur Général.
Sous la
responsabilité de Monsieur Amar BELACEL.
Le
parquet indivisible par sa nature.
Condamner Monsieur DAVOST Patrice et Monsieur Amar
BELACEL sur le fondement des articles : 432-4 ; 432-5 ;
432-6 du code pénal.
Condamner Monsieur DAVOST Patrice et Monsieur Amar
BELACEL sur le fondement de l’article 432-11 du code pénal.
Condamner Monsieur DAVOST Patrice et Monsieur Amar
BELACEL sur le fondement des Art. 432-1 et 432-2 du code pénal.
Condamner Monsieur DAVOST Patrice et Monsieur Amar
BELACEL de tous les droits civiques.
Publication de la condamnation dans un quotidien à sa
charge.
SUR L’ACTION PENALE POURSUIVIE
Sous la responsabilité de Monsieur VALET Michel.
Sous la
responsabilité de Monsieur Amar BELACEL.
Le
parquet indivisible par sa nature.
Condamner Monsieur VALET Michel et Monsieur Amar
BELACEL sur le fondement des articles : 432-4 ; 432-5 ;
432-6 du code pénal.
Condamner Monsieur VALET Michel et Monsieur Amar
BELACEL sur le fondement de l’article 432-11 du code pénal.
Condamner Monsieur VALET Michel et Monsieur Amar
BELACEL sur le fondement des Art. 432-1 et
432-2 du code pénal.
Condamner Monsieur VALET Michel et Monsieur Amar
BELACEL de tous les droits civiques.
Publication de la condamnation dans un quotidien à sa
charge.
SUR L’ACTION
CIVILE DE MONSIEUR LABORIE ANDRE EN SES DEMANDES.
Ordonner la réparation en dommage et intérêts sur tous les
préjudices subis par Monsieur LABORIE André.
Condamner Monsieur DAVOST Patrice et Monsieur Amar BELACEL à verser à Monsieur
LABORIE André pour la détention arbitraire qu’il a subie du 14 février 2006 au
14 septembre 2007.
-
La somme
de 380.000 euros
Condamner Monsieur DAVOST Patrice et Monsieur VALET Michel et Monsieur Amar BELACEL à verser à Monsieur
LABORIE André pour la détention arbitraire du 14 septembre 2011 au 24 novembre
2011.
-
La
somme de 60.000 euros.
Condamner Monsieur DAVOST Patrice et Monsieur VALET Michel et Monsieur Amar BELACEL à verser à Monsieur
LABORIE André pour la nouvelle tentative de détention arbitraire en date du 8
décembre 2011 et ses conséquences.
-
La
somme de 20.000 euros.
Condamner Monsieur DAVOST Patrice et Monsieur VALET Michel et Monsieur Amar BELACEL à verser à Monsieur
LABORIE André la somme de 10.000 euros
sur le fondement de l’article 475-1 du cpp.
Dire que l’agent judiciaire du trésor représentant l’Etat
français peut se porter garant des condamnations civiles ordonnées à Monsieur
VALET Michel et à Monsieur Patrice DAVOST sur le fondement de l’article L 781-1
du COJ.
III / SUR LA VIOLATION
DE NOTRE DOMICILE
A la demande de la préfecture de la HG.
Sous le couvert du parquet de Toulouse.
Et pour faire obstacle aux plaintes déposées de
détention arbitraire.
Détournement de notre propriété pendant cette
détention arbitraire.
Voies de faits sous le couvert du parquet de Toulouse : Monsieur
Amar BALACEL vice procureur de la république.
Le parquet est indivisible par sa nature, la faute de l’un engage la
responsabilité de tous les autres.
Monsieur et Madame LABORIE ont
acquis la propriété d’un terrain situé au N° 2 rue de la forge 31650 Saint Orens de Gameville, figurant au
cadastre de la dite commune sous les références section BT N) 60, pour une
contenance de 7a 41ca, et pour l’avoir acquise suivant acte de Maître DAGOT,
Notaire à Toulouse, en date du 10 février 1982, publié le 16 février 1982
auprès du 3ème bureau des hypothèques de Toulouse, volume 2037 N°
12.
Que pendant une détention
arbitraire de Monsieur LABORIE André soit du 14 février 2006 au 14 septembre
2007, la propriété de Monsieur et Madame LABORIE a fait l’objet d’une attaque
en saisie immobilière par Maître FRANCES Avocate et pour une banque qui
ne pouvait être créancière, soit par la fraude en produisant de faux éléments
au tribunal, profitant de l’absence de moyens de défense de chacune des deux
parties, Monsieur LABORIE André incarcéré, Madame LABORIE non avertie d’une
telle attaque par l’absence de signification d’acte de justice à sa personne.
Que cette attaque a été faite par
un jugement de subrogation rendu le 29 juin 2006 et obtenu par faux et usage de
faux, soit par escroquerie au jugement, en violation des articles 2215 du code
civil, des articles 14 ; 15 ; 16 ; en ses articles 6 et 6-1 de
la CEDH et sans avoir pu déposer ou faire déposer un dire devant la chambre des
criées en annulation de toute la procédure pour les motifs invoqués ci-dessus
et alors que l’avocat était obligatoire en la matière.
Qu’un jugement d’adjudication a
été rendu le 21 décembre 2006 soit en conséquence par la fraude au profit de
Madame D’ARAUJO épouse BABILE Suzette, alors que Monsieur LABORIE André criait
derrière sa cellule par écrit au président de la chambre des criées bien avant
l’audience, la demande de renvoi pour avoir la possibilité de faire déposer un
dire en contestation et pour soulever la nullité de l’instance pendante.
Qu’il est rappelé que la
procédure était obligatoire par avocat devant la chambre des criées, Monsieur
et Madame LABORIE ont été privés de faire déposer un dire, Monsieur LABORIE ne
pouvant agir, Madame LABORIE non informée de la procédure.
Que Monsieur le bâtonnier s’est
refusé de nommer un avocat pour faire déposer un dire.
Il est vrai que l’ordre des
avocats de Toulouse était l’adversaire de
Monsieur LABORIE André, ce dernier qui s’est trouvé poursuivi pour exercice
à la profession d’avocat par cet ordre des avocats toulousain et dans un but
bien prémédité.
Que l’ordre des avocats de France
et le syndicat des avocats de France se sont constitué parties civiles.
Qu’il ne peut être contesté de
l’obstacle volontaire des autorités régulièrement saisis pour faire déposer
pendant l’incarcération de Monsieur LABORIE André, un dire pour les intérêts de
Monsieur et Madame LABORIE, le président de la chambre des criées était avisée
de cette escroquerie, abus de confiance par différents courriers.
Que dans une telle configuration
de fraude caractérisée, Monsieur LABORIE André a pu faire diligenter et avec
une grande difficulté derrière sa cellule,
par la SCP d’Avoué MALET un appel du jugement d’adjudication pour
fraude.
Maître MALET a agit avec le peu d’élément fondé sur une preuve
réelle de l’inexistence d’une quelconque créance « soit une action en résolution du
jugement d’adjudication par assignation des parties ».
Il est à préciser que Monsieur LABORIE André incarcéré n’avait et ne
pouvait avoir la possibilité d’avoir une quelconque pièce pour sa défense
pendant sa détention arbitraire soit son entier dossier en son domicile.
Soit assignation qui a été
délivrée à l’encontre de Madame D’ARAUJO épouse BABILE Suzette et la banque
poursuivante la Commerzbank qui ne pouvait détenir un quelconque acte de
créance envers Monsieur et Madame LABORIE, son conseil Maître FRANCES.
Agissement de Maître FRANCES
Elisabeth, adversaire dans d’autres dossiers qui a profité d’une telle configuration :
soit détention arbitraire de Monsieur LABORIE André pour introduire devant le
tribunal différent actes frauduleux pour obtenir des décisions de justice soit
par escroquerie.
Qu’au vu de l’assignation en action en résolution effectuée par assignation
des parties le 9 février 2007 et dénoncée au greffier en chef du T.G.I de
Toulouse Madame d’ARAUJO épouse BABILE avait perdu son droit de propriété et la
propriété.
Que la propriété était revenue aux saisis et comme le confirme une
jurisprudence constante ci-dessous reprise et constatée par un procès verbal
d’huissier de justice en date du 11 juin 2011.
Procès verbal d’huissier de
justice en date du 11 août 2011 et suite au refus de constater par les juges
l’existence de ces pièces « jurisprudences Légifrance » régulièrement fournies et pour couvrir la
forfaiture des différentes décidions rendues. « A ce jour, toutes inscrites en
faux intellectuels, faux en écriture publiques ».
En son constat :
Soit le procès verbal d’huissiers, en sa pièce N° 23 qui constate
un arrêt de la cour de cassation du 19 juillet 1982 indiquant :
Cour de
Cassation : Com. 19.7.82 :
Résumé :
« une vente sur folle enchère produit les
mêmes effets qu’une résolution de vente
et a donc pour conséquence de faire
revenir le bien vendu dans le patrimoine du vendeur. »
Cour de
Cassation : Com. 14.1.04 :
« Entre la
remise en vente sur folle enchère et l’adjudication définitive, l’immeuble est la propriété du saisi. »
Commentaire du Jurisclasseur
Procédure civile :
C) Comme en matière de surenchère, c'est le propriétaire
saisi qui est censé avoir conservé la propriété de l'immeuble malgré la
première adjudication dont les effets sont rétroactivement anéantis par
l'adjudication sur folle enchère, et le droit du second adjudicataire ne naît
qu'au jour de la seconde adjudication (Carré et Chameau, op. cit., ouest. n°2432 sexies. - Donnier, op. cit., n° 1379. -
Vincent et Prévault, op. cit.,
n° 486. - Cass. req., 14
déc. 1896 : DP 1897, p. 153).
·
C'est donc la propriété du saisi qui réapparaît sur
l'immeuble dans la période de temps qui sépare les deux adjudications.
D) Lorsqu'il v a adjudication sur folie enchère, le saisi redevient
rétroactivement propriétaire des lieux, l'adjudicataire est donc irrecevable à
demander une indemnité d'occupation au saisi
(Ci Paris, 2e ch., sect. B, 20sept. 1990 : Juris-Data
n° 023532).
*
**
Qu’en conséquence, Madame D’ARAUJO épouse BABILE Suzette avait bien
perdu son droit de propriété par l’action en résolution du jugement
d’adjudication « appel » et que la propriété était revenue aux
saisis, soit à Monsieur et Madame LABORIE.
Bien que la fraude soit
caractérisée dans la procédure antérieure au jugement d’adjudication, la fraude
a continué malgré tout postérieurement.
Et comme il est à nouveau justifié ci-dessous.
LA FRAUDE CARRACTERISEE. « Voies de
faits »
Par Madame DARAUJO épouse BABILE .
« A ce jour décédée »
SOIT ESCROQUERIE AU JUGEMENT, ABUS DE
CONFIENCE.
Devant le T.I de Toulouse en son ordonnance
du 1er juin 2007.
Et pour avoir demandé l’expulsion de Monsieur et Madame LABORIE de leur
domicile alors que ces derniers étaient toujours propriétaires, usant que
Monsieur LABORIE André soit en prison sans pièce de procédure ne pouvant se
défendre et faire d’observations, n’étant pas en possession des éléments du
dossier.
Explications :
Alors que Madame DARAUJO épouse
BABILE n’avait aucun droit à agir en justice pour demander l’expulsion de
Monsieur et Madame LABORIE, a fait délivrer une assignation aux parties le 9
mars 2007 alors quelle n’était plus propriétaire par l’assignation en
résolution du jugement d’adjudication, délivrée par huissier de justice en date
du 9 février 2007.
Que par faux et usage de faux,
Madame DARAUJO épouse BABILE dans son assignation a fait valoir quelle était
propriétaire au tribunal d’instance pour obtenir une ordonnance d’expulsion
alors que la propriété était revenue à Monsieur et Madame LABORIE suite à
l’action en résolution du jugement
d’adjudication devant la cour d’appel en date du 9 février 2007.
Que par faux et usage de faux,
Madame DARAUJO épouse BABILE dans son assignation a fait valoir que Monsieur et
Madame LABORIE refusaient de quitter leur domicile alors qu’ils étaient
propriétaires et qui le sont toujours par l’absence de publication du jugement
d’adjudication en sa grosse devant intervenir postérieurement à la décision de
la cour et dans le délai de deux mois de l’arrêt rendu en date du 21 mai 2007. «
article 750 de l’acpc »
Qu’il est rappelé que le jugement
d’adjudication ne vaut pas expulsion. ( conseil d’état du 29 octobre 2007).
Qu’il est rappelé que le jugement
d’adjudication devait pour le mettre en exécution être signifié aux saisis sur
le fondement de l’article 716 de l’acpc, ce qui n’a
jamais été effectué avant la saisine du tribunal d’instance et encore à ce
jour. « d’ordre public »
Qu’il est rappelé que pour mettre
en exécution une décisions de justice, il faut au préalable qu’elle soit
signifié sur le fondement des articles 502 , 503 et 478 du ncpc.
Que Madame DARAUJO épouse BABILE
dans son assignation du 9 mars 2007 ne fait valoir pour la rendre recevable de
l’absence de l’action en résolution en date du 9 février 2007 lui faisant
perdre sa propriété.
Que Madame DARAUJO épouse BABILE
dans son assignation du 9 mars 2007 ne fait pas valoir quelle ne pouvait
respecter la signification de la grosse du jugement d’adjudication, car elle ne
pouvait l’obtenir et sur le fondement de l’article 695 de l’acpc
« sursoir à la procédure d’ordre public » suite à l’action
en résolution.
Que Madame DARAUJO épouse BABILE
dans son assignation du 9 mars 2007 adressée seulement à Monsieur LABORIE André
fait valoir une situation juridique inexacte au tribunal d’instance profitant
de la situation d’incarcération de Monsieur LABORIE André sans droit de défense
pour obtenir une ordonnance favorable du tribunal d’instance de Toulouse en
date du 1er juin 2007.
Que Madame DARAUJO épouse BABILE
dans son assignation du 9 mars 2007 demande une indemnité d’occupation de la
propriété obtenu aux enchères et pour la période du 2 janvier 2007 au 20 mars
2007 soit de deux mois et pour la somme de 3640 euros alors quelle ne peut
justifier de la pleine propriété par la signification de la grosse du jugement
d’adjudication du 21 décembre 2006 et d’une publication régulière à la
conservation des hypothèques.
Que cette demande par Madame
DARAUJO épouse BABILE dans son assignation du 9 mars 2007 serait suite à un
soit disant cahier des charges.
Pour Monsieur et Madame LABORIE
ce cahier des charges n’a jamais pu être porté à leur connaissance.
Que ce cahier des charges n’a
jamais pu être contesté malgré les contestations soulevées avant et pendant
l’incarcération de Monsieur LABORIE André, délivré par trois banques dont une
qui n’existait plus depuis décembre 1999, ce cahier des charges confirme bien
que le commandement du 20 octobre 2003 est bien entaché de nullité ce dernier
en sa page deux indique que ce dernier a été délivré par la société Athéna
banque le 20 octobre 2003 alors que cette dernière n’existait plus depuis
décembre 1999 et reconnu par la cour d’appel de Toulouse le 16 mai 2006 en son
arrêt rendu.
Madame D’ARAUJO épouse BABILE
Suzette n’avait aucun droit d’agir en justice le 9 mars 2007 pour demander
l’expulsion de Monsieur et Madame LABORIE, ces derniers toujours propriétaires
par l’action en résolution en date du 9 février 2007.
Que l’infraction d’escroquerie au
jugement par abus de confiance est caractérisée de la part de Madame DARAUJO
épouse BABILE et pour avoir obtenu un jugement par faux et usage de, Faux.
L’escroquerie aux jugements,
l’abus de confiance.
Faux et usage de faux pour
obtenir des décisions juridictionnelles favorables.
Violation de notre domicile
par recel et mise en exécution de l’ordonnance du 1er juin 2007 et
obtenue par la fraude.
SUR
LES AGISSEMENTS DE MADAME D’ARAUJO EPOUSE BABILE Suzette
&
de la SARL LTMDB, représentée par son gérant Monsieur TEULE Laurent.
« Détournement
de notre propriété » en ces actes du 5 avril et 6 juin 2007 »
Qu’en conséquence, Madame
D’ARAUJO épouse BABILE en date du 9 février 2007 qui avait perdu son droit de
propriété, ne pouvait vendre la propriété de Monsieur et Madame LABORIE sur le
fondement de l’article 1599 du code civil, à une société qu’elle se serait
constituer avec son petit fils, en l’espèce la SARL LTMDB, représentée par son
gérant Monsieur TEULE Laurent, qui est son petit fils et par un acte notarié du
5 avril 2007 par devant Maître CHARRAS jean Luc notaire à Toulouse.
Madame D’ARAUJO épouse BABILE ne
pouvait nier de l’action en résolution en date du 9 février 2007 et de
l’article 1599 du code civil lui interdisant de vendre un bien qui ne lui
appartient pas ou tout acte sur ce dernier.
Que Maître CHARRAS Jean Luc
notaire au courant de l’action en résolution et des règles de droit à cautionné
les demandes de Madame D’ARAUJO épouse BABILE et de la complicité de son petit
fils Monsieur TEULE Laurent, agissant
sous le couvert de sa tante, Madame Danièle CHARRAS vice procureur de la
république à Toulouse alors qu’était présent un conflit entre elle et moi par
une action juridique à son encontre, une citation par voie d’action et pour des
faits très graves.
Que Madame d’ARAUJO épouse BABILE
ne pouvait se prévaloir de la grosse du jugement en date du 27 février 2007, au
vu du fondement de l’article 695 de l’acpc et suite à
l’action en résolution.
Que Madame d’ARAUJO épouse BABILE
a obtenu par la fraude la grosse du jugement d’adjudication le 27 février 2007
dans le seul but de le publiée en date du 20 mars 2007 en violation des article
750 de l’acpc, de l’article 716 de l’acpc et pour faire
valoir un droit.
L’escroquerie, l’abus de confiance caractérisé
alors qu’elle avait perdu son droit de propriété depuis le 9 février 2007 par
l’action en résolution. « appel du
jugement d’adjudication ».
D’autant plus pour devenir
propriétaire, le jugement d’adjudication en cas d’appel de ce dernier doit être
publié sur le fondement de l’article 750 de l’acpc et
comme le procès verbal l’indique en sa pièce N° 25
Encore plus important la publication fait parti de la mise en exécution
et doit au préalable avoir été signifié sur le fondement de l’article 716 de l’acpc.
*
* *
Que l’arrêt confirmatif suite à l’appel du jugement
d’adjudication « action en résolution » est intervenu le 21 mai
2007. Et comme le confirme le procès verbal en sa pièce N° 24.
Qu’en bien même que l’arrêt
confirme le jugement d’adjudication devant la cour d’appel,
« Celle-ci sans avoir statué sur la
fraude alors que la cour était compétente dans le cas de fraude »
et comme le confirme l’article 750 de l’acpc. « l’appel
du jugement d’adjudication est recevable ».
Madame D’ARAUJO Suzette épouse
BABILE, ne pouvait se dispenser de publier le jugement d’adjudication du 21
décembre 2006 ainsi que l’arrêt confirmatif du 21 mai 2007 dans le
délai des deux mois postérieur à l’arrêt confirmatif soit après le 21
mai 2007 pour retrouver son droit de propriété perdu le 9 février 2007, avec en
son préalable de faire signifier aux saisis, le jugement d’adjudication et
l’arrêt confirmatif sur le fondement de l’article 716 de l’acpc
et des articles 502 et 503 du ncpc et dans le délai
des six mois sur le fondement de l’article 478 du ncpc
et pour les faire mettre en exécution.
*
* *
Et comme l’indique le procès
verbal en sa pièce N° 28.
Art. 716 Ancien CPC (abrogé par Ordonnance 2006-461 du
21.4.06) :
« L’expédition ou le titre délivré à l’adjudicataire n’est signifié qu’à
la partie saisie. »
1. Sur la nécessité de la signification, V.
Civ. 2e, 18 oct. 1978: RTD civ. 1979. 441,
obs. Perrot. V. notes 4 s. ss. art.
503 NCPC. L'art. 716, qui exige
que le jugement d'adjudication soit signifié au saisi, ne vise que le cas où
est poursuivie l'exécution de ce jugement et non la fixation
d'une indemnité d'occupation et la condamnation du saisi à en payer le montant.
TGI Saint-Girons , 11 juin 1992:
Rev. huiss. 1993.
209.
2.
La publication du jugement d'adjudication emporte purge de tous les vices de la
procédure antérieure, sauf cas de fraude prouvée. Civ.
2e, 7 mars 1985: préc. note
9 ss. art. 715.
*
* *
Qu’il n’est pas seulement
confirmé par Monsieur LABORIE André mais
par un acte administratif constaté par huissier de justice de la direction générale des finances
publique, certificat du conservateur des hypothèques de Toulouse.
Etat hypothécaire du
17.1.11
« N°
d’ordre 1 : Dépôt : 31.10.03 Commandement 20.10.03
Rédacteur :
Maître PRIAT Domicile élu : Maître
MUSQUI, Avocat »
Nous
constatons que le jugement du 21.12.06 et
l’arrêt du 21.5.07 n’ont pas été publiés
dans les 2 mois de l’arrêt, en violation de l’Art. 750 CPC
ancien
Et comme le
confirme le procès verbal en sa pièce 26.
*
* *
Qu’il est porté à la
connaissance par le procès verbal en ses pièces 27, que la
procédure de saisie immobilière est nulle car elle n’a pas été publiée dans le
délai des trois ans du commandement nul du 20 octobre 2003.
b- n°4 bis : « à défaut de publication dans les 3 ans, l’ensemble de la
procédure de la saisie, notamment le jugement d’adjudication sur surenchère,
est rétroactivement privé de tout effet. » PARIS 24.3.03
EN CONCLUSION
Qu’au vu de la perte du droit de
propriété par Madame d’ARAUJO épouse BABILE et suite à l’action en résolution
« soit à partir de l’appel le 9 février 2007 du jugement
d’adjudication rendu le 21 décembre 2006 ».
Qu’au vu de la non signification
du jugement d’adjudication et de son arrêt confirmatif sur le fondement de
l’article 716 de l’acpc postérieur à l’arrêt confirmatif,
la
mise en exécution est nulle.
Qu’au vu de la non publication du
jugement d’adjudication et de son arrêt confirmatif postérieur à l’arrêt
confirmatif et sur le fondement de l’article 750 de l’acpc,
il
ne peut exister de transfert de propriété entre Monsieur et Madame LABORIE et
Madame d’ARAUJO Suzette épouse BABILE.
Qu’au vu de la non publication de
l’intégralité de la procédure dans les trois ans du commandement nul et sur le
fondement de l’article 694 de l’acpc,
·
La procédure de saisie immobilière est nulle.
Monsieur et Madame LABORIE André
sont toujours propriétaires de leur résidence principale, de leur domicile
située au N° 2 rue de la forge 31650 Saint Orens.
Qu’en conséquence :
Les actes notariés du 5 avril
2007 et 6 juin 2007 par devant Maître CHARRAS notaire ont été inscrit en faux
en écritures publiques devant le T.G.I de Toulouse au vu de l’article 1599 du
code civil et dénoncés à chacune des parties, car au 5 avril, au 6 juin 2007,
la propriété était toujours établie à Monsieur et Madame LABORIE par l’absence
de publication postérieurement à l’arrêt rendu par la cour d’appel «
absence de transfert de propriété ». Et comme le confirme, le
procès verbal en sa pièce N° 31.
Sur l’intention volontaire de
l’escroquerie de l’abus de confiance.
L’adjudicataire, Madame d’ARAUJO
épouse BABILE, ne pouvait nier des textes de lois, ne pouvait nier de l’action
en résolution et de ses conséquences, des formalités à accomplir conformément aux textes de lois.
Monsieur TEULE Laurent gérant de
la SARL LTMDB, petit fils de Madame d’ARAUJO épouse BABILE ne pouvaient ignorer
de la situation par les liens qui les unissaient et ne pouvait nier les textes
de lois.
Sur le recel de la propriété de Monsieur et Madame
LABORIE en date du 22 septembre 2009 et au profit de Monsieur TEULE Laurent.
Qu’au vu que Monsieur et Madame
LABORIE André étaient et sont toujours propriétaires de leur résidence
principale, de leur domicile située au N° 2 rue de la forge 31650 Saint Orens.
Confirmé par :
La perte du droit de propriété
par Madame d’ARAUJO épouse BABILE et suite à l’action en résolution «
soit à partir de l’appel le 9 février 2007 du jugement
d’adjudication rendu le 21 décembre 2006 ».
La non signification du jugement
d’adjudication et de son arrêt confirmatif sur le fondement de l’article 716 de
l’acpc postérieur à l’arrêt confirmatif, la
mise en exécution est nulle.
La non publication du jugement
d’adjudication et de son arrêt confirmatif postérieur à l’arrêt confirmatif et
sur le fondement de l’article 750 de l’acpc, il ne
peut exister de transfert de propriété entre Monsieur et Madame LABORIE et
Madame d’ARAUJO Suzette épouse BABILE.
La non publication de
l’intégralité de la procédure dans les trois ans du commandement nul et sur le
fondement de l’article 694 de l’acpc, la
procédure de saisie immobilière est nulle.
Les agissements de Monsieur TEULE
Laurent sont considérés de recels de notre propriété par escroquerie, abus
de confiance.
Pour avoir receler encore une
fois la propriété de Monsieur et Madame LABORIE pour son seul profit en faisant
faire de nouveaux actes par escroquerie, abus de confiance devant notaire
Maître CHARRAS Jean Luc en date du 22 septembre 2009. et comme le constate le procès verbal en sa pièce N° 32.
Qu’une inscription de faux a été
déposée le 9 août 2010 contre l’acte du 22 septembre 2009 et comme le constate
le procès verbal en sa pièce N° 33.
Les agissements de Monsieur
TEULE Laurent sont intentionnels car :
Monsieur TEULE Laurent gérant de
la SARL LTMDB ne pouvait nier de la nullité des actes accomplis en date du 5
avril 2007, du 6 juin 2007, du faux en écriture de ces actes passés devant
maître CHARRAS Notaire par la dénonce faite à sa personne.
Monsieur TEULE Laurent ne pouvait
nier des différentes procédures engagées devant la justice à son encontre, à
l’encontre de la SARL LTMDB, à l’encontre de Madame D’ARAUJO épouse
BABILE :
Sur la
violation de notre domicile par expulsion irrégulière.
En date du 27 mars 2008, vol de tous les
meubles et objets et à la demande
de Madame
D’ARAUJO épouse BABILE.
Fait réprimé par les articles 432-8 du code pénal.
Alors que Madame D’ARAUJO épouse
BABILE ne pouvant être propriétaire de la résidence appartenant à Monsieur et
Madame LABORIE à obtenu une ordonnance d’expulsion en date le 1er
juin 2007 par la fraude, en violation de tous les droits de défense, sans
aucune pièces, Monsieur LABORIE André incarcéré ne pouvant assurer un débat
contradictoire devant le tribunal ou être représenté par le refus de l’ordre
des avocats à nommer un avocat, Madame LABORIE non avisée régulièrement de la
procédure.
Que la procédure devant le juge
des référés devant le T.I est orale, Monsieur LABORIE André bien qu’ayant
demandé son extraction pour participer aux débats s’est vu refusé de
comparaitre pour soulever la nullité de la procédure.
Configuration permettant par
l’intermédiaire de son conseil d’apporter au tribunal de fausses informations
dans l’assignation introductive d’instance, soit obtention de la décision
rendue le 1er juin 2007 par escroquerie.
Soit aussi en violation des
articles 502 et 503 du ncpc et par une signification
irrégulière de la dite ordonnance sans respecter les voies de recours sur le
fondement de l’article 680 du ncpc dont nullité sur
le fondement de l’article 693 du ncpc et par
l’absence de la voie de recours qui pouvait être saisie en l’espèce pour faire
suspendre l’exécution provisoire devant Monsieur le Premier Président de la
cour d’appel.
Que le grief est certain pour
violation de l’article 680 du ncpc, l’ordonnance du 1er
juin 2007 obtenues par la fraude comme indiquée ci-dessus, n’a même pas été
signifiée régulièrement à Monsieur LABORIE André ainsi qu’à Madame LABORIE
Suzette. « significations constitutives de faux en écritures
publiques ».
Que cette ordonnance du 1er
juin 2007 obtenue par escroquerie au jugement comme ci-dessus indiqué, fait
l’objet d’une inscription en faux intellectuel enrôlée au greffe du T.G.I en
août 2008, dénoncée aux parties, à Monsieur le Procureur de la République et le
tout enrôlé au greffe du T.G.I de Toulouse.
Sur la gravité d’une t’elle situation.
Madame d’ARAUJO épouse BABILE a
fait mettre au surplus en exécution cette dite ordonnance sous sa propre
responsabilité et en violation de :
Rappelant que nous somme dans une procédure
d’exécution forcée et que seuls les huissiers de justice ont compétence pour
établir des procès verbaux sous peine de nullité de la procédure de
signification « d’ordre public »
Sur l’absence de
titre exécutoire :
Que l’ordonnance rendue ne peut
être exécutoire sans au préalable être
signifiée sur le fondement des articles 502 et 503 du ncpc
et dans le délai de l’article 478 du ncpc.
Que les significations faites par
huissiers de justice sont irrégulières et sous la responsabilité de Madame
D’ARAUJO épouse BABILE, constitutives de faux en écritures publiques.
Sur la signification
à Monsieur LABORIE André
Que le procès verbal de signification de l’ordonnance du 1er
juin 2007 à Monsieur LABORIE a été effectué par clerc assermenté le 13 juin
2007 sans pouvoir identifier le clerc, en violation de l’article 648 du ncpc qui est d’ordre public.
Signification entachée de nullité pour violation de :
Sur la signification
faite à Madame LABORIE Suzette :
Que le procès verbal de
signification en date du 14 juin
Signification, entachée de nullité pour violation de :
Qu’en conséquence par l’absence
d’une signification régulière à chacune des parties l’ordonnance rendu le 1er
juin 2007 ne peut être mise en exécution par Madame D’ARAUJO épouse BABILE.
Qu’en ordonnant l’expulsion en
date du 27 mars 2008 de Monsieur et Madame LABORIE de leur domicile et après
avoir porté de faux éléments à la la SCP d’huissiers
GARRIGUE & BALUTEAUD huissiers de justice pour agir à sa demande.
Qu’en ordonnant l’enlèvement de
tous les meubles et objets meublant le domicile de Monsieur et Madame LABORIE
en date du 27 mars 2008 et déposés toujours à la demande de Madame D’ARAUJO
épouse BABILE dans un entrepôt à fenouillet prés de Toulouse sans le
consentement des occupants, le vol est établi.
L’infraction de violation du domicile est établie ainsi que le vol
de tous les meubles et objet en date du 27 mars 2008 par la demande de Madame
D’ARAUJO épouse BABILE agissant sans un titre exécutoire et avec le contrôle de
son petit fils Monsieur TEULE Laurent.
Que l’intention du délit est caractérisée de Madame d’ARAUJO épouse
BABILE au vu de tous les éléments ci-dessus.
Sur les
préjudices causés à Monsieur et Madame LABORIE de la part de Madame d’ARAUJO
épouse BABILE
et de
Monsieur TEULE Laurent.
Qu’à ce jour et depuis le 27 mars
2008 nous sommes sans domicile fixe, chez des amis, vivant chacun de son côté,
démunis de nos meubles et objets qui sont toujours entassés dans un dépôt à la
demande de Madame D’ARAUJO épouse BABILE agissant sans un quelconque titre
valide et donc les dégâts matériels sont très importants.
Que de nombreux meubles ont été
gardés par Monsieur TEULE Laurent, ayant recelé les meubles pour ses propres
intérêts.
Préjudices certains pour Madame
LABORIE Suzette qui a été obligé d’arrêter son activité professionnelle par
l’absence de domicile, dépression et arrêt maladie, perte de salaire, perte de
la chance, saisie par ces derniers alors qu’ils sont coupables des délits
ci-dessus repris, victimes de préjudices matériel et financier et moral.
Victimes de se voir faire des
saisies attributions par BABILE ET TEULE sur ses salaires retraites alors que
les saisies irrégulières ne peuvent remplacer la saisie rémunération et sur des
sommes qui ne sont pas dues, ordonnances ou jugements obtenues par la fraude, en
prétextant la nullité des assignations au motif d’un grief de ne pouvoir
signifier des actes à Monsieur et Madame LABORIE au N° 2 rue de la forge 31650
Saint Orens.
Une fois obtenu par escroquerie
les décisions de justice, signification à Monsieur et Madame LABORIE au N° 2
rue de la forge pour les mettre en exécution.
Victimes de se voir contraint de
saisir à nouveau la justice et pour défendre les intérêts communs.
Victimes de ces derniers d’avoir
détourné impunément à la loi et comme expliqué ci-dessus la propriété de
Monsieur et Madame LABORIE par faux et usages de faux après que soit rendu un
jugement d’adjudication alors en toute connaissance de cause qu’une action en
résolution était pendante depuis le 9 février 2007 faisant retour de la
propriété aux saisis.
Victimes de ces derniers pour
avoir fait obstacle aux mesures provisoires demandées et à l’accès à un juge.
Avoir agit par Complot de Madame D’ARAUJO épouse BABILE ; de
Monsieur TEULE Laurent ; de la SARL LTMDB ayant solidairement
trompés par différents actes de faux et usages de faux intellectuels,
escroquerie, abus de confiance les autorités suivantes.
Sur les actions juridiques de Monsieur
LABORIE André.
Et
dans les intérêts de la communauté légale.
Ce n’est qu’à la sortie de prison
que Monsieur et Madame LABORIE se sont aperçu de la fraude caractérisée en ses
procédures toutes différentes car pour chacune elle les règles de procédure
sont différentes.
Monsieur LABORIE André seul au
courant de la procédure pendant la détention et sans pouvoir intervenir, aucun
élément sauf chez maître MALET Avoué qui avait connu de la nullité de la
procédure de saisie immobilière faite par la Commerzbank en 1996 et pout
violation de toutes les règles d’ordre publiques en matière de prét qui avait été remboursé.
Soit :
La procédure de saisie immobilière jusqu’à l’adjudication.
La procédure d’expulsion après l’adjudication.
Que les formalités postérieures aux jugements
d’adjudications et à l’action en résolution n’ont pas été respectées.
Que de nombreux actes de
malveillances ont été fait pendant la détention arbitraire de Monsieur LABORIE
sans pourvoir agir.
Raison des différents
inscriptions de faux intellectuels, faux en écritures publiques déposées devant
le tribunal pour anéantir tous les actes authentiques et dénoncés aux parties et à Monsieur le
Premier Président de la cour d’appel de Toulouse et à Monsieur le Procureur de
la République de Toulouse.
Faux intellectuels principal qui
ont déjà été consommés qui n’ont plus aucune valeur probante d’un acte
authentique. « Soit infraction caractérisée qui ne peut ouvrir et faire
valoir un quelconque droit aux parties adverses, faits réprimés par l’article 441-4 du code pénal. »
Rappelant à fin d’en
ignorer : Article 441-4 du code pénal :
La configuration de l’occupation sans droit ni titre de la propriété
de Monsieur et Madame LABORIE au N° 2 rue de la forge 31650 Saint Orens.
Que nous ne somme pas dans le
cas d’un bailleur avec un locataire soit
par un contrat.
Que Monsieur et Madame LABORIE
n’ont jamais fait un contrat aux personnes physiques et morales assignées et
qui occupent encore aujourd’hui leur propriété située au N° 2 rue de la forge à
Saint Orens.
Nous sommes dans un cas ou notre
propriété est occupée par personnes physiques ou morales sans droit de titre et
de propriété réel.
Nous sommes dans un cas de
squatter par l’utilisation et le recel de faux intellectuels.
Qu’au vu que ces faux
intellectuels sont anéantis par les différents actes de procès verbaux ayant
valeur d’acte authentique, ces actes faux n’ont plus de valeur probantes pour
ouvrir un quelconque droit.
A fin que Monsieur TEULE Laurent en n’ignore.
Il fait l’objet de poursuites pénales par voie de
citation devant :
Le tribunal
correctionnel de Toulouse.
Délivrée en sa personne par huissier de justice.
Et pour son
audience du 15 décembre 2010.
Procédure en cours.
Soit pour :
Complicité et recel de
l’appropriation frauduleuse de notre propriété par abus de confiance,
escroquerie
Complicité et recel de la violation
de notre domicile « Monsieur TEULE Laurent étant le petit fils de Madame BABILE » complicité
et recel de la mise en exécution de l’ordonnance du 1er juin 2007
cette dernière obtenue par la fraude.
Complicité et recel de Faux et
usage de faux pour obtenir des décisions juridictionnelles favorables.
Complicité et recel de vol de
tous nos meubles et objets.
Complicité et recel d’atteinte
à l’action de la justice par faux et usage de faux:
Complicité et recel
d’escroquerie aux jugements, abus de confiance.
Recel par abus de confiance,
escroquerie de la propriété appartenant à Monsieur et Madame LABORIE par vente
devant notaire, acte notarié du 22
septembre 2009 entre la SARL LTMDB et Monsieur TEULE Laurent.
- Est puni d'un
emprisonnement de cinq ans et d'une amende de 375 000 €
Le fait, pour les gérants, de
faire, de mauvaise foi, des biens ou du crédit de la société, un usage qu'ils
savent contraire à l'intérêt de celle-ci, à des fins personnelles ou pour
favoriser une autre société ou entreprise dans laquelle ils sont intéressés
directement ou indirectement;
Le fait, pour les gérants, de
faire, de mauvaise foi, des pouvoirs qu'ils possèdent ou des voix dont ils
disposent, en cette qualité, un usage qu'ils savent contraire aux intérêts de
la société, à des fins personnelles ou pour favoriser une autre société ou une
autre entreprise dans laquelle ils sont intéressés directement ou
indirectement.
Recel par abus de confiance, escroquerie par faux et
usage de faux pour avoir violé l’adresse du domicile de Monsieur et Madame
LABORIE par l’occupation sans droit ni titre régulier et par acte de
complaisances.
Qu’il est peut être temps que
Monsieur TEULE Laurent agisse dans ses propres intérêts car :
SUR L’ABSENCE DE CONTESTATION DE MONSIEUR
TEULE LAURENT.
Occupant sans droit ni titre régulier la
propriété de Monsieur et Madame LABORIE située au N° 2 rue de la forge 31650
Saint Orens.
Qu’il a été délivré par huissier
de justice un commandement de quitter les lieux en date du 29 juin 2012 en
reprenant les écrits ci-dessus concernant la violation de notre domicile,
Monsieur TEULE Laurent qui avait un délai de deux mois, s’est refusé de
soulever une quelconque contestation.
Aussi l’absence de contestation de
Monsieur TEULE et autres, sur les deux procès verbaux constatant le dépôt de
deux inscriptions de faux principal sur le fondement de l’article 06 du ncpc et concernant trois actes notariés dont deux passés
pendant la détention arbitraire par faux et usage de faux et alors pour les
deux premier, que Monsieur et Madame LABORIE étaient toujours propriétaire.
Que le troisième acte fondé sur
les deux précédents faux constitue lui aussi un faux en écriture publique.
Absence de contestation
justifiant que Monsieur et Madame LABORIE sont les réels propriétaires de
l’immeuble situé au N° 2 rue de la forge 31650 Saint Orens.
LA COMPLICITE
DE LA PREFFECTURE DE LA GAUTE GARONNE.
POUR QU’IL SOIT
ORDONNE L’EXPULSION.
PAR FAUX ET
USAGE DE FAUX DE LA SCP D’HUISSIER GARRIGUES
Que le parquet de Toulouse fût représenté
par Monsieur Amar BELACEL et Monsieur DAVOST Patrice en date du 27 mars
2008.
Que le parquet est indivisible par sa nature, la responsabilité de l’un
engage la responsabilité de l’autre.
Monsieur Amar BELACEL ayant agit
par trafic d’influence, en complicité et pour avoir favorisé la violation de notre domicile par voie de
fait en date du 27 mars 2008.
En s’abstenant de mettre un terme aux voies de faits dénoncées
pendant la détention arbitraire du 14 février 2006 au 14 septembre 2007 et
suivants.
Monsieur Amar BELACEL est directement concerné, car ce dernier avait été
saisi nominativement par une plainte en date du 1er avril 2008 sur
l’expulsion irrégulière alors que Monsieur et Madame LABORIE étaient et le sont
toujours propriétaires de l’immeuble situé au N° 2 rue de la Forge 31650 à
Saint Orens.
Notre propriété occupée encore à
ce jour par voie de fait de Monsieur TEULE Laurent, soit sans droit ni titre
depuis le 27 mars 2008 et sans que le parquet intervienne.
Que la préfecture de la HG a
faillit dans ses obligations aux préjudices de Monsieur et Madame LABORIE et agissant
en complot sur faux et usages de faux sous le couvert du parquet de Toulouse
représenté par Monsieur Amar BELACEL.
La préfecture a prie deux décisions.
Nous verrons les raisons ci dessous, agissements de la préfecture de la HG
sous le couvert de Monsieur Amar BELACEL
qui ne pouvait ignorer de la procédure.
I / Sur la décision du 27
décembre 2007.
Qu’il est rappelé que la trêve
hivernale est au 1er novembre 2007, la préfecture ne pouvait prendre une telle
décision le 27 décembre 2007 et pour m’informer que la préfecture était tenu
d’accorder la force publique au vu de cette réquisition du 11 octobre 2007.
Qu’en conséquence le
délai de deux mois doit être effectif :
Qu’aucune décision
n’a été rendue et ne pouvait être rendue au vu de la trêve hivernale du 1er
novembre 2007 au 15 mars 2008.
Qu’en conséquence la
décision rendue le 27 décembre 2007 est entachée d’excès de pouvoir, ayant
contourné l’application de la loi en sa trêve hivernale et en son délai des
deux mois.
Mais encore plus grave :
Cette décision du 27
décembre 2007 est bien lié aux réquisitions de la force publique déposées le 11
octobre 2007 sans une contestation possible, il est indiqué que c’est une
procédure préalable par la préfecture et repris dans le jugement du TA dont
appel devant la cour administrative de Bordeaux.
Que cette décision
du 27 décembre 2007 est signée de Madame Anne- Gaëlle BAUDOUIN-CLERC agissant
en qualité de sous préfète, directrice du cabinet et pour Monsieur le Préfet de
la Haute Garonne.
Qu’il est rappelé
qu’en date du 27 décembre 2007 Madame Anne- Gaëlle BAUDOUIN-CLERC n’avait pas
reçue délégation de signature par Monsieur le Préfet de la Haute Garonne, cette
délégation est intervenue seulement par arrêté préfectoral le 2 janvier 2008 et
signé du Préfet : Monsieur CARENCO.
Qu’en conséquence,
cet acte du 27 décembre 2007 est bien constitutif de faux en écritures
publiques,
Rappelant :
Selon les termes de l’article 4 alinéa 2 de la Loi n°2000-231 du 12 avril 2000
et du décret n°2001-492 du 10 juin 2001 sur les relations entre
l’administration et les administrés :
– Date d'appréciation de
la légalité. Toute décision administrative écrite doit être
signée. En l'absence de signature, l'acte n'existe pas juridiquement et ne
peut produire d'effet de droit ( CE, 26 janv. 1951, Galy
: S. 1951, 3, p. 52, concl. R. Odent).
L'apposition d'une signature manuscrite indiquant le patronyme du signataire
sur l'original de la décision est une formalité indispensable pour déterminer
l'existence de l'acte, en certifier le contenu et en identifier l'auteur. La
signature marque l'achèvement du processus d'élaboration et permet de vérifier
que la décision a été effectivement adoptée par le signataire ( CE, 27 janv.
1956, Boniface : Rec. CE, p. 39. –
sect., 22 mars 1963, min. anciens combattants c/ Fringhian
: Rec. CE, p. 194. – 27 janv. 1995, Assoc. Île-de-France Environnement : Rec. CE, p. 43). C'est en fonction de la
signature que sont vérifiées si les règles déterminant la légalité de l'acte
ont été correctement suivies, étant entendu que le signataire d'un acte est
présumé en être l'auteur
Que cette décision du 27 décembre
Qu’en conséquence, l’acte est
entaché de nullité sur la forme est ne peut être contestable par la
Préfecture de la H.G.
Que Madame Gaëlle BOUDOUIN- CLERC a usurpé les
fonctions de Monsieur le Préfet de la Haute Garonne.
Que Madame Gaëlle
BOUDOUIN- CLERC a rendu une autre
décision le 8 janvier 2008 au vu de la première qui est nulle de droit
ordonnant que soit prêtée main forte par la force Publique pour l’expulsion de
Monsieur et Madame LABORIE de notre résidence principale, de notre propriété,
alors que ces derniers étaient toujours propriétaires.
Qu’en conséquence la seconde
décision étant elle aussi nulle de droit.
II / Sur la décision du 8 janvier 2008.
Que cette décision du 8 janvier
Que cette décision du 8 janvier
Encore une fois il a été déposé
le 20 août 2008 devant le tribunal administratif de Toulouse une requête
séparée pour excès de pouvoir contre cette décision.
Que cette décision irrégulière
sur le fond et la forme du droit a causé griefs aux intérêts de Monsieur et
Madame LABORIE.
L’absence de communication avant
le 27 mars
Qu’il est rappelé que dans toute
procédure de droit, les pièces doivent
être communiquées aux parties sous peine de nullité en son exécution.
Les voies de recours étant un
droit fondamental dans une société démocratique.
Monsieur et Madame LABORIE ont
été privés encore une fois dans la procédure de leurs droits de défense,
n’ayant pas eu connaissance de cette décision de la préfecture ouvrant recours
devant le tribunal administratif pour la faire suspendre pour nullité de la
décision.
En l’espèce touchant aux intérêts de Monsieur et Madame
LABORIE.
Violation de tous les droits de
la défense, situation identique pendant la détention arbitraire, usant et
abusant de l’absence d’une quelconque contradiction de communication de pièces
et usant et abusant de l’absence des droits de défense de Monsieur et Madame
LABORIE pour obtenir des décisions par escroquerie, par abus de confiance et
pour ensuite faire valoir un droit comme il en est le cas dans l’expulsion irrégulière
en date du 27 mars 2007 alors que Monsieur et Madame LABORIE étaient et le sont
toujours propriétaires.
Violation par la
Préfecture de la HG du contradictoire en sa décision rendue le 8 janvier 2007 et
sous la complicité du parquet de Toulouse qui ne pouvait nier cette situation.
Qu’au vu de la violation des
droits de défense de Monsieur et Madame LABORIE, par la préfecture de la Haute
Garonne, la décision du 8 janvier 2008 est nulle et non avenue.
D’autant plus de la décision 8
janvier 2007 est comme la précédente rendue
au vu de la réquisition de la force publique, présentée le 11 octobre 2007.
D’autant plus que la dernière
réquisition en date du 14 mars 2008 ne peut servir pour faire renaître la
validé de la décision du 8 janvier 2008 nulle jamais communiquée à Monsieur et
Madame LABORIE.
La décision de la Préfecture de
la HG ne pouvait intervenir hors de la trêve hivernale et antérieurement à la
demande de réquisition de la force publique abusive faite le 14 mars 2008.
Encore plus grave la réquisition
de la force publique ne pouvait se faire directement à la gendarmerie de Saint Orens le 14 mars 2008 sans au préalable être passé par
l’autorisation du préfet de la haute Garonne sur le fondement de l’article 50 du décret du 31 juillet 1992.
Qu’en bien même que la demande de
réquisition du 11 octobre 2007 soit régulière, la décision du 8 janvier étant
nulle, forclose, la SCP d’huissiers GARRIGUES BALUTEAUD se devait de redéposer
une demande de réquisition de la force publique directement à Monsieur le
Préfet et non pas à la gendarmerie de Saint Orens, le
délai des deux mois étaient dépassés
Sur les griefs causés par cette décision nulle et ayant privé des
voies de recours de Monsieur et Madame LABORIE.
La préfecture a permit de
continuer l’escroquerie, l’abus de confiance à la SCP d’huissiers GARRIGUES
BALUTEAUD, qui s’en est prévalu.
Que ces voies de faits se sont passées en date de 2008 sous le
contrôle du parquet soit de Monsieur Amar BELACEL.
Rappel du Décret no 92-755 du 31 juillet 1992 : applicable:
Art. 50. - Si l'huissier de justice est dans
l'obligation de requérir le concours de la force publique, il s'adresse au
préfet.
La réquisition contient une copie du dispositif du titre exécutoire. Elle est
accompagnée d'un exposé des diligences auxquelles l'huissier de justice a
procédé et des difficultés d'exécution.
Toute décision de refus de l'autorité compétente doit être motivée. Le défaut
de réponse dans un délai de deux mois équivaut à un refus.
Ce refus est porté à la connaissance du
procureur de la République et du créancier par l'huissier de justice.
Qu’en conséquence:
La responsabilité de la préfecture est entière d’avoir permit à la SCP
d’huissiers d’agir impunément à la loi auprés de la gendarmerie de Saint Orens.
Que la gendarmerie de saint Orens ne pouvait accepter de faire droit à
cette réquisition faite directement à la gendarmerie de Saint Orens au lieu
quelle soit faite à la préfecture et comme l’oblige l’article 50 de son décrêt
ci dessus.
Sur les préjudices causés par la préfecture de la
Haute Garonne en ses agissements qui sont très importants :
Et sous le
couvert du parquet de Toulouse
Violation de notre domicile en
date du 27 mars 2008 et par faux et usage de faux.
Il a été causé
un préjudice moral à Monsieur et Madame LABORIE de se voir mis dans la rue à la
demande de Madame D’ARAUJO épouse BABILE alors que cette dernière n’avait pas
accomplie les formalités légales de transfert de propriété et par la complicité de la Préfecture de la Haute Garonne.
Il a été causé
un préjudice matériel à Monsieur et Madame LABORIE de leur avoir détourné à la
demande de Madame D’ARAUJO épouse BABILE tous les meubles et objets meublant
leur résidence, enlevés et stockés dans un entrepôt sans le consentement de
Monsieur et Madame LABORIE et par la
complicité de la Préfecture de la Haute Garonne.
.
Le préjudice
par rapport au voisinage et la famille et tous les gens qui nous connaissent ne
peut être contesté et par la complicité
de la Préfecture de la Haute Garonne.
.
Notre domicile
a été dépouillé de tous ses meubles et objet à la demande de Madame D’ARAUJO
épouse BABILE et par la complicité de la
Préfecture de la Haute Garonne.
.
Monsieur et
Madame LABORIE sont sans leurs affaires depuis le 27 mars 2008 et par la complicité de la Préfecture de la
Haute Garonne.
.
Que les photos
faites par la SCP d’huissier FERRAN à Toulouse par procès verbal est signifiant
de l’état des meubles stockés dans un entrepôt, ils ont été démontés et en
partie cassés, rayés et autres et par la
complicité de la Préfecture de la Haute Garonne.
Qu’il est
impossible de vérifier tous les meubles et objets enlevés dans la résidence de
Monsieur et Madame LABORIE au Dépôt, le procès verbal de la SCP d’huissiers
GARRIGUES & BALLUTEAUD illisible et incomplet sur tous les meubles et
objets meublant notre résidence,
.
Dégradation de
notre cuisine intégrée restée sur place et autre et par la complicité de la Préfecture de la Haute Garonne.
Dégradation de
l’intérieur du domicile de Monsieur et Madame LABORIE et par la complicité de la Préfecture de la Haute Garonne.
Madame LABORIE
Suzette agent Hospitalier a été obligé de se mettre en maladie, ne pouvant
assurer depuis le 27 mars 2008 sont travail d’agent public de l’état et par la complicité de la Préfecture de la
Haute Garonne. « perte de son emploi »
.
Il existe un
préjudice financier et matériel pour réintégrer nous-mêmes et tous les meubles
et objets dans le domicile de Monsieur et Madame LABORIE au N° 2 rue de la
Forge 31650 Saint Orens.
Que le préjudice
total est inestimable en sa réalité, il est minimum évalué à la somme de 150
.000 euros. « cent cinquante mille euros ».
La préfecture de la Haute Garonne est
directement responsable de ces voies de faits :
Qu’en
l’absence de la gendarmerie de Saint Orens,
l’expulsion n’aurait pu se faire.
Monsieur et
Madame LABORIE ont été harcelés de force et sous la contrainte de ne rien faire
par la force publique.
Agissement en
l’absence de réquisitions régulières et sous le contrôle du parquet de Toulouse
représenté en ce temps par Monsieur Amar
BELACEL.
Valeur
des préjudices causés par la procédure irrégulière d’expulsion diligentée par
Madame D’ARAUJO épouse BABILE et
par la complicité de la Préfecture de la Haute Garonne.
·
100.000 euros du préjudice matériel, vol de tous nos meubles et objet, transformation
et dégradation de notre propriété.
Valeur
des loyers perdus en notre dépossession forcée de notre propriété et par la complicité de la Préfecture de
la Haute Garonne depuis le 27 mars 2008.
Loyer de
1500 euros Mensuel :
53 mensualités à 1500 euros : 79500
euros
Soit une
somme totale :
Que la préfecture a agit par faux et usage de faux en écritures
publiques et recel, en complicité de :
Voie de fait incontestable.
Et pour les délits suivants :
Violation de notre domicile
par recel et mise en exécution de l’ordonnance du 1er juin 2007
obtenue par la fraude.
Faux et usage de faux en
écritures publiques
Vol de tous nos meubles et
objets.
Harcèlement moral :
Complicité :
Sur l’intention de
nuire aux intérêts de Monsieur et Madame LABORIE.
Dans la mesure que les règles
n’ont pas été respectées alors que nul n’est sencé
d’ignorer la loi :
La préfecture de la HG agissant à
la demande de la SCP D’huissier GARRIGUES ET BALLUTEAUD et sur faux et usages
de faux en écritures publique et sous le
couvert du parquet de Toulouse carractérise les
délits ci-dessus repris.
Pour
mémoire : source juris-classeur :
49. ) A l'égard des autorités. - En matière d'expulsion, l'huissier de
justice doit informer le représentant de l'Etat dans le département en vue de
la prise en compte de la demande de relogement de l'occupant dans le cadre du
plan départemental d'action pour le logement des personnes défavorisées prévu
par la loi n° 90-449 du 31 mai 1990 visant à la mise en oeuvre
du droit au logement (L 9 juill. 1991, art. 62. - D. 31 juill.
1992, art. 197). Il lui appartient
également d'informer le Parquet en cas d'expulsion ou d'évacuation d'un immeuble ou d'un lieu habité poursuivie à rencontre de
personnes non dénommées (L. 9 juillet 1991,
art 61).
Sur les agissements de la SCP d’huissiers
de justice GARRIGUES & BALLUTEAUD et
de Maître BOURRASSET Jean Charles
Conseil de Madame D’ARAUJO épouse BABILE.
Faits poursuivis sur le territoire français dans un temps non
prescrits par la loi, alors que Monsieur et Madame LABORIE André étaient
toujours propriétaires de leur propriété, de leur domicile situé au N° 2 rue de
la forge 31650 Saint Orens.
La SCP d’huissiers GARRIGUES et
BALLUTEAUD, est venue violer notre domicile en date du 27 mars 2008, agissant
par faux et usages de faux et accompagnée de la Gendarmerie de Saint Orens.
La SCP d’huissiers GARRIGUES et
BALLUTEAUD a fait croire une procédure d’expulsion pour agir ainsi, par la mise en exécution de plusieurs actes rédigés
par la SCP d’huissiers GARRIGUES et BALLUTEAUD et par le recel d’une ordonnance
d’expulsion qui faisait l’objet de voie de recours. « dont appel ».
La SCP d’huissiers GARRIGUES et
BALLUTEAUD a agi avec la complicité de Maître BOURRASSET Jean Charles qui
indique à la SCP d’huissiers par son courrier du 11 mars 2008 de poursuivre sans relâche Monsieur et Madame LABORIE
à fin de parvenir à leur expulsion. « ci-joint courrier »
I / SUR LA PROPRIETE ETABLIE A MONSIEUR ET MADAME LABORIE LE 27 MARS
2008 ET ENCORE A CE JOUR.
Rappel de la
Procédure.
Au cours d’une procédure de
saisie immobilière faite par la fraude pendant que j’étais incarcéré, a été
rendu par excès de pouvoir un jugement d’adjudication en date du 21 décembre
2006 au profit de Madame D’ARAUJO épouse BABILE Suzette, en violation de nos
droits de défenses, violation des articles 6 ; 6-1 de la CEDH. en ses articles
14 ; 15 ; 16 du ncpc, et en son
article 2215 du code civil, n’ayant pu saisir la chambre des criées pour
déposer un dire pour faire valoir la nullité de toute la procédure de saisie
immobilière.
Que Madame D’ARAUJO épouse BABILE
Suzette avait perdu sont droit de
propriété en date du 9 février 2007 par une action en résolution du jugement
d’adjudication, effectuée par Maître MALET Franc Avoué à la cour, par assignation
des parties à l’instance et dénoncée au greffier en chef du tribunal de grande
instance de Toulouse.
·
Que
l’action en résolution produit les mêmes effets qu’une vente sur folle enchère
et ayant pour conséquence de faire revenir le bien vendu dans le patrimoine du
débiteur ( Cass. Com, 19 juillet 1982, préc.)
·
Entre la
remise en vente sur folle enchère et l’adjudication définitive, l’immeuble est
la propriété du saisi ( Cass.com, 14 janv.2004 : Juris-Data
N° 2004-021866)
·
Comme en
matière de surenchère, c'est le propriétaire saisi qui est censé avoir conservé
la propriété de l'immeuble malgré la première adjudication dont les effets sont
rétroactivement anéantis par l'adjudication sur folle enchère, et le droit du
second adjudicataire ne naît qu'au jour de la seconde adjudication (Carré et Chameau, op. cit., ouest. n°2432 sexies. - Donnier, op. cit., n° 1379. - Vincent et Prévault,
op. cit., n° 486. - Cass. req., 14 déc. 1896 : DP 1897, p. 153). C'est donc la propriété du saisi qui réapparaît sur l'immeuble dans la
période de temps qui sépare les deux adjudications.
·
Lorsqu'il v a adjudication sur folie enchère, le
saisi redevient rétroactivement propriétaire des lieux, l'adjudicataire est
donc irrecevable à demander une indemnité d'occupation au saisi (Ci Paris, 2e ch., sect. B, 20sept. 1990
: Juris-Data n° 023532).
·
Les droits réels que l'adjudicataire primitif avait sur l'immeuble et
qui se sont éteints par confusion lorsqu'il est devenu propriétaire lors de la première adjudication vont renaître du jour de l'adjudication sur folle enchère (Cass. req., 24 juin 1846 : DP
1846,1, p. 257. - CA Alger, 4 nov. 1852 : DP 1856, 2, p. 18. - Garsonnet et Cézar-Bru, op. cit., n° 504, p. 190-191. -Cézar-Bru,
op. cit., n°307,p. 299).
Qu’en conséquence, Madame
D’ARAUJO épouse BABILE avait bien perdu son droit de propriété en date du 9
février 2007 et ne pouvait le retrouver que lorsque la décision était rendue
par la cour d’appel soit après le 21 mai 2007 et après avoir accompli la
publication à la conservation des hypothèques, du jugement d’adjudication du 21
décembre 2006 et de l’arrêt confirmatif du 21 décembre 2007.
Et sur le fondement de l’article 750 de l’acpc
en ses termes :
·
Art. 750 (Abrogé par Ord. no 2006-461 du 21 avr. 2006) (Décr. no
59-89 du 7 janv. 1959) «L'adjudicataire est tenu de faire publier au
bureau des hypothèques le jugement d'adjudication dans les deux mois de sa
date, et, en cas d'appel, dans les deux mois de l'arrêt confirmatif, sous peine
de revente sur folle enchère.
Qu’au vu de l’action en
résolution en date du 9 février 2007, dénoncé au greffier en chef du T.G.I,
était applicable l’article 695 de l’acpc.
·
Art. 695 (Abrogé par Ord. no 2006-461 du 21 avr. 2006) S'il a été formé régulièrement
une demande en résolution ou une poursuite en folle enchère, il
sera sursis aux poursuites en ce qui concerne les immeubles frappés par
l'action résolutoire ou la folle enchère.
Qu’en conséquence, Madame
D’ARAUJO épouse BABILE après avoir perdu son droit de propriété en date du 9
février 2007 ne pouvait obtenir la grosse du jugement d’adjudication.
Qu’en conséquence, Madame
D’ARAUJO épouse BABILE après avoir perdu son droit de propriété en date du 9
février 2007 ne pouvait obtenir la grosse du jugement d’adjudication et le
faire publier en date du 20 mars 2007.
Qu’en conséquence, Madame
D’ARAUJO épouse BABILE après avoir perdu son droit de propriété en date du 9
février 2007, ne pouvait revendre un bien qui ne lui appartenait plus et sur le
fondement de l’article 1599 du code civil.
Que devant le Tribunal d’instance pendant que Monsieur LABORIE
André était incarcéré sans moyen de défense.
Madame D’ARAUJO épouse BABILE
était irrecevable de demander l’expulsion de Monsieur et Madame LABORIE de leur
propriété, de leur domicile par un acte de citation devant le tribunal
d’instance du 9 mars 2007, cette dernière ayant perdu sont droit de propriété
depuis le 9 février 2007.
Madame D’ARAUJO épouse BABILE ne
peut demander l’expulsion ou une vente de leur propriété au vu de l’article
1599 du code civil.
Que Madame d’ARAUJO épouse BABILE
Suzette a profité que Monsieur LABORIE André soit en prison, sans aucun moyen
de défense pour faire valoir une situation juridique inexacte et produire de
faux éléments.
D’autant plus que les actes
introductifs d’instance par citation du 9 mars 2007 n’ont pas été signifiés
autant à Monsieur qu’à Madame LABORIE, violation des articles 651 et suivant du
ncpc
Voilà l’explication très brèves
justifiant de la fin de non recevoir de Madame D’ARAUJO épouse BABILE à saisir
le tribunal d’instance en date du 9 mars 2007 pour obtenir une ordonnance
d’expulsion.
D’autant plus que Madame D’ARAUJO
épouse BABILE Suzette n’a jamais retrouvé son droit de propriété perdu en date
du 9 février 2007 par la carence de celle-ci de n’avoir publié son jugement
d’adjudication du 21 décembre 2006 en sa grosse et de l’arrêt rejetant l’action
en résolution rendu le 21 mai 2007, dans les deux mois de ce dernier et sur le
fondement de l’article 750 de l’acpc.
Qu’en
l’espèce, Madame D’ARAUJO épouse BABILE Suzette n’a jamais publié le jugement
d’adjudication du 21 décembre 2006 et son arrêt du 21 mai 2007 dans le délai
prescrit par l’article 694 de l’acpc.
·
Article 694 de l’acpc
4 bis. A défaut de publication dans les trois ans, l'ensemble de la
procédure de saisie, notamment le jugement d'adjudication sur surenchère, est
rétroactivement privé de tout effet. Paris , 24 mars 2003: RD banc. fin. 2004, no
179, obs. Piedelièvre.
·
Article 694 de l’acpc :
_ 4. La péremption instituée par l'art.
694, al. 3, produit ses effets de plein droit à l'expiration du délai prévu et
il appartient à tout intéressé, y compris le poursuivant, d'en tirer les
conséquences en engageant une nouvelle poursuite. Civ. 2e, 20 juill. 1987: Bull. civ. II, no
179 TGI Laon , réf., 16 févr. 1989: D.
1990. 110, note Prévault (obligation pour le conservateur des
hypothèques d'effectuer la nouvelle publication.
Qu’il est produit un état
hypothécaire de la conservation des hypothèques de janvier 2011 justifiant de
l’absence de publication postérieure au 21 mai 2007 ; du jugement
d’adjudication du 21 décembre 2006 en sa grosse et de l’arrêt rejetant l’action
en résolution rendu le 21 mai 2007
·
Certes il peut être constaté de nombreux
actes de malveillances qui ne peuvent ouvrir à un quelconque droit, effectués
par Madame d’ARAUJO épouse BABILE, profitant que Monsieur LABORIE André soit
incarcéré sans aucun moyen de défense.
Que l’ordonnance du 1er juin 2007 au profit de Madame
D’ARAUJO épouse BABILE Suzette constitue un réel faux en écritures
intellectuels sous la responsabilité de ceux qui le mettent en exécution bien
que cette ordonnance ait été rendu avec l’exécution provisoire.
·
L'article 31 de la loi du 9 juillet 1991 dispose que l'exécution
forcée peut être poursuivie jusqu'à son terme en vertu d'un titre exécutoire à
titre provisoire, que l'exécution est poursuivie aux risques du créancier qui,
si le titre est ultérieurement modifié, devra restituer le débiteur dans ses
droits en nature ou par équivalent.
·
Ainsi, une expulsion pratiquée en vertu d'une
ordonnance de référé qui a été ultérieurement infirmée en appel, n'a plus dès
lors de fondement, et le locataire doit être réintégré dans les lieux.
·
TGI Paris (juge de l'exécution), 10 février 1997
·
№ 97-302.- Société Paris Rome c/ M. Ntsama Essama
Qu’en conséquence au vu de ce
faux intellectuel en son ordonnance d’expulsion du 1er juin 2007,
signifié en juillet 2008 aux parties et au parquet de Toulouse, ouvrait un
risque important pour ses auteurs, en l’espèce à Madame D’ARAUJO épouse BABILE
Suzette et à ses mandataires qui ne pouvaient nier la connaissance des règles
de droit pour la mettre en exécution et des risques au vu de l’appel de cette
décision en date du 11 juin 2007.
II / Sur la signification de l’ordonnance
du 1er juin 2007 et soit en date du 14 juin 2007, à Madame LABORIE
Suzette, signification effectuée par la SCP d’huissiers Garrigues et Balluteaud dont est dressé un procès verbal de
signification.
Le procès verbal relate que la
signification a été impossible, Madame LABORIE Suzette était absente.
Le procès verbal relate que
l’acte a été déposé en l’étude de l’huissier sous enveloppe fermée.
Le procès verbal indique qu’un
avis de passage a été déposé sur le fondement de l’article 656 du ncpc.
Le procès verbal indique d’une
lettre prévue par l’article 658 du ncpc contenant la
copie de l’acte de signification.
Observations :
Que la signification est
irrégulière, le procès verbal n’apporte aucune preuve de vérification auprès du
voisinage, pas plus les recherches auprès de son employeur pour atteindre
Madame LABORIE Suzette à fin qu’il lui
soit signifier à personne le dit acte et dont les conséquences de ce dernier
sont très graves.
Qu’aucune preuve n’est apportée
par la SCP d’huissiers que Madame LABORIE Suzette a pris connaissance qu’un
acte devait être retiré en son l’étude.
D’autant plus qu’un acte à
retirer en étude doit l’être dans les trois mois pour éventuellement faire
valoir un droit.
La SCP d’huissiers Garrigues et Balluteaud n’apporte donc aucune preuve ou commencement de
preuve que Madame LABORIE Suzette a prix connaissance de la signification de
l’ordonnance du 1er juin 2007.
Qu’au vu des articles 502 et
503 du ncpc, il ne peut exister
d’exécution d’une décision sans être au préalable signifiée à la personne.
Qu’au vu de l’article 478 du ncpc, le jugement rendu par défaut ou le
jugement réputé contradictoire au seul motif qu’il est susceptible d’appel est non avenue si il n’a pas été
signifié dans les six mois de la date. ( La procédure peut être reprise après
réitération de la citation primitive..
Qu’au vu de l’article 108 du
code civil : toute notification faite à un époux, même séparé
de corps, en matière d’état et de capacité des personnes, doit également être
adressée à son conjoint, sous peine de nullité.
En l’espèce, la SCP d’huissiers
GARRIGUES et BALLUTEAUD à causé un grief important aux droits de défenses de
Madame LABORIE Suzette, privées de prendre connaissance de l’ordonnance
d’expulsion et privée de ce fait de saisir Monsieur le Premier Président prés
la cour d’appel de Toulouse pour en demander la suspension de l’exécution
provisoire et saisir un avocat agissant dans ses intérêts, Monsieur LABORIE
André incarcéré, ne pouvant avoir aucune relation extérieures avec elle.
Qu’en conséquence :
Que la signification de
l’ordonnance d’expulsion du 1er juin 2007 étant nulle pour n’avoir
pas respecté les droits de la défense, ne peut servir de droit pour faire
valoir un droit et en continuer en sa mise en exécution par d’autre actes dont
la base fondamentale est nulle en sa signification..
III / Sur la signification en date du 13
juin 2007 à Monsieur LABORIE André et concernant une ordonnance d’expulsion
rendue le 1er juin 2007,
Qu’il est produit un procès verbal
de signification effectuée par la SCP
d’huissiers DELHOM ; RIAUCAUX ; PEYRAUD à Montauban.
Que ce procès verbal indique que
l’acte a été remis par un clerc assermenté alors que nous sommes dans une
procédure d’exécution forcée sous la seule compétence d’un huissiers de justice
pour rédiger un procès verbal.
·
Violation
de l’article 6 de la loi du 27 décembre 1923 : « reprise
ci-dessus ».
·
L’article
1er de l’ordonnance N° 45-2592 du 2 novembre 1945. « reprise
ci-dessus ».
·
Qu’en conséquence l’acte, procès verbal de
signification est nul de plein droit.
Qu’au vu de l’article 648 du ncpc en
ses termes :
Art. 648 Tout acte d'huissier de justice
indique, indépendamment des mentions prescrites par ailleurs:
1. Sa
date;
b) Si le requérant est une personne morale: sa
forme, sa dénomination, son siège social et l'organe qui la représente
légalement.
3. Les
noms, prénoms, demeure et signature de l'huissier de justice;
4. Si
l'acte doit être signifié, les noms et domicile du destinataire, ou, s'il
s'agit d'une personne morale, sa dénomination et son siège social.
Ces
mentions sont prescrites à peine de nullité.
Que ce procès verbal de
signification est aussi nul de plein droit, ne respecte pas l’article 648 du ncpc, ne peut être identifié le clerc assermenté pour en
vérifier de son agrément auprès des tribunaux et de ses compétences en la
matière pour se substituer à un huissier de justice, ou la formation en droit
entre ces deux sont importantes, et d’autant plus que la signature ne permet
pas plus de l’identifier.
·
Qu’en conséquence l’acte, procès verbal de
signification est nul de plein droit.
Au surplus, que ce procès verbal
de signification ne mentionne aucune date.
·
Qu’en conséquence l’acte, procès verbal de
signification est nul de plein droit.
Les griefs causés :
Rien de permet de contrôler en
son procès verbal l’application des articles 502, 503, 478, du ncpc, en son article 651 et suivants du ncpc.
Rien ne permet de contrôler en
son procès verbal de la signification en la personne de Monsieur LABORIE André,
privé ce dernier de ses droits de défense incarcéré.
Que Monsieur LABORIE André a été
privé de saisir le juge de l’exécution pour faire annuler les différentes
significations irrégulières et entachées de faux en écritures publiques.
Que Monsieur LABORIE André a été
privé de saisir Monsieur le Premier Président de la cour d’appel par assignation
et pour demander la suspension de l’exécution provisoire.
« Juris-classeur »
·
La signification doit être déclarée
nulle en raison de l'atteinte portée aux droits de la défense (TGI
Paris, 20 déc. 1972 : D. 1973, p. 204 ; JCP 1973GII, 6263, obs. J.A. ;
RTD civ. 1973, p. 168, note P. Raynaud).
Qu’une
signification d’un quelconque d’acte d’huissier entraîne l’ouverture d’une voie
de recours et que ce recours doit être effectif.
Que toutes les
significations d’actes pendant le temps de l’incarcération de Monsieur LABORIE
André sont entachées de nullités pour avoir été privé de faire valoir ses
moyens de défense.
Il ne peut être
considéré quand on est incarcéré d’avoir les mêmes moyens de droit que le
justiciable se trouvant à l’extérieur, on est privé de liberté vers le monde
judiciaire, économique et financier, on a aucun moyen de défense, le détenu est
privé de faire une quelconque procédure, privé de ses dossiers et de pièces de
procédure ainsi que de relations
extérieures, impossibilité de rédiger un quelconque acte juridique, aucun moyen
de droit et matériel.
·
Impossibilité d’obtenir l’aide
juridictionnelle.
·
Impossibilité d’obtenir un avocat.
·
Monsieur LABORIE André sans un moyen
financier.
·
Sans aucun moyen de défense.
Par le manque de
moyen d’agir de Monsieur LABORIE André pour le compte de Monsieur et Madame
LABORIE et pour diligenter une voie de recours concernant les droits de défense
du justiciable, revient que les actes d’huissiers sont nuls d’effet. (
atteinte aux droits de la défense ).
Qu’en conséquence :
Que le procès verbal de
signification de l’ordonnance d’expulsion du 1er juin 2007 étant nul
pour n’avoir pas respecté les droits de la défense, ne peut servir de droit
pour faire valoir un droit et en continuer en sa mise en exécution par d’autre
actes dont la base fondamentale est nulle en sa signification.
IV / Sur le commandement de quitter les
lieux en date du 29 juin 2007 rédigé par la SCP d’huissiers Garrigues et Balluteaud dont est joint un procès verbal effectué par un
clerc assermenté de la SCP d’huissiers DELHOM ; RIAUCAUX ; PEYRAUD.
Qu’il est produit un procès
verbal de signification d’un commandement, effectuée
par la SCP d’huissiers DELHOM ; RIAUCAUX ; PEYRAUD à Montauban.
Que ce procès verbal indique que
l’acte a été remis par un clerc assermenté alors que nous sommes dans une
procédure d’exécution forcée sous la seule compétence d’un huissiers de justice
pour rédiger un procès verbal.
·
Violation
de l’article 6 de la loi du 27 décembre 1923 : « reprise
ci-dessus ».
·
L’article
1er de l’ordonnance N° 45-2592 du 2 novembre 1945. « reprise
ci-dessus ».
·
Qu’en conséquence l’acte, procès verbal de
signification est nul de plein droit.
Qu’au vu de l’article 648 du ncpc en
ses termes :
Art. 648 Tout acte d'huissier de justice
indique, indépendamment des mentions prescrites par ailleurs:
1. Sa
date;
b) Si le requérant est une personne morale: sa
forme, sa dénomination, son siège social et l'organe qui la représente
légalement.
3. Les
nom, prénoms, demeure et signature de l'huissier de justice;
4. Si
l'acte doit être signifié, les noms et domicile du destinataire, ou, s'il s'agit
d'une personne morale, sa dénomination et son siège social.
Ces
mentions sont prescrites à peine de nullité.
Que ce procès verbal de
signification est aussi nul de plein droit, ne respecte pas l’article 648 du ncpc, ne peut être identifié le clerc assermenté pour en
vérifier de son agrément auprès des tribunaux et de ses compétences en la
matière pour se substituer à un huissier de justice, ou la formation en droit
entre ces deux sont importantes, et d’autant plus que la signature ne permet
pas plus de l’identifier.
·
Qu’en conséquence l’acte, procès verbal de
signification est nul de plein droit.
Au surplus, que ce procès verbal
de signification ne mentionne aucune date.
·
Qu’en conséquence l’acte, procès verbal de
signification est nul de plein droit.
Les griefs causés :
Rien de permet de contrôler en
son procès verbal l’application des articles 502, 503, 478, du ncpc, en son article 651 et suivants du ncpc.
Rien ne permet de contrôler en
son procès verbal de la signification en la personne de Monsieur LABORIE André,
privé ce dernier de ses droits de défense incarcéré.
Que Monsieur LABORIE André a été
privé de saisir le juge de l’exécution pour faire annuler le commandement de
quitter les lieux rédigé en date du 29 juin 2007.
« Juris-classeur »
·
La signification doit être déclarée
nulle en raison de l'atteinte portée aux droits de la défense (TGI
Paris, 20 déc. 1972 : D. 1973, p. 204 ; JCP 1973GII, 6263, obs. J.A. ;
RTD civ. 1973, p. 168, note P. Raynaud).
Qu’une
signification d’un quelconque d’acte d’huissier entraîne l’ouverture d’une voie
de recours et que ce recours doit être effectif.
Que toutes les
significations d’actes pendant le temps de l’incarcération de Monsieur LABORIE
André sont entachées de nullités pour avoir été privé de faire valoir ses
moyens de défense.
Il ne peut être
considéré quand on est incarcéré d’avoir les mêmes moyens de droit que le
justiciable se trouvant à l’extérieur, on est privé de liberté vers le monde
judiciaire, économique et financier, on a aucun moyen de défense, le détenu est
privé de faire une quelconque procédure, privé de ses dossiers et de pièces de
procédure ainsi que de relations
extérieures, impossibilité de rédiger un quelconque acte juridique, aucun moyen
de droit et matériel.
·
Impossibilité d’obtenir l’aide
juridictionnelle.
·
Impossibilité d’obtenir un avocat.
·
Monsieur LABORIE André sans un moyen
financier.
·
Sans aucun moyen de défense.
Par le manque de
moyen d’agir de Monsieur LABORIE André pour le compte de Monsieur et Madame
LABORIE et pour diligenter une voie de recours concernant les droits de défense
du justiciable, revient que les actes d’huissiers sont nuls d’effet. (
atteinte aux droits de la défense ).
Qu’en conséquence :
Que le procès verbal de
signification d’un commandement du 29 juin 2007 de quitter les lieux étant nul
pour n’avoir pas respecté les droits de la défense, ne peut servir de droit
pour faire valoir un droit et en continuer en sa mise en exécution par d’autre
actes dont la base fondamentale est nulle en sa signification et concernant
l’ordonnance du 1er juin 2007.
D’autant plus que ce commandement
ne pouvait exister sans avoir au préalable respecté les significations à
personnes de Monsieur et Madame LABORIE et concernant l’ordonnance d’expulsion
rendue le 1er juin 2007 ouvrant la voie d’appel à partir de la prise
en connaissance de l’acte et la saisine de Monsieur le Premier Président de la
cour d’appel pour demander la suspension de l’exécution provisoire.
V / Sur le commandement de quitter les
lieux en date du 3 juillet 2007 rédigé par la SCP d’huissiers Garrigues et Balluteaud, dont est joint un procès verbal effectué par
Maître Didier BALLUTEAUD et joint un imprimé de bail résilié.
Que le commandement de quitter
les lieux adressé à Madame LABORIE Suzette en date du 3 juillet 2007 est nul de
plein droit, il est fondé sur une ordonnance du 1er juin 2007 qui
n’a pas été régulièrement signifiée et comme repris ci-dessus, autant à
Monsieur qu’à Madame LABORIE.
D’autant plus que ce commandement
qui doit être identique que celui de monsieur LABORIE, lui aussi nul de plein
droit, constitutif de faux en écritures
publiques, un ordonne de quitter les lieux au 29 août 2007 et l’autre de
quitter les lieux le 3 septembre 2007.
Et en précisant que Monsieur
LABORIE André se trouvé incarcéré à cette date, libéré seulement le 14
septembre 2007.
Qu’au surplus, le commandement en
son procès verbal de signification n’a jamais été porté à la connaissance de
Madame LABORIE comme le précise l’acte, Madame LABORIE Suzette était absente.
Qu’en conséquence :
Que le procès verbal de
signification d’un commandement du 3 juillet 2007 de quitter les lieux étant
nul pour n’avoir pas respecté les droits de la défense, ne peut servir de droit
pour faire valoir un droit et en continuer en sa mise en exécution par d’autre
actes dont la base fondamentale est nulle en sa signification et concernant
l’ordonnance du 1er juin 2007.
D’autant plus que ce commandement
ne pouvait exister sans avoir au préalable respecté les significations à
personnes de Monsieur et Madame LABORIE et concernant l’ordonnance d’expulsion
rendue le 1er juin 2007 ouvrant la voie d’appel à partir de la prise
en connaissance de l’acte et la saisine de Monsieur le Premier Président de la
cour d’appel pour demander la suspension de l’exécution provisoire.
Sur le grief causé, celui-ci est encore réel autant pour Monsieur
et Madame LABORIE de vouloir faire valoir d’un droit sur un ou des actes
précédent entaché de nullité pour n’avoir pas respecté les droits de la défense
comme précité ci-dessus.
D’autant plus que le grief est
encore causé, la SCP d’huissiers GARRIGUES et BALUTEAUD n’apportant aucune
preuve matérielle de la communication à Madame LABORIE Suzette pour saisir le
juge de l’exécution car Monsieur LABORIE André était incarcéré jusqu’au 14
septembre 2007.
VI / Sur le courrier rédigé du 5 juillet
2007 par la SCP d’huissiers Garrigues et Balluteaud
et adressé à Monsieur le Préfet de la HG. En lettre recommandée du 09 juillet
2007.
Que la SCP d’huissiers Garrigues
et Balluteaud, ne pouvait saisir Monsieur le Préfet
de la Haute Garonne en date du 05 juillet 2007, l’informant copie du
commandement de quitter les lieux, un en date du 29 juin 2007 et l’autre en
date du 3 juillet 2007 sans avoir au préalable respecté les significations en
la personne de Monsieur et Madame LABORIE et ce conformément à la loi,
précisant que ces commandements de quitter les lieux, soit notre domicile ,
notre propriété toujours établie à cette date et encore à ce jour,
commandements fondés sur une ordonnance d’expulsions du 1er juin
2007 non signifiée régulièrement autant à Monsieur qu’à Madame LABORIE et comme
précisé ci-dessus pour violation des droits de la défense.
Qu’en conséquence la saisine de
Monsieur le Préfet par la SCP d’huissiers GARRIGUES et BALLUTEAUD porte
atteinte à notre vie privé, violation d’un droit constitutionnel en notre
propriété, en notre domicile qui était toujours établie à cette date.
VII / Sur le procès verbal de tentative
d’expulsion daté du 11 septembre 2007 dont est joint un procès verbal de
signification à Madame LABORIE Suzette, rédigé par la SCP d’huissiers Garrigues
et Balluteaud en date du 11 septembre 2007.
Qu’il est indiqué dans ce procès
verbal de tentative d’expulsion que la SCP d’huissiers GARRIGUES et BALLUTEAUD
était assisté :
·
La SARL ABSO, Serrurier.
·
Monsieur de COIGNAC Paul, TEMOIN.
·
Monsieur DUC Serge, Témoin.
Qu’elle agissait au vu d’un
commandement de quitter les lieux du 03 juillet 2007.
Observations :
Comme préciser ci-dessus, la SCP
d’huissiers ne peut se prévaloir d’un acte nul du 3 juillet 2007 pour faire
valoir un droit.
Qu’en conséquence et au vu
des éléments ci-dessus, l’acte du 11 septembre 2007 constitue un faux en
écriture publique.
Que le procès verbal de
signification en date du 11 septembre 2007, seulement adressé à Madame LABORIE
Suzette, relate que l’acte n’a pu être remis, elle était absente lors du
passage.
Que la signification est
irrégulière, le procès verbal n’apporte aucune preuve de vérification auprès du
voisinage, pas plus les recherches auprès de son employeur pour atteindre
Madame LABORIE Suzette à fin qu’il lui
soit signifier à personne le dit acte et dont les conséquences de ce dernier
sont très graves.
Qu’aucune preuve n’est apportée
par la SCP d’huissiers GARRIGUES et BALLUTEAUD que Madame LABORIE Suzette a
pris connaissance qu’un acte devait être retiré en son l’étude.
D’autant plus qu’un acte à
retirer en étude doit l’être dans les trois mois pour éventuellement faire
valoir un droit.
La SCP d’huissiers Garrigues et Balluteaud n’apporte donc aucune preuve ou commencement de
preuve que Madame LABORIE Suzette a prix connaissance de la signification du PV
de tentative d’expulsion.
Il est en plus à préciser que
Monsieur LABORIE André était en date du 11 septembre 2007 toujours incarcéré
Violation de l’article 108 du code civil : toute
notification faite à un époux, même séparé de corps, en matière d’état et de
capacité des personnes, doit également être adressée à son conjoint, sous peine
de nullité.
En l’espèce, LA SCP d’huissiers
GARRIGUES et BALUTEAUD à causé un grief important aux droits de défenses de
Madame LABORIE Suzette et de Monsieur LABORIE André.
VIII / Sur le procès verbal de tentative
d’expulsion rédigé en date du 17 septembre 2007 et joint à celui-ci, un procès
verbal de signification à Monsieur LABORIE André et joint un procès verbal de
signification à Madame LABORIE Suzette.
Nous pouvons que constater encore
une fois l’harcèlement de la SCP d’huissiers GARRIGUES et Balluteaud
alors que Monsieur LABORIE André venait de sortir de prison soit le 14
septembre 2007.
Que ce procès verbal du 17
septembre 2007 signifié à Monsieur LABORIE André est entaché de nullité, faux en écritures publique, car il n’a jamais été signifié à Monsieur
LABORIE André un commandement de quitter les lieux en date du 3 juillet 2007.
Que ce procès verbal du 17
septembre 2007 adressé à Madame LABORIE
Suzette est entaché de nullité, faux
en écritures publiques, car il n’a jamais été signifié à Madame
LABORIE Suzette un commandement de quitter les lieux en date du 3 juillet 2007
et comme repris ci-dessus en son paragraphe V.
Que ce procès verbal du 17
septembre 2007 est constitutif d’un faux en écritures publiques, rédigé sur des
précédents actes, eux aussi inscrits en faux en écritures publiques, ces
derniers fondés sur une ordonnance d’expulsion rendue le 1er juin
2007 et qui n’a jamais été signifiée autant à la personne de Monsieur et Madame
LABORIE et comme expliqué ci-dessus soulevant la violation de tous les droits
de défense et par ces différentes actes irréguliers.
IX / Sur le procès verbal de réquisition de
la force publique
Adressé par la SCP d’huissiers GARRIGUES et
BALUTEAUD à Monsieur le préfet en date du 12 octobre 2007.
Que la SCP d’huissiers Garrigues
et Balluteaud a demandé la réquisition de la force
publique en date du 12 octobre 2007 en portant de faux actes à Monsieur le
Préfet de la HG, actes inscrits de faux en écritures publiques.
Que SCP d’huissiers Garrigues et Balluteaud fait valoir dans l’acte de réquisition et dans
tous les actes que ses diligences sont faites à la demande de Madame D’ARAUJO
épouse BABILE Suzette alors que cette dernière n’avait aucun droit de
propriété.
Rappel : Madame D’ARAUJO épouse BABILE Suzette s’est
retrouvée adjudicataire le 21 décembre 2006 et elle a perdu son droit de
propriété en date du 9 février 2007 par l’action en justice engagée en
annulation du jugement d’adjudication, que la propriété est de ce fait revenue
aux saisis soit à Monsieur et Madame LABORIE.
Que Madame D’ARAUJO épouse BABILE
Suzette n’a jamais pu retrouver son droit de propriété perdu le 9 février 2007
et par l’absence de formalité à accomplir postérieurement à la décision du 21
mai 2007, à la conservation des hypothèques soit la publication du jugement
d’adjudication en sa grosse et de la décision du 21 mai 2007. ( Ci-joint
état hypothécaire justifiant que les formalités n’ont pas été accomplies et sur
le fondement de l’article 750 de l’acpc et de
l’article 694 de l’accpc ).
·
Que l’ordonnance obtenue en date du 1er
juin 2007 par la fraude de Madame D’ARAUJO épouse BABILE et dont une procédure
d’appel est toujours pendante à ce jour, réouverture des débats le 8 mars 2011,
la cour s’est toujours refusée de statuer sur la fin de non recevoir de Madame
D’ARAUJO épouse BABILE. « D’ordre
public »
·
Que toutes les formalités faites par la SCP
d’huissiers de justice Garrigues et Balluteaud
postérieures à l’ordonnance du 1er juin 2007. ( Tous les actes sont
inscrits en faux en écritures publiques).
·
Que les
décisions prises par la préfecture en date du 27 décembre 2007 et de sa
décision du 8 décembre 2008 à la demande de la SCP d’huissiers sont inscrites
en faux en écritures.
Sur l’absence de contestation de Monsieur
TEULE Laurent occupant le domicile, la propriété de Monsieur et Madame LABORIE
Toujours située au N° 2 rue de la forge
31650 Saint Orens.
Et suivant commandement de quitter les
lieux délivré par huissier de justice le 29 juin 2012 resté sans une quelconque
contestation dans le délai des deux mois de l’acte.
Absence de contestation de
Monsieur TEULE Laurent justifiant l’excès de pouvoir de la Préfecture pour
avoir ordonné l’expulsion de Monsieur et Madame LABORIE le 27 mars 2008 et sous
la complicité du parquet de Toulouse dont son seul représentant à cette époque
était Monsieur Amar BELACEL.
IV / Sur le trouble à l’ordre public constitué par la
complicité établie du parquet de Toulouse qui reste sous le silence
en ses différentes
plaintes déposées.
Et concernant différents faux en écritures publiques
et faux intellectuels.
Que Monsieur Amar BELACEL représentant un des membres du parquet du
T.G.I de Toulouse indivisible par sa nature à favorisé par son silence les
auteurs des différents faux intellectuels, faux en écritures publiques
enregistrés par procès verbaux sur le fondement de l’article 306 du ncpc dont plainte principale en faux déposée et renouvelée
dont la dernière en ses termes, actes constitutifs de délits, crimes.
Dernière plainte en ces termes en date du 16 octobre 2012
Monsieur LABORIE André
Le 16 octobre 2012
2 rue de la Forge
31650 Saint Orens
Tél : 06-14-29-21-74
Mail : laboriandr@yahoo.fr
PS : « Actuellement
le courrier est transféré suite à la
violation du domicile en date du 27 mars 2008 par voie de fait, et toujours
occupé par un tiers sans droit ni titre »
Monsieur,
Madame,
Le Procureur de la République
T.G.I de Toulouse.
Allée Jules Guesde
31000 Toulouse.
Lettre
recommandée avec AR : N° 1A 075 937 3897 6.
FAX :
05-61-33-71-13
Objet : Rappel du 28 juillet 2012 et autres…
Plainte en faux principal contre X : Avec auteurs connus dans chacun des actes inscrits en faux en
écritures publiques, faux intellectuels.
Monsieur, Madame le Procureur de la République,
Je sollicite de
votre très haute bienveillance à prendre mon rappel de plainte de faux en principal dont je vous ai déjà saisi à de nombreuses reprises
au cours des différentes inscriptions de
faux intellectuels, faux en écritures publiques enrôlées au Greffe du
T.G.I de Toulouse par procès verbaux ; dénoncées aux parties par huissier
de justice et à Monsieur le Procureur de la République, le tout enrôlé au
greffe en respectant l’article 306 du ncpc.
Plaintes toujours restées sans une réponse de
votre parquet alors que ces faits sont réprimés par le code pénal.
Je vous rappelle que
la plainte en faux principal et après que soit enregistré par procès verbaux
les différents faux intellectuels, faux en écritures publiques, sur le
fondement de l’article 1319 du code civil, l’exécution de l’acte argué
de faux sera suspendu par la mise en accusation.
D’autant plus
qu’après dénonce aux parties soit au défenseur pour lui permettre de soulever
une contestation sur l’acte inscrit en faux ou sur les actes, aucune
contestation n’a été soulevée d’aucune des parties.
Qu’il n’y a pas eu lieu d’assigner en justice
les parties pour leur en demander s’ils s’en prévalaient de ses faux car ils
ont été déjà consommés. « Le délit étant constitué ».
Sur le fondement de
l’article 40-2 du code de procédure pénale, je vous prie de m’indiquer les
poursuites ou les mesures alternatives qui seront prises.
Personnes connues :
Et pour avoir
effectué des faux intellectuels, en écritures publiques : faits réprimés
par les articles 441-4 et suivants du code pénal, aux préjudices de Monsieur et
Madame LABORIE et à l’institution judicaire.
Et pour avoir pris ou participé à
des mesures destinées à faire échec à l'exécution de la loi : faits
réprimés par les articles 432-1 et 432-2
du code pénal, aux préjudices de Monsieur et Madame LABORIE et
à l’institution judicaire.
·
Art. 432-1 du code pénal :
Le fait, par une personne dépositaire de l'autorité publique,
agissant dans l'exercice de ses fonctions, de prendre des mesures destinées à
faire échec à l'exécution de la loi est puni de cinq ans d'emprisonnement et de
75 000 € d'amende. — Civ. 25.
·
Art. 432-2 du code pénal : L'infraction prévue à l'article 432-1 est
punie de dix ans d'emprisonnement et de 150 000 € d'amende si elle a été suivie
d'effet.
L'usage du faux mentionné à
l'alinéa qui précède est puni des mêmes peines.
Les peines sont portées à quinze ans de réclusion criminelle et à 225 000 €
d'amende lorsque le faux ou l'usage de
faux est commis par une personne dépositaire de l'autorité publique ou chargée
d'une mission de service public agissant dans l'exercice de ses fonctions ou de
sa mission. — Discipl. et pén. mar. march. 44.
Qu’au vu de l’article 121-7 du code pénal :
· Est complice
d'un crime ou d'un délit la personne qui sciemment, par aide ou assistance, en
a facilité la préparation ou la consommation.
· Est également
complice la personne qui par don, promesse, menace, ordre, abus d'autorité ou de pouvoir aura
provoqué à une infraction ou donné des instructions pour la commettre.
Le recel de faux en écriture est une infraction imprescriptible
réprimée par les articles 321-1 à 321-5 du code pénal
Article 321-1 En
savoir plus sur cet article...
·
Le
recel est le fait de dissimuler, de détenir ou de transmettre une chose, ou de
faire office d'intermédiaire afin de la transmettre, en sachant que cette chose
provient d'un crime ou d'un délit.
·
Constitue
également un recel le fait, en connaissance de cause, de bénéficier, par tout
moyen, du produit d'un crime ou d'un délit.
·
Le
recel est puni de cinq ans d'emprisonnement et de 375000 euros d'amende.
Article 321-2 En
savoir plus sur cet article...
·
Le
recel est puni de dix ans d'emprisonnement et de 750000 euros d'amende :
·
1°
Lorsqu'il est commis de façon habituelle ou en utilisant les facilités que
procure l'exercice d'une activité professionnelle ;
·
2°
Lorsqu'il est commis en bande organisée.
Article 321-3 En
savoir plus sur cet article...
·
Les
peines d'amende prévues par les articles 321-1 et 321-2 peuvent être élevées
au-delà de 375000 euros jusqu'à la moitié de la valeur des biens recelés.
Article 321-4 En
savoir plus sur cet article...
·
Lorsque
l'infraction dont provient le bien recelé est punie d'une peine privative de
liberté d'une durée supérieure à celle de l'emprisonnement encouru en
application des articles 321-1 ou 321-2, le receleur est puni des peines
attachées à l'infraction dont il a eu connaissance et, si cette infraction est
accompagnée de circonstances aggravantes, des peines attachées aux seules
circonstances dont il a eu connaissance.
Article 321-5 En
savoir plus sur cet article...
·
Le
recel est assimilé, au regard de la récidive, à l'infraction dont provient le
bien recelé.
*
* *
Que ces voies de
faits sont incontestables, les preuves apportées sont pertinentes, les procès
verbaux établis pour chacune des inscriptions de faux en écritures publiques,
faux intellectuels ont tous été portés à la connaissance par huissiers de
justice au parquet de Toulouse représenté par Monsieur le Procureur de la
République, pièces toutes déposées au greffe du T.G.I dont il a été dressé
procès verbaux. « Soit actes authentiques ».
S’il est vrai que
les magistrats du parquet tiennent de la loi le pouvoir d’apprécier la suite à
donner aux procédures pénales dont ils sont saisis, ils ne peuvent le faire
qu’en respectant l’égalité entre les citoyens et sans discrimination en
l’application de la répression sur le fondement du code pénal prévu en la
matière.
Qu’au vu des faits
réels constitutifs de faux en écritures, faits réprimés par les articles 441-4
, 432-1 ; 432-2 code pénal, il est de votre devoir de faire appliquer la
loi devant la juridiction compétente sans discrimination au vu de l’article 20
de la charte des droits fondamentaux qui stipule que :
Je rappelle que le
parquet de Toulouse a été saisi concernant les faux intellectuels, en rappel
des précédentes plaintes restées sans réponse en date du 24 août 2011, par
lettre recommandée N° 1A 062 284 2087 3. « Restée sans réponse »
Je rappelle que le
parquet de Toulouse a été aussi saisi concernant les faux intellectuels, en
date du 13 juin 2012, par lettre recommandée N°
Je rappelle que le
parquet de Toulouse a été aussi saisi concernant les faux intellectuels, en
date du 28 juillet 2012, par lettre recommandée N°
Soit les différentes inscriptions de faux consommées,
enregistrées au T.G.I de Toulouse.
Toutes dénoncées par huissier de justice.
A Monsieur le
Procureur de la république de Toulouse.
I
/ Procès verbal d’inscription de faux intellectuels contre un jugement de subrogation rendu le 29 juin 2006 N0
enregistrement : 08/00026 au greffe du T.G.I de Toulouse le 08 juillet 2008. "
Motivations "
II
/ Procès verbal d’inscription de faux intellectuels contre une ordonnance rendu le 1er juin 2007 N°
enregistrement : 08/00028 au greffe du T.G.I de Toulouse le 16 juillet 2008. "
Motivations "
III
/ Procès verbal d’inscription de faux intellectuels contre deux actes notariés du 5 avril 2007 et du 6 juin 2007 N°
enregistrement : 08/00027 au greffe du T.G.I de Toulouse le 8 juillet 2008. "
Motivations "
IV
/ Procès verbal d’inscription de faux intellectuels contre tous les actes effectués par la SCP GARRIGUES et BALUTEAUD
huissiers de justice N° enregistrement : 08/00029 au greffe du T.G.I de
Toulouse le 23 juillet 2008. " Motivations "
V / Procès verbal d'inscription de faux intellectuels contre un arrêt rendu par
la cour de cassation le 4 octobre 2000, enregistré le 21 janvier 2009 au
greffe du T.G.I de Toulouse N° 09/00002 " Motivations "
VI / Procès verbal d'inscription de faux intellectuels contre un acte
hypothécaire du 2 mars 1992, enregistré le 21 janvier 2009 au greffe du
T.G.I de Toulouse N° 09/00001 " Motivations "
VII
/ Procès verbal d’inscription de faux intellectuels contre un acte notariés du 22 septembre 2009 N° enregistrement :
22/2010 au greffe du T.G.I de Toulouse le 9 août 2010. " Motivations "
VIII
/ Procès verbal d’inscription de faux intellectuels contre différentes
ordonnances de référés en matière de mesures provisoires N° enregistrement :
12/00020 au greffe du T.G.I de Toulouse le 2 mai 2012. " Motivations "
IX
/ Procès verbal d’inscription de faux intellectuels dans différents dossiers
et contre différents jugements rendus par le juge de l’exécution N°
enregistrement : 12/00023 au greffe du T.G.I de Toulouse le 30 mai 2012.
" Motivations "
X
/ Procès verbal d’inscription de faux intellectuels contre plusieurs arrêt
rendus par la cour d’appel de Toulouse. N° enregistrement : 12/00022 au greffe
du T.G.I de Toulouse le 30 mai 2012. " Motivations "
XI / Procès verbal
d’inscription de faux intellectuels contre un jugement du 15 septembre 2011 N°
enregistrement 12/00012 au greffe du T.G.I de toulouse
le 28 mars 2012. " Motivations "
XII / Procès verbal
d'inscription de faux intellectuels contre plusieurs actes concernant un permis
de conduire. N° enregistrement N°12/00028 au greffe du T.G.I de Toulouse le 11
juillet 2012. " Motivations "
XIII / Procès verbal d'inscription de faux intellectuels
contre différentes publications effectuées à la conservation des hypothèques de
Toulouse, N° enregistrement N° 12/00029 au greffe du T.G.I de Toulouse le 25
juillet 2012 " Motivations".
Précisant que toutes les preuves matérielles ont déjà été portées à la
connaissance de Monsieur VALET Michel Procureur de la République de Toulouse ou
à ses substituts par huissiers de justice et par le greffier en chef du
tribunal qui a rédigé les différents procès verbaux.
Je reste à la disposition de toutes autorités judiciaires pour apporter des
éléments supplémentaires que vous pourriez avoir besoin.
Dans l’attente d’intervention urgente à faire cesser ce trouble
manifestement grave et illicite « trouble à l’ordre public » soit
de l’occupation sans droit ni titre régulier de notre propriété située au N° 2
rue de la forge 31650 Saint Orens « violation
de notre domicile depuis le 27 mars 2008 ».
Dont nouvelle plainte en date du 28 septembre 2012, classée sans suite,
Monsieur le Procureur général saisi sur le fondement de l’article 40-3.
A fin d’en
ignorer :
Je vous rappelle que par huissier de justice a été délivré un commandement
de quitter les lieux, par signification en date du 29 juin 2012 aux personnes
occupant sans droit ni titre notre propriété, notre domicile située au N° 2 rue
de la forge 31650 Saint Orens.
Qu’au
vu du silence permanant du parquet :
Monsieur
TEULE Laurent avec son conseil continu à discréditer les autorités :
Nouveaux éléments devant le
tribunal administratif de Toulouse, agissements de Monsieur TEULE Laurent et de
son conseil par faux et usages de faux:
Monsieur TEULE Laurent a saisi le tribunal administratif de
Toulouse en date du 1er octobre 2012 avant 11 heures du matin, en
déposant une requête en référé sur le fondement de l’article L.521-2 du code de
justice administrative et pour faire suspendre au prétexte de son illégalité,
une décision du 24 septembre 2012 rendue par la Préfecture de la Haute Garonne,
ordonnant son expulsion immédiate de la propriété de Monsieur et Madame LABORIE
située au N° 2 rue de la forge 31650 Saint Orens.
Que le tribunal administratif de Toulouse a enregistré le
dossier sous le numéro suivant
·
N° 1204311-8 : Référé liberté.
Que par courrier du 1er octobre 2012 envoyé
par fax à 11 heures 04 à chacune des parties, le tribunal
administratif informe de la requête déposée par Monsieur TEULE Laurent et
de l’audience qui a été fixée au 04 octobre 2012 à 15 heures 30.
·
Le tribunal administratif indique dans son
courrier que des conclusions écrites pouvaient être déposées.
·
Le tribunal administratif indique dans son
courrier que les pièces présentées par Monsieur TEULE Laurent sont communiquées
par courrier le même jour.
Sous la pression de Monsieur TEULE Laurent et de son
conseil, par faux et usage de faux, le Tribunal administratif après avoir
enregistré le dossier et après avoir convoqué les parties pour l’audience du 4
octobre 2012 à 15 heures 30.
La préfecture de la HG sous la seule argumentation fausse
de Monsieur TEULE Laurent et de son conseil, sans en apporter la moindre preuve
et ne pouvant en apporter, a annulé la décision du 24 septembre 2012.
·
Soit la Préfecture de la Haute Garonne a
agit par pression, par trafic d’influence de Monsieur TEULE et de son conseil
sans respecter la procédure devant être contradictoire et prévues pour son
audience du 4 octobre 2012 à 15 heures 30.
Que la préfecture de la haute Garonne a envoyé
immédiatement sa nouvelle décision du 1er octobre 2012 au greffe du
tribunal administratif juste après d’avoir été informé par ce dernier de son
audience du 4 octobre 2012 à 15 heures 30.
·
Agissement de la préfecture pour éviter un
contentieux devant le tribunal administratif à la demande de Monsieur TEULE
Laurent « ce dernier irrecevable en sa demande » Et
alors que l’affaire était audiencée au 4 octobre 2012, les parties appelées à
conclure.
Que la préfecture de la haute Garonne a pris une décision
sous une pression en date du 1 octobre 2012 sans vérifier les pièces apportées
par Monsieur TEULE Laurent, ce dernier ne pouvant être capable d’apporter un
quelconque titre de propriété valide.
·
Monsieur
TEULE Laurent agissant sur faux et usages de faux, par trafic d’influence sur
autorité publique.
Que ce nouveau élément de la préfecture a été produit par
le tribunal administratif de Toulouse à Monsieur LABORIE André et à domicile
élu de la SCP d’huissier de justice FERRAN par fax du 1er octobre
2012 à 12 heures 04.
En joignant à celle-ci un courrier indiquant l’annulation
de l’affaire en son rôle de l’audience du
4 octobre 2012 à 15 heures 30.
·
Que la décision irrégulière du 1er
octobre 2012, porte grief à Monsieur LABORIE André.
·
Que la décision du tribunal administratif
annulant la procédure porte grief à Monsieur LABORIE André.
Que dans le fax envoyé par le tribunal administratif de
Toulouse à 12 heures 04 était indiqué que dans le cas ou cette décision de la
préfecture appellerait des observations, il devait être produit en 3
exemplaires plus 2, des écrits et le plus rapidement possible.
Qu’au vu de tous ces éléments demandés par le tribunal
administratif, Monsieur LABORIE André a rédigé immédiatement des conclusions
responsives à celles de la Préfecture et celles de Monsieur TEULE Laurent,
produites par fax à chacune des parties ainsi qu’au tribunal administratif de
Toulouse en date du 1er octobre 2012 dont été joint son bordereau de
pièces et pièces justifiant de la propriété de Monsieur et Madame LABORIE,
Monsieur TEULE Laurent ne pouvant détenir un quelconque acte de propriété
valide.
Qu’au vu de tous ces éléments demandés par le tribunal
administratif de Toulouse, des conclusions complémentaires aux conclusions
responsives ont été aussi produites à chacune des parties et justifiées au
tribunal administratif de Toulouse le 2 octobre 2012 à 17 heures.
Que l’audience du 4 octobre 2012 à 15 heures 30 ne pouvait
être annulée ainsi que la communication des pièces dont Monsieur TEULE se
prévalait dans sa requête.
Que le tribunal administratif de Toulouse s’est fait abuser
par de fausses informations portées par Monsieur TEULE Laurent et par son
conseil : « une habitude de ces derniers »
Sur l’impossibilité d’un quelconque acte de propriété
au profit de Monsieur TEULE Laurent.
Qu’un procès verbal d'inscription
de faux intellectuels a été rédigé par un officier public du T.G.I de Toulouse
et contre différentes publications irrégulières effectuées à la conservation
des hypothèques de Toulouse, N° enregistrement N° 12/00029 au greffe du T.G.I
de Toulouse le 25 juillet 2012.
Que ce procès verbal concerne les actes notariés du 5 avril
2007 et 6 juin 2007, du 22 septembre 2009 obtenus par la fraude, par
escroquerie, abus de confiance.
Que tous actes ont été inscrits en faux en écritures
publiques, dénoncés par huissier de justice à Monsieur TEULE Laurent et qui à
ce jour essaye encore de s’en prévaloir frauduleusement devant le tribunal
administratif de Toulouse alors qu’il n’a jamais soulevé une quelconque
contestation dans les délais qui lui étaient impartis par la loi.
« Voir commandement de
quitter les lieux »
Que ces pièces ont été produites à la préfecture de la
Haute-Garonne pour faire application stricte de l’article 38 de la loi N°
2007-290 du 5 mars 2007. « Obligation »
·
Soit décision régulière du 24 septembre 2012
par la Préfecture de la HG.
Les titres de propriété de Monsieur TEULE Laurent. « ce dernier ne pouvant en
détenir au vu des différentes inscriptions de faux intellectuels et faux
en écritures publiques non contesté par ce dernier »
Que Monsieur LABORIE André est en
possession pour les intérêts de Monsieur et Madame LABORIE des différents actes
valides de propriété et des actes administratifs-judiciaires neutralisant les
actes de malveillances obtenus par Monsieur TEULE Laurent et comme expliqué
dans le commandement de quitter les lieux, ce dernier resté sans une quelconque
contestation de la part de Monsieur TEULE Laurent.
Soit les différents procès verbaux rédigés par officier public
du T.G.I de Toulouse, dénoncés à Monsieur TEULE Laurent par huissier de
justice, dénoncés au parquet, enregistrant
en faux intellectuels, en faux en écritures publiques tous les actes
malveillants obtenus par Monsieur TEULE Laurent directement ou indirectement
soit par escroquerie, abus de confiance, usant que Monsieur LABORIE était privé
de tous les droits de défense pendant une détention arbitraire et que Monsieur
et Madame LABORIE n’était même pas informée de ces actes, seulement découverts
en 2008 et suivant.
Toutes les pièces
produites dans le commandement de quitter les lieux signifié par huissier de
justice en date du 29 juin 2012 et
jamais contestées par Monsieur TEULE Laurent dans le délai qui lui était
imparti.
Soit les pièces suivantes :
Commandement de quitter les lieux du 29 juin 2012 et ses
pièces :
I / Acte de
propriété au profit de Monsieur et Madame LABORIE, acquisition d’un terrain
situé au N° 2 rue de la forge 31650 Saint Orens de Gameville, figurant au cadastre de la dite commune sous les
références section BT N) 60, pour une contenance de 7a 41ca, et pour l’avoir
acquise suivant acte de Maître DAGOT, Notaire à Toulouse, en date du 10 février
1982, publié le 16 février 1982 auprès du 3ème bureau des
hypothèques de Toulouse, volume 2037 N° 12.
II / Jugement d’adjudication rendu le 21 décembre
2006. « Nul de droit »
III / Action en résolution du jugement d’adjudication
pour fraude en date du 9 février 2007.
IV / Constat d’huissier de justice du 11 août 2011.
V / Procès verbal d’inscription de faux intellectuels
contre un jugement de subrogation rendu le 29 juin 2006 N0
enregistrement : 08/00026 au greffe du T.G.I de Toulouse le 08 juillet
2008.
VI / Procès verbal d’inscription de faux
intellectuels contre une ordonnance rendu le 1er juin 2007 N°
enregistrement : 08/00028 au greffe du T.G.I de Toulouse le 16 juillet
2008.
VII / Procès verbal d’inscription de faux
intellectuels contre deux actes notariés du 5 avril 2007 et du 6 juin 2007 N°
enregistrement : 08/00027 au greffe du T.G.I de Toulouse le 8 juillet
2008.
VIII / Procès verbal d’inscription de faux
intellectuels contre tous les actes effectués par la SCP GARRIGUES et BALUTEAUD
huissiers de justice N° enregistrement : 08/00029 au greffe du T.G.I de
Toulouse le 23 juillet 2008.
IX / Procès verbal d’inscription de faux
intellectuels contre un acte notariés du
22 septembre 2009 N° enregistrement : 22/2010 au greffe du T.G.I de
Toulouse le 9 août 2010
X / Procès verbal d’inscription de faux intellectuel
contre différentes ordonnances de référés en matière de mesures provisoires N°
enregistrement : 12/00020 au greffe du T.G.I de Toulouse le 2 mai 2012.
XI / Procès verbal d’inscription de faux intellectuel
dans différents dossiers et contre différents jugements rendus par le juge de
l’exécution N° enregistrement : 12/00023 au greffe du T.G.I de Toulouse le
30 mai 2012.
XII / Procès verbal d’inscription de faux
intellectuel contre plusieurs arrêt rendus par la cour d’appel de Toulouse. N°
enregistrement : 12/00022 au greffe du T.G.I de Toulouse le 30 mai 2012.
A fin d’en ignorer !!
Toutes les pièces concernant les
procès verbaux d’inscriptions de faux intellectuels sont consultables au
parquet de Toulouse en vous adressant à Monsieur le Procureur de la République,
saisi sur le fondement de l’article 40-2 du cpp
Les pièces produites à la réquisition de la force
publique dont décision du 24 septembre 2012.
I ) Du titre de propriété
de Monsieur et Madame LABORIE : Publication au fichier immobilier à la
conservation des hypothèques de Toulouse en son 3ème bureau « formalité en
date du 16 février 1982 » de la propriété de Monsieur et Madame LABORIE
aux références ci-dessus.
II ) Signification par
acte d’huissier de justice le 6 août 2012 ; au conservateur des
hypothèques de Toulouse, soit du Procès verbal N° 12/00029 enregistré au greffe
du T.G.I de Toulouse le 25 juillet 2012, enregistré au S.I.E de TOULOUSE NORD,
le tout enrôlé au T.G.I le 9 août 2012.
III ) Signification par
acte d’huissier de justice le 6 août 2012 à Monsieur le Procureur de la
République de Toulouse, soit du Procès verbal N° 12/00029 enregistré au greffe
du T.G.I de Toulouse le 25 juillet 2012, enregistré au S.I.E de TOULOUSE NORD,
le tout enrôlé au T.G.I le 9 août 2012.
IV ) Procès verbal
d'inscription de faux intellectuels rédigé par un officier public du T.G.I de
Toulouse et contre différentes publications irrégulières effectuées à la
conservation des hypothèques de Toulouse, N° enregistrement N° 12/00029 au
greffe du T.G.I de Toulouse le 25 juillet 2012
dont les actes notariés
inscrits en faux dénoncés à Monsieur TEULE Laurent, restés sans une quelconque
contestation et qui a ce jour essaye de s’en prévaloir frauduleusement devant
le tribunal administratif de Toulouse.
V ) Dénonciation à la
préfecture de la Haute Garonne en lettre recommandée le 2 juillet 2012, d’un
commandement de quitter les lieux signifié aux parties concernées,
signification faite par acte de mon Ministère le 29 juin 2012, resté sans
contestation des parties.
VI ) D’un procès verbal de
tentative d’expulsion fait par acte d’huissier de justice le 14 septembre 2012.
Qu’en conséquence :
·
Le
délit de flagrance de violation de domicile est caractérisé.
·
Le délit de flagrance d’usurpation d’adresse
est caractérisé.
·
Le délit de flagrance d’abus de confiance,
escroquerie est caractérisé.
·
Le délit de flagrance de trafic d’influence
est caractérisé.
·
Le délit de flagrance de recel de faux en
écriture publiques.
Je vous demande donc d’intervenir, enjoindre sur le fondement de
l’article 36 du cpp, à Monsieur le Procureur de la
République d’engager des poursuites à l’encontre de Monsieur TEULE Laurent
agissant en complicité de tiers.
Je vous demande encore une fois de faire cesser ce trouble à l’ordre
public dont nous sommes toujours victimes :
Que la décision de
la préfecture rendue le 24 septembre 2012 au vu de l’article 38 de la loi N°
2007-290 du 5 mars 2007. « Faisant obligation à la préfecture
d’ordonner l’expulsion immédiate de Monsieur TEULE Laurent et de tout autre
occupant » est régulière sur la forme et sur le fond.
Monsieur et Madame LABORIE sont toujours propriétaires.
Je reste à votre
disposition et à la disposition de toutes autorités pour fournir les pièces
justificatives que notre propriété est toujours établie bien qu’il existent des
actes de malveillances, ces derniers neutralisés par des inscriptions de faux
intellectuels, faux en écriture publiques, procés
verbaux enregistrés au T.G.I de Toulouse, dénoncés aux parties et à Monsieur le
Procureur de la République et pour permettre que soit soulevé des
contestations.
Qu’aucune contestation
n’a été soulevée de la part de Monsieur TEULE Laurent et
autres sur les différents actes portés à sa connaissance et concernant les
inscriptions de faux de ses actes notariés obtenus par faux et usage de faux.
Que le commandement de quitter les lieux du 29 juin 2012 lui aussi n’a jamais été contesté par
Monsieur TEULE Laurent, l’informant de toutes les pièces justificatives
pour le persuader que Monsieur et Madame LABORIE sont les réels propriétaires
de l’immeuble situé au N° 2 rue de la forge 31650 Saint Orens
et occupé par voie de fait encore à ce jour.
Dans cette attente, je vous prie de
croire, Monsieur le Procureur de la République, l’assurance de ma considération
distinguée.
V / DEMANDES
A Philipe
DUVAL-MOLINOS Juge d’Instruction. « JIRS de Lyon »
De recevoir ma plainte avec
constitution de partie civile contre X.
Dispenser Monsieur LABORIE André
de la consignation car je touche que le R.S.A ; « Situation qui est la conséquence des
agissements du parquet de Toulouse ».
Ouvrir une information contre Monsieur Amar BELACEL et ses complices par l’indivisibilité du
parquet de Toulouse.
Et sur les délit ou crimes en
bande organisée suivants.
I / Soit détention arbitraire :
·
Faits réprimés
par les articles : 432-4 ;
432-5 ; 432-6 du code pénal.
II / Soit corruption active et passive établie
« trafic d’influence » :
III / Mesures
destinées à faire échec à l'exécution de la loi :
IV / Complicité de
faux en écritures publiques et faux intellectuels.
Monsieur le juge, je reste à votre
disposition, à la disposition de la
justice et toutes autorités judiciaires pour vous apporter toutes preuves
utiles.
Dans cette attente, je vous prie de croire
Monsieur le juge, l’expression de ma parfaite considération.
Monsieur
LABORIE André.
Pièces :
Monsieur le Juge, vous trouverez toutes les pièces au parquet de Toulouse
qui sont soit disant entassées au bureau de Monsieur le Procureur de la
République et sans quelles soit ouvertes « Information verbale obtenue
par Monsieur VALET Michel agissant à la base par trafic d’influence de Monsieur Amar BELACEL et de ses complices.