LA MAFIA JUDICIAIRE TOULOUSAINE

 

SAISINE DE LA COMMISSION NATIONALE

DE DEONTOLOGIE DE LA SECURITE

 

Commission Nationale de Déontologie de la Sécurité
62, Boulevard de la Tour-Maubourg 75007 Paris

- Tél.: 01 53 59 72 72 - Fax : 01 53 59 72 73

 

REQUÊTE DEPOSEE LE 25 MARS 2010.

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COMPLEMENT DE REQUÊTE LE 4 AVRIL 2011

 

 

 

A LA DEMANDE DE :

 

 

Monsieur LABORIE André demandeur d’emploi né le 20 mai 1956 à Toulouse domicile au N°2 rue de la FORGE 31650 Saint ORENS de GAMEVILLE, de nationalité Française.

Mon site destiné à toutes les autorités judiciaires: http://www.lamafiajudiciaire.org, relatant toutes les voies de faits et les obstacles à l’accès à un juge par tous les moyens mis en œuvre.

 

 Tél : 06-14-29-21-74

 

PS :

 

« Actuellement le courrier est préservé,  transféré poste restante suite à la violation de notre domicile en date du 27 mars 2008 » domicile actuellement occupé par un tiers dont Monsieur le Procureur Michel VALET est saisi de plusieurs plaintes qu’il classe systématiquement sans suite dans le seul but de ne pas remettre en cause les initiatives irrégulières prises aux préjudices de Monsieur et Madame LABORIE.

 

Que la propriété de Monsieur et Madame LABORIE ainsi que leur domicile est revendiqué devant les autorités judiciaires sans que celles-ci veuillent intervenir pour faire cesser ce trouble à l’ordre public.

 

FAITS A L’ENCONTRE DE LA GENDARMERIE DE SAINT ORENS LIEU DE NOTRE  DOMICILE VIOLE.

 

Agissements de la gendarmerie de Saint Orens 31650 qui se refuse d’intervenir auprès des autorités compétentes, cautionnant des faits criminels portés à leur connaissance , contraires au code de la déontologie de la police nationale, de la gendarmerie et concernant des droits constitutionnels:

 

·        Garantir ma liberté individuelle :

 

·        Protéger nos biens situés au N° 2 rue de la Forge 31650 Saint Orens.

 

·        Accès à un juge article 6 de la CEDH

 

 

RAPPEL DES FAITS

 

 

Monsieur LABORIE André a fait l’objet d’une détention arbitraire du 14 février 2006 au 14 septembre 2007. ( ci-joint déroulement repris dans une demande d’indemnisation auprès du ministre de la justice ).

 

Que pendant cette détention arbitraire notre propriété a été détournée ( ci-joint plainte à Monsieur LEMOINE Doyen des juges d’instruction ). Ce dernier se refuse d’instruire.

 

Que pendant cette détention arbitraire, il a été organisé notre expulsion ( ci-joint plainte à Monsieur LEMOINE Doyen des juges d’instruction ). Ce dernier se refuse d’instruire

 

Qu’à ma sortie de prison, tous les obstacles à l’accès à un juge, plainte à la gendarmerie de Saint Orens le 13 mars 2008, au parquet, au Préfet, à différentes autorités qui n’ont daigné de prendre cette grave situation de trouble à l’ordre public. ( ci-joint saisine de la gendarmerie de Saint Orens)

 

Qu’en date du 27 mars 2008 nous avons été expulsés manu militari par la gendarmerie de saint Orens de notre propriété, de notre domicile alors que j’avais averti les autorités, la gendarmerie de Saint Orens 31650 d’une grave situation de détournement de notre propriété.

 

Que  juridiquement nous étions toujours propriétaires de celle-ci située au N° 2 rue de la forge 31650 Saint Orens,  bien que des actes de malveillances aient été accomplis par faux et usage de faux pendant ma détention arbitraire.

 

Nous avons été expulsés par la gendarmerie de Saint Orens à la demande de Madame D’ARAUJO épouse BABILE alors que cette dernière ne pouvait être propriétaire dans tous les actes quelle a mis en place, usant et abusant que Monsieur LABORIE soit incarcéré et sans aucun moyen de défense. ( ci-joint dernière plainte au doyen des juges d’instruction en date du 7 février 2010 «  dont ce dernier se refuse d’instruire)

 

Violation de notre domicile en date du 27 mars 2008, vol de tous nos meubles et objets à la sortie de prison : expulsion de notre propriété, à ce jour sans domicile fixe chez des amis

 

·        Que nous sommes en mars 2010, toutes les autorités se refusent d’intervenir, aucun magistrat saisi en forme de droit ne veut statuer sur ces affaires dont ils sont à l’origine et dont actes effectués pendant ma détention arbitraire du 14 février 2006 au 14 septembre 2007.

 

Le tout sous couvert du parquet de Toulouse et de nombreux Magistrats, à l’aide de la force publique «  de la gendarmerie de Saint Orens » dans le seul but que ce crime effectué à mon encontre et à l’encontre des intérêts de Monsieur et Madame LABORIE de notre famille ne soit pas porté et tranché devant un tribunal, dans le seul but que ne soit sanctionné les auteurs ayant agi en complot.

 

Faits reprochés de la non assistance de Monsieur LABORIE et Madame LABORIE sur des faits graves dénoncés à la brigade de gendarmerie de Saint Orens, ces derniers ayant agi en complicité de leur supérieurs hiérarchiques contrairement au code de la déontologie de la police nationale, dans un temps non prescrit par la loi, en violation de la convention européenne des droits de l’homme et du droit constitutionnel.

 

 

LES DERNIERS AGISSEMENTS DE LA GENDARMERIE DE SAINT ORENS

 

 

Procédure faite par la gendarmerie de Saint Orens à la demande de Monsieur SOUBELET Renaud Procureur Adjoint de Monsieur le Procureur de la République VALET Michel.

 

Au vu des pièces communiquées par le parquet de Toulouse en date du 17 mars 2010.

 

 

Monsieur LABORIE André a été poursuivi en date du 1er mars 2010 pour outrage à Magistrat alors qu’il ne peut exister un quelconque Outrage, permettant de ce fait d’ouvrir une information par la gendarmerie de Saint Orens et pour continuer à porter préjudices aux intérêts de Monsieur LABORIE André et aux intérêts de Monsieur et Madame LABORIE car Monsieur LABORIE est seul à gérer les différents dossiers devant les tribunaux, par le refus systématique de l’aide juridictionnelle pour obtenir un avocat.

 

Monsieur LABORIE André séparé de fait de Madame LABORIE depuis 2001, demandeur d’emploi, au RMI, sans domicile fixe et hébergé chez une amie.

 

Agissements de la gendarmerie de Saint Orens et sous le couvert de Monsieur SOUBELET Renaud Procureur adjoint de Monsieur le Procureur de la République Michel VALET,  dans le seul but de faire obstacles aux différents procès en cours.

 

Les officiers de polices judiciaires à la Gendarmerie de Saint Orens :

 

En son officier de police judiciaire Madame le MDL Chef MAIZAIRA Christelle à la brigade de Saint Orens. 31650.

 

Assisté de Monsieur HARDY Jean Luc agent de police judiciaire à la brigade de Saint Orens 31650.

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Rappel du  code de déontologie de la Police Nationale

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Décret N° 86.592 du 18 mars 1986

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Titre Préliminaire

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Article 1 : La police nationale concourt, sur l'ensemble du territoire, à la garantie des libertés et à la défense des institutions de la République, au maintien de la paix et de l'ordre public et à la protection des personnes et des biens.

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Article 2 : La police nationale s'acquitte de ses missions dans le respect de la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen, de la Constitution, des conventions internationales et des lois.

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Article 3 : La police nationale est ouverte à tout citoyen français satisfaisant aux conditions fixées par les lois et règlements.

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Article 4 : La police nationale est organisée hiérarchiquement. Sous réserve des règles posées par le code de procédure pénale en ce qui concerne les missions de police judiciaire, elle est placée sous l'autorité du ministre de l'Intérieur.

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Article 5 : Le présent code de déontologie s'applique aux fonctionnaires de la Police Nationale et aux personnes légalement appelées à participer à ses missions.

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Article 6 : Tout manquement aux devoirs définis par le présent code expose son auteur à une sanction disciplinaire, sans préjudice, le cas échéant, des peines prévues par la loi pénale.

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Titre 1er : Devoirs Généraux des fonctionnaires de la Police Nationale

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Article 7 : Le fonctionnaire de la Police Nationale est loyal envers les institutions républicaines. Il est intègre et impartial ; il ne se départit de sa dignité en aucune circonstance. Placé au service du public, le fonctionnaire de police se comporte envers celui-ci d'une manière exemplaire. Il a le respect absolu des personnes, quelles que soient leur nationalité ou leur origine, leur condition sociale ou leurs convictions politiques, religieuses ou philosophiques.

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Article 8 : Le fonctionnaire de la Police Nationale est tenu, même lorsqu'il n'est pas en service, d'intervenir de sa propre initiative pour porter assistance à toute personne en danger, pour prévenir ou réprimer tout acte de nature à troubler l'ordre public et protéger l'individu et la collectivité contre les atteintes aux personnes et aux biens.

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Article 9 : Lorsqu'il est autorisé par la loi à utiliser la force et, en particulier, à se servir de ses armes, le fonctionnaire de police ne peut en faire qu'un usage strictement nécessaire et proportionné au but à atteindre.

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Article 10 : Toute personne appréhendée est placée sous la responsabilité et la protection de la police ; elle ne doit subir, de la part des fonctionnaires de police ou de tiers, aucune violence ni aucun traitement inhumain ou dégradant.

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Le fonctionnaire de police qui serait témoin d'agissements prohibés par le présent article engage sa responsabilité disciplinaire s'il n'entreprend rien pour les faire cesser ou s'il néglige de les porter à la connaissance de l'autorité compétente.

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Le fonctionnaire de police ayant la garde d'une personne dont l'état nécessite des soins spéciaux doit faire appel au personnel médical et, le cas échéant, prendre des mesures pour protéger la vie et la santé de cette personne.

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Article 11 : Les fonctionnaires de police peuvent s'exprimer librement dans les limites résultant de l'obligation de réserve à laquelle ils sont tenus et des règles relatives à la discrétion et au secret

 

 

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LE PROCES VERBAL DE SYNTHESE DE LA PROCEDURE ENGAGEE A L’ENCONTRE DE MONSIEUR LABORIE ANDRE

 

 

I / Procés verbal de Synthèse :

 

Qu’un  procès verbal de synthèse a été effectué le 2 mars 2010 à 17 heures par la MDL MAZAIRA Christelle officier de police judiciaire «  nous trouvant au bureau de notre unité à Saint Orens » :

Observations :

 

Faux  en écriture publique, à cette heure là nous n’étions pas encore rentré du tribunal, comparution devant Monsieur SOUBELET Renaud.

 

a)    Il reprend les circonstances de la saisine de la gendarmerie : soit le soit transmis du 6 novembre 2009 N° 09/96366 903 PG 09 émanant du parquet de toulouse.

 

Observations :

 

·        Ce dernier n’a toujours pas été communiqué à Monsieur LABORIE André

 

Que ce soit transmis reprenait des propos soit disant outrageants, qui figurent sur un site Internet :

 

 Alors qu’il ne peut exister d’un quelconque outrage sur des faits réels «  criminels dont Magistrats et auxiliaires de justices sont impliqués avec preuves à l’appui et concernant des actes juridictionnels rendus public et informations portées à la connaissance des autorités judiciaires par cette voie de droit. ( les dossiers papiers n’étant pas ouverts).

 

Ce site a été effectué depuis décembre 2007 destiné seulement aux autorités judiciaires sur les différentes procédures dont sont victimes Monsieur et Madame LABORIE et sous la seule responsabilité et son auteur Monsieur LABORIE André.

 

Rappelant que toute reproduction est interdite, indiqué dans le site sous peine de poursuites judiciaires.

 

Que les faits reprochés sont dans le simple but d’étouffer les affaires criminelles dont sont victimes Monsieur et Madame LABORIE et portés à la connaissance de la juridiction Toulousaine.

 

b) Que ce procès verbal de synthèse expose les faits reprochés :

                                                                                

·        Que la rédaction est irrégulière, se contente de dire : Mécontent d’une décision de justice ayant abouti à une saisie immobilière.

 

L’interprétation que l’on en fait : encore un mécontent ; au panier !!!

 

Observations :

 

Que cette rhétorique des faits constitue un faux intellectuel dans sa rédaction car les faits « je précise si la poursuite était régulière »  les écrits doivent être exposés de la manière suivante :

 

Aurait du être repris la vraie situation juridique :

 

Que Monsieur LABORIE André était incarcéré du 14 février 2006 au 14 septembre 2007, qu’il considère au vu des éléments juridiques apportés au autorités que sa détention est bien arbitraire, condamné à 19 mois de prison sans une condamnation définitives, les voies de recours ne sont toujours pas entendues.

 

Que pendant cette incarcération la propriété de Monsieur et Madame LABORIE a été détournée par une procédure de saisie immobilière irrégulière en violation de tous ses droits de citoyen suivi de graves conséquences : expulsion et autres.

 

Monsieur LABORIE Fait valoir  la violation de toutes les règles de droit dans ces procédures dont ils sont victimes.

 

Qu’au vu des différents obstacles à l’accès à un tribunal pour qu’un juge soit saisi, il dénonce le parquet de Toulouse de ses refus systématique à faire cesser ce trouble à l’ordre public ou ils sont victimes, indiquant Monsieur LABORIE André sur sont site les différents obstacles rencontrés justifiés par des décisions judiciaires rendues publiques destinées au ministère de la justice.

 

c) Sur l’enquête :

 

 

·        La MDL MAZAIRA Christelle officier de police judiciaire à Saint Orens explique le déroulement de l’enquête dont elle a été saisie.

 

Observations :

 

Qu’il est stupide et coûteuse cette procédure pour notre société alors que Monsieur LABORIE n’a jamais eu l’intention de se soustraire à la gendarmerie, à la justice, il s’y trouve chaque semaine devant le T.G.I de Toulouse ou la cour d’appel, que ne pouvait être applicable l’article 78 du cpp. ( l’excès de pouvoir est caractérisé).

 

Que la saisine de la gendarmerie par le parquet de Toulouse représenté par SOUBELET Renaud est abusif dans le seul but de causer préjudices à Monsieur LABORIE André pour des faits calomnieux portés à sa connaissance par Monsieur CAVE et Madame PUISSEGUR et autres.

 

Agissements dans le seul but de faire obstacle à leur procès pénal  diligenté par Monsieur LABORIE André, par acte de citation par voie d’action signifié par huissier de justice le 27 septembre 2009 « Mettant de ce fait l’action publique en mouvement équivalent à un réquisitoire de Monsieur le Procureur de la République ».

 

Ces derniers sont poursuivis sur des délits «  peine criminelle » dont les preuves matérielles et intellectuelles ont été apportées en date du 1er décembre 2009 au parquet de Toulouse et pour son audience fixée par ce dernier au 16 décembre 2009 par devant le T.G.I de Toulouse et pour avoir détourné la propriété de Monsieur et Madame LABORIE par faux et usage de faux, par corruption active et passive et avoir détourné pour le compte de tiers par concussion de forte sommes d’argent avec preuves à l’appui.

 

Que la gendarmerie a méconnue en son MDL MAZAIRA Christelle officier de police judiciaire à Saint Orens l’application de l’article 41 de la loi du 29 juillet 1881 indiquant qu’il ne peut être poursuivi pour outrage, diffamation injure ; un écrit ou un acte juridictionnel produit à un tribunal.

 

Que nous sommes dans ce cas ou un acte juridictionnel a été produit à un tribunal pour que le procès soit effectué contre Monsieur CAVE et Madame PUISSEGUR et pour avoir sciemment détourné la propriété de Monsieur et Madame LABORIE avec toutes les preuves à l’appui en violation de toutes les règles de droit. ( voir citation correctionnelle)

 

Que les éléments reprochés dans ce procès verbal de synthèse, « ce dernier constitutif de faux intellectuel par autorité publique » est passible de sanction pénale effectué à la demande du parquet de Toulouse pour couvrir la procédure de renvoi devant le tribunal correctionnel à la demande de son instigateur Monsieur SOUBELET Renaud et alors qu’il ne peut exister d’outrage par l’application stricte de l’article 41 de la loi du 29 juillet 1881.

 

Qu’au vu de ce procès verbal de synthèse constitutif de faux intellectuel et pour le besoin de la cause, reprend bien l’animosité et la volonté de faire obstacle au procès de Monsieur CAVE et de Madame PUISSEGUR et aux autres procès en cours civils concernant le détournement de notre propriété et de la violation de notre domicile en date du 27 mars 2008 et autres, et pour avoir demandé à la demande de Monsieur SOUBELET Renaud  à un médecin psychiatre Docteur ARBUS Christophe de décrire avec précision l’altération des facultés de Monsieur LABORIE André, dans le seul but par de fausses allégations obtenir un examen en sa faveur pour faire mettre sous tutelle Monsieur LABORIE André dans le seul but de ne pouvoir plus agir en justice dans ses intérêts et dans les intérêts de la communauté légale, et surtout aussi pour faire obstacle aux procès de Monsieur CAVE et de Madame PUISSEGUR dont les peines pour les quelles  ils doivent être reconnus coupables, ce sont des peines criminelles dans l’exercice de leurs fonctions.

 

d) Sur la clôture du procès verbal rédigé le 2 mars 2010 à 17 heures en son MDL MAZAIRA Christelle officier de police judiciaire à Saint Orens.

 

Elle indique que les infractions d’outrage à Magistrat ou juré par gestes ou menaces à l’audience ont été commises et peuvent être retenues alors que celle-ci sait qu’il ne peut exister un quelconque outrage :

 

Ces termes inexacts sont constitutifs de faux en écritures publique.

 

Observation :

 

·        Il y absence d’audience, de geste ou menace à un magistrat ou juré.

 

La preuve, Monsieur LABORIE André est renvoyé à tord par Monsieur SOUBELET Renaud Procureur adjoint de la République et par dénonciation calomnieuse de Monsieur CAVE et de Madame PUISSEGUR ;  devant le tribunal correctionnel sur des faits d’outrage qui ne peuvent exister et pour avoir fait signifier un acte judiciaire saisissant le tribunal par citation par voie d’action signifiée aux parties de Monsieur CAVE et Madame PUISSEGUR poursuivant des délits bien précis, caractérisés juridiquement dans la citation et justifié par son bordereau de pièces produit devant le tribunal en son audience du 16 décembre 2009.

 

·        Monsieur SOUBELET et la MDL MAIZAIRA ont volontairement ignoré l’article 41 de la loi du 29 juillet 1881.

 

Et dans le but de saisir un tribunal à l’encontre de Monsieur LABORIE et pour justifier pour le besoin de la cause de la procédure d’enquête inutile portant préjudice à Monsieur LABORIE André dans son déroulement et atteinte à la vie privée de son amie, cette dernière extérieure à la procédure, créant depuis conflit entre nous.

 

Que ce procès verbal de synthèse ne reprend même pas la plainte qui a été déposée à l’encontre de Monsieur CAVE Michel, Monsieur SOUBELET Renaud et Monsieur VALET Michel, pièce importante de la procédure et sur le fondement de l’article 15-3 du code de procédure pénale.

 

Qu’en aucun moment dans la procédure il n’a été question de Madame PUISSEGUR Marie Claude, et que le renvoi devant le tribunal correctionnel concerne celle-ci.

 

Que cette plainte doit être portée aux autorités dans ce procès verbal de synthèse pour droit de réponse et enquête auprès de ceux impliqués.

 

Rien ne laisse permettre que Monsieur CAVE Michel et Madame PUISSEGUR ont été outragé car ils sont que responsables pénalement des délits qu’ils ont commis aux préjudices de Monsieur et Madame LABORIE pour les faits seulement poursuivis par Monsieur LABORIE André. 

 

Que les agissements de la MDL MAIZAIRA d’avoir auto forgé un procès verbal de synthèse seulement à la volonté de Monsieur SOUBELET à 17 heure le 2 mars 2010 est pour le besoin de la cause de renvoi devant le tribunal correctionnel de Monsieur LABORIE alors qu’il ne peut exister une quelconque  cause réelle de délit d’outrage doit être sanctionné pour le non respect des règles d’enquête auprès des services concernés sur le fondement de l’article 15-2 du cpp et pour le non respect de son article 15-3 et suivants.

 

Que la clôture de l’enquête effectuée par la MDL MAIZAIRA officier de police judiciaire doit intervenir antérieurement à la comparution devant le procureur de la république et au renvoi devant le tribunal correctionnel et non après ; en rédigent ce dernier à la demande des propos du procureur.

 

Agissement tout en sachant qu’il ne peut exister un quelconque outrage.

 

Que le  procès verbal de synthèse effectué par la MDL MAIZAIRA officier de police judiciaire est inscrit en faux en écriture publique, ne relatant pas l’exactitude de la vraie situation juridique dont est victime Monsieur et Madame LABORIE des agissements de Monsieur CAVE Michel et de Madame PUISSEGUR Marie Claude.

 

La procédure effectuée est viciée d’un élément substantiel de procédure par son procès verbal de synthèse effectué par la gendarmerie de Saint Orens en son officier de police judiciaire la MDL MAIZAIRA et postérieurement au renvoi devant le tribunal correctionnel.

 

Que le renvoi en correctionnel de Monsieur LABORIE André par son procès verbal d’interpellation remis par Monsieur le Procureur adjoint de la République SOUBELET Renaud et pour son audience du 17 mars 2010 est entaché de nullité, le procès verbal de synthèse de l’enquête demandé à la gendarmerie de Saint Orens n’étant pas clôturé devant la comparution devant Monsieur SOUBELET.

 

Que d’autant plus les chefs d’accusations qui renvoi Monsieur LABORIE en audience correctionnelle du 17 mars 2010 sont contraires et extérieurs au motifs de l’enquête primaire dont a été saisi la gendarmerie de Saint Orens en date du 6 novembre 2009.

 

Les faits poursuivis à l’encontre de Monsieur LABORIE et renvoi en audience correctionnelle sont pour avoir fait délivrer un acte judiciaires à l’encontre de CAVE Michel et de Madame PUISSEGUR cette dernière n’ayant fait aucun objet de contestation au cours de l’enquête d’une quelconque manifestation à l’encontre de Monsieur LABORIE André et dont aucune audition des faits poursuivis concernant Madame PUISSEGUR, seulement agissements de ses derniers par production d’une pièce seulement communiquées le 17 mars 2010 et non soumise à l’enquête de gendarmerie et à un quelconque débat contradictoire.

 

Que l’acte de renvoi devant le tribunal correctionnel à la demande de Monsieur SOUBELET Renaud en sortant d’une garde à vue sur des faits de poursuites extérieurs à l’enquête diligentée est irrégulier sur la forme et sur le fond, procédure entachée d’un vice de procédure substantiel. «  D’ordre public », encore plus par son article 41 de la loi du 29 juillet 1881, indiquant qu’il ne peut exister un quelconque Outrage et de poursuite pour un acte judiciaire porté à la connaissance du tribunal et par respect des parties au contradictoire par la délivrance du dit acte en date du 27 septembre 2009 effectué par un huissier de justice exerçant dans le cadre de ses fonctions.

 

Qu’au vu des éléments de l’enquête la garde à vu n’était pas nécessaire car aucun délit ne pouvait être constitué et qu’au surplus, Monsieur LABORIE André ne s’est jamais refusé de se présenter à une autorité judiciaire, l’article 78 du cpp n’était pas utile d’être appliqué, sauf pour un excès de pouvoir.

 

Que la gendarmerie en son officier de police judiciaire Madame MAZAIRA Christelle a usé de son pouvoir en son application de l’article 78 du cpp.

 

Qu’en conséquence sans un acte régulièrement effectué de renvoi devant le tribunal correctionnel et sans justifier de faits poursuivis débattu contradictoirement au cours de l’enquête diligenté, le tribunal ne peut être saisi.

 

Que le faux en écriture publique et caractérisé, en son procès verbal de synthèse indiquant en sa clôture que conformément aux instructions de Monsieur SOUBELET Renaud adjoint au procureur de la République Prés le tribunal de grande instance de Toulouse, l’intéressé a été mis en route le 02 mars 2010 à 13 heures 30 pour être conduit devant ce magistrat auquel nous faisons parvenir la présente procédure constituée en double exemplaire tel que le détail en figure au bordereau d’envoi.

 

Faux en écriture publique par officier de police judiciaire alors que le procès verbal de synthèse à été effectuer le 2 mars 2010 à 17 heures et que nous n’étions toujours pas rentré de chez le procureur de la république au T.G.I de Toulouse

 

Que les agissements de Monsieur SOUBELET et des agissements de la gendarmerie de Saint Orens représenté en son officier la MDL MAIZAIRA doit être sanctionnés, ayant effectué un procès verbal de synthèse entre leurs accords et pour le besoin de la procédure.

 

Ces agissements de la gendarmerie de Saint Orens récidivent sur les mêmes agissements en date du 13 février 2006 à la demande du parquet dans le sul but de faire mettre Monsieur LABORIE André en prison, et sur des faits qui ont été poursuivis qui ne pouvaient exister «  détention arbitraire voir demande d’indemnisation à Madame la Ministre de la justice qui reprend le déroulement de toute la procédure.

 

Ces agissements de la gendarmerie de Saint Orens sont identiques sans impartialité, contraire au code de déontologie de la police agissants en date du 27 mars 2008 à notre domicile, en notre propriété par faux et usage de faux éléments dans le seuls but de déférer aux demandes de la préfectures de la HG, cette dernière s’étant faite abusée par tout un maillon de la chaîne judiciaire qui ont participé au détournement de notre propriété, violation de notre domicile par préméditation usant de l’incarcération de Monsieur LABORIE André du 13 février 2006 au 14 septembre 2007 pour obtenir des décisions judiciaires par faux et usage de faux.

 

Que la gendarmerie de Saint Orens était mise au courrant de cette difficulté par lettre recommandée du 13 mars 2008 et demandant leur intervention auprès des autorités pour faire arrêter toutes procédures d’expulsion et faire cesser ce trouble à l’ordre public.

 

Que la gendarmerie n’a pas déféré aux demandes de Monsieur LABORIE André volontairement pour protéger la propriété de Monsieur et Madame LABORIE , leur domicile.

 

Aucune enquête n’a été diligentée par la gendarmerie de Saint Orens.

 

Agissements de la gendarmerie de Saint Orens contraires à la constitution, contraires à la convention de la cour européenne des droits de l’homme, contraires au code de la déontologie de la police nationale et de la gendarmerie.

 

Sur le bordereau de pièces fourni par la gendarmerie

 

Que dans le dossier il est fourni un Bordereau de pièces par la gendarmerie de Saint Orens au parquet de Toulouse.

 

Ce bordereau de pièces indique l’origine des poursuites et de la saisine de la gendarmerie de Saint Orens, à savoir :

 

·        Un soit transmis N° 09/96366 903 PG 09 du 06/11/2009 et provenant de Monsieur VALET Procureur de la République de Toulouse 31.

 

·        Que cette pièce saisissant de la procédure la gendarmerie de Saint Orens est manquante au dossier de pièces fournies le 17 mars 2010, non portée à la connaissance de Monsieur LABORIE André.

 

Ce bordereau de pièces indique les poursuites : OUTRAGE A MAGISTRAT OU JURE PAR GESTE OU MENACE A L’AUDIENCE ; OUTRAGE A UNE PERSONNE DEPOSITAIRE D L’AUTORITE PUBLIQUE.

 

Observations :

 

·        Faux et usage de faux dans sa rédaction : il ne peut exister un quelconque élément matériel et intellectuel d’outrage, fait imaginaire dans le seul but qu’une enquête soit ouverte pour savoir chez quelle personne Monsieur LABORIE André est hébergé. ( article 41 de la loi du 29 juillet 1881).

 

 

Les pièces de ce bordereau sont les suivantes :

 

 

Sur les différents procès verbaux établis par

la MDL MAIZAIRA officier de police judiciaire.

 

 

Enquête préliminaire : réquisition judiciaire le 12 novembre 2009 à 14 heures 35.

 

Madame la MDL Chef MAIZAIRAT Christelle officier de police judiciaire indique qu’elle a agit sous autorisation de Monsieur SOUBELET Renaud Procureur de la République adjoint et requiert Madame BORIES Murielle responsable du CCAS, 2 rue des chasselas à Saint Orens 31650 et pour la mission suivante :

 

Que Madame la MDL Chef MAIZAIRAT Christelle n’apporte aucune réquisition écrite de Monsieur SOUBELET Renaud :

 

·        Ou est la réquisition de SOUBELET ?

 

Fournir tous les renseignements de Monsieur LABORIE André titulaire d’une poste restante en ses locaux.

 

Que SOUBELET et MAIZAIRAT Christelle font pression sur Madame BORIES pour lui soustraire des informations et porter préjudices à Monsieur LABORIE André alors qu’ils savent pertinemment car ce sont les auteurs de notre expulsion par la violation de notre domicile en date du 27 mars 2008 et que pour préserver la correspondance un transfert de courrier a été réalisé à la PR de Saint Orens et pour certains actes du CG au CCAS de Saint Orens.

 

Que SOUBELET et MAIZAIRAT étaient bien au courrant de cette situation déjà porté à leur connaissance dans tous les actes de procédures.

 

·        Plainte déposée le 14 octobre 2009 et avant : à Monsieur VALET Michel sur la violation de notre domicile depuis le 27 mars 2008 et occupé par un tiers sans droit ni titre et porté à la connaissance de la gendarmerie de Saint Orens par fax.

 

Enquête préliminaire : Procès verbal d’investigation  le 12 novembre 2009 à 16 heures.

 

Madame la MDL Chef MAIZAIRAT Christelle prend connaissance de quelques informations auprès de Madame BORIES et le N° de Téléphone de Monsieur LABORIE André soit le 06-14-29-21-74.

 

De quel droit Madame la MDL Chef MAIZAIRAT Christelle peut elle rentrer dans la vie privée de Monsieur LABORIE André.

 

Que ce N° de Tél est connu de toutes les autorités judiciaires mis dans tous les actes et dont la gendarmerie de saint Orens en était informée par les différents fax, plaintes déposées et qui se sont systématiquement refuser d’enregistrer et d’instruire en enquête préliminaire sur le fondement de l’article 15-3 du cpp.

 

Madame la MDL Chef MAIZAIRAT Christelle demande à Madame BORIE de contacter la gendarmerie quand Monsieur LABORIE arrive, de quel droit.

 

Enquête préliminaire : Procès verbal d’investigation  le 12 novembre 2009 à 17 heures 15.

 

 

Madame la MDL Chef MAIZAIRAT Christelle indique avoir contacté Monsieur SOUBELET des informations relevées auprès de Madame BORIES Murielle.

 

Qu’au vu du procès verbal, Monsieur SOUBELET aurait indiqué : Dans un premier temps, suivre Monsieur LABORIE dés sa prochaine sortie du CCAS et dans le but de découvrir l’adresse actuelle :

 

Indiquant : Ne pas interpeller Monsieur LABORIE dans l’immédiat, la priorité étant de le localiser.

 

Un délai supplémentaire d’exécution nous est donné à savoir 3 mois.

 

Prendre attache avec lui une fois cette mission accomplie.

 

Que Madame la MDL Chef MAIZAIRAT Christelle n’apporte aucune réquisition écrite de Monsieur SOUBELET Renaud , lui permettant d’agir par excès de pouvoir.

 

Observations

 

·        Grave situation, Monsieur LABORIE André est chaque semaine devant le tribunal ou la cour d’appel de Toulouse et que si le parquet aurait voulu l’adresse de la personne qui m’héberge dans l’attente de retrouver le domicile au N° 2 rue de la forge, il n’y aurait eu aucun obstacle dans la mesure et pour ma sécurité, la vie privée de cette personne à préserver, serait restée confidentielle et ne pas  la communiquer pour ne pas continuer à porter préjudices à Monsieur LABORIE et surtout à la personne qui l’héberge.

 

·        Que  Monsieur LABORIE n’a pas son propre domicile chez la personne qui l’héberge provisoirement suite à la violation de leur domicile au N°2 rue de la Forge 31650 Saint Orens, adresse ou le parquet a envoyé toutes les pièces de la procédure reçues le 17 mars 2010.

 

·        Ou est la réquisition de SOUBELET ?

 

 

Enquête préliminaire : Procès verbal d’investigation  le 17 novembre 2009 à 16 heures 15.

 

 

Madame la MDL Chef MAIZAIRAT Christelle après avoir été avertie par Madame BORRIES en date du 13 novembre 2009 du passage de Monsieur LABORIE André au CCAS de Saint Orens.

 

A ordonné de monter un dispositif dés 9 heures du matin autour du CCAS.

 

Que Madame la MDL Chef MAIZAIRAT Christelle n’apporte aucune réquisition écrite de Monsieur SOUBELET Renaud  pour agir ainsi, ce qui porte atteinte à la vie privée de Monsieur LABORIE André à la notoriété auprès de ce service.

 

Indiquant :

 

Monsieur LABORIE arrive à 10 heures 50, connu de notre unité,  il est passager du véhicule Peugeot, il est déposé sur le parking, il sort du véhicule, il se dirige dans les locaux du CCAS, la conductrice fait demi tour et s’arrête dans le sens de la marche, le moteur reste allumé, après une vingtaine de secondes Monsieur LABORIE sort des locaux du CCAS  son courrier à la main, il rentre dans le véhicule toujours côté passager, le véhicule quitte les lieux par l’endroit ou il est arrivé c'est-à-dire rue des sports, ensuite il se dirige dans la zone industrielle de la dite commune, le véhicule et ses occupants resterons sur cette zone durant toute la matinée, à chaque fois la conductrice attendra dans le véhicule et se stationnera  sur le parking du service ou Monsieur LABORIE se rendra à savoir :

 

·        L’agence postale

·        Cabinet médical

·        Magasin Castorama

·        Restaurant les haricots repas de 12 heures 30 à 13 heures 30.

·        Ils se rendent au centre commercial de Labège à la FNAC et puis ils partent définitivement direction AUCH, ils traversent la commune de léguevin.

·        Il est 16 heures nous terminons notre mission.

 

Il mentionne que la note du restaurant et la consultation médecin ont été payé en liquide, aucun achat n’a été fait à Castorama et à la FNAC.

 

Madame la MDL Chef MAIZAIRAT Christelle indique la tenue vestimentaire de Monsieur LABORIE et de son amie.

 

Madame la MDL Chef MAIZAIRAT Christelle pour invoquer ses dires, elle a du demander :

 

·        Au restaurateur comment les repas ont été payés,

·        Au médecin

·        A Castorama.

·        A la FNAC.

 

Observations : Mais  sous quelle réquisition écrite ?

 

Que Madame la MDL Chef MAIZAIRAT Christelle n’apporte aucune réquisition écrite de Monsieur SOUBELET Renaud :

 

·        L’atteinte à la vie privée et à la dignité de Monsieur LABORIE André est caractérisée ainsi qu’à l’encontre de son amie qui l’héberge et qui lui rend services.

 

Que ce procès verbal fait et clos le 2 novembre 2009 à 17 heures 15 est irrégulier entaché de nullité.

 

Ce procès verbal constitue un faux en écriture publique pour les raisons suivantes :

 

·        Il est rédigé en date du 17 novembre 2009 à 16 heures 15.

 

·        Il est clôturé en date du 12 novembre 2009 à 17 heures 15

 

·        Et pour un dispositif mi en place en date du 17 novembre 2009 et filature jusqu’à 16 heures route de Léguevin portant atteinte à la vie privée de chacun de nous.

 

 

 

Enquête préliminaire : Procès verbal d’investigation  le 17 novembre 2009 à 17 heures 30.

 

 

Madame la MDL Chef MAIZAIRAT Christelle fait la vérification du véhicule dont est monté Monsieur LABORIE, et retrouve l’adresse du propriétaire et son nom, indiquant que le véhicule n’a pas été volé et qu’il appartient bien à son propriétaire.

 

Indiquant aussi que son propriétaire n’était pas connu des services judiciaires, de gendarmerie et de police.

 

Enquête préliminaire : Procès verbal d’investigation  le 19 novembre 2009 à 16 heures 30.

 

Madame la MDL Chef MAIZAIRAT Christelle, prend attache avec Monsieur SOUBELET et au vu des nouveaux éléments donne les instructions suivantes :

 

·        Interpeller Monsieur LABORIE lors de son prochain passage au CCAS de Saint Orens.

 

·        Le placer immédiatement en garde à vue et l’amener jusqu’à notre unité afin qu’il s’explique sur la teneur de ses propos à l’encontre de Monsieur CAVE et de Madame PUISSEGUR.

 

·        Aucune perquisition n’est pour l’instant envisagée, Celle-ci peut être envisagée en fonction des éléments fournis par Monsieur LABORIE.

 

·        Elle indique d’informer Monsieur SOUBELET en cas d’éléments nouveaux ou de difficultés rencontrée.

 

·        Ou est la réquisition écrite de SOUBELET ?

 

Que Madame la MDL Chef MAIZAIRAT Christelle n’apporte aucune réquisition écrite de Monsieur SOUBELET Renaud :

 

Observations :

 

Qu’il est rappelé que le tribunal correctionnel est saisi d’une citation par voie d’action délivrée aux parties par huissier de justice en date du 27 septembre 2009 et pour des faits graves poursuivis par acte judiciaire à l’encontre de Monsieur CAVE Michel et de Madame PUISSEGUR Marie Claude et concernant le détournement de la propriété de Monsieur et Madame LABORIE.

 

Rappelant qu’il ne peut exister aucune diffamation, injure, outrage dans un écrit fourni à la justice, en l’espèce un acte juridictionnel saisissant le tribunal : article 41 de la loi du 29 juillet 1881.

 

Enquête préliminaire : Procès verbal d’investigation  le 2 décembre 2009 à 9 heures 45.

 

Madame la MDL Chef MAIZAIRAT Christelle, indique qu’elle a reçu un appel de SOUBELET en date du 1er décembre 2009 pour faire le point sur le dossier LABORIE.

 

PS :

 

Qu’il est rappelé par Monsieur LABORIE André que cet appel téléphonique est suite à ma présence au parquet de Toulouse et pour avoir remis l’entier dossier, en son bordereau de pièces et pièces concernant le procès effectué à l’encontre de Monsieur CAVE Michel et Madame PUISSEGUR, appel suite à l’agression verbale de Monsieur Michel VALET procureur de la République comme quoi il engagerait des représailles à mon encontre.

 

·        Aussitôt dit aussitôt fait.

 

Au vu des nouveaux éléments portés à la connaissance de Monsieur SOUBELET Renaud, ce dernier donne les instructions suivantes :

 

·        Convoquer Monsieur LABORIE officiellement dans les plus brefs délais.

 

·        S’il se présente, appliquer les directives parquet données précédemment, S’il ne défère pas à la convocation, ou en cas de difficultés rencontrées, prendre attache avec le parquet.

 

 

Suite aux instructions du parquet de Monsieur SOUBELET, la gendarmerie de saint Orens en date du 2 décembre à 8 heures 30 se présente au CCAS sise au 2 rue des chasselas à Saint Orens et remet à Madame BORIES la convocation à témoin destinée à Monsieur LABORIE André, cette dernière prend connaissance et s’engage à contacter Monsieur LABORIE                 André immédiatement pour lui en faire part.

 

·        Ou est le soit transmis écrit de Monsieur  SOUBELET ?

 

Que Madame la MDL Chef MAIZAIRAT Christelle n’apporte aucune réquisition écrite de Monsieur SOUBELET Renaud :

 

Enquête préliminaire : Procès verbal de convocation à témoin  le 2 décembre 2009 à 8 heures 00.

 

Madame la MDL Chef MAIZAIRAT Christelle, officier de police judiciaire rédige une convocation à la gendarmerie de saint Orens pour le 03 décembre 2009 à 8 heures 30 et la remet celle-ci au CCAS de Saint Orens au 2 rue des Chasselas ;  à Madame BORIES

 

Que Madame la MDL Chef MAIZAIRAT Christelle n’apporte aucune réquisition écrite de Monsieur SOUBELET Renaud pour en vérifier l’exactitude.

 

 

Enquête préliminaire : Procès verbal d’investigation  le 3 décembre 2009 à 12 heures 00.

 

Madame la MDL Chef MAIZAIRAT Christelle indique quelle a reçu un fax, un courrier de Monsieur LABORIE André à l’intérieur duquel il explique les raisons pour lesquelles il n’a pas déféré et ne déférera pas à notre convocation.

 

Qu’il est joint à ce courrier, une plainte contre Monsieur VALET, Procureur de la république daté du 2 décembre 2009 et adressée à Monsieur SARKOZY et au conseil de l’europe.

 

Observation : Monsieur LABORIE André précise que cette plainte a été adressée à Madame ALLIOT Marie Ministre de la Justice.

 

Que Monsieur LABORIE n’a pas refusé de se présenter et être entendu par les autorités dans cette procédure mais refusait dans les conditions dont il avait été la veille averti par Monsieur VALET Michel de représailles.

 

Que Monsieur LABORIE André était légitimement dans le droit d’en faire les observations à la gendarmerie de Saint Orens par fax en date du 3 décembre 2009 ; qui précédemment avait agit concernant une détention arbitraire en date du 14 février 2006 par faux et usage de faux de la gendarmerie en ses procès verbaux et une expulsion de notre domicile cette dernière en date du 27 mars 2008 pour étouffer les différentes contestations et saisines devant la justice.

 

Comme nous le revoyons aujourd’hui pour faire obstacle à un procès contre Monsieur CAVE et Madame PUISSEGUR.

 

 

Enquête préliminaire : Procès verbal d’investigation  le 4 décembre 2009 à 16 heures 00.

 

 

Madame la MDL Chef MAIZAIRAT Christelle indique quelle a saisi Monsieur SOUBELET Procureur de la République adjoint et à sa demande a faxé le courrier reçu le 3 décembre 2009.

 

Monsieur SOUBELET autorise à interpeller par la contrainte Monsieur LABORIE André

 

Observation : Alors qu’une plainte a été déposée à Madame ALLIOT Marie Ministre de la Justice en date du 2 décembre 2009, sans encore une réponse, le parquet se fait encore justice soit même.

 

Qu’une simple convocation était nécessaire pour me faire entendre par une gendarmerie de Toulouse ou commissariat de police «  autre que la gendarmerie de saint Orens impliquée dans les affaires criminelles » sans avoir besoin de faire ordonner une quelconque contrainte, Monsieur LABORIE André étant présent chaque semaine devant le tribunal ou la cour d’appel de Toulouse et qui ne s’est jamais refusé d’être entendu, la preuve qu’à ce jour on veut l’exclure qu’il soit entendu par un juge pour faire obstacle aux faits criminels dont il est victime et procédure par voie d’action devant le tribunal correctionnel à l’encontre de Monsieur CAVE et Madame PUISSEGUR concernant le détournement de la propriété de Monsieur et Madame LABORIE et de leur violation de leur domicile avec toutes les preuves juridiques à l’appui.

 

Qu’il est fourni une réquisition d’interpellation  «  première fois » effectuée par SOUBELET Renaud en date du 4 décembre 2009, pourquoi pas une réquisition écrite pour les procès verbaux précédents

 

·        Que le motif est erroné, auto- forgé à charge sans avoir pris les moyens d’excuses de droit de la non possibilité de déplacement de Monsieur LABORIE André

 

 

Enquête préliminaire : Procès verbal d’investigation  le 17 décembre 2009 à 8 heures 55.

 

Madame la MDL Chef MAIZAIRAT Christelle saisit de nouveau Madame BORIES responsable du CCAS de Saint Orens et pour que cette dernière prévienne la gendarmerie discrètement quand Monsieur LABORIE André vient récupérer le courrier.

 

Elle indique que la gendarmerie a été prévenu téléphoniquement par Madame BORIES le 16 décembre 2009 à 10 heures 55 et quelle demandait de nous dépêcher car ce dernier paraît pressé.

 

Ce procès verbal indique que Monsieur LABORIE est déjà parti, que Madame BORIES indique à la venue tardive de la gendarmerie en date du 16 décembre 2009 qu’il est parti dans le même véhicule que précédemment.

 

Observations :

 

·        Au vu de ces éléments graves, de l’entrave au procès et de la saisine du tribunal en son audience du 16 décembre 2009 à 14 heures, ces agissements étaient prémédités par flagrance du parquet, pour faire obstacle au procès à l’encontre de Monsieur CAVE et de Madame PUISSEGUR.

 

·        Agissements de Monsieur SOUBELET Renaud et de la gendarmerie de saint Orens qui sont confirmés et  pénalement répréhensibles par le code pénal et à l’encontre ses différents auteurs qui ont participés ou se sont rendu complices de la violation flagrante de l’article 6 de la CEDH, de l’obstacle ou tentative d’obstacle à l’accès à un tribunal.

 

·        Rappelant que l’audience du 16 décembre 2009 a été renvoyée après demande de dépaysement sur une autre juridiction en son audience du 26 avril 2010 à 14 heures.

 

·        Ce qui prouve encore une fois que la procédure d’outrage alors qu’il ne peut exister est bien un artifice pour faire ouvrir une procédure judiciaire et enquête dans le seul but de saisir la gendarmerie employant ces derniers toutes procédures pour faire obstacle au procès contre Monsieur et Madame PUISSEGUR.

 

·        Monsieur LABORIE André a trouvé les mêmes agissements de la gendarmerie de saint Orens le 17 octobre 2001 devant la cour d’appel de toulouse.

 

·        Monsieur LABORIE André a trouvé les mêmes agissements de la gendarmerie de saint Orens le 13 février 2006.

*

Monsieur LABORIE a trouvé les mêmes agissements de la gendarmerie de Saint Orens auprés de la Préfecture par procés verbal du 22 octobre 2007, produit par la préfecture devant le tribunal administratif de toulouse et au cours d'une procédure pour excés de pouvoir. " ou est l'impartialité et usant de faux et usage de faux "

*

Un peu plus de preuves sur les agissements de la gendarmerie de Saint Orens le 27 juin 1998 et portant encore préjudices à ce jour à Monsieur LABORIE André ( procédure en recours en révision en cours ).

 

·        Monsieur LABORIE André a trouvé les mêmes agissements de la gendarmerie de saint Orens le 27 mars 2008

 

·        Monsieur LABORIE André les retrouve encore à ce jour pour son audience du 16 décembre 2009.

 

·        Et nous allons les retrouver encore une fois pour faire obstacle au intérêts de Monsieur et Madame LABORIE et dans la procédure que je détaille encore ci-dessous avec preuves à l’appui.

 

 

Enquête préliminaire : Procès verbal d’investigation  le 8 janvier  2010 à 16 heures 35.

 

 

Madame la MDL Chef MAIZAIRAT Christelle, Prend attache avec Monsieur SOUBELET Renaud Procureur adjoint qui au vu des nouveaux éléments apportés nous donne les instruction suivantes.

 

Etablir une réquisition judiciaire en vue de procéder à la géolocalisation sur la ligne mobile détenue par Monsieur LABORIE André.

 

Et dans un même temps, et par l’intermédiaire de la brigade locale ou est domiciliée son amie d’effectuer un environnement de celle-ci et de l’ensemble des personnes qu’elle héberge.

 

Qu’une fois les informations obtenues, informer Monsieur SOUBELET.

 

Ou est l’autorisation de réquisition  de SOUBELET ?

 

Que Madame la MDL Chef MAIZAIRAT Christelle n’apporte aucune réquisition écrite de Monsieur SOUBELET Renaud 

 

Observations :

 

Encore une fois SOUBELET Renaud, procureur adjoint de Monsieur VALET Michel procureur de la République, a une intention délibérer de vouloir encore porter préjudices non seulement à Monsieur LABORIE André mais à la personne qui l’héberge et par tous les moyens environnementaux portant atteinte à la vie privée de cette dite personne, à la notoriété de celle ci et à la notoriété de Monsieur LABORIE André dans un petit village, alors que ce dernier n’a commis aucune infraction d’outrage.

 

Que se sont les preuves matérielles qui sont fournies aux dossiers qui justifient encore une fois l’intention délibérée du parquet de Toulouse et de ses complices de faire entrave aux droits de Monsieur LABORIE à l’accès à un juge.

 

 

 

Enquête préliminaire : Procès verbal d’investigation  le 12 janvier  2010 à 9 heures 50.

 

 

Madame la MDL Chef MAIZAIRAT Christelle et sur réquisition de Monsieur SOUBELET Renaud.

 

Ou est l’autorisation des réquisitions  de SOUBELET ?

 

Que Madame la MDL Chef MAIZAIRAT Christelle n’apporte aucune réquisition écrite de Monsieur SOUBELET Renaud.

 

Requiert le Responsable SFR, service des obligations légales, Tour Séquoia 1 place Carpeaux, paris la défense 92915.

 

Mission : de bien vouloir procéder à la géolocalisation «  système LISA » sur le ligne mobile du 06-14-29-21-74 de la périeode du 12 janvier 2010 au 18 janvier 2010.

 

Envoi de la réquisition par fax : 01-30-06-70-45

 

Madame la MDL Chef MAIZAIRAT Christelle envoi sa réquisition le 12 janvier 2010 à 11 heures 17, en indiquant l’autorisation du parquet de Monsieur SOUBELET, mais sans en fournir la réquisition de ce dernier.

 

Que sans réquisition écrite du parquet, rien ne permet d’établir que la MDL MAIZAIRAT Christelle a bien agit sous les ordres de Monsieur SOUBELET Renaud.

 

Tout peut laisser à penser que l’on peut vous porter atteinte sans limite de contrôle par une réquisition écrite du parquet de tout agissement de la gendarmerie.

 

Qu’il est rappelé bien que le procureur de la république a les mêmes pouvoirs d’instruction que le juge d’instruction, ce dernier est soumis a des écrits, en l’absence de réquisitoire du parquet, le doute est installé sur les agissements de la gendarmerie de Saint Orens en son MDL Chef MAIZAIRAT Christelle qui agit auprès de différents services, elle-même faisant les réquisitions sans avoir produit de ses chefs hiérarchiques leurs propres réquisitions écrites.

 

L’atteinte à la vie privée est caractérisée comme ci-dessus pour être aller voir comme dans le procès verbal ci-dessus du 17 novembre 2009.

 

Enquête préliminaire : Procès verbal d’investigation  le 12 janvier  2010 à 8 heures 45.

 

Madame la MDL Chef MAIZAIRAT Christelle, conformément aux instructions de Monsieur SOUBELET, indique que des messages discrets ont été passé à la brigade ou domicilie la personne qui héberge Monsieur LABORIE.

 

Que Madame la MDL Chef MAIZAIRAT Christelle n’apporte aucune réquisition écrite de Monsieur SOUBELET Renaud.

 

Qu’en date du 11 janvier 2010 message provenant de la brigade concernée, indiquant l’adresse exacte ou vivrait cette personne et quelle résiderait avec un homme sans plus de précision, indiquant dans son procès verbal que des investigations discrètes sont entreprises par la brigade locale afin d’obtenir des informations complémentaires.

 

Ou est l’autorisation de réquisition  de SOUBELET ?

 

 

Enquête préliminaire : Procès verbal d’investigation  le 25 janvier  2010 à 20 heures 35.

 

 

Madame la MDL Chef MAIZAIRAT Christelle, indique quelle avait reçu ce jour par fax les résultats de sa réquisition auprès de SFR et que Monsieur LABORIE André en son portable 06-11-29-21-74 aurait été localisé dans la zone ou réside la personne qui l’héberge et propriétaire du véhicule repéré au CCAS de Saint Orens.

 

Qu’elle suppose, que Monsieur LABORIE est hébergé chez cette personne.

 

Ou est l’autorisation de réquisition  de SOUBELET ?

 

 

Enquête préliminaire : Procès verbal d’investigation  le mercredi 3 février 2010 à 22 heures 25.

 

 

Madame la MDL Chef MAIZAIRAT Christelle, ce jour le 2 février 2010 à 14 heures 30 prend attache avec Monsieur SOUBELET à fin de l’informer de l’avancement des investigations.

 

Au vu des nouveaux éléments recueillis, Monsieur SOUBELET lui donne les instructions suivantes.

 

Ou sont les écrits de ces instructions.

 

Que Madame la MDL Chef MAIZAIRAT Christelle n’apporte aucune réquisition écrite de Monsieur SOUBELET Renaud.

 

Nous transporter sur la commune ou pourrait se trouver Monsieur LABORIE afin de l’interpeller, de le placer en garde à vue, d’effectuer une perquisition au domicile de la personne qui l’héberge avant de l’entendre sur les faits qui lui sont reprochés.

 

A l’issus de son audition, ou en cas de difficultés rencontrées, prendre attache avec le STD pour décision.

 

Monsieur SOUBELET indique de transmettre la réquisition d’extension de compétence nécessaire à l’interpellation de Monsieur LABORIE.

 

Réquisition effectuée de SOUBELET en date du 3 février 2010, produit au dossier.

 

Enquête préliminaire : Procès verbal d’investigation  le mercredi 17 février 2010 à 6 heures du matin .

 

Madame la MDL Chef MAIZAIRAT Christelle, indique avoir reçu ce jour le soit transmis N° 09/096366 PG du 03/02/2010 émanant de Monsieur SOUBELET et contenant

 

Les réquisitions d’extension de compétence nécessaire à l’interpellation de Monsieur LABORIE.

 

Des documents nouveaux constitutifs d’outrages à l’égard de Monsieur le Procureur de la république de Toulouse et sur le site lamafiajudiciaire.org.

 

Elle indique téléphoniquement ce même jour, téléphoniquement à Monsieur SOUBELET,  procéder à l’interpellation de Monsieur LABORIE le lundi 01 mars 2010 à 7 heures.

 

Observations de LABORIE : Que les nouveaux documents produits au dossier sont les véritables écrits sur le site indiquant aux autorités du ministre de la justice et autres autorités des différents obstacles avec preuve à l’appui à la saisine d’un juge pour des faits criminels dont est victime Monsieur LABORIE André et aussi Madame LABORIE concernant le détournement de notre propriété et de notre violation de notre domicile.

 

Que les preuves de la réalité des agissements de Monsieur VALET Michel et des autres autorités ne peuvent être contestées, les pièces parlent.

 

Que ces pièces produites sont sans valeur juridiques pour poursuivre Monsieur LABORIE André, que le site interdit formellement de copier une quelconque information.

Que même le parquet en son représentant et instigateur Monsieur SOUBELET a violé le droit et la propriété intellectuelle alors que le site précisait qu’il était interdit de copier une quelconque information.

 

Le lundi 1er mars 2010 à 17 heures 45 minute : un procès verbal a été établi par le MDL Chef MAIZAIRA Christelle officier de police judiciaire à Saint Orens : une demande de prolongation de garde à vue adressée à Monsieur SOUBELET et prenant effet à 7 heures le 2 mars 2010.

 

Le lundi 1er mars 2010 à 16 heures 35, «  justificatif de fax  au 05-62-88-45-89 », Monsieur SOUBELET Renaud confirme par fax à la gendarmerie de Saint Orens la prolongation de la garde à vue de Monsieur LABORIE André.

 

·        Comment Monsieur SOUBELET peut-il ordonné une prolongation à 16 heures 35 alors que ce dernier a été sollicité à 17 heures 45.

 

·        Le parquet aurait communiqué 27 pages à 16 heures 35 le 1er mars 2010 ( ou sont elles passées ), aucun débat contradictoire au cours de l’enquête pendant la garde à vue.

 

 

CONCLUSIONS DE MONSIEUR LABORIE André

DE TOUTE LA PROCEDURE

 Préalable et enquête avant la procédure de garde a vue

 

Que ces agissements de la gendarmerie et du parquet étaient seulement pour le besoin de la cause, interpeller Monsieur LABORIE André dans le seul but de faire obstacle par tous les moyens au procès de Monsieur CAVE Michel et de Madame PUISSEGUR Marie Claude et comme le confirme le déroulement de l’enquête et confirmé par la flagrance en dans du 16 décembre au matin sur les agissements de la gendarmerie alors que le procès saisissant le tribunal était le même jour à 14 heures à l’encontre de Monsieur CAVE et Madame PUISSEGUR.

 

Trouver l’adresse ou Monsieur LABORIE André était logé à titre provisoire suite à la violation du domicile au N° 2 rue de la forge 31650 Saint Orens.

 

Faire une procédure artificielle pour permettre au parquet d’amener par la force Monsieur LABORIE André devant un psychiatre et dans une intention de le faire mettre sous sauvegarde de justice ou sous tutelle. «  Qu’il est reconnu que Monsieur LABORIE n’a perdu aucune de ses facultés mentales et physiques au vu de l’examen du 1er mars 2010 par le Docteur ARBUS Christophe.

 

Que le soit transmis N° 09/96366 903 PG 09 du 06/11/2009 et provenant de Monsieur VALET Procureur de la République de Toulouse 31 ouvrant la procédure d’enquête préliminaire est manquant aux pièces du dossier.

 

Que le soit transmis du parquet autorisant la gendarmerie de saint Orens en sa MDL Chef MAIZAIRAT Christelle de faire réquisition auprès de SFR  est manquant aux pièces du dossier.

 

Que le soit transmis du parquet autorisant la gendarmerie de saint Orens en sa MDL Chef MAIZAIRAT Christelle de saisir le CCAS est manquant du dossier.

 

Que le soit transmis du parquet autorisant la gendarmerie de saint Orens en sa MDL Chef MAIZAIRAT Christelle de mettre un dispositif de surveillance de Monsieur LABORIE André autour du CCAS de Saint Orens est manquant du dossier.

 

 

LA PROCEDURE DE GARDE A VUE

 

Que la procédure de garde à vue en date du 1er et 2 mars 2010 est entachée de nullité faite par excès de pouvoir au préjudice de Monsieur LABORIE André, ne pouvait être mis en exécution l’article 78 du cpp.

 

Qu’il est rappelé au vu de la violation de son domicile au N° 2 rue de la forge 31650 Saint Orens en date du 27 mars 2008, que Monsieur LABORIE André dépend d’une tierce personne pour être transportée.

 

La  responsabilité est celle de cette gendarmerie de Saint Orens qui par faux et usage de faux a aussi apporté de faux élément en date du 27 juin 1998 concernant son permis de conduire, victime de cette brigade.

 

Que pour plus de précision concernant cette affaire et les autres : site internet  http://www.lamafiajudiciaire.org

 

Que Monsieur LABORIE André ne s’est pas soustrait en date du 3 décembre 2009 à la convocation de la gendarmerie a immédiatement répondu par fax des moyens de l’empêchement.

 

Précisant que Monsieur LABORIE André est présent chaque semaine au T.G.I ou à la cour de Toulouse et toujours à la disposition des autorités Toulousaines et autres pour y être entendu, justifiés par tous les écrits destinés aux autorités. « plaintes » qui restent toutes sans réponse alors qu’un trouble manifestement grave et d’ordre public existe.

 

 

SUR LA NULLITE DU RENVOI DEVANT LE TRIBUNAL

 

Article 385 du cpp

 

Que le procès verbal de synthèse effectué par la MDL Chef MAIZAIRAT Christelle en date du 2 mars 2010 à 17 heures est une pièces substantielle aux poursuites devant le tribunal correctionnel et devant respecter l’article 6-1 de la CEDH en son impartialité «  y mettre jurisprudence »

 

Que celui-ci doit être clôturé avant le passage devant le procureur de la république qui doit prendre sa décision de renvoi ou non devant le tribunal correctionnel.

 

Que la MDL Chef MAIZAIRAT Christelle, accompagné de Monsieur  HARDY Jean Luc ; ont amené Monsieur LABORIE pour être présenté devant le procureur de la république au T.G.I de toulouse le 2 mars 2010 , arrivé à 14 heures 15.

 

Que Monsieur LABORIE André a été  présenté à Monsieur SOUBELET procureur adjoint de Monsieur le Procureur de la république Michel VALET vers 16 heures et après un long entretien avec celle-ci la  MDL Chef MAIZAIRAT Christelle officier de police judiciaire.

 

Qu’il a été notifié à Monsieur LABORIE André un procès verbal de comparution immédiate pour le 3 mars 2010, avec la demande de Monsieur SOUBELET de l’intention de le mettre en détention.

 

Que Monsieur SOUBEBET a ordonné de comparaître Monsieur LABORIE André accompagné des deux gendarmes devant le juge des libertés, nous avons attendu bien une heure et au bout de 1 heure environ, les gendarmes lui font valoir que Monsieur était libre.

 

De retour devant Monsieur SOUBELET Renaud, ce dernier lui modifiant le procès verbal de renvoi en audience correctionnelle sans mise en détention mais pour l’audience du 17 mars 2010 à 14 heures.

 

Que le procès verbal de synthèse porte grief à Monsieur LABORIE André car il ne respecte pas l’article 6-1 de la CEDH , effectué à charge alors qu’il ne peut exister d’outrage : article 41 de la loi du 29 juillet 1881 et au vu de l’enquête en ses différents interrogatoires : plainte contre les auteurs des poursuites, non repris dans le procès de verbal de synthèse.

 

Que le procès verbal de synthèse porte grief à Monsieur LABORIE André, car celui-ci n’indique pas la vraie situation juridique dont est victime Monsieur et Madame LABORIE et concernant le détournement de leur propriété et la violation de leur domicile sans qu’une quelconque autorité saisie n’interviennent pour faire cesser ce trouble à l’ordre public avec toutes les preuves matérielles de ces voies de faits établies, preuves matérielles en possession des autorités.

 

Comme ces autorités toulousaines sont impliquées dans cette détention arbitraire du 14 février 2006 au 14 septembre 2007, du détournement de la propriété, et de la préméditation de l’expulsion par tout moyen de faux pendant cette période, il est facile à comprendre à ce jour des agissements de ses autorités pour faire obstacle à l’accès à un tribunal pour que les causes ne soient pas entendues.

 

Qu’il est rappelé que ces faits sont criminels.

 

 

Que le procès verbal de synthèse porte grief à Monsieur LABORIE André, car celui-ci n’est pas effectué au vu de l’enquête mais au vu des demandes de Monsieur SOUBELET pour le besoin de la cause.

 

Que les différents procès verbaux d’enquêtes préliminaires ont été aussi auto forgé pour le besoin de la cause, sans réquisition préalable du parquet et seulement à la diligence de la MDL chef MAZAIRA Christelle officier de police judiciaire à la brigade de gendarmerie de Saint Orens.

 

 

 

PAR CES MOTIFS.

 

Qu’au vu de la non prescription du « délit ou crime » de détention arbitraire de Monsieur LABORIE André du 13 février 2006 au 14 septembre 2007 ou toutes les autorités toulousaines se refusent d’instruire et d’entendre les différentes voies de recours toujours non entendues mais consommation réelle de cette détention sans un jugement définitif, sans un quelconque mandat de dépôt.

 

Qu’au vu du détournement de la propriété de Monsieur et Madame LABORIE au N° 2 rue de la forge 31650 à Saint Orens et pendant cette détention arbitraire du 13 février 2006 au 14 septembre 2007, ou toutes les autorités toulousaines se refusent d’instruire et d’entendre les différentes voies de recours

 

Qu’au vu de la préméditation de la violation de leur domicile de Monsieur et Madame LABORIE situé au N° 2 rue de la forge à Saint Orens 31650 et pendant cette détention arbitraire du 13 février 2006 au 14 septembre 2007, ou toutes les autorités toulousaines se refusent d’instruire et d’entendre les différentes voies de recours.

 

Qu’au vu de la violation réelle après préméditation de leur domicile de Monsieur et Madame LABORIE située au N° 2 rue de la forge à Saint Orens 31650, à la sortie de prison en date du 27 mars 2008 et après que la gendarmerie de saint Orens et autorités soient informées des éléments ci dessus effectués par faux et usage de faux pendant cette dite détention arbitraire et maintenu volontairement en prison par les autorités toulousaines, celle-ci saisies par de nombreuses lettres recommandées, celles ci  se sont toutes refusées à répondre pour faire seulement obstacle aux demandes de Monsieur LABORIE andré pour parfaire le crime organisé et cautionnant les auteurs de ces faits criminels dont sont toujours victimes Monsieur et Madame LABORIE.

 

Qu’au vu des différents obstacles à l’accès à un tribunal par le refus systématique du parquet de faire cesser les différents troubles à l’ordre public de l’occupation sans droit ni titre de la propriété et de leur domicile de Monsieur et Madame LABORIE après la violation de celui en date du 27 mars 2008 par la gendarmerie de saint Orens couvrant la SCP d’huissier GARRIGUES et BALLUTEAUD pour une requérante qui ne pouvait être réellement propriétaire et agissant pour cette dernière ;  ayant obtenu des actes de complaisance, par faux et usage de faux pendant la détention arbitraire de Monsieur LABORIE André usant de cette situation sans aucun moyen de défense de Monsieur LABORIE André ce dernier seul agissant pour les intérêts de la communauté légale et connaissant les affaires.

 

Qu’au vu des agissements de la gendarmerie de saint Orens en son MDL Chef  MAZAIRA Christelle officier de police judiciaire en date du 1er mars 2010 au domicile de mon amie, du procés verbal de synthèse autoforgé à la demande du parquet et postérieur à la comparution devant le procureur de la république comme ci-dessus expliqué.

 

Qu’au vu des différents procès verbaux d’enquêtes préliminaires effectués en son MDL Chef  MAZAIRA Christelle officier de police judiciaire à la brigade de gendarmerie de saint Orens en parti constitutifs de faux intellectuels par autorité publique, les termes du procès verbal de synthèses sont contraires à la réalité de la vraie situation juridique et contraires aux régles déontologiques de la police nationale en violation de l’article 6-1 de la CEDH .

 

Qu’au vu des agissements en son MDL Chef  MAZAIRA Christelle officier de police judiciaire d’avoir pris l’initiative d’agir auprès de diverses personnes et services sans un réquisitoire écrit du parquet, seul les écrits permettant de justifier ses différents agissements réguliers.

 

Qu’en l’espèce sans ces preuves de droit, ces agissements ont porté préjudices à Monsieur LABORIE André et à son amie qui l’héberge à titre provisoire.

 

Qu’en conséquence une enquête doit être diligentée par le CNDS afin de faire respecter le code de déontologie de la police nationale et que soit respecté les droits de la constitution française : la liberté individuelle, les biens des personnes et le respect de la convention européenne des droits de l’homme.

 

Qu’en conséquence le CNDS se doit de saisir qui de droit au vu des différents obstacles rencontrés pour que Monsieur et Madame LABORIE aient  accès à la justice et pour que les différents troubles cessent au plus vite concernant le détournement de la propriété, la violation du domicile, la détention arbitraire de Monsieur LABORIE André et sur les différents obstacles rencontrés justifiés au civil devant la juridiction toulousaine qui se refuse de statuer sur les voies de recours formées sur les différents obstacles à l’accès à un tribunal.

 

Que tout est expliqué dans un site Internet avec toutes les preuves jointes et destinée à toutes les autorités judiciaires.

 

http://www.lamafiajudiciaire.org

 

Que sur le fondement des articles 1382 et 1383, Monsieur LABORIE demande réparation des agissements de la gendarmerie de Saint Orens agissant par abus de pouvoir au domicile de son amie en date du 1er mars 2010, qui l’héberge provisoirement et suite à l’expulsion du domicile de Monsieur et Madame LABORIE en date du 27 mars 2008 sous les ordres de la dite brigade de gendarmerie de saint Orens et usant en recel de faux et usage de faux éléments présentés à leurs connaissances et alors qu’au préalable ils avaient été avisés par courrier recommandé avec accusé de réception en date du 13 mars 2008 de cette situation du détournement de notre propriété et de l’imminence d’un dommage, d’une expulsion irrégulière, ces derniers se refusant d’intervenir pour faire cesser ces différents troubles à l’ordre public ou saisir qui de droit des autorités judiciaires en attente de vérification des faits portés à leurs connaissances.

 

Que ces agissements de la gendarmerie de Saint Orens confirment bien les agissements du 13 février 2006 et concernant la participation à la détention arbitraire, confirment les différents écrits dans cette saisine du CNDS.

 

Que Monsieur LABORIE reste à la disposition de la justice et de toutes autorités judiciaires pour apporter toutes informations utiles au bon déroulement de l’enquête qui sera diligentées par le CNDS

 

Sous toutes réserves dont acte :

 

                                                                               Monsieur LABORIE André

 

                                                                                    

 

 

PS : Plainte communiquée :

 

·        Au ministre de la défense en son ministre Hervé MORIN

·        Monsieur Nicolas SARKOZY Président de la République.

·        Madame ALLIOT Marie Ministre de la justice.

·        Médiateur de la République Jean-Paul DELEVOYE.

 

Pièces :

 

Détention arbitraire du 14 février 2006 au 14 septembre 2007 ; demande d’indemnisation au ministère de la justice. (Refus d’instruire)

 

Plainte doyen des juges en date du 11 juin 2009 détournement de notre propriété. ( refus d’instruire)

 

Plainte doyen des juges le 7 février 2010 pour violation de notre domicile en date du 27 mars 2010. (Refus d’instruire)

 

Saisine de la gendarmerie de saint Orens en date du 13 mars 2008. (Resté sous silence)

 

Citation correctionnelle de Monsieur CAVE Michel et de Madame PUISSEGUR Marie Claude.

 

Plainte contre Monsieur VALET, Procureur de la république daté du 2 décembre 2009 et adressée à Monsieur SARKOZY et au conseil de l’europe.

 

Obstacles au pénal par le parquet de Toulouse par tout moyen, se refuse de faire cesser ce trouble à l’ordre public, de l’occupation sans droit ni titre de notre propriété, de notre domicile, suite à la violation de ce dernier en date du 27 mars 2008, sans domicile fixe encore à ce jour, sans meuble et objet.

 

Obstacle au civil, devant la T.G.I de Toulouse par tout obstacle, se refuse de statuer sur les demandes provisoires et pour faire cesser un trouble à l’ordre public.

 

Obstacle au civil, devant la cour d’appel de Toulouse par tout obstacle, se refuse de statuer sur les demandes provisoires et pour faire cesser un trouble à l’ordre public et sur les voies d’appel du refus du T.G.I et appel d’une ordonnance d’expulsion rendue par la fraude le 1 er juin 2007 pendant l’incarcération de Monsieur LABORIE.

 

Obstacle à l’aide juridictionnelle toutes refusées pour faire obstacle à un avocat, aux procédures et pour celles-ci ne soient pas instruites, obstacle à l’accès à un tribunal.

 

Obstacle à la cour de cassation sur différentes voies de recours, refus de rendre des décision d’aide juridictionnelle alors que j’ai été et nous avons été dépouillé de nos bien et au RSA sans domicile fixe et aucune moyen financier à l’accès à un tribunal.

 

Informations sur le site Internet destiné aux autorités judiciaires : http://www.lamafiajudiciaire.org

TOUTE LA PROCEDURE DEVANT LE T.G.I