[ Mise à jour au 30 juillet 2012 ]
BORDEREAU
DE PIECES
« Pour toutes autorités
judiciaires »
TOUTE LA
PROCEDURE DE SAISIE IMMOBILIERE.
Régie par l’ancien code de procédure civile et code
civil « Limite codes 2008 »
SOIT L'INEXISTENCE DU JUGEMENT D'ADJUDICATION. |
Les
différents actes inscrits en faux intellectuels.
Rappel
et définition du faux intellectuel.
Pièce
N° 93 à N° 99.
Que pour une meilleure clarté
il est important d’en donner définition et surtout pour être conscient de
la gravité des faits qui sont poursuivis.
Le faux intellectuel ne
comporte aucune falsification matérielle a posteriori de l'acte, aucune intervention
sur l'instrumentum. Il consiste pour le rédacteur de l'acte authentique,
qui est nécessairement un officier public, à énoncer
des faits ou à rapporter des déclarations inexactes.
Les actes authentiques
: Actes de notaire, d'huissier de justice, d'officier de l'état civil, du
juge, du greffier.
Art. 457.du NCPC - Le jugement a la force probante
d'un acte authentique.
Les mentions portées par le juge dans sa décision au sujet
des déclarations des parties qu'il a lui-même recueillies et dont il a
donné acte font foi jusqu'à inscription de faux ( Cass. soc., 20 avr.
1950 : D. 1951, somm. p. 64 ; S. 1951, 1, 93 ; RTD civ. 1951, p. 429, obs.
P. Raynaud. – Pour le donné acte d'un aveu judiciaire, CA Amiens, 1er juill.
1991 : Juris-Data n° 043760).
Fait réprimé par l’art 441-4.
du code pénal - Le faux commis dans une écriture publique ou authentique
ou dans un enregistrement ordonné par l'autorité publique est puni de dix
ans d'emprisonnement et de 150 000 € d'amende.
L'usage du faux mentionné à l'alinéa
qui précède est puni des mêmes peines.
Les peines sont portées à quinze
ans de réclusion criminelle et à 225 000 € d'amende lorsque le faux ou l'usage
de faux est commis par une personne dépositaire de l'autorité publique ou
chargée d'une mission de service public agissant dans l'exercice de ses fonctions
ou de sa mission.
*
* *
Tous les auteurs qui ont participés
en complot au détournement de notre propriété toujours située au N° 2 rue
de la forge 31650 Saint Orens et des conséquences préjudiciables à Monsieur
et Madame LABORIE et sa famille.
· Voies
de faits qui se sont passées au cours d’une détention arbitraire préméditée
du 14 février 2006 au 14 septembre 2007.
Vous pourrez y observer une
analyse très technique autant sur le plan civil que sur le plan pénal, ce
qui déplait encore à ce jour à certaines autorités impliquées dans ce crime
intellectuel effectué en bande organisée et très bien structurée.
Tous ces faits sont réprimés
de peines criminelles.
Soit
en ces pièces : « Installer PDF sur votre ordinateur
en cliquant » ( Ici ) et pour
ouvrir les fichiers PDF.
N°
83 : Citation
de Monsieur CAVE Michel et
Madame PUISSEGUR Marie Claude.
N°
84 : Citation CARRASSOU ; BABILE ; LTMDB
; TEULE.
N°
85 : Citation
CHARRAS Jean Luc notaire.
N°
86 : Citation
FRANCES et FARNE
Avocats.
N°
87 : Plainte
du 19 avril 2011
contre la SCP d’huissiers GARRIGUES et BALLUTEAUD et Maître BOURRASSET.
N°
88 : Courrier
du 20 juillet 2011
adressé à Monsieur BUR Dominique Préfet de la HG.
Monsieur et Madame LABORIE
sont toujours propriétaires bien qu’il existe des actes de malveillances à
régulariser.
N°
90 : Procès
verbal du 11 août 2011 de la SCP d’huissier FERRAN.
N°
108 : Information
criminelle ouverte au T.G.I de PARIS ; Juge d’instruction saisi.
N°
108 bis : Les
différentes plaintes toutes restées sans réponse.
N°
107 : Les obstacles à l’accès à un tribunal mesures provisoires
: « I
/ 1er Président » - « II
/ 1er Président ».
Complément
d’informations et preuves :
Nouveaux : Pièces N°
99 / I à N° 99 / VIII .
: Ci dessous
LES PIECES DE TOUTE
LA PROCEDURE.
N°1 :
Arrêt de la cour d’appel de Toulouse du 16 mars 1998
annulant le prêt entre la Commerzbank et Monsieur et Madame LABORIE, ordonnant
la radiation de la procédure de saisie immobilière.
· Qu’en conséquence l’affectation hypothécaire du
2 mars 1992 prise par la Commerzbank est nulle partie intégrante du prêt.
N°2
:
Jugement
du 19 décembre 2002 déboutant les sociétés CETELEM ; PASS ; ATHENA
Banque de la procédure de saisie immobilière faite sur commandement du 24
septembre 2002 et ordonnant la radiation.
· Conséquence : interdiction pour une durée de trois
ans de renouveler et publier un commandement soit jusqu’au 19 décembre 2005.
· La société Athéna Banque n’a plus
d’existence juridique depuis décembre 1999.
· Confirmé
ultérieurement par arrêt de la cour d’appel du 16 mai 2006 en sa pièce N°26.
· Maître MUSQUI Bernard poursuivant agissait en octobre 2002
pour ses propres intérêts avec la SCP d’huissiers PRIAT, COTTIN, LOPEZ, Sans
un pouvoir valide, sans une créance liquide, certaine et exigible et pour
une des 3 banques qui n’existait plus depuis décembre 1999.
N°3 :
Pouvoir
« nul » en saisie immobilière du 9 septembre 2002 par
un acte unique des sociétés CETELEM ; PASS ; ATHENA Banque et ayant servi
à la procédure pièce N° 2
· La société Athéna Banque n’a plus
d’existence juridique depuis décembre 1999.
· Confirmé
ultérieurement par arrêt de la cour d’appel du 16 mai 2006 en sa pièce N° 26
N°4
:
Requête
déposée en date du 11 mars 2003 pour les intérêts des sociétés
CETELEM ; PASS ; ATHENA Banque, déchues pour une durée de 3 années à délivrer
un nouveau commandement et une nouvelle publication.
Alors que la société Athéna
Banque n’a plus d’existence juridique depuis décembre 1999.
· Confirmé
ultérieurement par arrêt de la cour d’appel du 16 mai 2006 en sa pièce N° 26
· Faux et usage de faux de Maître MUSQUI Bernard avocat à Toulouse,
il agissait avec un faux pouvoir du 9 septembre 2002.
· Seul l’appel était recevable sur le jugement du 19 décembre 2002.
N°5
:
Jugement
du 15 mai 2003 rendu au profit des sociétés Cetelem, Pass et
Athéna Banque.
Et sur une fausse requête du 11
mars 2003, la société Athéna Banque n’avait plus d’existence juridique
depuis décembre 1999.
· Agissait
avec un faux pouvoir du 9 septembre 2002.
· Confirmé
ultérieurement par arrêt de la cour d’appel du 16 mai 2006 en sa pièce N° 26
· Ce jugement est constitutif de
faux intellectuel, la banque ATHENA n’existait plus en date du 15 mai 2003.
· Force exécutoire le jugement du
19 décembre 2002.
N°6
:
Contestation
sur le jugement du 15 mai 2003 obtenu par fraude de maître MUSQUI
Bernard,
· La société Athéna Banque n’a plus d’existence juridique
depuis décembre 1999.
N°7
:
Nullité
du commandement délivré en date du 5 septembre 2003, à la demande
de Cetelem, Pass ; Athéna BANQUE
·
Interdites pour une durée de
trois années au vu :
·
Du jugement du 19 décembre 2002.
·
De la nullité de la requête du 11 mars 2003, inexistence de la société
ATHENA Banque.
·
De la nullité du jugement du 15 mai 2003, inexistence de la société
Athéna Banque.
· Confirmé ultérieurement
par arrêt de la cour d’appel du 16 mai 2006 de l’inexistence de la société
Athéna banque soit de la nullité du commandement du 5 septembre 2003. en sa
pièce N° 26
·
N°8
:
Nullité
du commandement délivré en date du 20 octobre 2003, à la demande
de Cetelem, Pass ; AGF. « cette dernière par artifice ».
·
Alors qu’elles étaient interdites
pour une durée de trois années au vu : Du
jugement du 19 décembre 2002.
· De la nullité de
la requête du 11 mars 2003, inexistence de la société ATHENA Banque depuis
décembre 1999 en sa pièce N° 26
· De la nullité du
jugement du 15 mai 2003, inexistence de la société Athéna Banque depuis décembre
1999 en sa pièce N° 26
· Du faux pouvoir
du 9 septembre 2002. inexistence de la société Athéna Banque depuis décembre
1999 en sa pièce N° 26
· Que le cahier des
charges précise en sa page deux que le commandement du 20 octobre
·
L’auteur de l’acte a voulu frauder en précisant une société AGF au
RCS N° B572 199 461 alors que celle-ci était aussi radiée depuis le 13 février
2003 au registre du commerce et des sociétés.
· Confirmé ultérieurement
par arrêt de la cour d’appel du 16 mai 2006 en sa pièce N° 26
· Et encore confirmé par un mémoire en défense de Maître JACOUPY
Avocat à la cour de cassation et pour les intérêts de la SCP d’huissier PRIAT
; COTTIN ; LOPEZ « Auteurs des malversations
» Devant la chambre criminelle à la cour de cassation en sa pièce N° 8 bis
N°
8 bis
Mémoire
en défense rédigé par Maître JACOUPY avocat à la cour de cassation pour les
intérêts de la SCP d’huissiers PRIAT ; COTTIN ; LOPEZ poursuivie
devant la chambre criminelle à la cour de cassation, confirmant que le commandement
du 20 octobre
N°9
:
Publication
en date du 31 octobre 2003 du commandement du 20 octobre 2003. « nullité »
· Qu’il
a été reconnu que dans sa page N° 2 du cahier des charges que le commandement
du 20 octobre 2003 n’a pas été délivré à la demande d’AGF, mais à la demande
des sociètés : Cetelem ; Pass ; Athena banque en sa pièce N° 14.
· Au
vu du jugement du 19 décembre 2002 qui est exécutoire interdisant les sociétés
pour une durée de trois années à renouveler un commandement soit jusqu’au
19 décembre 2005 en sa pièce N° 2.
· Au
vu de l’inexistence juridique de la société Athéna banque.( arrêt du 16 mai
2006) en sa pièce N°
26
· Inexistence de la société AGF au RCS N°
B572 199 461; radiée depuis le 13 février 2003. » en sa pièce N° 10
· Au
vu l’absence de pouvoir en saisie immobilière. .( arrêt du 16 mai 2006).
en sa pièce N° 26
· Au vu d’un élément important en
date du 1 février 2012, la SCP PRIAT COTTIN LOPEZ reconnait la nullité du
commandement du 20 octobre 2003 délivré par la société ATHENA Banque en son
mémoire présenté devant la chambre criminelle sa pièce N° 8 bis
N°
10 :
· Inexistence de la société AGF au RCS N° B572 199
461; radiée depuis le 13 février 2003. »
N°11:
· Et reconnu dans le : Jugement
du 14 janvier 2004 rendu par le juge de l’exécution.
La chambre
des criées ne pouvait être saisie, l’assignation en opposition était antérieure
à la publication du faux commandement du 20 octobre 2003.
N°
12
Dires
effectués par Maître SERRE DE ROCH Avocat, déposés le 30 décembre 2003
au greffe de la chambre des criées et confirmés par acte du palais le
5 janvier 2003.
· La chambre des criées s’est refusé
de statuer sur les dires régulièrement déposés
N°
13 :
Jugement
incident du 22 janvier 2004
· Ordonnant la communication de la sommation de prendre connaissance
du cahier des charges, avant le 29 janvier 2004 et ordonne la réouverture
des débats à l’audience du 5 février 2004.
· Ouvrant droit au dépôt d’un dire 5 jours avant l’audience.
N°
14 :
·
Et au profit des sociétés CETELEM,
PASS, AGF cette dernière radiée au RCS depuis le 13 février 2003, cette dernière
servant d’artifice, aucun droit d’agir en justice au RCS invoqué dans l’acte.
N°
14 bis :
Cahier
des charges ;
Nullité
·
Bien qu’il soit nul, il indique
bien en sa page deux, que le commandement a été délivré à la demande de la
société Athéna Banque.
· Qu’on peut s’apercevoir que la sommation n’a jamais
été portée à la connaissance de Monsieur et Madame LABORIE, seulement communiquée
à la Mairie raison qu’il a été ordonné de communiquer cette sommation de prendre
connaissance du cahier des charges.
·
Que la prise en connaissance du cahier des charges permet d’établir
un dire.
N°
15 :
Dires
pour l’audience du 5 février 2004.
· Acte déposés par acte du palais le 30 janvier 2004 ainsi qu’à
la chambre des criées.
N°
16 :
Jugement
incident du 26 février 2004 refusant les dires régulièrement déposés par
avocats en date du 30 décembre 2003, renvoi à l’audience du 27 mai 2004. (
Appel de la décision).
N°17
:
Jugement
incident du 27 mai 2004 suspendant les poursuites en saisie immobilière
dans l’attente des procédures devant la cour.
N° 18 :
Courrier
en recommandé envoyé le 12 avril 2005 à Maître MUSQUI lui indiquant des actes
suivants :
N°
· Pourvoi
en cassation arrêt N° 499. « Mémoire »
N° 18 B :
· Jugement
du 14 janvier 2004 rendu par le juge de l’exécution.
· Signification
arrêt 178 rendu par la cour d’appel
· Plainte
arrêt appel JEX en date du 12 avril 2005
arrêt N° 178 sur jugement du 14 janvier 2004
· Pourvoi
en cassation arrêt N° 178.
· Recours
en révision sur arrêt N° 178. « acte
de citation » « 1er courrier MALET 2005 » « 2ème
courrier MALET 2006 »
N°
· Plainte
arrêt appel ordonnance référé en date du 06 avril 2005, arrêt N° 103.
· Plainte jugement T.I saisie sur salaire en date du 06 avril 2005.
N° 19 :
· Le 16 juin 2005 assignation de reprise de poursuites
devant la chambre des criées pour les mêmes sociétés représentées par Maître
MUSQUI Bernard constitué pour elles et chargé de les représenter devant le
tribunal et en portant encore une fois un discrédit total sur Monsieur et
Madame LABORIE alors que ces derniers étaient dans leurs droits.
· Et alors que Maître
MUSQUI a été avisé de différentes voies de recours en sa
pièce N° 18
N° 20 :
N° 21 :
· Et au vu du refus de Maître SERRE de ROCH par courrier du
7 septembre 2005 se trouvant impayé des honoraires au titre de l’aide juridictionnelle,
m’informant qu’il ne peut assurer ma défense
N° 22 :
En son audience du 6 octobre 2005.
N° 23 :
Pour écarter Monsieur LABORIE andré de la procédure :
· Alors que la plainte est du 10 décembre 2005, elle a été
enregistrée pour le besoin de la cause le 10 octobre 2005.
Acte constitutif
de dénonciation calomnieuse par faux en écriture publique dans
le seul but d’écarter Monsieur LABORIE André de l’éventuelle procédure de
saisie immobilière. « plainte
déposée le 18 janvier 2006 »
N° 24 :
· Comment peut ‘il être dressé un tel acte par un magistrat, copie certifié
conforme.
· Je rappelle que j’ai été mis en détention arbitraire du 14 février 2006
au 14 septembre 2007
N° 25 :
Synthèse
de la détention arbitraire du 14 février 2006 au 14 septembre 2007.
N° 26 :
La
cour d’appel de Toulouse reconnaît après 3 années de contestation en sa décision
du 16 mai 2006 que la société Athéna banque n’existe plus depuis décembre
1999, ce qui engage obligatoirement : « annulant le
commandement du 5 septembre 2003 et de tous les actes subséquents »
· La nullité du pouvoir en saisi immobilière du 9 septembre 2002.
« Ci-dessus »
· La nullité de la requête du 11 mars 2003. « Ci-dessus »
· La nullité du jugement du 15 mai 2003. « Ci-dessus »
· La nullité du commandement
du 20 octobre 2003 « Ci-dessus
»
· La nullité de la publication du commandement du 20 octobre 2003.
« Ci-dessus »
· La nullité de la sommation de prendre connaissance du cahier des
charges. « Ci-dessus »
· La nullité du cahier
des charges.
· La nullité de tous les actes postérieurs à décembre 1999. « Ci-dessus ».
· Que
le jugement du 19 décembre 2002 étant en conséquence exécutoire de plein
droit, interdisant les parties adverses pour une durée de 3 années soit au
19 décembre 2005. « Ci-dessus ».
· Et tout en rappelant
que le jugement du 19 décembre 2002 fait suite à un commandement signifié
par 3 sociétés et dont la société Athéna banque en octobre 2002 et alors qu’elle
n’existait plus depuis décembre 1999.
· Et tout en rappelant
que le jugement du 19 décembre 2002 fait suite à une publication faite par
3 sociétés et dont la société Athéna banque en alors qu’elle n’existait plus
depuis décembre 1999.
· Et tout en rappelant
que ces société ont agit par un pouvoir en saisie immobilière du 9 septembre
2002 alors que la société Athéna banque n’existait plus depuis décembre 1999.
Qu’on en déduit que
les auteurs de tels actes constitutifs de faux en écriture publique, ont été
rédigés par Maître MUSQUI Bernard et la SCP d’huissier PRIAT , COTTIN ; LOPEZ
huissiers de justice.
· Que le commandement du 20 octobre 2003 est en conséquence nul
de plein droit et ne peut servir de fondement juridique pour la continuation
de la procédure de saisie immobilière. «
Ci-dessus »
· Que la nullité du commandement du 20 octobre 2003 est reconnu
dans un : Mémoire
rédigé par Maître COUPY avocat à la cour de cassation et pour les intérêts
de sa cliente ; la SCP d’huissiers PRIAT ; COTTIN ; LOPEZ poursuivie devant
la chambre criminelle à la cour de cassation.
Que la fraude était bien établie pour faire valoir un droit et comme soulevé
dans les dires régulièrement déposés le 30 décembre 2003 et 30 janvier 2004.
N° 27 :
Qu’il est rappelé que Monsieur CAVE Michel avait porté plainte le 10 décembre
2005 et devait se déporter. « la partialité établie »
·
La Banque Commerzbank ne peut être créancière et détenir un titre de
créance.
Profitant de l’incarcération et
l’absence des moyens de défense de Monsieur et Madame LABORIE.
· Que le jugement de subrogation constitue un
incident de procédure, les parties doivent être assignées.
Que ce jugement de subrogation doit au préalable respecter l’article
718 de l’acpc, soit une assignation des parties dans la mesure de
l’absence d’avocat.
Que la subrogation a été ordonnée
en l’absence :
· D’éléments
vrais soit sur faux et usage de faux
· De convocation des parties article 718
de l’acpc.
· Du respect des articles 14,
14 juris
; 15, 15
juris ; 16,
16 juris
du NCPC en ses articles 6 ; 6-1 de la CEDH
· Absence d’une sommation huit jours avant.
· Du respect du contradictoire en ses pièces.
· D’un commandement valide, celui du 20 octobre
2003 étant nul, sa publication en date du 31 octobre 2003 étant nulle.
· D’un quelconque acte valide de poursuite.
· D’un quelconque acte valide de créance.
· D’avoir pris en considération d’une opposition
en contestation du commandement du 20 octobre 2003 et de différentes voies
de recours toujours pendantes.
·
Signification irrégulière à Monsieur LABORIE André.
· Absence de signification à Madame LABORIE Suzette.
· La Commerzbank ne pouvant détenir un quelconque titre
de créance pour demander une subrogation au vu de l’arrêt du 16 mars 1998 en sa pièce N° 1
·
La Commerzbank ne pouvait se fonder sur le commandement du 20 octobre
2003 et sa publication contestée.
·
La Commerzbank ne pouvait se fonder sur un cahier des charges lié avec
le commandement du 20 octobre 2003 nul d’effet.
· Voir
explication dans l’acte de citation : à l’encontre de « CAVE
Michel et PUISSEGUR Marie Claude ».
· Voir explication dans l’acte de citation : à l’encontre de : « Maître FRANCES Elisabeth et Maître FARNE »
· Inscription de faux intellectuel contre le jugement
de subrogation effectué le 5 août 2008. « pièces
jointes au dossier »
Encore une fois la fraude est établie pour faire valoir un droit.
N°
28
Rappel
le 18 mai 2007: «
Aucune réponse ».
N°
29 :
N°
30 :
N°
31 :
N°
32 :
N°
33 :
N°
34 :
N°
35 :
N°
36 :
N°
37 :
Saisine
en lettre recommandée en date du 1 octobre 2006 de Monsieur le bâtonnier de
l’ordre des avocats pour nomination d’un avocat dans la procédure de saisie
immobilière, refus par courrier du 26 octobre 2006. « Alors que Monsieur LABORIE André était en prison
sans aucun moyen de défense et que l’avocat est obligatoire dans la procédure
de saisie immobilière devant la chambre des criées pour déposer un dire et
autres ».
N°
38 :
N°
39 :
Jugement
de Monsieur CAVE Michel rendu le 26 octobre 2006 en violation de toutes
les règles de droit. « Constitutif
de faux intellectuel »
· Signifié
irrégulièrement à Monsieur LABORIE André le 16 novembre 2006 en précisant
mes voies de recours dans le délai de deux mois « pourvoi »
· Non
signifié à Madame LABORIE Suzette. « violation
des articles 502 ; 503 ; 478 du NCPC »
La procédure
bien que irrégulière devait respecter les deux mois pour former un pourvoir.
Soit
il ne pouvait exister de renvoi en audience d’adjudication sans avoir respecté
les délais de voies de recours et touchant au fon du droit.
· Qu'au vu du jugement de renvoi du 26 octobre 2006, Maître FRANCES
avocate sans obstacle de la partie adverse, "Monsieur LABORIE André étant
incarcéré", use et abuse d'introduire une requête en date du 16 novembre
2006 pour obtenir une ordonnance rendue le 17 nov 2006 par Monsieur CORDAS
Président du T.G.I de Toulouse. « voir cahier des
charges publié le 20 mars 2007 par la fraude
et alors que la procédure était pendante »
· Voir observations dans : Citation
FRANCES et FARNE /
Encore une fois la fraude est établie pour faire valoir un droit.
N° 40 :
Pourvoi
en cassation sur le jugement du 26 octobre 2006.
Au vu du silence de la cour de
cassation réitération de la demande de pourvoi en date du 21 mai 2007.
Procédure restée sous silence
par la cour de cassation.
N°
41 :
· Violation des articles 14 ; 15 ; 16 du ncpc, articles 6 ; 6-1
de la CEDH et de l'article 2215 du code civil.
· Article
2215 du code civil : « Période de la procédure » : La poursuite en saisie immobilière peut avoir
lieu en vertu d’un jugement provisoire ou définitif, exécutoire par provision,
nonobstant appel ; mais l’adjudication ne
peut se faire qu’après un jugement définitif en dernier ressort, ou passé
en force de chose jugée.
· Par faux et usage de faux des parties adverses et par ses propres
décisions fausses
Obstacles à déposer un dire.
« Base fondamentale de droit ».
·
Au vu de l’arrêt du 16 mai 2006 confirmant l’inexistence juridique
de la société Athéna Banque et la nullité de tous les actes :
Que les dires régulièrement déposés
par Maître SERRE DE ROCH Avocat en date du 30 décembre 2003 et 30 janvier
2004 étaient recevables, la chambre des criées n’a jamais statué sur ces dires
en ses pièces N° 12 et N° 15.
· Au vu de l’arrêt du 16 mars 1998 en sa pièce N° 1,
la Commerzbank ne pouvait détenir un quelconque titre de créance pour
demander une subrogation
·
La Commerzbank ne pouvait au surplus se fonder sur le commandement
du 20 octobre 2003 qui était nul ainsi que sa publication le tout contesté
par assignation faite le 30 octobre 2003 et comme reconnu dans le jugement
rendu le 14 janvier 2004 par le juge de l’exécution.
·
La Commerzbank ne pouvait se fonder aussi sur un cahier des charges
lié avec le commandement du 20 octobre 2003 nul d’effet.
· Soit aussi la nullité de la procédure par l’absence de significations
à Madame LABORIE Suzette et significations irrégulières à Monsieur LABORIE
André soit violation des articles 502 et 503 du ncpc.
· Du jugement de subrogation du 29 juin 2006.
· Du jugement de renvoi du 26 octobre 2006.
· Pourvoi en cassation des jugements du 29 juin 2006 et du 26 octobre
2006
Et le tout pour soulever la fin de non recevoir de la Commerzbank, la
nullité de procédure.
PS : Que Jugement d’adjudication du 21 décembre 2006 n’a jamais
été signifié à Monsieur LABORIE André, à Madame LABORIE Suzette.
·
Soit violation de l’article
716 de l’acpc.
· Voir observations dans : Citation
FRANCES et FARNE
Encore une fois la fraude est établie pour faire valoir un droit.
N° 42 :
·
Pourvoi en cassation sur le jugement du 21 décembre 2006, Rappel en
date du 22 mai 2007 à la cour de cassation et sur le pourvoi formé en janvier
2007.
· Demande restée sans réponse de la cour de cassation.
N°
43 :
Action
en résolution en date du 9 février 2007 du jugement
d’adjudication rendu le 21 décembre 2006 ; par assignation des parties « La
Commerzbank et Madame D’Araujo épouse Babilé » devant la cour d’appel de Toulouse
et pour fraude de toute la procédure de saisie immobilière, usant de faux
et usage de faux, obstacle à tous les droits de la défense et à l’accès à
un juge pour déposer un dire en contestation de toute la procédure sur le
fond et la forme.
· Dénonce faite au Greffier
en chef pour application
de l’article 695 de l’acpc. « sursoir à la procédure ».
Que par l’action en résolution
l’adjudicataire perd la propriété et que la propriété revient aux saisis,
ayant les mêmes effets que la procédure de folle enchère.
Textes
et Jurisprudences jointes : Pièce N°105
Que la Propriété est revenue
à Monsieur et Madame LABORIE juridiquement par l’action en résolution en date
du 9 février 2007, bien que celle-ci ait été détournée frauduleusement
pendant et profitant de l’incarcération arbitraire de Monsieur LABORIE André
et de l’absence de ses droits de défenses.
Qu’au vu
de l’article 750 de l’acpc, l’appel est recevable sur le jugement
d’adjudication et encore plus pour fraude, la publication ne peut se faire
du jugement d'adjudication tant que la cour n'a pas statué sur l'action en
résolution.
N° 43 bis :
Madame D’ARAUJO épouse BABILE
ayant perdu son droit de propriété par l’action
en résolution en date du 9 février 2007, celle-ci revenue aux
saisis, ne pouvait en attente de l’arrêt de la cour d’appel obtenir la grosse
du jugement d’adjudication en date du 27 février 2007, l’arrêt sur l’action
en résolution étant rendu le 21 mai 2007.
· L’obtention de la grosse a la même propriété ne peut se faire
que quand l'adjudicataire retrouve son droit de propriété, ainsi
que la publication du jugement d’adjudication « si
appel » et comme il est confirmé par
son article 750 de l’acpc.
· Ne pouvant être obtenue que seulement après l’arrêt de la cour
d’appel confirmatif et au vu de l’article
695 de l’acpc, le surseoir de la procédure étant d’ordre public.
· Que le greffier en chef ne pouvait ignorer l’application de
l’article 695 de l’acpc, l’action en résolution, soit l’assignation
a été dénoncée au greffier en chef le 9 février 2007.
Encore une fois la fraude est établie pour faire valoir un droit.
N° 44 :
· Alors que l’adjudicataire Madame
BABILE avait perdu son droit de propriété par l’action
en résolution pendante, soit aucun droit d’agir en justice pour obtenir
une ordonnance d’expulsion.
· Assignation irrégulièrement délivrée à Monsieur LABORIE André.
· Absence d’assignation délivrée à Madame LABORIE Suzette.
En son contenu ( faux et usage de faux).
· Aucune sommation délivrée le 22 février 2007 et autres.
Violation de l’article 716 de
l’acpc, absence de signification du jugement d’adjudication en sa grosse et
ne pouvant être obtenue sur le fondement de l’article 695 de l’acpc sursoir
à la procédure par l’action en résolution.
Voir observation citation : CARRASSOU,
BABILE, SARL LTMDB ; TEULE Laurent
N° 45 :
N° 46 :
Pièces seulement obtenues par la conservation
des hypothèques en 2009.
Soit :
Publication
de la procédure de saisie immobilière le 20 mars 2003 en fraude de la législation
:
Au vu de l’action en résolution
du jugement d’adjudication en date du 9 février 2007 faisant perdre tous les
droits de propriété à l’adjudicataire.
Au vu du sursoir à la procédure
sur le fondement de l’article 695 de l’acpc.
·
Madame BABILE ne pouvait obtenir la grosse du jugement d’adjudication
en date du 27 février 2007, elle avait perdu son droit de propriété.
·
Il ne pouvait exister de publication du jugement d’adjudication le
20 mars 2007 au vu de ce qui précède et au vu de l’article 750 de l’acpc qui indique
qu’en cas d’appel du jugement d’adjudication, la publication doit se faire
dans les deux mois de l’arrêt confirmatif.
·
Que l’arrêt confirmatif est intervenu seulement le 21 mai 2007 sans
que ce dernier soit lui aussi signifié et publié.
Ce qui confirme la fraude d’autant
plus que le jugement d’adjudication rendu le 21 décembre 2006 n’a jamais été
signifié à Monsieur LABORIE qu’à Madame LABORIE, ce en violation de l’article
716 de l’acpc qui l’impose et aussi sur le fondement des articles 502 et 503
du ncpc et dans le délai de l’article 478 pour le faire mettre en exécution.
« d’ordre public ».
·
Fraude de publication en date
du 20 mars 2007 pour obtenir un droit et abusant le conservateur des hypothèques.
Fraude en ses actes remis, la procédure de saisie immobilière ne représente
pas que ces actes :
Bien qu’il soit irrégulièrement publié, il manque à la procédure les
actes suivants :
Le jugement du 19 décembre 2002 annulant la procédure de saisie immobilière
et interdisant pour une durée de trois années et jusqu’au 19 décembre 2005.
« Il est à préciser que tous les actes postérieurs agissant pour les intérêts
de la société Athéna banque sont nul de plein droit et confirmé par l’arrêt
du 16 mai 2006 », cette société n’ayant plus d’existence juridique depuis
décembre 1999.
Les dires régulièrement déposés
en date du 30 décembre 2003 et 30 janvier 2004
Le jugement du 27 mai 2004 ordonnant la suspension de toute la procédure
de saisie immobilière.
L’arrêt du 16 mai 2006 indiquant de l’inexistence de la société Athéna
banque depuis décembre 1999, ayant une influence directe sur le commandement
du 20 octobre 2003.
Qu’au vu de l’arrêt du 16 mai 2006, la rectification de la publication
faite le 31 octobre 2003 sur le commandement du 20 octobre 2003 nul, car
ces deux derniers ont été effectué à la demande des sociétés Cetelem, Pass
et Athéna banque par un acte unique et comme le
justifie le cahier des charges en sa page N°2.
La rectification en sa nullité du cahier des charges.
Que le titre de créance de la Commerzbank ne peut exister au vu de
l’ Arrêt
de la cour d’appel de Toulouse du 16 mars 1998 annulant le prêt
entre la Commerzbank et Monsieur et Madame LABORIE, « ordonnant la radiation de la procédure
de saisie immobilière et pour violation de toutes les règles d’ordre publiques
en matière de prêt. »
L’assignation en appel soit en action en résolution du jugement d’adjudication
dénoncé au greffier de la chambre des criées le 9 février 2007.
·
Ce qui confirme la fraude réelle
et volontaire de la publication faite le 20 mars 2007, par le T.G.I de Toulouse
ainsi que par le conseil de Madame D’ARAUJO épouse BABILE Suzette.
Soit la fraude de toute la procédure en ses différents actes.
N° 47 :
Pièces seulement obtenues par la conservation
des hypothèques en 2009.
Le
commandement du 20 octobre 2003 est nul de plein droit
La publication le 31 octobre 2003 du commandement du 20 octobre 2003 est
nulle de plein droit.
Le pouvoir en saisie immobilière du 29 novembre 1996 est nul de plein
droit.
Le pouvoir en saisie immobilière du 9 septembre 2002 nul.
L’acte reçu par Maître BUCHET à PHALSBOURG, ne pouvant exister au
vu de l’ Arrêt
de la cour d’appel de Toulouse du 16 mars 1998 annulant le prêt
entre la Commerzbank et Monsieur et Madame LABORIE, ordonnant la radiation
de la procédure de saisie immobilière et pour violation de toutes les règles
d’ordre publiques en matière de prêt.
Vu
les articles 2213, 2215 du Code civil et 625 du nouveau Code de procédure
civile ;
Article
2213 du code civil : Attendu que la vente forcée des immeubles
ne peut être poursuivie qu'en vertu d'un titre authentique et exécutoire,
pour une dette certaine et liquide ;
TITRE EXECUTOIRE
: jurisprudence ACTE NOTARIE.
De même, un acte notarié
mentionnant un prêt avec hypothèque conventionnelle ne constate pas une créance
liquide et exigible ; le saisissant ne justifie donc pas d’un titre exécutoire
( CA Douai, 9 nov.1995 : Juris- Data N° 051309. Jugé également que la simple
photocopie de l’acte de prête notarié ne peut représenter le titre exécutoire
exigé ( CA Versaille, 1er ch, 13 septembre 1996 : Juris- Data N°
043643). ( pièce jointe)
Que tous ces actes utilisés sont faux.
N° 48 :
Fraude : Monsieur et
Madame LABORIE étaient toujours propriétaires et le sont encore à ce jour
par l’action en résolution.
· Voir
explications : Citation
: CARRASSOU, BABILE, LTMDB ; TEULE Laurent.
· Voir
explications : Plainte
du 30 décembre 2011 corroborée par le constat d’huissier du 11 août 2011
·
Constat
d’huissiers du 11 août 2011.
· Inscription
de faux intellectuel enregistré et dénoncé aux parties.
Observations : Citation
CHARRAS Jean Luc -
N°
49 :
· Alors que l’acte du 5 avril 2007 est nul et
non avenu sur le fondement de l’article 1599 du code civil,
Sommation
interpellative faite par huissier de justice en date du 20 janvier 2009 indiquant
:
· Le montant de la consignation n’était même
pas versé le 5 avril 2007, la somme de 260000 euros a été versée seulement
le 12 avril 2007.
· Que les frais et les frais extraordinaires n’ont pas été
consignés à la CARPA
N°
50 :
Faisant
suite à la pièce N° 44 :
·
Et sa réponse du 21 mai 2007 infondée,
Monsieur LABORIE André en prison ne pouvant rien faire et pour son audience
du 11 mai 2007.
N°
51 :
*
N°
52 :
N°
53 :
Le
21 mai 2007 Arrêt de la cour d’appel de Toulouse sur l’appel du jugement d’adjudication
« action en résolution pour fraude ». sans grosse exécutoire.
Soit une fraude établie et incontestable, la cour d’appel seule compétente
en cas de fraude au vu du T.G.I qui se refuse de respecter les règles de droit,
la chambre des criées corrompue par les parties adverses, profitant de l’absence
forcé de moyen de défense de Monsieur LABORIE André.
L’article 750 de l’acpc
prévoit l’appel du jugement d’adjudication pour fraude:
·
Art. 750 (Abrogé par Ord. no 2006-461 du 21 avr.
2006) (Décr. no 59-89 du 7 janv. 1959) «L'adjudicataire est
tenu de faire publier au bureau des hypothèques le
jugement d'adjudication dans les deux mois de sa date, et, en cas d'appel, dans les deux mois de l'arrêt
confirmatif, sous peine de revente sur folle enchère.
FORMALITES
POSTERIEURES AU JUGEMENT D’ADJUDICATION « MISE
A JOUR »
· Que
le jugement d’adjudication rendu le 21 décembre 2006 n’a jamais été signifié
autant à Monsieur qu’à Madame LABORIE postérieurement à l’arrêt du 21 mai
2007.
N°
54 :
Au vu de la pièce N° 44 « fin de non recevoir de Madame D’ARAUO épouse
BABILE Suzette ».
· Et alors que Madame BABILE avait perdu son droit
de propriété le 9 février 2007 par assignation des parties en nullité du jugement
d’adjudication pour fraude devant la cour d’appel de Toulouse.
· Et alors qu’il était d’ordre public le sursoir
à la procédure sur le fondement de l’article 695 de l’acpc, l’assignation
dénoncée au Greffier en chef du T.G.I de Toulouse.
· Et alors que Monsieur et Madame LABORIE avaient
retrouvé leur droit de propriété par l’action en résolution en date du 9 février
2007.
· Et alors que le jugement d’adjudication n’avait
jamais été signifié et ce en violation de l’article 716 de l’acpc et articles
502 ; 503 ; 478 du ncpc.
· Et alors que la fin de non recevoir s’imposait
au tribunal ne pouvant être saisi le 9 mars 2007.
· Soit le T.I saisi par faux et usages de faux,
sans moyen de défense, Monsieur LABORIE André incarcéré et sans aucune pièce
de procédure, sans avocat.
Observations : Voir
citation CARASSOU, BABILE, LTMDB ; TEULE Laurent.
Inscription
de faux ordonnance d’expulsion rendue le 1er juin 2007.
N°
55 :
Appel
en date du 11 juin 2007 sur l’ordonnance d’expulsion rendue le 1er
juin 2007.
· Il est à préciser que la cour d’appel de Toulouse,
encore à ce jour soit le 4 avril 2012 se refuse de statuer sur la vraie situation
juridique et pour ne pas désavouer les différentes décisions rendues par complot
et usant de l’absence des moyens de défenses de Monsieur LABORIE André détenu
arbitrairement pour le besoin de la cause.
Des arrêts ont été rendus sur requêtes, la cour se refuse de statuer
sur la vraie situation juridique. « Le pourvoi n’est pas recevable sur l’omission
»
Les arrêts rendus :
·
Un
arrêt du 9 décembre 2008 N° 552 rendu par DREUILHE ; POQUE ; ESTEBE.
·
En
son accessoire arrêt du 17 mars 2009 N° 185 rendu par
DREUILHE ; POQUE ; ESTEBE.
·
En
son accessoire arrêt du 12 janvier 2010 N° 20 rendu par LAGRIFFOUL
; POQUE ; MOULIS
·
En
son arrêt du 10 mai 2011 N° 549 rendu par MF TREMOUREUX ; D.FORCADE ; S.TRUCHE
·
Requête
à Monsieur le Premier Président en date du 8 juin 2011. ( requête restée
sans réponse).
·
Rappel
en date du 27 décembre 2011 de la saisine du 8 juin 2011. ( requête restée
sans réponse).
PS :
Un recours en cassation est en cours sur les arrêts
du 9 décembre 2008 et accessoires du 17 mars 2009 et 12 janvier 2010.
N° 56 :
Acte
notarié du 6 juin 2007 finalisation de l’acte du 5 avril 2007
effectué par la fraude
*
Observations :
· Voir
citation CHARRAS Jean Luc.
· Voir
citation CARASSOU ; BABILE ; LTMDB ; TEULE.
N°
57 :
Signification
de l’arrêt du 21 mai 2007 soit le 12 juin 2007 à Monsieur LABORIE André, à
la demande de BABILE et ne pouvant permettre de le mettre en
exécution sans au préalable l’avoir publié dans les deux mois de l’arrêt confirmatif
et sur le fondement de l’article 750 de l’acpc.
Ne pouvant le mettre en exécution car cet arrêt n’est que l’accessoire du
jugement d’adjudication rendu le 21 décembre 2006 et ce dernier jamais signifié
à Monsieur et Madame LABORIE sur le fondement de l’article 716 de l’acpc et
des articles 502 ; 503 ; 478 du ncpc.
Arrêt
du 21 mai 2007 jamais signifié à la personne de Madame LABORIE Suzette ou
irrégulièrement.
N°
58 :
Signification
de l’arrêt du 21 mai 2007 le 17 juillet 2007 à Monsieur LABORIE André, à la
demande de la Commerzbank et ne pouvant permettre de le mettre
en exécution sans au préalable l’avoir publié dans les deux mois de l’arrêt
confirmatif et sur le fondement de l’article 750 de l’acpc.
Ne pouvant le mette en exécution car cet arrêt n’est que l’accessoire du
jugement d’adjudication rendu le 21 décembre 2006 et ce dernier jamais signifié
à Monsieur et Madame LABORIE sur le fondement de l’article 716 de l’acpc et
des articles 502 ; 503 ; 478 du ncpc.
N°
58 bis :
Arrêt
du 21 mai 2007 jamais signifié à la personne de Madame LABORIE Suzette ou
irrégulièrement.
N°
59 :
Pièces seulement obtenues au cours
d’un contentieux avec la SCP d’huissiers GARRIGUES
· Absence
de signification régulière de l'ordonnance d'expulsion pour la mettre en exécution
à Monsieur LABORIE André ; Violation
de l'article 648 du ncpc, violation de la loi du 27 décembre 1923 concernant
les clercs assermentés; violation de l’article 1er de l’ordonnance N° 45-2592
du 2 novembre 1945. " faux en écriture publique", Précisant que
nous sommes dans le cadre d’une procédure d’exécution forcée.
Observations et nullité
de l’acte :
· Voir
plainte du 19 avril 2011 à l’encontre de BOURRASSET ET GARRIGUES.
· Voir
saisine de Monsieur le Préfet de la HG en date du 20 juillet 2011
N°
60 :
Signification
le 14 juin 2007 soit disant à Madame LABORIE Suzette sans qu’une preuve réelle
en soit apportée, de l’ordonnance du 1er juin 2007
à la demande de Madame BABILE
Pièces seulement obtenues au cours
d’un contentieux avec la SCP d’huissiers GARRIGUES
· Absence
de signification régulière de l'ordonnance d'expulsion pour la mettre en exécution
à Madame LABORIE Suzette "• Violation
de l'article 648 du ncpc, violation de la loi du 27 décembre 1923 concernant
les clercs assermentés; violation de l’article 1er de l’ordonnance N° 45-2592
du 2 novembre 1945. " faux en écriture publique", Précisant que
nous sommes dans le cadre d’une procédure d’exécution forcée.
Observations et nullité
de l’acte :
.
Voir plainte du 19 avril 2011 à l’encontre de BOURRASSET ET GARRIGUES.
· Voir
saisine de Monsieur le Préfet de la HG en date du 20 juillet 2011
N°
61 ;
Alors que Monsieur LABORIE André était détenu arbitrairement.
Commandement
de quitter les lieux du 29 juin 2007.
Observations et nullité
de l’acte :
·.
Voir plainte du 19 avril 2011 à l’encontre de BOURRASSET ET GARRIGUES.
· Voir
saisine de Monsieur le Préfet de la HG en date du 20 juillet 2011
N°
62 :
N°
63 :
Commandement
de quitter les lieux du 3 juillet 2007.
Observations et nullité
de l’acte :
·
· Voir saisine de Monsieur le Préfet de la HG en date du 20 juillet 2011
N°
64 :
Observations et nullité
de l’acte :
· Voir
plainte du 19 avril 2011 à l’encontre de BOURRASSET ET GARRIGUES.
· Voir saisine de Monsieur le Préfet de la HG en date du 20 juillet 2011
N°
65 :
Observations et nullité
de l’acte :
·
· Voir saisine de Monsieur le Préfet de la HG en date du 20 juillet 2011
N°
66 :
Observations et nullité
de l’acte :
·
· Voir saisine de Monsieur le Préfet de la HG en date du 20 juillet 2011
N°
67 :
· Affaire
criminelle : 200700118931-CV/CS
N°
68 :
Monsieur LABORIE André est
sorti de prison le 14 septembre 2007.
Au vu de l’urgence et avec
le peu d’élément à la disposition de Monsieur LABORIE André.
Assignation
le 19 septembre 2007 devant le juge de l’exécution pour l’audience du 10 octobre
2007.
· Madame D’ARAUJO épouse BABILE.
· La Banque Commerzbank.
Et pour constater de nombreux
actes nuls et ceux que de droit.
· Et
pour suspendre toutes procédures qui pourraient être mises en œuvre.
N°
69 :
Jugement
du 28 novembre 2007 rendu par le juge de l’exécution « soit
obstacle à la procédure » renvoi le dossier au fond.
· Obligeant
la présence d’un avocat pour compliquer encore plus la procédure.
N°
70 :
Au vu de l’urgence :
Assignation
le 12 décembre 2007 devant le juge de l’exécution pour l’audience du 19 décembre
2007.
· Monsieur MAYLIN conservateur des hypothèques
de Toulouse.
· Maître PRIAT Huissier de justice.
· Maître MUSQUI Bernard Avocat.
Et pour que soit constaté la
nullité de la publication du commandement du 20 octobre 2003 et de tous les
actes postérieurs liés :
N°
71 :
Jugement
du 30 janvier 2008 rendu par le juge de l’exécution « soit
obstacle à la procédure » renvoi le dossier au fond.
·Obligeant la
présence d’un avocat pour compliquer encore plus la procédure.
N°
72 :
N°
73 :
·
Requête
de 53 pages + enregistrement T.A et courrier du 27 décembre 2007.
· N° 73 / A: Décision
du 8 janvier 2008 de la Préfecture de la HG fournie au cours de l’instance.
· N° 73 / B: Image :
Requête en excès de pouvoir contre la décision du 8 janvier 2008.
·
Requête
excès de pouvoir décision du 8 janvier 2008.
· N° 73 / C : Procès
verbal de renseignement de la Gendarmerie fourni au cours de l’instance.
· N° 73 / D : Conclusions
complétives aux deux requêtes en excès de pouvoir. « Réclamation
pièces TA 2012 »
N°
74 :
Courrier
du 3 mars 2008 de la SCP d’huissiers GARRIGUES et BALLUTEAUD
N°
75 :
· L’huissier
se devait de saisir le juge de l’exécution.
N°
76 :
N°
77 :
N°
78 :
N°
79 :
Procès
verbal d’expulsion en date du 27 mars 2008 :
· Violation de notre domicile par la SCP D’huissier
GARRIGUES et BALLUTEAUD à la demande de Madame D’ARAUJO épouse BABILE Suzette,
assisté de la Gendarmerie de Saint Orens, vol de tous nos meubles et objets
sans aucun consentement de Monsieur et Madame LABORIE.
· Procès verbal de tous nos meubles volés et
meublant notre propriété, notre domicile.
· N’ayant pu être récupérés, Monsieur et Madame
LABORIE sans domicile.
Alors que Monsieur et Madame
LABORIE étaient et le sont toujours propriétaires, agissements sur des actes
de malveillances obtenus pendant la détention arbitraire de Monsieur LABORIE
André.
·
N° 79 bis : Alors
que des voies de recours étaient pendantes.
N°
80 :
·
Plaintes ministre de la défense contre
gendarmerie le 26 mai 2008.
·
1er
rappel Plaintes ministre de la défense contre gendarmerie le 6 août 2008.
·
2ème
Rappel le 11 janvier 2011.
·
N° 80 bis : Plainte
procureur de la république. « restée sans réponse »
N°
81 :
N°
82 :
A la demande de Monsieur
LABORIE André le 2 avril 2008 :
Procès
verbal de constat dressé par la SCP d’huissiers FERRAN 18 rue tripière 31000
Toulouse constant tous les meubles et objets enlevés au domicile
de Monsieur et Madame LABORIE en date du 27 ; 28 et suivants sans leur contentement
et suite à la violation de leur domicile à la demande de Madame d’ARAUJO épouse
BABILE Suzette, cette dernière ne pouvant détenir un quelconque acte valide.
N°
83 :
Observations
en faits et droit sur le plan civil
et pénal voir :
N°
84 :
Observations
en faits et droit sur le plan civil et pénal voir :
N°
85 :
Observations
en faits et droit sur le plan civil et pénal voir :
N°
86 :
Observations
en faits et droit sur le plan civil et pénal voir :
N°
87 :
Observations
en faits et droit sur le plan civil et pénal voir :
N°
88 :
Observations
en faits et droit sur le plan civil et pénal voir :
N°
89 :
Observations
en faits et droit sur le plan civil et pénal voir :
N°
90 :
Observations
en faits et droit sur le plan civil et pénal voir :
N°
91 :
Mémoire
de Maître Jean Claude JACOUPY avocat à la cour de cassation qui a établi un
mémoire en défense pour sa cliente la SCP d’huissier PRIAT ; COTTIN ; LOPEZ
indiquant que le commandement du 20 octobre 2003 à été signifié
à la demande de la société ATHENA banque, ce qui corrobore la page deux en
son cahier des charges et les dires de Monsieur LABORIE André.
Indique un supplément d’information pour la nullité du commandement de 20
octobre 2003 en sa pièce N° 8
N°
92 :
Etat
hypothècaire du 10 août 2011 justifiant : La nullité du commandement
du 20 octobre 2003 et de tous les actes postérieurs.
Qu’au vu de l’arrêt du 16 mai
2006, inexistence juridique de la société Athéna banque, ouvre la nullité
du commandement du 20 octobre 2003 et de tous les actes antérieurs et postérieurs.
Cour de cassation
chambre civile 2
Audience publique du jeudi 3 mai 2001
N° de pourvoi: 98-18162
REPUBLIQUE FRANCAISE
AU NOM DU PEUPLE FRANCAIS
Sur
le premier moyen :
Vu
les articles 2213, 2215 du Code civil et 625 du nouveau Code de procédure
civile ;
Attendu
que la vente forcée des immeubles ne peut être poursuivie qu'en vertu d'un
titre authentique et exécutoire, pour une dette certaine et liquide ;
Attendu,
selon l'arrêt attaqué que suivant commandement du 2 juillet
Attendu
que pour rejeter cette demande, l'arrêt retient que le débiteur saisi n'est
pas recevable, sauf cas de fraude, à agir en nullité de la poursuite et de
l'adjudication contre les tiers adjudicataires, étrangers à la saisie, en
se prévalant d'une décision, postérieure à l'adjudication et à la publication
du titre, jugeant inexistante la créance visée au commandement ;
Qu'en
statuant ainsi alors que l'annulation du jugement ayant servi de base aux
poursuites avait nécessairement pour conséquence la nullité de la procédure
et du jugement d'adjudication, la cour d'appel a violé les textes susvisés
;
PAR
CES MOTIFS, et sans qu'il y ait lieu de statuer sur le second moyen :
CASSE
ET ANNULE, dans toutes ses dispositions, l'arrêt rendu le 31 mars 1998, entre
les parties, par la cour d'appel de Bordeaux ; remet, en conséquence, la cause
et les parties dans l'état où elles se trouvaient avant ledit arrêt et, pour
être fait droit, les renvoie devant la cour d'appel de Pau.
Publication :
Bulletin
2001 II N° 91 p. 61
Décision attaquée : Cour d'appel
de Bordeaux, du 31 mars 1998
Titrages et résumés : SAISIE IMMOBILIERE - Adjudication - Jugement
- Procédure antérieure - Nullité - Cassation du jugement ayant servi de base
aux poursuites de saisie - Annulation du jugement d'adjudication .
L'annulation d'une décision de justice ayant servi de base à des poursuites
de saisie immobilière a nécessairement pour conséquence la nullité de toute
la procédure de saisie, et notamment celle du jugement d'adjudication, alors
même qu'il aurait été publié.
CASSATION - Cassation par voie de conséquence - Saisie immobilière - Cassation
du jugement ayant servi de base aux poursuites de saisie ADJUDICATION - Saisie
immobilière - Nullité de l'adjudication - Causes - Jugement sur incident -
Cassation - Assation par voie de conséquence
Précédents jurisprudentiels : A RAPPROCHER : Chambre civile 2, 2000-01-13,
Bulletin 2000, II, n° 9, p. 6 (cassation), et les arrêts cités.
Textes appliqués :
Code civil 2213, 2215nouveau Code de procédure civile 625
*
* *
Il est à préciser que le commandement du 20 octobre
Qu’en
conséquence le commandement du 20 octobre 2003 servant de continuation de
poursuite en saisie immobilière ne peut ouvrir un quelconque droit.
De la nullité de la publication de la procédure de saisie immobilière en
date du 20 mars 2007 alors qu’était pendant une action en résolution du jugement
d’adjudication depuis le 9 février 2007 et nullité sur le fondement de l’article
695 de l’acpc sursoir à la procédure, et pour les motifs ci-dessus indiqués.
Nullité des actes notariés sur le fondement de l’article 1599 du code civil.
Au surplus de la nullité de toute la procédure de saisie immobilière fondée
sur l’absence fondamentale de bases de droit
Nullité de toute la procédure de saisie immobilière sur le fondement de
l’article 694 ; article 694 alinéa 3 et 4 de l’acpc.
Et pour n’avoir pas respecté la publication sur le fondement de l’article
750 de l’acpc, du jugement d’adjudication et de son arrêt confirmatif.
Et pour n’avoir pas respecté l’article 716 de l’acpc en la signification
du jugement d’adjudication pour pouvoir le mettre en exécution.
· Tous
les actes attenants à ces actes publiés sont nul de plein droit.
N°
93 :
Inscription
de faux d’un arrêt de la cour de cassation du 4 octobre 2000.
· Au surplus Péremption d’instance forclusion
de la Commerzbank, n’a jamais fait valoir une quelconque créance depuis 1996
débouté par la cour d’appel de Toulouse en son arrêt du 16 mars 1998. (
pièce N° 1)
N°
94 :
Inscription
de faux affectation hypothécaire du 2 mars 1992.
· Nullité du prêt pour violation des règles d’ordre
public, arrêt du 16 mars 1998 rendu par la cour d’appel de Toulouse ( pièce N° 1)
N°
95 :
N°
96 :
Inscription
de faux de l’ordonnance d’expulsion rendu par le T.I de toulouse le 1er
juin 2007.
N°
97 :
Inscription
de faux de tous les actes dressés par la SCP d’huissiers GARRIGUES et BALLUTEAUD
N°
98 :
N°
99 :
COMPLEMENT D’INSCRIPTIONS DE FAUX INTELLECTUELS
Au vu que le juge des référés se refuse de statuer
par des moyens dilatoires.
Au vu que le juge de l’exécution se refuse de statuer
par des moyens dilatoires.
Au vu que la cour d’appel se refuse de statuer.
Au vu que la cour de cassation se refuse de statuer.
N° 99 / I : Le 2
mai 2012.
Inscription
de faux intellectuels de toutes les ordonnances de référés rendues.
N° 99 / II : Le 30 mai 2012.
Inscription
de faux intellectuels de tous les jugements rendus par le juge de l’exécution.
N° 99 / III : Le 30 mai 2012.
Inscription
de faux intellectuels d’arrêts rendus par la cour d’appel se refusant de statuer :
N° 99 / IV : le 29 juin 2012.
N° 99 / V : le 25 juillet 2012.
N° 99 / VI : le 28 juillet 2012.
N° 99 / VII : le 11 juillet 2012 : Pour justifier
de l’intention de nuire à Monsieur LABORIE André sur son droit de conduire
en France.
N° 99 / VIII : le 28 mars 2012 : Pour justifier
de l’intention de nuire à Monsieur LABORIE André en ses droits de défenses.
Inscription
de faux jugement correctionnel du 15 septembre 2011. « détention
arbitraire »
LES COMPLEMENTS D'INSCRIPTION DE FAUX EN PRINCIPAL " CLIQUEZ " |
ETAT COMPTABLES
N°
100 :
N°
100 bis :
· Relevés
de compte Commerzbank.
PROJET DE DISTRIBUTION
Alors que Monsieur CAVE s’était
récusé et à la demande de Monsieur LABORIE André.
N°
101 :
· Deux
justificatifs de récusation pour toutes les procédures.
N°
102 :
Alors que Monsieur et Madame LABORIE étaient toujours propriétaires et le
sont encore à ce jour.
Obstacle à la procédure : Voir citation FRANCES
; FARNE
N°
103 :
· Justificatif de récusation.
· Les auteurs ont bien participés au détournement
de la somme de 260.000 euros et plus appartenant à Madame D’ARAUJO épouse
BABILE qui n’a jamais pu retrouver son droit de propriété. « Synthèse
rapide courrier du 30 décembre 2011 »
· Toutes
les observations de droit : Voir citation
CAVE Michel et Madame PUISSEGUR Marie Claude. « Questions »
N°
104 :
· La somme de 3752, 26 euros à Maître MUSQUI avocat
pour avoir participé à la fraude de la saisie immobilière pour obtenir des
décisions favorables
· La somme de 507 euros à Maître BOURRASSET Avocat
agissant pour le compte de sa cliente Madame D’ARAUJO épouse BABILE ayant
apporté de faux et usage de faux pour obtenir des décisions favorables
· La somme de 2834,43 euros à Maître FRANCES Avocate
conseil de la Commerzbank qui est l’auteur de la procédure de saisie immobilière
ayant apporté des faux et usage de faux pour obtenir des décisions favorables.
· La somme de 11899, 01 euros à la société générale
qui ne peut détenir une quelconque créance liquide, certaine et exigible.
· La somme de 246.154,45 euros à la Commerzbank qui
ne peut être créancière de Monsieur et Madame LABORIE au vu de tous les éléments
ci-dessus et justifié par tous les relevés comptables.
Tous les coupables et complices se sont rémunérés grassement sans
faire valoir une quelconque créance réelle des soit disant créanciers à la
base comme CETELEM ; PASS ; ATHENA Banque et autres…. Figurant dans le cahier
des charges. « Il ne pouvait exister
de créanciers, raisons des contestations de Monsieur LABORIE André depuis
de nombreuses années ».
Monsieur et Madame LABORIE n’étaient pas débiteurs. « Ce qui est démontré
à ce jour ».
· Qu’en conséquence, Maître MUSQUI
Bernard et autres agissaient en tant que chasseurs de primes sans un pouvoir
et sans un quelconque titre de créance dans le seul but d’anéantir avec complicité
Monsieur LABORIE André. « Ce qui est démontré à ce jour ».
Soit le crime intellectuel en bande organisée.
LES JURISPRUDENCES
Justifiant notre
propriété, notre domicile toujours établi.
N° 105 :
Les
jurisprudences reprises dans le constat d’huissier du 11 août 2011.
·
Une vente sur folle enchère produit les mêmes effets qu’une action
en résolution du jugement d’adjudication.
·
Entre la remise en vente sur folle enchère et l’adjudication définitive,
l’immeuble était la propriété du saisi.
·
Le transfert de propriété entre l’adjudicataire et le saisi résulte
du jugement d’adjudication opposable aux tiers à compter de sa publication.
·
L’appel du jugement d’adjudication n’est pas recevable si la fraude
n’est pas soulevée : « Monsieur LABORIE
André avait soulevé la fraude pour les motifs ci dessus indiqué donc recevable
sur le fondement de l’article 750 de l’acpc.
·
Impossibilité de déposer un
dire pour statuer sur la nullité de la procédure pendant la détention arbitraire.
·
Article 1599, la vente de la
chose d’autrui est nulle
·
Article
716 de l’acpc
·
Article
502 et 503 et
478 du ncpc
·
Article
694 de l’acpc
( Voir
constat d'huissier du 10, août 2011 )
Juris-classeur :
·
Fasc
: 857 Saisie immobilière : ( Mise
à jour ) Le jugement d’adjudication
et les formalités postérieures.
·
Fasc
: 859 Saisie immobilière : ( Mise
à jour ) Effets de l’adjudication.
·
Fasc
: 860 Saisie immobilière : ( Mise
à jour ) Action en nullité
du jugement d’adjudication.
·
Fasc
: 861 Saisie immobilière : ( Mise à jour ) Action en résolution de la vente ou de l’échange.
·
Fasc
: 865 Saisie immobilière : ( Mise à jour ) Incidents généralités.
·
·
Fasc
: 867 Saisie immobilière : ( Mise
à jour ) Incidents – demande
de subrogation.
·
·
Fasc
: 869 Saisie immobilière : ( Mise
à jour ) Incidents – Moyens
de nullité.
Tout autre fascicule peut vous
être produit.
LES DIFERENTES
SOCIETES MISES EN PLACE.
Par Monsieur TEULE
Gérant de toutes les sociétés.
N° 106 :
Qu’au vu du courrier du 20 juin
2007, c’est Monsieur TEULE Laurent qui est à l’origine de toutes ses malversations,
acte postérieurs au jugement d’adjudication.
Et au vu de la gérance des différentes
sociétés.
Pièces concernant la société RSBLT ou à ce jour Monsieur TEULE Laurent
détient toutes les parts.
·
Création
de la SCI le 6 juillet 2007.
·
Mise
à jour statut le 09 octobre 2010.
·
Etat
hypothécaires des biens de Madame D’ARAUJO épouse BABILE.
·
Mise
à jour des statuts le 02 novembre 2011.
·
Cession
de parts sociale en date du 2 décembre 2011.
·
Fiche
de renseignement Greffe.
PS : Faire inscrire des hypothèques
dans les intérêts de Monsieur et Madame LABORIE pour garantir des préjudices
subis par :
·
L’expulsion irrégulière.
·
Vol de tous nos meubles et objets.
·
Occupation sans droit ni titre de note propriété, loyers.
·
Mise de Monsieur et Madame LABORIE à la rue et tous les préjudices
subis depuis 4 années.
·
Les soucis devant les tribunaux.
N° 106 / A :
Pièces concernant la SCI OMNI CONSEIL.
·
Mise
à jour statuts le 25 novembre 2010.
N° 106 / B :
Pièces concernant la SARL LTMDB :
·
Mise
à jours le 27 mais 2008.
·
Procès
verbal assemblée extraordinaire du 15 février 2010
·
RCS
dissolution anticipé le 29 mars 2010.
·
Publication
au BODAAC de la dissolution le 10 avril 2010
·
Fiche
de renseignement Greffe.
·
Publication du détournement de note propriété en date du 5 avril 2007
et 6 juin 2007. « Inscription
de faux ».
·
Recel détournement de note propriété en date du 22 septembre 2009 avant
la dissolution de la SARL. « Inscription
de faux ».
LES MESURES PROVISOIRES
DEMANDEES EN REFERE
Dont obstacles
rencontrées pour que les causes ne soient pas entendues.
N° 107 :
Des mesures provisoires ont été
demandées devant le T.G.I de Toulouse en soulevant la gravité de la procédure
et à fin qu’il ne soit pas reproché à Monsieur et Madame LABORIE que des travaux
ont été effectués et qu’il faudrait les payer lors de leur expulsion sans
droit ni titre.
Pour faire obstacle à tous débats
et pour couvrir un crime organisé, les parties ont soulevés la nullité des
assignations aux motifs qu’ils ne pouvaient plus nous signifier des actes
suite qu’on était plus dans notre propriété, situation faisant suite à la
violation de notre domicile en date du 27 mars 2008.
Les parties adverses, une fois
obtenu par escroquerie au jugement les décisions, elles ont été signifiées
et mises en recouvrement alors que Monsieur et Madame LABORIE sont victimes
de la violation de leur domicile situé au N° 2 rue de la forge 31650 Saint
Orens.
Je rappelle que de nombreuses
procédures ont été faites et toutes ont subies des obstacles.
Ci-joint :
Assignation
en date du 18 décembre 2008 devant le juge des référés au T.G.I de Toulouse.
·
Signification
de l’ordonnance rendue le 26 février 2009 au N° 2 rue de la forge 31650
Saint Orens
Assignation
en date du 5 février 2009 devant le juge des référés au T.G.I de Toulouse.
·
Signification
de l’ordonnance rendue le 26 mars 2009 au N° 2 rue de la forge 31650 Saint
Orens
·
Que cette ordonnance reconnaît qu’il ne peut exister de nullité d’acte,
elle a été rendue par Monsieur STEINMANN Président du T.G.I de Toulouse.
Assignation
en référé pour le trois décembre 2010 en demande d’expulsion devant la T.G.I.
Et autres…….. autant devant le juge des référé, que devant le JEX, que
devant le T.I que devant la cour d’appel : Le déni de justice Complet par
faux intellectuels pour couvrir les auteurs de la procédure.
Et tout pareil dans le seul but de couvrir un crime organisé.
LES DIFFERENTS
BIENS DE MONSIEUR TEULE.
Pouvant servir
à des hypothèques conservatoires.
Soit :
Pièces concernant la société RSBLT ou à ce jour Monsieur TEULE Laurent
détient toutes les parts.
·
·
Mise
à jour statut le 09 octobre 2010.
·
Etat
hypothécaires des biens de Madame D’ARAUJO épouse BABILE.
·
Mise
à jour des statuts le 02 novembre 2011.
·
Cession
de parts sociale en date du 2 décembre 2011.
·
Fiche
de renseignement Greffe.
OUVERTURE INFORMATION
JUDICIAIRE SUR PARIS
Juge d’instruction.
N° 108 :
Juge d’Instruction de PARIS :
·
Plainte
avec constitution de partie civile .
·
Ordonnance
fixant une consignation de 100 euros.
·
Reçu
de versement consignation de 100 euros.
·
Saisine de Monsieur CADDEO Gérard « Juge
d’instruction ». Le
14 mars 2012 - Le
7 avril 2012.
N° 108 bis :
Les différentes plaintes restées sans réponse.
I / Conseil Supérieur de la Magistrature.
II / Doyen des juges de PARIS.
III / Doyen des juges au T.G.I de Toulouse.
IV / Ministre des Armées.
V / Ministre de la Justice.
VI / Ordre des avocats de Toulouse.
VII / Préfet de la HG.
VIII / Premier Président à la Cour de Cassation.
IX / Premier Président prés la cour d’appel de Toulouse.
X / Procureur Général à la Cour de Cassation.
XI / Procureur Général prés la cour d’appel de Toulouse.
XII / Procureur de la République au T.G.I de Toulouse.
XIII / Président de la République.
XIV / Gendarmerie de Saint Orens.
Acte de décès
de Madame D’ARAUJO épouse BABILE Suzette.
N° 109 :
·
Acte
de décès de Madame D’ARAUJO épouse BABILE Suzette en date du 21 février 2012
DEMANDE
Nullité de toute la procédure
de saisie immobilière et régularisation de tous les actes administratifs aux
motifs ci-dessus.
Expulsion de tous les occupants
sans droit ni titre réguliers occupant notre propriété, notre domicile, Monsieur
et Madame LABORIE sont toujours propriétaires au vu d’une jurisprudence constante
bien que le tribunal, la cour se refuse de statuer sur les différentes voies
de recours et mesures provisoires.
Violation du domicile de Monsieur
et Madame LABORIE en date du 27 mars 2008 :
Qu’il est rappelé que la cour
d’appel se refuse de statuer sur l’appel de l’ordonnance du 1er
juin 2007 et sur sa vraie situation juridique, obtenue par la fraude, sur
de faux éléments alors que Monsieur et Madame LABORIE étaient toujours et
le sont encore aujourd’hui propriétaire.
Restitution de tous nos meubles
et objets au N0 2 rue de la forge 31650 Saint Orens.
Dédommagement de tous les préjudices
causés à Monsieur et Madame LABORIE après expertises.
Qu’il soit mis immédiatement des
mesures conservatoires sur les biens de Monsieur TEULE Laurent, ce dernier
ayant fait disparaitre volontairement la SARL LTMDB pour fuir la justice.
Voir d’urgence pièce 108 : doyen
des juges d’instruction PARIS.
Madame D’ARAUJO épouse BABILE
étant décédée depuis le 21 février 2012.
Fait pour servir ce que
de droit :
Monsieur
LABORIE André